En attendant Patrick

<p> <img alt="Img_2192" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/91416/IMG_2192.jpg"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> Le point de départ de ce projet est une maison, ma maison. Ou plutôt la maison de mes parents, de mes grands-parents, de mes arrières grand-parents : "Les Passiaux"</p> <p> Quatre générations s'y sont succédées, chacune amenant son lot de naissances, de décès, d'espoirs et de désillusions : de vie. Elle est entrée dans la famille en 1944, et c'est en 2014 qu'elle en sortira.</p> <p> La décision est tombée en décembre 2013, le temps presse.</p> <p>  </p> <p> <img alt="Getimage.ashx" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/91714/GetImage.ashx.jpg"></p> <p> "Les Passiaux" dans les années 30.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> Cette maison est l'unique décor du film. La partie la plus ancienne a été construite à la fin du XIIIè siècle. Par la suite, elle a été agrandie, modifiée, réaménagée jusqu'à la fin des années 90, lorsque ma famille et moi y avons rejoint mon grand-père.</p> <p> Trois générations alors réunies sous le même toit.</p> <p>  </p> <p> Mon projet cinématographique n'est pas de raconter ces 70 dernières années, mais de transformer cette décision malheureuse et douloureuse en expérience créative et vivante. La fin d'un monde comme début d'un autre.</p> <p>  </p> <p> J'ai commencé à en parler dès que j'ai appris la nouvelle, et au fur à mesure s'est formé autour de moi une équipe de copains, une famille d'origine franco-suisse, comme moi. Chacun proposant son aide en amenant son savoir faire.</p> <p> Aujourd'hui, nous sommes treize venus de Paris, Montpellier, Lausanne, Genève. Ils ne se connaissent pas tous encore, mais bientôt nous serons l'équipage d'un même bateau pour le tournage de ce film.</p> <p>  </p> <p> Il est important pour moi de m'entourer de gens que je connais et en qui je crois. Cette équipe n'est composée que des personnes que j'ai choisi et voulu, et dont l'engagement m'a prouvé que leur envie rejoignait la mienne.</p> <p> Il nous reste moins de deux mois avant le début du tournage. L'équipe est presque au complet, le scénario évolue et s'affine chaque jour, le stress et l'excitation monte.</p> <p>  </p> <p> L'envie de réaliser un film n'est pas nouvelle. Je suis comédienne et je viens de la scène théâtrale, mais le cinéma m'a toujours semblé être le moyen d'expression le plus proche de la vie. Toutes les idées créatives qui m'ont traversé l'esprit ont toujours été pensées en terme d'image réelle, concrète. Mettre l'accent sur un détail, un regard, une solitude, le poids du temps qui passe, le rapport entre deux êtres, le décalage entre ce que nos mots disent et ce que notre corps exprime.</p> <p>  </p> <p> A tort ou à raison, nous sommes souvent assez sûrs des liens qui nous rattachent aux gens qu'on aime. Mais à quoi tiennent-ils ? A quel point sont-ils solides ? Telle une voile prise au vent, on ne sait jamais de quel tissu elle est faite avant d'avoir traverser une tempête.</p> <p>  </p> <p> <strong><u>Le film :</u></strong></p> <p>  </p> <p> Pauline décide de présenter son nouveau compagnon à sa soeur et à ses meilleurs amis. A cette occasion elle réunit tout le monde dans la maison familiale. Au cours de la soirée, la soeur de Pauline, Mathilde, découvre un objet qui viendra chambouler le cours des choses.