Au rythme où bat mon coeur

<p> <strong><u>Résumé</u></strong></p> <p>  </p> <p> Un homme, une femme.</p> <p> Paul, Anna.</p> <p> Entre eux, la vie d’un enfant au bord du néant, un souffle de vie en train de s’éteindre, une âme qu’il faut laisser s’envoler, qui creuse un espace temps de douleurs, que seule la violence comble, violence des mots, violence des regards, violence des corps. Une violence faite à eux–même et aux autres, qui se fraie un chemin entre l’amour et la haine de soi, de l’autre.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong><u>À l’origine de l’écriture de ce projet</u></strong></p> <p>  </p> <p> Il y a quelques années, j’ai rédigé des textes et réalisé plusieurs films pour une association d’enfants atteints de déficit immunitaire, une maladie génétique que la médecine échoue à guérir dans les cas les plus graves.</p> <p> Il n’existe pas de mot pour nommer un père ou une mère qui  perd son enfant. La mort d’un enfant laisse son père, sa mère, sans identité, et l’interroge plus que tout autre événement sur le sens de la vie.</p> <p> Vivre est-il encore possible ? Comment ? Pourquoi ? En ai-je encore le droit ?</p> <p> A ces questions fondamentales, le père et la mère répondent différemment, toujours. Et trop souvent, la différence dans ce qu’ils ressentent, la souffrance intrinsèque qu’ils n’arrivent pas à dire, à partager, à faire comprendre à l’autre, les empêchent de traverser le présent et d’appréhender le futur, ensemble. </p> <p> Peu de couples survivent à la mort d’un enfant.</p> <p>  </p> <p> Avec ce film, je veux rendre hommage aux pères et aux mères que j’ai croisés, que la souffrance indicible a déchirés.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong><u>Le désir de passer à la réalisation.</u></strong></p> <p>  </p> <p> <img alt="Capture_d__cran_2015-10-17___15.06.18-1445087197" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/242170/Capture_d__cran_2015-10-17___15.06.18-1445087197.png"></p> <p>  </p> <p> Le désir de faire un film mature en moi depuis longtemps.</p> <p> Après avoir œuvré sur les plateaux de cinéma comme assistante caméra, assistante réalisation, directrice de production sur les films des autres…, après des heures passées devant mon ordinateur à écrire, réécrire et réécrire encore…, au moment où mes enfants prennent leur envol…,  Il est devenu important pour moi de partager mon univers en le portant à l’écran.</p> <p>  </p> <p> Ce court métrage de quinze minutes est un projet qui s’inscrit dans un processus à long terme.  Il doit me mener à la réalisation de mon premier long métrage « Qu’importe le bleu », et des suivants…</p> <p> Le scénario de « Qu’importe le bleu » est écrit. 90 pages reliées, prêtes à se faire leur place dans le paysage cinématographique !</p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong><u>Ceux qui m’accompagnent dans cette aventure</u></strong></p> <p>  </p> <p> <strong>Un casting au delà de mes espérances</strong></p> <p> Ils ont lu le scénario et ils ont dit oui ! Ils sont tous des comédiens de renommée et de talent et ils ont accepté d’incarner mes personnages, même les plus petits rôles, avec beaucoup d’enthousiasme.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Erika Sainte dans le rôle d’Anna</strong></p> <p>  </p> <p> <img alt="Capture_d__cran_2015-10-17___15.09.10-1445087364" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/242172/Capture_d__cran_2015-10-17___15.09.10-1445087364.png"></p> <p>  </p> <p> Magritte du meilleur espoir féminin en 2012 pour son rôle dans E<em>lle ne pleure pas, elle chante</em> de Philippe De Pierpont, Erika Sainte s'est révélée dans des rôles féminins intenses et fragiles. Elle s'est imposée comme une évidence dans le rôle d'Anna, mère impuissante, déchirée entre sa douleur et sa colère. </p> <p>  </p> <p> Vous avez pu la voir <u>au cinéma</u> dans <em>Arrêtez-moi là</em>  de G. Bannier, <em>Moonwalkers </em>de A. Bardou-Jacquet, <em>You’re ugly too</em> de M. Noonan ou plus récemment dans <em>La French </em>de C. Jimenez, mais également <u>à la télévision</u> (<em>La guerre de Marie </em>de A. Brunard...) et <u>au théâtre</u> (<em>Qui a peur de Virginia Woolf</em> de E. Albee, m. en sc. M. Kacenelenbogen , <em>Skylight</em> de D. Hare, m. en sc. M. Marchese…).