Critique en ligne

Le site de critique de la compagnie Théâtre Oracle sera en ligne le 26 septembre 2013 ! Aidez-nous à le financer !

Visuel du projet Critique en ligne
Réussi
11
Contributions
06/11/2013
Date de fin
1 315 €
Sur 1 300 €
101 %

Critique en ligne

<p> <strong> </strong></p> <p>  </p> <p> <strong> La compagnie Théâtre Oracle </strong> se mobilise en faveur des arts contemporains. Au programme : créations, critique et ateliers du spectateur.</p> <p>  </p> <p>    Nous faisons aujourd'hui appel à vous pour co-financer la création de notre site de critique en ligne.</p> <p>   </p> <p>    Nous nous présentons ici à vous de telle façon :</p> <p>  </p> <p> 1. En bref</p> <p> 2. Qui sommes-nous ?</p> <p> 3. Historique de la compagnie</p> <p> 4. Le site de critique et la "Chartes des Oracles"</p> <p> 5. Pourquoi la critique ?</p> <p> 6. Les ateliers de spectateurs</p> <p>  </p> <p> <img alt="Photo_facebook" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/28742/photo_facebook.jpg"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>1. EN BREF</strong></p> <p>  </p> <p>   </p> <p>  <strong> En septembre</strong>, nous mettons en ligne le site de critique de la compagnie Théâtre Oracle et implantons nos activités en Limousin.</p> <p>  </p> <p>    Sur ce site, vous trouverez un <strong>espace de réflexion</strong> <strong>autour de la scène contemporaine</strong>, sous forme de critiques de spectacles. Les spectacles critiqués seront ceux diffusés en Limousin, ainsi que dans d’autres événements tels que : le festival d’Avignon, le festival d’Automne à Paris, le tjcc auThéâtre de Gennevilliers. Pourquoi ces lieux ?<strong> Le Limousin</strong> : car nous souhaitons mettre en valeur la richesse de la programmation des arts contemporains en Limousin. Et les autres festivals cités : car ils ont en commun  ceci de défendre <strong>la création et la</strong> <strong>recherche artistique</strong> avec exigence.</p> <p>  </p> <p>    Vous trouverez également sur notre site, des interviews, des dossiers sur des compagnies, des vidéos, et des articles sur des questions concernant le théâtre (esthétique, dramaturgie, auteurs). <strong>Ce site s’adresse à tous</strong>, intéressés de près ou de loin par le théâtre, la danse, ou les questions de l’art dans la société.</p> <p>    </p> <p>  </p> <p> <strong>2. QUI SOMMES-NOUS</strong> Théâtre Oracle est une association loi 1901, qui a pour objet de valoriser le théâtre contemporain, par le biais de ses créations théâtrales et de son site de critique.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>3. HISTORIQUE DE LA COMPAGNIE</strong></p> <p> La compagnie Théâtre Oracle est crée en 2010 à Marseille. Puis, en 2013 la compagnie s'implante à Limoges.</p> <p> La Présidente de la compagnie est : Anaïs Longiéras, médiation, action culturelle, Pôle National des Arts du Cirque Nexon (87)</p> <p>  </p> <p> <strong>- Spectacle crée :</strong></p> <p>  </p> <p> <em><strong>   Penelop’s par</strong>t</em>, crée en 2010, mise en scène Louise Narat-Linol. Jeu, Emilie Barrier, Charlotte Lebras, Louise Narat-Linol.</p> <p>    C’est une adaptation d’une partie de l’<strong><em>Ulysse</em> de James Joyce</strong>. Ce travail est l’exploration du <strong>monologue intérieur</strong> d’une femme, au cours d'une nuit d'insomnie.</p> <p>    Le projet a été accueilli en résidence par La Minoterie (Scène conventionnée des écritures contemporaines), à Marseille; et au studio de l’Officina à Marseille. Création au théâtre de Lenche à Marseille.</p> <p>     Cette pièce a également fait l’objet d’une <strong>création sonore </strong>(signée Louise Narat-Linol<strong>)</strong>, diffusée sur Radio Grenouille à Marseille : <a href="http://radiolab.fr/ulysse/" target="_blank">Création sonore sur Radio Grenouille</a></p> <p>    </p> <p> <strong><em> </em></strong></p> <p> <strong>- Création théâtre en cours d’écriture</strong> :</p> <p>    2013 <em>Marina et Marina</em>, performance « musée d'œuvre d’art vivante » mettant en jeu des présences immobiles prolongées dans l’espace public. </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>4. LE SITE DE CRITIQUE ET LA "CHARTES DES ORACLES"</strong></p> <p>  </p> <p>    Pour créer notre site , nous avons déjà :</p> <p> - des <strong>règles du jeu</strong> pour écrire, adressées aux critiques : la « Chartes des oracles »,</p> <p> - une date de lancement : <strong>septembre 2013</strong>,</p> <p> - un premier événement à couvrir : <strong>Festival d’Avignon</strong> juillet 2013,</p> <p> - des <strong>écrivains critique</strong> très enthousiastes, que nous avons choisi en fonction de leur situation géographique (variée pour avoir des nouvelles d'ailleurs), ainsi que de leur goût et leur exigence à être spectateurs : Anne-Sophie Devaux (enseignante, Amiens), Stéphanie Saint-Cyr (metteur en scène, Lyon), Valérie Moreau (danseuse, Bordeaux), Adrien Mariani (animateur, Grenoble), Anaïs Longiéras (Médiatrice, action culturelle, Limoges), Lionel Mathieu (médecin, Limoges), Thomas Visonneau (metteur en scène, Limoges), Benjamin Debrach (étudiant en Master journalisme, Paris), et Louise Narat-Linol.  </p> <p>  </p> <p> <strong>La « Chartes des oracles » (guide du critique)</strong></p> <p>  </p> <p> 1. Le critique n'a pas pour but d'estimer la qualité d'un spectacle : il ne distribue ni bon ni mauvais point.</p> <p> 2. Le critique se pose deux questions : « Qu’est-ce que j’ai vu ? » et « A quoi cela m’a-t-il fait penser ? »</p> <p> 3. Le critique parle en son nom, il n’énonce aucune vérité.</p> <p> 4. Le critique ne pose pas un regard figé : il interroge l’œuvre.</p> <p> 5. Le critique propose d'ouvrir un espace de réflexion a partir du spectacle vu* : il est un témoin.</p> <p> 6. Le critique inscrit le spectacle dans son contexte historique ou artistique, contribuant ainsi à interroger la place de l'art dans la société.</p> <p> 7. Le critique propose des outils (questions, vocabulaire, références) pour aiguiser le regard.</p> <p> 8. Le critique écrit pour intéresser celui qui n'a pas vu le spectacle, ainsi que celui qui ne le verra pas.</p> <p> 9. Plus on lit de critiques, plus on aime aller au théâtre</p> <p> 10. Plus on va au théâtre, plus on aime lire des critiques.</p> <p>  </p> <p> * Il s’agit précisément de <strong>faire état </strong>d’un acte artistique quel qu’il soit, indépendamment de son médium. Cela peut-être de la sculpture, du cinéma, de la photographie... <strong>Il s’agit de faire état d’une histoire racontée sur le monde</strong>. La "méthode d'analyse" proposée commence par une succession de questions que le spectateur-critique se pose : "Qu'est-ce que j'ai vu ?", "A quoi cela m'a-t-il fait penser ?", " Dans ce que je connais, qui a déjà parlé de cela ?", "Comment ?", "Pourquoi parler de cela aujourd'hui ?", "A quelles autres formes et pensées cela fait-il écho ?"...</p> <p>  </p> <p>     Nous nous appuyons sur l'ouvrage de Yannick Butel (critique et professeur à l'université de Aix-en-Provence). <em>Regard critique </em>(éd. Solitaires intempestifs), ainsi que sur les recherches de Olivier Saccomano (auteur, metteur en scène et professeur à l'université d'Aix-en-Provence),  <em>Le théâtre comme pensée.</em></p> <p>  </p> <p>    <em>Les sites de critique qui nous inspirent :</em></p> <p> <a href="http://insense-scenes.net/" target="_blank">L'insensé - scènes contemporaines</a></p> <p> <a href="http://inferno-magazine.com/" target="_blank">Inferno</a></p> <p>  </p> <p>   </p> <p>  </p> <p> <strong>5. POURQUOI UN SITE DE CRITIQUE ?</strong></p> <p>  </p> <p>   Le spectateur est au centre de notre questionnement. Quelle est sa place, que lui demande-t-on aujourd’hui, à quel moment devient-il spectateur et comment…Comment est-il accompagné ?</p> <p>  </p> <p>     Nous souhaitons avant toute chose que <em><strong>le spectateur crée son œuvre</strong>, </em>sans lui donner de réponse sur ce qu’il verra ou a vu, mais en lui permettant d’acquérir ou d’aiguiser des outils. Pour qu’il invente <em>son </em>œuvre. Le metteur en scène allemand Bertolt Brecht parle de  <em>l’art du spectateur :"</em> un art qui s’apprend, se perfectionne, puis s’exerce constamment au théâtre."</p> <p>  </p> <p>     Claude Régy abonde dans ce sens lorsqu’il écrit :</p> <p> <em>   "Le spectateur doit créer son œuvre."</em></p> <p>  </p> <p> <em>   "C'est en explorant les zones sombres qu'on explore les régions secrètes de la conscience. </em></p> <p> <em>   Mais, quand on pénètre sur des territoires où personne n'a marché, il faut prévenir les gens.</em></p> <p> <em>   Alors j'essaye, moi aussi, de faire passer un message :</em></p> <p> <em><strong>que le sens clair n'est pas le meilleur</strong>,</em></p> <p> <em><strong>que l'art est obscur</strong>,</em></p> <p> <em><strong>que le spectateur doit lui-même créer son œuvre."</strong></em></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>6. LES ATELIERS DE SPECTATEURS</strong></p> <p>  </p> <p> <strong>    </strong>La création et la critique vont avec le souhait d'exciter l<strong>'état de spectateur</strong>, au plus tôt dans un parcours. Dans ce sens-là nous souhaitons intervenir dans des lycées, collèges, centres sociaux, écoles, afin de proposer des ateliers de spectateurs. Il sera question pour nous d'<strong>entraîner le regard</strong>.</p> <p>   </p> <p>    Être spectateur peut s'apprendre, et nous faisons le pari que nous pouvons aider dans cet apprentissage. Les ateliers que nous proposerons se feront à l'appui d'un spectacle, d'un film, d'un tableau, d'une sculpture. Quelque support que cela soit, la condition sera <strong>qu'il soit à priori incompréhensible</strong>, ou à<strong> compréhensions multiples.</strong></p> <p>  </p> <p>    Et c'est, nous semble-t-il, la plus importante des choses qui puisse arriver à une <strong>oeuvre d'art </strong>: que personne ne puisse jamais porter un regard définitif dessus. Nous proposerons simplement que chacun se risque à écrire, parler ou penser ce qu'il a vu, lui-même. La question ne sera pas "Qu'est-ce que cela veut dire ?", mais "Qu'est-ce que cela ME dit ?"</p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p>

