La pièce Hernie Discale d'Ingrid Lausund par WatKaz

<p>  </p> <p> <strong>La pièce Hernie Discale</strong></p> <p>  </p> <p> La pièce Hernie Discale traite du monde de l’entreprise et de ses dérives infligées aux employés, au travers d’une farce burlesque et cynique. Les cinq personnages de la pièce tentent de camoufler au mieux leurs propres débordements psychologiques et physiques sévissant insidieusement depuis qu’ils ont rejoint l’entreprise.</p> <p>  </p> <p> Revisitant les codes du répertoire théâtral de la comédie, la mise en scène s’attachera à traduire les dysfonctionnements subis par les personnages dans une rythmique vocale et corporelle implacable. Les comédiens devront composer une partition scénique se déjouant de la farce pour laisser apparaître leur drame.</p> <p>  </p> <p> <iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="304" src="http://www.youtube.com/embed/kQvJoNiaSKk?wmode=opaque&amp;feature=oembed" width="540"></iframe></p> <p>  </p> <p> <strong>L’Association WatKaz</strong></p> <p>  </p> <p> L’Association WatKaz, fondée en 2012, a pour but de réunir les personnes ayant comme intérêts communs le théâtre, la musique, le cinéma, la performance, les arts plastiques ; de promouvoir et de célébrer les arts performatifs sous toutes ses formes à travers des propositions de pièces de théâtre, d’installations vidéo, d’expositions de peinture, de performances visuelles et  sonores.</p> <p>  </p> <p> En matière d’arts théâtraux, l’Association WatKaz a déjà avec succès monté les pièces <em>En attendant…</em> (d’après Beckett) et  <em>Sur le chemin, tu trouveras, peut-être, une traverse appelée Rue des Miracles</em> (par Marlon Miguel , membre de l’Association WatKaz) aux théâtres de à la Cité Internationale (Maisons du Portugal et de la Suède), à l’Ecole Normale Supérieure de la rue d’Ulm, et dont des séminaires et ateliers artistiques en coopération avec l’Université de Leipzig (Allemagne) vont suivre.</p> <p>  </p> <p> La pièce Hernie Discale, - traduite de l’allemand par Charlotte Bomy et adaptée au théâtre par Maud Watel-Kazak, - se place dans la prolongation de ces activités.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>                                     </strong><strong>Dates et lieux de présentation:</strong></p> <p> <strong>                                     </strong></p> <p> <strong>                                     </strong><u>Maison du Portugal (CiUP, Paris 14e) :</u></p> <p> <strong>                                     </strong>les 26 (11h, 17h et 21h), 30 et 31 mai à 21 heures</p> <p> <strong>                                     </strong>les 9 (11h, 17h et 21h), 12 et 14 juin à 21 heures</p> <p> <strong>                                     </strong></p> <p> <strong>                                     </strong><u>Théâtre Naxos Bobine (rue de la Roquette, Paris 11e)</u></p> <p> <strong>                                     </strong>Dates en juin à préciser</p> <p> <strong>                                     </strong></p> <p> <strong>                                     </strong><u>Maison Heinrich Heine (CiUP, Paris 14e) :</u></p> <p> <strong>                                     </strong>les 27, 28, 29, 30 juin à 21 heures</p> <p> <strong>                                     </strong></p> <p>  </p> <p> Vidéo de promotion : <a href="http://www.youtube.com/watch?v=kQvJoNiaSKk">http://www.youtube.com/watch?v=kQvJoNiaSKk</a></p> <p> Site facebook : <a href="https://www.facebook.com/Watkaz">https://www.facebook.com/Watkaz</a></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Présentation détaillée de la pièce Hernie Discale</strong></p> <p>  </p> <p>       </p> <p> <img alt="1" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/25205/1.jpg"></p> <p> <img alt="2" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/25206/2.jpg"></p> <p>  </p> <p> <strong>Resumé</strong></p> <p>  </p> <p> Kretsky, Kirtensen, Kruse, Hufschmidt et Schmitt, cinq employés d’un drame quotidien à la dérive, attendent tous leur sort dans l’antichambre du directeur.</p> <p>  </p> <p> La pièce Hernie Discale traite du monde de l’entreprise et de ses dérives infligées aux employés, au travers d’une farce burlesque et cynique. Les cinq personnages de la pièce tentent de camoufler au mieux leurs propres débordements psychologiques et physiques sévissant insidieusement depuis qu’ils ont rejoint l’entreprise.