Metalbanger, l'art de la violence

KissKissBankBank est une plateforme de financement participatif sur la base de dons et de contreparties. Si le projet vous intéresse, vous pouvez participer à sa création, vous recevrez alors une contrepartie à hauteur de votre don. Metalbanger, l’art de la violence est un concept original alliant interactivité et immersion dans l'univers du Metal. Destiné au web et à la télévision, ce projet a pour but de montrer la face cachée d'un monde peu ou mal connu dans lequel règne un aglomerat de clichés plus péjoratifs les uns des autres. Souvent perçu comme une menace sociale, le Metal reste pourtant un genre musical très écouté suscitant néanmoins une certaine méfiance.

Visuel du projet Metalbanger, l'art de la violence
Échoué
39
Contributions
31/12/2012
Date de fin
1 035 €
Sur 9 000 €
12 %

Soutenu par

Hans Lucas soutient le projet Metalbanger, l'art de la violence

Metalbanger, l'art de la violence

<p> Después de la versión francesa hay una versión española.</p> <p>  </p> <p> <strong>Metalbanger, l'art de la violence</strong> est un documentaire transmédia et interactif conçu à la fois pour une plateforme web et pour une diffusion télévisée. Un documentaire interactif qui vous donne la possibilité de découvrir 4 thématiques abordées plus bas à votre rythme, selon vos envies. </p> <p>  </p> <p> <strong>Découvrez l'actu du documentaire sur la page facebook</strong> : </p> <p> <a href="http://www.facebook.com/pages/Metalbanger-lart-de-la-violence-le-webdocu/290411657687505" target="_blank">http://www.facebook.com/pages/Metalbanger-lart-de-la-violence-le-webdocu/290411657687505</a></p> <p>  </p> <p> <u><em><strong>Synopsis : </strong></em></u></p> <p>  </p> <p> Le Metal, dérivé du Hard-Rock puis du Heavy-Metal est une musique cataloguée comme violente. C’est aussi un genre musical écouté dans le monde entier. De nombreux documentaires se sont déjà focalisés sur les fans mais plus rarement sur les musiciens. Aucun ne s’est penché sur les raisons qui poussent un artiste à exprimer ses émotions à travers ce genre musical au cœur de nombreuses polémiques et victimes de clichés et amalgames. </p> <p>  </p> <p> <img alt="Richard-kkb-8" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/853/Richard-KKB-8.jpg"></p> <p> Hellfest 2012. Jour 1.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> Classiquement, on reproche au Metal de favoriser les comportements machistes et violents, de pousser au suicide, au meurtre ou vers des cultes alternatifs. Et les clichés sur les amateurs de Metal sont des raccourcis rapides : ils sont idiots et sont de mauvais musiciens.</p> <p> A travers ce documentaire, je souhaite aborder différemment ces clichés en développant 4 thématiques.</p> <p>  </p> <p> <strong><u><em>L’expression artistique</em></u> : </strong>pourquoi un musicien ressent-il la nécessité de s’exprimer par un moyen aussi brutal ?<strong> </strong></p> <p>  </p> <p> <strong><em><u>L’imagerie morbide</u></em> : </strong>pourquoi le Metal exploite t-il autant les références à la mort ? Le Metal est-il la seule forme d’art à exploiter cela ? Pourquoi est-ce tabou dans notre société de parler de la mort ?<strong> </strong></p> <p>  </p> <p> <strong><u><em>La vie en dehors du Metal</em></u> : </strong>même si j’ai réuni quelqu'uns des meilleurs groupes français (et un suisse), la plupart des musiciens ne vivent pas de leur musique. Certains ont même des métiers tout à fait originaux et en total décalage avec la représentation habituelle.<strong> </strong></p> <p>  </p> <p> <strong><em><u>Travail et niveau technique</u></em> : </strong>faut-il être bon musicien pour jouer du Metal ? Cela demande-t-il du travail ? Faut-il écouter exclusivement du Metal ou faut-il s’ouvrir à d’autres styles ?<strong> </strong></p> <p>  </p> <p> Pour répondre à ces questions, j’ai tissé un réseau de 12 musiciens, 2 sociologues et un responsable culturel. Ils apporteront un éclairage pertinent et un recul sur ces questions ainsi qu’une remise en perspective du Metal dans le champ des arts. </p> <p>  </p> <p> <img alt="Richard-kkb-15" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/1177/Richard-KKB-15.jpg"></p> <p> Virginie Goncalvès. Annecy, avril 2012.