</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Nicolas Herman dans le rôle de Paul</strong></p> <p>  </p> <p> <img alt="Capture_d__cran_2015-10-17___15.10.17-1445087433" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/242173/Capture_d__cran_2015-10-17___15.10.17-1445087433.png"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> « Je suis heureux d'avoir été choisi par Christine pour incarner Paul. C'est un rôle frappant de vérité et qui m'a bouleversé dès la lecture du scénario... J'avais aussi très envie de travailler avec Erika et l'histoire de ce couple déchiré nous a immédiatement émus tous les deux. »</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> Nicolas Herman a longtemps campé le personnage du lieutenant de police Nicolas Barrel dans la série <em>Plus belle la vie. </em> Depuis qu’il a quitté la série qui l’a rendu célèbre, vous l’avez vu <u>au cinéma</u> dans <em>les lettres portugaises </em>de B.F. Boucher, <em>Amitiés sincères </em>de S.Archinard et F. Prevot Leygonie, <em>le coach</em> d’O. Doran …; <u>à la télévision</u> dans <em>Clem </em>de J. Bunuel, <em>Les intouchables </em>de P. Dewolf, <em>La prophétie d’Avignon</em> de D. Delrieux, <em>Tropiques amers </em>de J.C. Barny… ; <u>au théâtre </u>dans <em>les femmes n’existent pas </em>de N.Ohlund, <em>le délai</em> de F.Massoni…</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> Et aussi :</p> <p>  </p> <p> <strong>Stéphanie van Vyve</strong> (Laure)</p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="unnamed.png" height="386px;" src="https://lh3.googleusercontent.com/7Xzt_kji57dIWlzTU4s3Mz82exzfuBp-VL4ZBK0NRvQjca5DNTuJL1VDLCwGjBRTr-zWf6rNByeC8KBjqA7D18D5jyI7_vnTVpQ0M80ZzubE3IhJ6Xrw5uYrPoMgNcAoGvLun11A" width="332px;"></p> <p>  </p> <p> <strong>Christelle Delbrouck </strong>(Valérie)</p> <p>  </p> <p> <img alt="Capture_d__cran_2015-10-17___15.13.15-1445087622" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/242174/Capture_d__cran_2015-10-17___15.13.15-1445087622.png"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Serge Hologne </strong>(Vincent)</p> <p>  </p> <p> <img alt="Capture_d__cran_2015-10-17___15.15.21-1445087737" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/242175/Capture_d__cran_2015-10-17___15.15.21-1445087737.png"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Romain Mathelart </strong>(Maxime)</p> <p>  </p> <p> <img alt="Capture_d__cran_2015-10-17___15.18.53-1445087952" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/242176/Capture_d__cran_2015-10-17___15.18.53-1445087952.png"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Jacqueline Ghaye </strong>(Hélène)</p> <p>  </p> <p> <img alt="Capture_d__cran_2015-10-17___15.21.18-1445088094" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/242177/Capture_d__cran_2015-10-17___15.21.18-1445088094.png"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> Une <u><strong>équipe technique</strong></u> de professionnels expérimentés qui ont répondu présent sans hésiter:</p> <p>  </p> <p> - Louis Philippe Capelle, directeur de la photographie;</p> <p> - Alain Sironval, ingénieur du son</p> <p> - Billy Miquel, perchman;</p> <p> - Carlota Gonzales-Hontario Lefevre, première assistante réalisatrice;</p> <p> - Camille Arpajou, scripte;</p> <p> - Louis Privat, storyboarder;</p> <p> - Marc-Olivier Dupin, musique originale;</p> <p> - Sophie Rouffio, chef monteuse image;</p> <p> - Laure Montagnol, chef monteuse son;</p> <p> - Nono van Meerbeeck, chef costumière;</p> <p> - et tous ceux qui doivent encore nous rejoindre: régisseur, assistants réalisation, assistants caméra, perchman, électros, machinos, maquilleuse...</p> <p>  </p> <p> <u><strong>Et vous, les Kissbankers !</strong></u></p>