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Note </strong><strong>d’intention</strong></p> <p>  </p> <p> Revisitant les codes du répertoire théâtral de la comédie, la mise en scène s’attachera à traduire les dysfonctionnements subis par les personnages dans une rythmique vocale et corporelle implacable. Les comédiens devront composer une partition scénique se déjouant de la farce pour laisser apparaître leur drame.</p> <p>  </p> <p> Les cinq comédiens seront toujours en scène, pendant l’ensemble de la représentation, dans un open space étriqué. Les seules sorties possibles sont celles des toilettes ou du bureau du directeur, ils seront en permanence pris dans la mécanique des contraintes de l’espace, du groupe, de leur bureau et de leur corps.</p> <p>  </p> <p> Empruntant le travail corporel du mime, de la commedia dell’ arte, de la danse, la création s’appliquera à révéler le corps dans tous ses états ; tics nerveux, tocs pathologiques et dérèglements en tous genres. Contrebalancé par un travail  sur la voix, elle interrogera les limites du langage construisant une architecture sonore qui  amplifiera le phénomène de dégénérescence.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> « Le silence pénible qui suit doit durer au moins six minutes. Ce n’est pas un silence de mort. C’est un silence lourd de plusieurs tonnes, charge d’électricité et de tensions, qu’une simple phrase pourrait faire exploser. Des larmes, de la colère, du désespoir pourraient éclater, les malentendus pourraient être dissipes, on pourrait parler des vexations et des dévalorisations constantes, des peurs pourraient être formulées, on pourrait parler objectivement des problèmes de restructuration, on pourrait communiquer de manière sincère. On pourrait. C’est du conditionnel. Personne ne prend les devants. De petites actions embarrassées. Quelqu’un joue avec son paquet de cigarettes, l’autre arrache un fil de sa cravate, un autre se cure le nez – ce qui dans cette situation électrisée monopolise subitement l’attention, que faire du  mouchoir ? – dans ce silence on entend un téléphone portable qui vibre puis qui est confusément éteint. Le groupe se disperse péniblement. »</p> <p>  </p> <p> <em>Didascalie extraite de la pièce</em></p> <p>  </p> <p> <img alt="3" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/25208/3.jpg"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>DISPOSTIF SCENIQUE </strong></p> <p>  </p> <p> Le plateau est au cœur de la salle, le public est divisé en un espace bi-frontal,</p> <p> Un jeu de miroirs et de trompe-l’œil figure l’open space dans lequel évolueront en permanence les comédiens.</p> <p> Des panneaux coulissants ou suspendus symbolisent les deux portes, celle des toilettes, celle du bureau du directeur.</p> <p> Un jeu de lumière  employé à travers une fenêtre  derrière la porte, pour le bureau du directeur</p> <p> Une grande table autour de laquelle chaque comédien aura son espace de travail, 4 chaises pour 5 comédiens.</p> <p> Une machine à café sur console, fournitures bureau, tableaux, plante verte</p> <p> Haut-parleurs</p> <p>  </p> <p> <img alt="4" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/25209/4.jpg"></p> <p>  </p> <p>   </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="5" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/25210/5.jpg"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Qui sommes-nous ?</strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>                                     </strong><img alt="6maud" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/25219/6maud.jpg"></p> <p> <strong>Maud Watel-Kasak</strong>, metteur en scène</p> <p>  </p> <p> Sa recherche artistique porte sur l’appréhension de la condition humaine en interrogeant les thèmes du mouvement, de la musicalité ou encore de la représentation. Elle réalise des œuvres-performances où plusieurs médiums entrent en jeu. Son expérimentation l’amène à travailler sur le rapport du corps devenant source de représentation, elle s’oriente alors vers le théâtre et la danse. Elle lance un laboratoire de recherche basé sur l’improvisation théâtrale au Petit Théâtre du Bonheur à Paris, ce qui aboutit à sa création <em>Les Précipités du Labo</em>. Elle coréalise également un court-métrage adapté d’une pièce de théâtre. Elle est à la tête du collectif WatKaz, association pluridisciplinaire d’Arts Performatifs. Elle travaillle avec Alexis Crawshaw pour les concerts d’improvisation théâtrale et musicale, et avec Azadeh Radboeei pour le projet de théâtre performance « En attendant ». Elle met en scène la création de Marlon Miguel « Sur le chemin… » représenté en avril et mai 2013.