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Richard-kkb-3" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/854/Richard-KKB-3.jpg"></p> <p> Gorod. St Etienne, mai 2012.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Richard-kkb-7" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/858/Richard-KKB-7.jpg"></p> <p> Candice Clot. Marseille, janvier 2012.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>De part son approche et les thématiques, ce documentaire s’adresse évidemment aux metalleux convaincus, mais aussi aux néophytes avec l’utilisation du Metal comme prétexte pour parler de thèmes plus graves comme la mort ou encore en véhiculant les valeurs de tolérance, d’éclectisme et de travail.</strong></p> <p>  </p> <p> <img alt="Richard-kkb-10" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/855/Richard-KKB-10.jpg"></p> <p> Mario Duplantier dans son atelier. Bayonne. Décembre 2011.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> Ce documentaire sera entièrement étalonné en noir et blanc. Le logo, conçu par un acteur de scène Metal, reste conforme à l’imagerie morbide véhiculée par le Metal.</p> <p> Tout cela pour recréer le paradoxe entre la forme sombre et violente du Metal et le fond résolument tourné vers des valeurs positives. De nombreux musiciens m’ont avoué s’être tournés vers le Metal pour son côté authentique. </p> <p>  </p> <p> <img alt="Richard-kkb-4" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/856/Richard-KKB-4.jpg"></p> <p> Julien Truchan. Benighted. St Etienne, mai 2012</p> <p>  </p> <p> <img alt="Richard-kkb-16" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/1178/Richard-KKB-16.jpg"></p> <p> Blaise Brechbühl, Kruger. Lausanne, janvier 2012.</p> <p>  </p> <p> <strong>Quels artistes interviennent ?</strong></p> <p>  </p> <p> <strong>Eryn Non Dae </strong>(groupe entier pendant l'enregistrement de Meliora<strong>). Toulouse.</strong></p> <p>  </p> <p> <strong>Virginie Goncalves : </strong>chanteuse du groupe <strong>Kells</strong>. Lyon.</p> <p>  </p> <p> <strong>Staif : </strong>guitariste du groupe <strong>Eths</strong>. Marseille.</p> <p>  </p> <p> <strong>Candice clot : </strong>ex-chanteuse du groupe <strong>Eths</strong>. Marseille.</p> <p>  </p> <p> <strong>Blaise Brechbühl : </strong>bassiste du groupe <strong>Kruger</strong>. Lausanne (Suisse).</p> <p>  </p> <p> <strong>Marc Petit et Jéjé : </strong>guitariste et chanteur du groupe <strong>Recueil Morbide</strong>. Montbelliard.</p> <p>  </p> <p> <strong>Pierre Jean Toti : </strong>guitariste du groupe <strong>Lokurah</strong>. Paris.</p> <p>  </p> <p> <strong>Julien Truchan : </strong>chanteur du groupe <strong>Benighted</strong>. St Etienne.</p> <p>  </p> <p> <strong>Mario Duplantier : </strong>batteur du groupe <strong>Gojira</strong>. Bayonne.</p> <p>  </p> <p> <strong>Adrien Grousset : </strong>guitariste du groupe <strong>Hacride</strong>. Poitiers.</p> <p>  </p> <p> <strong>Nicolas Chastel : </strong>guitariste du groupe <strong>Simplixity</strong>. Bordeaux.</p> <p>  </p> <p> <strong>Mickaël Desmarie : </strong>bassiste du groupe <strong>Minushuman</strong>. Périgueux.</p> <p>  </p> <p> <strong>Julien Deyres : </strong>chanteur du groupe <strong>Gorod</strong>. Toulouse.</p> <p>  </p> <p> <strong>Fabien Hein : </strong>sociologue (Université de Metz). Auteur (entre autres) de "Hard Rock, Heavy Metal, Metal...Histoire, Cultures et pratiquants".</p> <p>  </p> <p> <strong>Nicolas Walzer : Sociologue. </strong>Auteur (entre autres) de : "Anthropologie du Metal extrême" et "Du Paganisme à Nietzsche, se construire dans le Metal". Paris.</p> <p>  </p> <p> <strong>Vincent Guidault : </strong>responsable culturel de la demeure de Ronsard. Tours.        </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Richard-kkb-6" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/857/Richard-KKB-6.jpg">   </p> <p> Franck Quintin, de Eryn Non Dae, pendant l'enregistrement de Meliora. Toulouse, janvier 2012.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p>

