les troyennes d'après Euripide

Aidez le "diptyque Euripide" par la compagnie les Ménades à voir le jour !!

Visuel du projet les troyennes d'après Euripide
Réussi
11
Contributions
17/11/2014
Date de fin
2 690 €
Sur 2 300 €
117 %

les troyennes d'après Euripide

<p> <strong>Comment faire entendre de nos jours la pensée d’Euripide en ne réservant pas ce plaisir aux seuls initiés ? </strong></p> <p>  </p> <p> <strong>Comment restituer le spectacle total qu’étaient pour leurs contemporains les tragédies et les comédies des dramaturges grecs ? </strong></p> <p>  </p> <p> <strong>C'est la question que nous nous posons depuis le début de notre travail sur Euripide.</strong></p> <p>  </p> <p> <iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="304" src="//cdn.embedly.com/widgets/media.html?src=http%3A%2F%2Fwww.youtube.com%2Fembed%2FfP7AlE95sEc%3Fwmode%3Dopaque%26feature%3Doembed&amp;wmode=opaque&amp;url=http%3A%2F%2Fwww.youtube.com%2Fwatch%3Fv%3DfP7AlE95sEc&amp;image=http%3A%2F%2Fi.ytimg.com%2Fvi%2FfP7AlE95sEc%2Fhqdefault.jpg&amp;key=ff2702755d9749cda571c6d6c2f3eb46&amp;type=text%2Fhtml&amp;schema=youtube" width="540"></iframe></p> <p>  </p> <p> <u><strong>Nous sommes fiers de notre équipe internationale de 23 personnes : comédiens/nes, danseurs/ses, musiciens/nes, costumière, scénographe, créateur lumière, compositeur. et metteure en scène... </strong></u></p> <p>  </p> <p> <u><strong>... d'origines très diverses : Sénégal, France, Burkina Faso, Grèce, Chine, Japon, Ile Maurice, Colombie, Uruguay, Taiwan, Italie. </strong></u></p> <p>  </p> <p> <img alt="Bacc131-1410973707" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/120544/bacc131-1410973707.jpg"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> Nous aurions pu, en ces temps de disette culturelle, adapter les oeuvres d'Euripide pour en faire des one-man(woman)-show et cela aurait été une décision fort raisonnable...</p> <p>  </p> <p> <u><strong>Mais nous sommes convaincus que ce qu'il faut proposer au public d'aujourd'hui, c'est un spectacle total avec de la danse et de la musique. </strong></u></p> <p>  </p> <p> <img alt="Photobacc201422-1410973671" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/120543/photobacc201422-1410973671.jpg"><img alt="Photobacc20144-1410973754" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/120546/photobacc20144-1410973754.jpg"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> Mais....  vous le savez, car on vous le rabâche à longueur de temps, "les subventions pour la culture ne sont plus ce qu'elles étaient, ma bonne dame"... <strong>et nous sommes donc contraints de faire appel aux donateurs privés pour que nos projets ambitieux voient le jour. </strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="304" src="//cdn.embedly.com/widgets/media.html?src=http%3A%2F%2Fwww.youtube.com%2Fembed%2FB-ngw6wXCqY%3Fwmode%3Dopaque%26feature%3Doembed&amp;wmode=opaque&amp;url=http%3A%2F%2Fwww.youtube.com%2Fwatch%3Fv%3DB-ngw6wXCqY&amp;image=http%3A%2F%2Fi.ytimg.com%2Fvi%2FB-ngw6wXCqY%2Fhqdefault.jpg&amp;key=ff2702755d9749cda571c6d6c2f3eb46&amp;type=text%2Fhtml&amp;schema=youtube" width="540"></iframe></p> <p>  </p> <p> <u><strong>C'est ainsi qu'après le succès des <em>Bacchantes</em> d'Euripide en novembre 2013, la compagnie les Ménades se lance dans un nouveau projet : <em>Les Troyennes</em> d'Euripide, 2e volet du "diptyque Euripide".</strong></u></p> <p>  </p> <p> Cette pièce est la plus célèbre du dramaturge grec, c'est une oeuvre pacifiste et humaniste dont les personnages sont les troyennes, seules survivantes du conflit sanglant que fut la guerre de Troie. Parquées dans un camp de prisonniers, elles attendent que les vainqueurs décident de leur destin. Elles sont les représentantes des victimes de tous les conflits qui ensanglantent la planète depuis toujours...</p> <p>  </p> <p> <img alt="Dessin2-1410973778" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/120547/dessin2-1410973778.jpg"><img alt="Dessin3-1410973816" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/120549/dessin3-1410973816.jpg"></p> <p>  </p> <p> La création aura lieu début décembre 2014 à Montreuil à la Parole Errante, les représentations se poursuivront au mois de janvier au Dansoir à Fontenay-sous-Bois, au théâtre El Duende d'Ivry sur Seine et en février à Créteil.