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>                                     </strong><img alt="7valery" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/25221/7valery.jpg"></p> <p> F<strong>lorence Valéro              </strong></p> <p> En parallèle d’une formation en cinéma, de réalisations et de scénarios à son actif, Florence Valéro pratique le théâtre depuis l’âge de 15 ans. Elle se professionnalise aux côtés de Jean-Paul Zennaker et de Didier Moine. Mais c’est surtout la rencontre avec l’auteur, comédien et metteur en scène Julien Gaillard (fondateur de la cie l’oblio – di me) au Théâtre de la Danse en 2006 qui déterminera mon cheminement de comédienne. Elle participe au projet <em>Penthésilée</em> de Kleist, puis renouvelle l’expérience avec <em>Mallarmé, diptyque</em>, et poursuit le travail avec la compagnie sur des textes contemporains : <em>4.48</em> de Sarah Kane et <em>Tryptique Douleur</em> de Julien Gaillard, accueilli en septembre 2012 par le Théâtre Ouvert pour son texte Seule(s). Enfin elle collabore depuis 2011 avec la comédienne et metteur en scène Maud Watel Kazak sur des court-métrages ainsi que sur la pièce <em>Hernie Discale</em> d’Ingrid Lausund.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>                                     </strong><img alt="8sully" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/25222/8sully.jpg"></p> <p> <strong>Erwin Sailly       </strong></p> <p> Après une Licence Etudes Théâtrales, à l’université de la Sorbonne Nouvelle - Paris III, il participe à un projet de création artistique au sein de l’association « Gato Negro Gato Blanco », dans le cadre des actions éducatives et culturelles de l’Institut des Etudes Théâtrales de l’Université Paris III. Il se forme avec la Compagnie La Rumeur située à Choisy Le Roi, sous la direction de Patrice Bigel qui aborde son travail sur le corps et le mouvement. Il travaille.sur plusieurs spectacles Usine Hollander, <em>Une Nuit Arabe</em> de Roland Schimmelpfennig, ou Au Bord De La Route dans le cadre du Festival Off d’Avignon. Il pratique également la danse depuis plusieurs années.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>                                     </strong><img alt="9guillaume" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/25224/9guillaume.jpg"></p> <p> <strong>Guillaume Mathivet </strong></p> <p> Sa démarche en tant qu’artiste peintre plasticien englobe quantité de techniques, d’idées et de courants différents. Solidement ancré dans le paysage culturel, il interroge l’identité de la peinture et les caractéristiques propres de ce qui s’inscrit déjà dans le « post-graffiti ». Il s’essaie depuis peu, au jeu de comédien sous la direction de Maud Watel Kazak.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>                                     </strong><img alt="910" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/25225/910.jpg"></p> <p> <strong>Nicolas Brunet </strong></p> <p> Lyonnais d’origine, il possède une licence d’histoire et géographie. Il commence le théâtre au sein d’associations et d’ateliers scolaires. Beaumarchais, Molière, ou encore Pagnol ont été parmi les premiers auteurs qu’il a pu rencontrer sur les planches. Par la suite il réalise un stage au cours Florent. Arrivé à Paris en 2007 il participe à de nombreuses lectures de poésies pour les éditions Seghers. En 2009 il intègre le conservatoire du 1er arrondissement de paris. En 2011 il joue Purgon dans le malade imaginaire avec la compagnie Molière Sorbonne, en 2012 Vasquez dans <em>Dommage qu’elle soit une putain de John Ford</em>.</p> <p>  </p>