À quoi servira la collecte

<p> A ce jour, j'ai réalisé quelques interviews sur mes fonds propres (afin de réaliser un teaser promotionnel).</p> <p>  </p> <p> Je dois maintenant financer la suite, notamment les déplacements.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Déplacements :</strong> (carburant, péage, hébergement pour parcourir 14200 Km) : 6900 euros.</p> <p>  </p> <p> <strong>Assurance : </strong>500 euros</p> <p>  </p> <p> <strong>Petit matériel</strong> (disques dur, cartes CF et SD) : 500 euros</p> <p>  </p> <p> <strong>Mixage son :</strong> 600 euros</p> <p>  </p> <p> <strong>Webdesign :</strong> 500 euros</p> <p>  </p> <p> <strong>Total : 9000 euros</strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Qui sommes nous ?</strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="281" src="http://player.vimeo.com/video/50015665" width="500"></iframe></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <u><strong>RICHARD DELAUME</strong></u></p> <p>  </p> <p> Autodidacte, Richard Delaume rencontre le photojournalisme en 2005 lors d’un voyage aux Etats-Unis. Dès 2006, commence alors une collaboration avec la presse spécialisée (cyclisme) en France et en Angleterre.
La première expérience de reportage à l’étranger se déroulera au Burkina Faso en 2009 avec Les enfants des rues.
Depuis 2009, les collaborations avec la presse quotidienne (Tribune de Genève, 24h etc), mensuelles (Swiss Seasons, Révolution Magazine,) et corporate (photo et video) se font plus régulières.

