"Le Gardien" de Harold Pinter

"Vous allez entrer dans un monde étrange, entre folie douce et violente, naïvetés drolatiques et humour noir" .

Visuel du projet "Le Gardien" de Harold Pinter
Réussi
27
Contributions
08/07/2013
Date de fin
2 048 €
Sur 2 000 €
102 %

"Le Gardien" de Harold Pinter

<p> <img alt="Lg_077__2__x" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/15936/LG_077__2__x.jpg"><strong>Trois personnages une nuit d'hiver dans une pièce unique d'une maison de la banlieue londonienne . </strong></p> <p> <strong>Deux frères -Aston, l'aîné, Mick, le cadet -hébergent Davis un vieillard sans abri à la suite d'une altercation dans un café et lui proposent chacun leur tour de devenir le gardien.</strong></p> <p>  </p> <p> <strong>Le trio est plongé dans une atmosphère digne d'un roman noir, sans que l'on sache jamais lequel des trois est véritablement le plus dangereux pour les deux autres.</strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Lg_046" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/15927/LG_046.jpg"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <u>Note d’intention de mise en scène</u></p> <p>  </p> <p> Mettre en scène le Gardien, c’est pour moi rendre palpable le climat de la pièce, étouffant, inquiétant, où notre curiosité de spectateur est constamment interrogée, sur le qui-vive.</p> <p> Il s’agit de faire exister le mystère.</p> <p> Rendre tangible une atmosphère de violence et de suspense, où  trois personnages s’affrontent dans des jeux de pouvoir à alliance variable, occupant tour à tour le rôle d’exclu et de voyeur, dans un espace clos et incertain.</p> <p> A ce climat insécurisant se mêle l’humour de Pinter, humour noir et parfois burlesque, qui donne à voir la vulnérabilité de trois êtres cherchant à entrer en contact les uns avec les autres.</p> <p> Ce sont ces deux aspects de comédie et d’angoisse que j’ai voulu mettre en lumière.</p> <p> Le jeu des acteurs et la mise en scène s’attachent à rendre compte de l’existence de ces trois individus psychologiquement fissurés, à la fois repoussants et attachants et à montrer le ressort tragi-comique des situations.</p> <p> Le texte de Pinter a une dimension théâtrale mais aussi politique et humaniste.</p> <p> Il nous met face à nos contradictions et nous interroge sur des questions aussi fondamentales que notre rapport à l’autre et notre possible fraternité.</p> <p> Il me paraît par ailleurs encore très actuel en ce qu’il dépeint l’errance, la précarité de trois hommes et de leur cheminement.</p> <p> Le Gardien est une pièce drôle, cruelle, qui bouscule et interpelle.</p> <p> Il m’a donc semblé indispensable de donner à voir et entendre le texte dans sa complexité et sa richesse, en essayant d’en dévoiler les multiples facettes. C’est ce fil conducteur qui a guidé mon travail.</p> <p> <img alt="Lg_015_x" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/17329/LG_015_x.jpg"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> Présentation de la compagnie <p>  </p> <p> Zarts Prod est une <strong>jeune compagnie, déjà reconnue et confirmée.</strong></p> <p>  </p> <p> <strong>La force et l’originalité de Zarts Prod</strong> viennent d’une passion commune pour le cinéma, le théâtre, et l’écriture et de la correspondance et perméabilité qui existent entre eux – ce qui explique également l’origine du nom de la compagnie.</p> <p> Ces trois arts se nourrissent mutuellement et traversent les différentes créations de la compagnie.</p> <p>  </p> <p> La compagnie a su s’entourer de <strong>partenaires solides et fidèles </strong>: la Ville de Paris, Arcadi, l’ACSE, la CAF, le Centre d’animation Louis Lumière, la Maison des Ensembles, la Maison des Pratiques Amateures, le TARMAC, le Théâtre des Asphodèles.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Anne VOUTEY</strong></p> <p> Elle commence son parcours avec une double formation théâtrale aux Cours Florent où elle obtient le concours de la Classe Libre et également une maîtrise en Arts du spectacle.</p> <p> Elle part ensuite en Allemagne où elle découvre une autre manière de faire du théâtre et complète ainsi sa formation initiale. Elle fait sa première expérience d’assistanat à la mise en scène en 2002 pour la Studiobühne de Bayreuth sur une adaptation des « Liaisons dangereuses » de Choderlos de Laclos.</p> <p> De retour à Paris, elle traduit une pièce intitulée « Imago » pour l’Arche, enseigne le théâtre, et met en scène pendant cinq ans des pièces contemporaines pour différentes compagnies.</p> <p> Parallèlement, elle est toujours comédienne : on a pu ainsi la voir récemment au festival off d’Avignon dans la pièce policière « La tentation du scolopendre » ou encore « Qui a peur de Virginia Woolf ? » - succès Avignon off 2011-12.</p> <p> Forte de ses différentes et enrichissantes expériences, elle crée sa propre compagnie Zarts Prod et en assure la direction artistique.</p> <p> « Le Gardien » est la seconde création de la compagnie, après le one-woman-show de Karima Gherdaoui « Vintage ».</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Lg_061" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/15929/LG_061.jpg"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> LES COMÉDIENS</p> <p>  </p> <p> <strong>Jacques ROUSSY</strong></p> <p> Jacques Roussy est professeur de Lettres à la retraite. Il a longuement pratiqué le théâtre dans le cadre scolaire et associatif.