À quoi servira la collecte

<p>  </p> <p> <strong>1000 euros</strong> : participation à la création du site.</p> <p> <strong>150 euros</strong> : outils de communication pour se présenter aux professionnels et institutions (impression de cartes, dossiers, photos et frais postaux) </p> <p> <strong>150 euros</strong> : frais kiss kiss (commission et contreparties)</p> <p>  </p> <p>  </p>

Contreparties

20 €

Un grand merci. Votre nom apparaîtra sur notre site.

30 €

  • 1 contribution
Contreparties précédentes et une photo de Emilie Barrier, format carte postale.

50 €

  • 3 contributions
Contreparties précédentes et nous vous offrons un café dans l’endroit de votre choix à Limoges et environs, ou à Marseille et environs, et nous partageons avec vous les enjeux de notre travail : coulisses de « Théâtre Oracle ».

100 €

  • 2 contributions
Un grand merci, apparition sur notre site, carte postale et nous vous accompagnons à un spectacle de votre/notre choix et pour en parler ensuite autour d’un verre.

500 €

    Un grand merci, apparition sur notre site, carte postale et installation chez vous d’une œuvre d’art vivante/performance pour une ½ journée ou 1 soirée : « Marina et Marina » (Limoges et environs)

    Faire un don

    Je donne ce que je veux

    Épuisé

    Épuisé

    200 €

    • 3 contributions
    Un grand merci, apparition sur notre site, carte postale et un moment privilégié de poésie, en lecture particulière – 1h (Limoges et environs)