La découverte de la vidéo en 2009 et des nouveaux formats de narration aboutira en 2010 à la réalisation d’un film et d’une série de portrait en Palestine sur le syndrome de stress post-traumatique, où il rencontre les habitants de Naplouse et des villages environnants et recueille leurs témoignages.Ce reportage arrivera 6ème au Prix Bayeux des correspondants de guerre en 2011. Suivra un travail sur l'autisme ainsi que différents voyages en Asie et dans les Balkans.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <u><strong>FLORENT MAURIN</strong></u></p> <p>  </p> <p> Diplômé de l'Ecole supérieure de journalisme de Lille en 2002, Florent Maurin est ensuite engagé par le groupe Bayard. D'abord secrétaire de rédaction puis rédacteur, il est chargé, depuis janvier 2009, de la responsabilité éditoriale de la partie 7-13 ans de Bayam, l'offre jeunesse du groupe sur Internet. En parallèle, il crée <a href="http://www.thepixelhunt.com/">The Pixel Hunt</a>, société de production d'objets d’information interactifs et ludiques. Il est auteur de plusieurs newsgames, des modules au carrefour entre info et jeu vidéo, publiés sur Lemonde.fr. Il collabore aussi à la conception et à la scénarisation interactive de plusieurs webdocumentaires, et donne des formations sur le sujet. A l'été 2012, Florent participe à l'émission d'été #Antibuzz, sur France Inter, dans laquelle il tient une chronique.</p> <p>  </p> <p> <u><strong>WILFRID ESTEVE</strong></u></p> <p>  </p> <p> Wilfrid Estève est producteur, photographe, journaliste et professeur. Depuis 2004, il préside l’association reconnue d’utilité publique FreeLens et a reçu la mention spéciale du prix Nadar pour « photojournalisme, à la croisée des chemins » en 2005 en tant qu’auteur, et le grand prix du jury du WebTV Festival pour la plateforme interactive documentaire « La Nuit oubliée – 17 octobre 1961″, en 2012 en tant que producteur. Cofondateur de l’agence l’Œil Public, membre de l’Observatoire du photojournalisme du ministère de la Culture, conférencier spécialisé dans le digital storytelling et contributeur au Journal de la photographie ; il est depuis 2006 en charge de la direction artistique et éditoriale du studio de création et de production Hans Lucas.</p> <p>  </p> <p> <u><strong>THOMAS BURGHARD</strong></u></p> <p>  </p> <p> Thomas Burghard est ingénieur du son, diplômé de la SAE Genève. Auteur compositeur, il intervient autant sur l’enregistrement que sur la post-production.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <em>Metal banger, el arte de la violencia</em> es un documental transmedia e interactivo concebido a la vez para una plataforma web y para difusión televisada. Un documental interactivo le ofrece la posibilidad de descubrir los cuatro temas a su ritmo, según sus preferencias.</p> <p>  </p> <p> <strong>Pagina facebook</strong> : <a href="http://www.facebook.com/pages/Metalbanger-lart-de-la-violence-le-webdocu/290411657687505" target="_blank">http://www.facebook.com/pages/Metalbanger-lart-de-la-violence-le-webdocu/290411657687505</a></p> <p>  </p> <p> <strong><em>Sinopsis: </em></strong></p> <p>  </p> <p> El Metal, derivado del Hard Rock y a su vez del Heavy Metal, es una música catalogada como violenta. También se trata de un género musical escuchado en todo el mundo. Muchos documentales se han centrado en los fans, pero rara vez lo han hecho en los músicos. Ninguno se ha planteado las razones que llevan a un artista a expresar sus emociones a través de este género musical origen de numerosas polémicas y víctima de tópicos y bulos.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="300" src="http://player.vimeo.com/video/51924006" width="400"></iframe></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> Tradicionalmente, se acusa al Metal de favorecer comportamientos machistas y violentos, de incitar al suicidio, al asesinato o a practicar cultos alternativos. Y los tópicos sobre los aficionados al Metal son atajos rápidos: son idiotas y son malos músicos.</p> <p> A través de este documental, quiero abordar de manera diferenciada estos tópicos desarrollando cuatro temas.</p> <p>  </p> <p> <u><strong><em>La expresión artística</em></strong></u><strong>: </strong>¿Por qué un músico siente la necesidad de expresarse por un medio tan brutal?</p> <p>  </p> <p> <strong><em><u>La imaginería morbosa</u></em></strong><strong>: </strong>¿Por qué el Metal explota tanto las referencias a la muerte? ¿Es el Metal la única forma de arte que explota esa vertiente? ¿Por qué es tabú en nuestra sociedad hablar de la muerte?</p> <p>  </p> <p> <u><strong><em>La vida fuera del Metal</em></strong></u><strong>: </strong>Aunque he reunido a algunos de los mejores grupos franceses (y uno suizo), la mayor parte de los músicos no viven de su música. Algunos incluso tienen oficios respetables y totalmente opuestos con su imagen habitual.</p> <p>  </p> <p> <strong><em><u>Trabajo y nivel técnico</u></em></strong><strong>: </strong>¿Es necesario ser buen músico para tocar Metal? ¿Ello exige trabajo? ¿Es necesario escuchar exclusivamente Metal o deben explorarse otros estilos?</p> <p>  </p> <p> Para responder a estas preguntas, he creado una red de doce músicos, dos sociólogos y un responsable cultural. Ellos aclararán y desmentirán estas cuestiones, al tiempo que situarán al Metal en el contexto de las artes.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Metalbanger, el arte de la violencia </strong>es un concepto original que combina interactividad e inmersión en el universo del Metal. Destinado a la web y a la televisión, este proyecto se propone mostrar la cara oculta de un mundo poco o mal conocido en el que reina un aglomerado de tópicos, algunos más peyorativos que otros. A menudo considerado como una amenaza social, el Metal sigue siendo, sin embargo, un género musical muy escuchado y que suscita cierta desconfianza.