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong><u>Le décor : </u> </strong></p> <p>  </p> <p> <img alt="Img_2193" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/91418/IMG_2193.jpg"></p> <p>  </p> <p> <img alt="26" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/91717/26.jpg"></p> <p>  </p> <p> <img alt="6" height="633" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/91715/6.jpg" width="454"></p> <p>  </p> <p> <img alt="2013-12-31_12.43" height="674" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/91716/2013-12-31_12.43.jpg" width="453"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong><u>L'équipe :</u></strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <u>Réalisation :</u></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <u>Emmanuelle Reymond :</u></p> <p>  </p> <p> <img alt="Reymond_emmanuelle" height="223" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/91426/Reymond_Emmanuelle.jpg" width="142"></p> <p>  </p> <p> D'origine franco-suisse, Emmanuelle Reymond a commencé ses premiers cours de théâtre à Lausanne. Après une année au <strong>Conservatoire de Genève</strong>, elle intègre en 2009 <strong>l'Ecole Nationale Supérieure d'Art Dramatique de Montpellier</strong>, sous la direction d<em>'Ariel Garcia Valdes</em>.</p> <p> Durant son cursus, elle travaille notamment avec <em>André Wilms, Evelyne Didi, Cyril Teste, Sylvain Creuzevault, Bruno Geslin</em> ou encore <em>Marion Guerrero</em>. Elle termine sa formation en juin 2012. </p> <p> Depuis sa sortie, elle a travaillé pour le cinéma avec Nicole Garcia, sur différents courts métrages, ainsi que sur des pièces de théâtre, en particulier avec Georges Lavaudant.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <u>Raphaël Halloran :</u></p> <p>  </p> <p> <img alt="Photo_raph_m" height="172" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/91427/photo_raph_m.jpg" width="158"></p> <p>  </p> <p> Raphaël Halloran est un réalisateur et cinématographe américano-suisse autodidacte. Il a récemment remporté 3 compétitions du 48 Hour Film Project dans 3 villes différentes, entre 2012 et 2013. Cela lui a valu la possibilité de les présenter dans plusieurs festivals internationaux, notamment à Hollywood, New Orleans et Cannes.</p> <p>  </p> <p> Avec son collectif « Bikiny Brodas », formé début 2013 avec une bande de potes, il continue d’essayer de surprendre les spectateurs avec des histoires originales et comiques.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong><u>Les comédiens : </u></strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <u>Marion Guerrero : </u></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <u><img alt="Jeanne" height="148" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/91428/Jeanne.jpg" width="148"></u></p> <p>  </p> <p> Marion Guerrero est diplômée du Conservatoire National de Région de Montpellier et de l’Atelier Volant du Théâtre National de Toulouse, où elle présente, en 1999, sa première mise en scène <i>Petit(s) rien(s) Cabaret</i>. Elle fonde la Cie Tire pas la Nappe avec Marion Aubert et Capucine Ducastelle et met en scène la plupart des textes de Marion Aubert. 
Elle répond également à des commandes de mise en scène pour différentes compagnies : Cie Théâtre petit comme un caillou (Fani Carenco), Cie Alcibiade (Frédéric Borie), Cie Aurachrome Théâtre (Bastien Crinon), Cie En goguette (Virginie Hopé)...</p> <p> Marion Guerrero est intervenante et membre du jury à l’Ecole Nationale Supérieure d’Art Dramatique de Montpellier, et dans ce cadre met en scène plusieurs pièces avec les élèves de la section professionnelle. Elle est intervenante et membre du jury de l’École de la Comédie de Saint-Etienne.</p> <p> Parallèlement à cela, elle mène ses projets de comédienne, pour la Cie Tire pas la Nappe, sur les textes de Marion Aubert ou Copi, mais on la retrouve aussi chez Shakespeare, Musset, Minyana, Ionesco, Brecht, Belbel et d’autres, pour des metteurs en scène comme Christophe Rauck, Jean-Claude Fall, Ariel Garcia-Valdès, Jacques Nichet, Frédéric Borie, Jacques Echantillon, Richard Mitou, Jérôme Hankins, Frédéric Villemur, Sébastien Lagord, Gilles Lefeuvre, Michèle Heydorff, Laurent Pigeonnat..