Famille de Choeur - Les grand-mères du slam

<p> <strong>DES MAMIES QUI FONT DU SLAM ?</strong></p> <p>  </p> <p> <em>Vanglabeke Films</em> présente : <strong>Famille de Chœur, le documentaire et le webdoc</strong>.</p> <p>  </p> <p> Suzanne, Lucette, Liliane et Marie-Françoise, quatre retraitées aux parcours très différents, sont réunies autour d'une même passion, la Chorale. Mais pas n'importe laquelle : la Chorale des Juilliottes.</p> <p>  </p> <p> <img alt="Capture_d_e_cran_2013-12-18_a__11.39.27" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/55989/Capture_d_e_cran_2013-12-18_a__11.39.27.png"></p> <p>  </p> <p> A 10 minutes de Paris en métro, dans la ville de Maisons-Alfort.</p> <p>  </p> <p> <strong>Leur particularités ?</strong></p> <p>  </p> <p> <strong>Toutes ont en commun de vivre la vieillesse de façon atypique</strong>, en décalage avec les clichés souvent véhiculés dans notre imaginaire collectif. Toutes ont un objectif qui les rassemble : le souhait de vieillir de manière active. Lorsque leur chemin croise celui d'une classe de collégiens, l'énergie folle et créatrice des ces supers mamies va se déployer et <strong>transformer la Chorale en une véritable parenthèse enchantée.</strong> Voilà comment l'idée du documentaire est née !</p> <p>  </p> <p> <strong>Film de portraits, en immersion dans la vie de nos personnages, sans aucun avis d’expert, </strong><em>Famille de chœur</em> veut avant tout rendre un hommage positif à des femmes confrontées au combat ordinaire de vieillir et à la chance qu’elles se donnent d’exister aussi intensément que possible.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="P3" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/56310/p3.jpg"></p> <p>  </p> <p> A travers ce documentaire, nous souhaitons <strong>dresser les portraits croisés de ces femmes audacieuses</strong>, toujours enclines à prendre le risque du ridicule et débarrassées de tous préjugés, animées par un désir permanent d'exploration et de découvertes ! L’ensemble des portraits intimes reliés à l’effervescence des scènes de répétitions en groupe composeront <strong>une constellation dont la Chorale est le noyau narratif, et dont les portraits sont les satellites.</strong></p> <p>  </p> <p> <u><strong>Portraits de femmes</strong></u></p> <p>  </p> <p> Mères, grand-mères, épouses, veuves ou vieilles filles, malades ou en pleine forme, espiègles ou  bougonnes, nos choristes sont avant tout des femmes caractérisées par des tempéraments très différents. Si la Chorale tient lieu de Fontaine de jouvence, le film en découvre la composition au fil de la parole, tissant les histoires de chacune d’elles pour révéler le miracle de leur bonheur collectif.</p> <p>  </p> <p> <u><strong>Les personnages </strong></u></p> <p>  </p> <p> <strong>La doyenne : Suzanne,</strong> ou comment résister face à  la solitude - 94 ans</p> <p>  </p> <p> <img alt="Photo2356" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/56311/photo2356.jpg"></p> <p>  </p> <p> Sa voix est chevrotante mais son caractère bien trempé. Suzanne est une ancienne infirmière syndiquée qui a su garder son esprit de combat. Au sein de la chorale, elle tient la place d'aînée qui fait régner l'ordre quand ses congénères sont trop indisciplinées. Un sifflet dans la poche, elle impose le silence quand les bavardages atteignent trop de décibels.</p> <p>  </p> <p> Mais<strong> derrière la stature imposante de la doyenne, se cache une sidérante raconteuse de blague paillardes </strong>qui fait trembler, sans crier gare et pour le plus grand bonheur des camarades, les barrières de la bienséance.</p> <p>  </p> <p> <strong>L'éternel féminin : Liliane</strong>, ou comment rester désirable - 72 ans</p> <p>  </p> <p> <img alt="_s3c2935" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/55132/_S3C2935.JPG"></p> <p>  </p> <p> Hôtesse parfaite, Liliane aime recevoir chez elle et cuisiner ses spécialités tunisiennes. <strong>Elle vit son âge comme l'apothéose de la féminité et considère la vieillesse comme une libération pour la femme.</strong> Débarrassée de ses complexes, elle exhibe fièrement ses charmes, n'hésite pas à mettre des décolletés plongeants, des jupes fendues, sans vulgarité mais au contraire avec beaucoup de sensualité.