</p> <p>  </p> <p> A parte de su enfoque y del tema, este documental va dirigido, evidentemente a los metaleros convencidos, pero también a los neófitos, utilizando el Metal como pretexto para hablar de temas más graves como la muerte o incluso vehiculando los valores de tolerancia, de eclecticismo y de trabajo.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> Este documental se emitirá íntegramente en blanco y negro. El logo, diseñado por un actor de la escena del Metal, sigue las consignas de la imaginería morbosa vehiculada por el Metal.</p> <p> Todo ello para recrear la paradoja entre la forma sombría y violenta del Metal y el fondo decididamente abierto hacia los valores positivos. Muchos músicos me han reconocido que se metieron en el Metal por su lado auténtico.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>¿Qué artistas intervienen?</strong></p> <p>  </p> <p> <strong>Eryn Non Dae (grupo entero durante la grabación de Meliora). Toulouse.</strong></p> <p>  </p> <p> <strong>Virginie Goncalves: </strong>cantante del grupo Kells. Lyon.</p> <p>  </p> <p> <strong>Staif: </strong>guitarrista del grupo Eths. Marsella.</p> <p>  </p> <p> <strong>Candice Clot: </strong>excantante del grupo Eths. Marsella.</p> <p>  </p> <p> <strong>Blaise Brechbühl: </strong>bajista del grupo Kruger. Lausana (Suiza).</p> <p>  </p> <p> <strong>Marc Petit y Jéjé: </strong>guitarrista y cantante del grupo Recueil Morbide. Montbeliard.</p> <p>  </p> <p> <strong>Pierre Jean Toti: </strong>guitarrista del grupo Lokurah. París.</p> <p>  </p> <p> <strong>Julien Truchan: </strong>cantante del grupo Benighted. St. Etienne.</p> <p>  </p> <p> <strong>Mario Duplantier: </strong>batería del grupo Gojira. Bayona.</p> <p>  </p> <p> <strong>Adrien Grousset: </strong>guitarrista del grupo Hacride. Poitiers.</p> <p>  </p> <p> <strong>Nicolas Chastel: </strong>guitarrista del grupo Simplixity. Burdeos.</p> <p>  </p> <p> <strong>Mickaël Desmarie: </strong>bajista del grupo Minushuman. Périgueux.</p> <p>  </p> <p> <strong>Julien Deyres: </strong>cantante del grupo Gorod. Toulouse.</p> <p>  </p> <p> <strong>Fabien Hein: </strong>sociólogo (Universidad de Metz). Autor (entre otros) de "Hard Rock, Heavy Metal, Metal... Historia, culturas y practicantes".</p> <p>  </p> <p> <strong>Nicolas Walzer: Sociólogo. </strong>Autor (entre otros) de: "Antropología del Metal extremo" y "Del Paganismo a Nietzsche, construirse en el Metal". París.</p> <p>  </p> <p> <strong>Vincent Guidault: </strong>responsable cultural de la morada de Ronsard. Tours.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> --------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> KissKissBankBank es una plataforma de financiación participativa basada en donaciones y contrapartidas.</p> <p>  </p> <p> Si el proyecto le interesa, puede participar en su creación, y recibirá una contrapartida proporcional a su donación.</p> <p>  </p> <p> A día de hoy, he realizado algunas entrevistas con mis propios fondos (para realizar un <em>teaser</em> promocional).</p> <p>  </p> <p> Ahora debo financiar los desplazamientos y el alquiler de material para asegurar la continuación.</p> <p>  </p> <p> Desplazamientos (gasolina, peajes, alojamiento para recorrer 14.200 km).</p> <p>  </p> <p> Alquiler de material.</p> <p>  </p> <p> Diseño web.</p> <p>  </p> <p> Material diverso.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------</p> <p>  </p> <p> <strong>las contrapartidas</strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> Para 5€ y más          ilimitadas                                                             </p> <p> Aparición en los agradecimientos y una chapa.</p> <p>  </p> <p> Para 10€ y másy una pegatina.</p> <p>  </p> <p> Para 20€ y másy un juego de postales.</p> <p>  </p> <p> Para 50€ y másy una tirada dedicada de 20 x 30 de una foto de un artista de su elección entre los que intervienen.</p> <p>  </p> <p> Para 80€ y más y una tirada dedicada de 30 x 45 de una foto de un artista de su elección.</p> <p>  </p> <p>                                 </p> <p>  </p> <p> Para 200€ : taller de trabajo de 2 h con Franky Costanza o Staif o Candice Clot.</p> <p> Cada artista ofrece tres talleres</p> <p> 9 disponibles.</p> <p>  </p> <p> <strong>IMPORTANTE</strong>: el desplazamiento a Marsella corre a cargo del <em>Kissbanker</em>.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> Para 300€ : Informe del experto del sello Season of Mist.</p> <p>  </p> <p> Para 300€ : Sesión de fotos de grupo con Richard Delaume.</p> <p>  </p> <p> Para 300€ : Iniciación a la mezcla con Pro Tools con Thomas, nuestro ingeniero de sonido.</p> <p>  </p> <p> Para 500€  : Pack mágico: consulting con Season of Mist y sesión de fotos.</p> <p>  </p> <p>  </p>

Contreparties

5 €

Apparition dans la liste des remerciements et un badge.

10 €

Apparition dans la liste des remerciements et un sticker.

20 €

Apparition dans la liste des remerciements et un jeu de cartes postales.

40 €

Le DVD du documentaire !

50 €

Apparition dans la liste des remerciements et un tirage 20*30 d'un portrait d'artiste au choix parmi les intervenants.

80 €

Apparition dans la liste des remerciements et un tirage dédicacé 30*45 d'un portrait d'artiste au choix. Apparition dans la liste des remerciements.

200 €

    Workshop de 2h avec Candice Clot. IMPORTANT : de préférence sur la région PACA.

    200 €

      Workshop de 2h avec Staif. IMPORTANT : de préférence sur la région PACA.

      300 €

        1 mastering de votre album réalisé par Mobo de Conkrete Studio. http://www.conkrete-studio.com Dernières réalisation : Eryn Non Dae, Gorod, Minushuman, Lokurah.....

        300 €

          Initiation au mix sur Pro Tools avec Thomas, notre ingénieur du son.

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