</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <u>Frédérique Dufour :</u></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="F.dufour" height="178" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/91429/F.Dufour.jpeg" width="187"></p> <p>  </p> <p> Formée aux conservatoires de Rennes et de Bordeaux puis à L'E.N.S.A.D de Montpellier, elle intègre ensuite l’atelier volant au TNT à Toulouse.Elle y joue alors sous la direction de Jacques Nichet , Claude Duparfait , Guillaume Delaveau, Sébastien Bournac.Elle rejoint par la suite la compagnie Tire Pas La Nappe avec laquelle elle collabore pendant de nombreuses années et où elle joue entre autre sous la direction de Marion Guerrerro, Richard Mitou, Cécile Marmouget, Sebastien Lagord.</p> <p> Elle travaille de manière récurrente avec Hervé Dartiguelongue , Hélène Soulié, Julien Guill, Frédéric Borie, Anna Delbos-Zamore, Dag Jeanneret.</p> <p> Depuis 2012, elle intervient également comme enseignante à l'École Nationale Supérieure d'Art Dramatique de Montpellier en section initiation.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <u>Charlotte Daquet : </u></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <u><img alt="Charlotte_daquet_30ans_1m68_portrait_1_" height="205" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/91430/Charlotte_Daquet_30ans_1m68_portrait_1_.jpg" width="138"></u></p> <p>  </p> <p> Charlotte Daquet est formé à l'ENSAD de Montpellier.</p> <p> Elle y travaille notamment  Avec Cyril Teste, Vincent Macaigne, Claude Dégliame, Ariel Garcia-Valdès, Serge Merlin.</p> <p> Elle se forme au Tango argentin avec Maria Belén et en danse contemporaine avec Christina Crasto, Yann Lheureux et Heide Teggeder.</p> <p>  </p> <p> Co-fondatrice et comédienne du collectif moebius, elle mène des laboratoires de recherche autour des méthodes d'écriture collective.</p> <p> Elle participe à des laboratoires d'investigations dans le cadre du projet eurorégion avec le collectif moebius, la cie N'naranja et La Zampa. Elle travaille aussi avec l'auteur/metteur en scène Charles-Eric Petit.</p> <p>  </p> <p> Dernièrement elle joue dans la dernière création du collectif moebius:</p> <p> <i>Lambda, si quelqu'un aime le monde</i> mis en scène par Jonathan Moussalli</p> <p> <i>Le Songe d'une nuit d'été</i>, réécrit et mis en scène par Charles-Eric Petit.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <u>Yann Schmidhalter :</u></p> <p>  </p> <p> <u><img alt="_mg_9400_1" height="211" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/91431/_MG_9400_1.jpg" width="172"></u></p> <p>  </p> <p> C'est fin décembre 2012, qu'il fonde le collectif « Bikiny Brodas », avec notamment Monsieur Halloran.</p> <p>  </p> <p> En 2013 le collectif se lance dans une campagne de concours « 48h film project » (dans plus de 130 villes a travers le monde), plus que convaincante, étant donné qu'ils vont remporter le concours à Dijon et Lausanne et ils finissent 2ème à Paris (sur un total de 150 participants).</p> <p>  </p> <p> Suite à ces différents concours il est repéré par différentes boites de production, comme notamment les « Chapet Hill » de Dijon, avec qui il va tourner 3 publicités et la RTS (Télé Suisse Romande) pour qui il va tourner dans une publicité fin mai 2013. 2014 est une année importante, car il se lance dans des projets personnel et est entrain d'écrire une web série qu'il va réalisé entre autre avec son collectif « Bikiny Brodas ».</p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong><u>L'équipe technique</u><u>:</u></strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> Première assistante : Loïs Keargoat</p> <p>  </p> <p> Première assistante prépa : Manon Cambois (Sifacom)</p> <p>  </p> <p> Assistant caméra : Dino Berguglia</p> <p>  </p> <p> Chef éléctro : Dino Berguglia</p> <p>  </p> <p> Renfort électro : Frédérique Kittel  (ECAL) et Jeanne Martel (ECAL)</p> <p>  </p> <p> Scripte: Nico Petry</p> <p>  </p> <p> Ingénieur son : Thibault Lamy </p> <p>  </p> <p> Accessoiriste: Adrien Bonnin</p> <p>  </p> <p> HMC : Elisabeth Péclard </p> <p>  </p> <p> Aide au scénario : Michael Roland</p> <p>  </p> <p> Catering: Sophie et Joséphine Reymond</p> <p>  </p> <p>  </p>