</p> <p> Pendant plus de dix ans, il anime une troupe de théâtre avec laquelle il monte, entre autres, Huis clos de Jean-Paul Sartre, Les Justes d’Albert Camus, Vu du pont  d’Arthur Miller.</p> <p> Il a récemment joué le rôle de Raymond dans Antoine et Raymond, court-métrage réalisé par Anne Voutey.</p> <p>  </p> <p> <strong>Patrick ALAGUéRATéGUY</strong></p> <p> Patrick Alaguératéguy a travaillé sous la direction de metteurs en scène de renom tels Christian Benedetti, Michel Vinaver, ou encore Catherine Anne. Son parcours éclectique lui a permis d’aborder les univers de Shakespeare, Bond, Brecht, Claudel, Anouilh…</p> <p> Il tourne également au cinéma et pour la télévision.</p> <p> Récemment, il a joué le client dans Dans la solitude des champs de coton de Bernard-Marie Koltès.</p> <p>  </p> <p> <strong>Jean-Philippe MARIE</strong></p> <p> Jean-Philippe Marie suit une double formation à l’EICAR et à l’Ecole de Théâtre de Paris, au sortir de laquelle il joue dans Le médecin malgré lui. Il interprète par la suite le rôle d’Edgar dans le Roi Lear et celui de Konstantin dans les Mouettes, adapté de la pièce de Tchekov, spectacles joués aux Bouffes du Nord. En 2010, il intègre la Compagnie Qui, pour laquelle il joue dans Les justes et plus récemment dans Le spleen de Paris.</p> <p>  </p> <p> <img alt="Lg_054" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/15928/LG_054.jpg"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> éQUIPE du COURT MéTRAGE</p> <p>  </p> <p> <strong>Edouard  DUCOS</strong></p> <p> Edouard est photographe et setdesigner pour la mode parisienne et la télévision. Il travaille parallèlement dans un laboratoire indépendant de benchmarketing au sein duquel il est responsable du banc de test image et suit une formation poussée en sensitométrie et colorimétrie. Professionnel et passionné, il cherche à appréhender et dépasser l’image depuis toujours. Son approche singulière et originale oscille entre technique pure et création.</p> <p>  </p> <p> <strong>Didier PHILIPPE</strong></p> <p> Didier Philippe est réalisateur d’une vingtaine de courts et moyens métrages. Son dernier film réalisé 5000 pieds sous terre, produit par Butterfly Productions, est diffusé sur la chaîne 13ème Rue et sélectionné sur 12 festivals. TéléVéga, son film précédent, compte 11 sélections en festival.</p> <p> Au sein de la compagnie Zarts Prod, il anime avec Anne Voutey des ateliers et des stages cinéma avec des adolescents d’une ZEP ; ils réalisent différents films sur le thème des relations filles/garçons.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <iframe frameborder="0" height="360" src="http://www.dailymotion.com/embed/video/xx4ask" width="480"></iframe></p> <p> éQUIPE TECHNIQUE</p> <p>  </p> <p> éCLAIRAGISTE &amp; PHOTOGRAPHE de PLATEAU</p> <p> <strong>Anne GAYAN</strong></p> <p> Anne Gayan complète sa formation initiale de photographe à l’Ecole des Gobelins par le diplôme de régisseur lumière du CFPTS.</p> <p> Depuis plus de dix ans, elle est engagée en tant que photographe officielle au Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique.</p> <p> Parallèlement, elle travaille aux affiches et programmes de Patrice Chéreau, Muriel Robin, Pierre Richard, Pierre Palmade…</p> <p> En tant que régisseuse lumière, elle réalise la conception lumière d’ Anne, le musical, au théâtre Dejazet et de Vauban, la tour défend le roi  en tournée à Avignon depuis trois ans.</p> <p>  </p> <p> SOUND DESIGNER &amp; COMPOSITEUR</p> <p> <strong>Philippe LE GOFF</strong></p> <p> Philippe Le Goff est directeur général et artistique de Césaré  (Centre National de Création Musicale à Reims), enseignant à l’INALCO à Paris (Institut National des Langues et Civilisations Orientales) et à l’ESAD (Ecole Supérieure d’Art et de Design de Reims).</p> <p> Son parcours est indissociable de son histoire avec le grand Nord qu’il parcourt depuis plus de vingt ans.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p>

À quoi servira la collecte

<p>  </p> <p> <u><strong>Communication: </strong></u></p> <p> <strong> </strong><strong>Affiches+Flyers+impression dossiers 600 euros </strong></p> <p> <strong>Photos : 300 euros</strong></p> <p> <strong>captation : 500 euros</strong></p> <p>  </p> <p> <u><strong>Participation honoraires : </strong></u></p> <p> <strong>Diffusion : 600 euros </strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Pour les dates au Théâtre des Déchargeurs,</strong></p> <p> <strong>du 4 juin au 4 juillet 2013</strong></p>

Contreparties

10 €

  • 5 contributions
gratitude éternelle + 1 photo dédicacée

25 €

  • 2 contributions
contrepartie précédente + 1 affiche dédicacée

50 €

  • 5 contributions
contrepartie précédente + 1 invitation

75 €

contrepartie précédente + le court-métrage « Sur le fil » de Anne Voutey

100 €

  • 2 contributions
contrepartie précédente + 1 seconde invitation

200 €

  • 2 contributions
contrepartie précédente + apéro dînatoire avec l’équipe

1 500 €

une représentation privée

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