</p> <p>  </p> <p> Auprès des mamies choristes, elle trouve une écoute complice et réconfortante mais surtout, un terrain d'expression à la mesure de sa vitalité débordante. <strong>Elle rit à gorge déployée aux blagues de Suzanne, et particulièrement lorsqu'il s'agit de blagues coquines.</strong> Pour elle, chanter est synonyme de réconciliation, d'acceptation totale de soi-même.</p> <p>  </p> <p> <strong>La tornade : Marie-Françoise</strong>, ou la retraite comme nouveau départ - 65 ans</p> <p>  </p> <p> <img alt="Capture_d_e_cran_2013-12-16_a__12.02.21" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/55510/Capture_d_e_cran_2013-12-16_a__12.02.21.png"></p> <p>  </p> <p> Devenue aveugle à l'âge de cinquante ans, <strong>Marie-Françoise a su trouver le courage de reconstruire, et affirme avoir vécu une véritable renaissance à la retraite</strong>. A plus de 60 ans, elle a décidé de renouer avec sa passion pour les arts vivants de son enfance. Depuis quelques années, elle a intégré une troupe de théâtre, suit des cours de gym chaque semaine et multiplie les sorties avec ses amis.</p> <p>  </p> <p> Marie-Françoise se lance à corps perdu dans ces années consacrées au bonheur d'être soi, et son programme ressemble davantage à celui d'un ministre qu'à celui d'une retraitée.<strong> Hyperactive et facétieuse, son arrivée au sein de la chorale il y a douze ans, a apporté un vent de folie. </strong></p> <p>  </p> <p> <strong>L'hymne à la vie : Lucette,</strong> ou comment rester connectée avec la jeunesse - 86 ans</p> <p>  </p> <p> <img alt="Capture_d_e_cran_2013-12-16_a__12.02.31" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/55516/Capture_d_e_cran_2013-12-16_a__12.02.31.png"></p> <p>  </p> <p> Depuis quinze ans, Lucette fait partie de la chorale : tout sauf pantouflarde, elle éprouve un irrépressible besoin de nouveautés, de rencontres, de rester en prise avec la société contemporaine. <strong>Elle est de celle qui se targue auprès de ses amies de savoir envoyer des SMS, et s'inquiète d'être en décalage avec son temps</strong>.</p> <p>  </p> <p> Amoureuse de poésie, <strong>Lucette a découvert le slam grâce à Grand Corps Malade, et a décidé de s'initier à cette musique.</strong> Après avoir écouté une émission radiophonique sur la vieillesse dans le monde, elle décide d'écrire un slam sur ce sujet et de participer à une scène ouverte pour partager son texte avec le public.<strong> Lucette, c'est l'aventurière du groupe.</strong></p> <p>  </p> <p> Et Grand Corps Malade dans tout ça ?</p> <p>  </p> <p> Les chansons de l'artiste parcourront le documentaire, et on croise les doigts pour filmer un <em>featuring</em> avec nos mamies choristes !</p> <p>  </p> <p> <u><strong>Le tournage</strong></u></p> <p>  </p> <p> <strong>Trois lignes de récits </strong>seront traitées pour saisir clairement le sens et la nécessité pour ces femmes de s’être rencontrées, d’appartenir à cette <em>famille de chœur</em>. En premier lieu, <strong>la ligne <em>autobiographique</em></strong> par laquelle chacune nous donnera accès à des fragments édifiants de son existence. Ensuite, <strong>la ligne <em>relationnelle</em> par</strong> laquelle nous appréhenderons la situation et la place de ces femmes dans le monde, aujourd’hui en France, dans leur famille, dans la cité. Enfin,<strong> la ligne <em>chorale</em></strong> où elles apparaitront en action, vibrantes, complices, hilares ou appliquées.</p> <p>  </p> <p> <img alt="P4" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/56892/p4.jpg"></p> <p>  </p> <p> Porté par<strong> l’ambition de s’adresser à toutes les générations</strong>, ce film sera nourri et rythmé par la grande variété du répertoire offert par la Chorale. <strong>Cette traversée musicale</strong>, ce voyage dans la pluralité des émotions, <strong>permettra alors de créer des passerelles entre les époques et les sensibilités</strong>, entre les cultures et les générations, et mettra en lumière la puissance des liens qui peuvent exister entre les êtres, par-delà les différences et à n’importe quel âge de la vie.</p> <p>  </p>