</p> <p>  </p> <p> La musique nous conduira en Orient et plus précisément en Iran puisque le spectacle se construira autour des rythmes du zarb et du daf et des mélodies du ney. </p> <p>  </p> <p> <u><strong>Dans le même temps, nous reprendrons <em>les Bacchantes</em> et nous proposerons les spectacles sous forme de diptyque. </strong></u></p> <p>  </p> <p> <img alt="Photobacc2141-1410973588" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/120539/photobacc2141-1410973588.jpg"><img alt="Photobacc20143-1410973602" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/120540/photobacc20143-1410973602.jpg"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>L'équipe des<em> Troyennes</em> et des <em>Bacchantes</em>  </strong></p> <p>  </p> <p> <strong>Coralie Pradet,</strong> metteur en scène/comédienne/chanteuse </p> <p> Elle a reçu une solide formation en théâtre à l’École du Passage dirigée par Niels Arestrup. Elle a notamment travaillé avec Mario Gonzalès, Ariane Mnouchkine, Guy Freixe, Claude Degliame, Geneviève de Kermabon, Niels Arestrup, François Clavier, Patricia Sterlin, A. Del Peruggia, Mas Soegeng, Ariane Mnouchkine, Camilla Saraceni… le chant lyrique et jazz avec Roger Soyer, Laurence Saltiel, Michel Verschaeve, Beatrice Cramoix… Elle fait partie de nombreuses troupes théâtrales : Compagnie Baroque, Théâtre Buissonnier, Picolo Théâtre… Et groupes musicaux : Blue Gospel, Ensemble Marini, Atzegana, Quintet Urbain, Filles de Rengaine. Elle joue le rôle titre de <i>Penthésilée</i> de Kleist en 2008, mis en scène par Chloé Latour pour Soif ‘cie. Elle dirige le Fiacre (théâtre et multimédia), la compagnie Cameline (contes musicaux). En 2012, elle crée la cie les Ménades. Elle a intégré la compagnie Libre d’esprit en 2006, elle a participé en tant que comédienne et traductrice à <i>Crime et Châtiment</i>, <i>Contes débalkanisés,</i> <i>la Marquise d’O</i>… et mis en scène <i>la petite Catherine de Heilbronn</i> de Kleist. Récemment, elle a mis en scène <i>Toujours ensemble</i> de Anca Visdei. Elle anime depuis plusieurs années des ateliers théâtre et des ateliers contes pour adultes et adolescents. Elle suit également une formation d’art-thérapeute à l’INECAT afin de développer des ateliers artistiques en institution psychiatrique milieu carcéral, foyer sociaux...</p> <p>  </p> <p> <strong>Tifenn Deschamps,</strong> costumière</p> <p> Après un BTS Art Textile et Impression, elle poursuit sa formation par un Diplôme des Métiers d’Arts de</p> <p> costumière à Lyon. Depuis 2004, elle travaille en tant que créatrice, coupeuse et réalisatrice avec plusieurs compagnies. Pour le théâtre : <i>Andromaque, Le mariage de Figaro</i> (CieVélo volé) ; <i>Richard III, L’amour médecin et Le mariage forcé </i>(Cie duChemin ordinaire) ; <i>Penthésilée, Blé et fer </i>(Soif cie) <i>la petite Catherine de Heilbronn et la Marquise d’O </i>de Kleist (cie libre d’esprit). Pour la danse : <i>Through rainbows</i> (Cie Jeremy Wade), <i>Cien años de soledad</i> (El colegiodel cuerpo). Pour le cirque : <i>Hors piste</i> (Cie Virevolt’). En collaboration avec d’autres costumières, elle fonde en 2007 l’atelier Rouge Velvet, basé à Lyon. Elle travaille également à L’Opéra de Lyon depuis 2005, en tant que couturière et coupeuse ; récemment elle participe à la réalisation des costumes pour <i>La Traviata</i> (mise en scène de Klaus Michael Grüber) <i>Don Giovanni</i> (Adrian Noble), et <i>Moscou, le quartier des cerises</i> (Macha Makeïeff).</p> <p>  </p> <p> <strong>Catherine Bloch</strong>, comédienne</p> <p> Après une formation classique au Conservatoire National d’Art Dramatique de Nice elle entre, à Paris, au cours Charles Dullin ayant pour professeur, Georges Wilson et Jean Vilar. Très vite elle travaillera avec : Jean Négroni, Jean Dasté, Sacha Pitoéf, Alain Astruc et Jacques Lecoq. Elle joue sous la direction de Danièle Bouvier dans <i>En passant par Prévert</i> et <i>La maison cassée</i>, avec Miguel Borras et « le théâtre du bout du monde » dans l<i>a maison de Bernarda Alba</i> de Lorca et <i>le songe d’une nuit d’été</i> de Shakespeare, pour Nikson Pitaqaj et Coralie Pradet au sein de la cie libre d’esprit dans <i>Crime et Châtimen</i>t et <i>La petite Catherine de Heilbronn</i> de Kleist.</p> <p> Actuellement, elle joue avec Stéphane Douret dans l<i>e Dragon</i> de Schwartz au Théâtre 13</p> <p>  </p> <p> <strong>Akiko Veaux</strong>, comédienne et danseuse</p> <p> Elle apparaît notamment dans <i>Cadmus &amp; Hermione</i> de Lully (Le Poème Harmonique, V. Dumestre, B. Lazar) et <i>Ercole Amante</i> de Cavalli (G. Garrido) sous la direction chorégraphique de Gudrun Skamletz et Ana Yepes. Au sein de la compagnie Fêtes Galantes de Béatrice Massin, elle danse dans la recréation d'<i>Atys</i> des Arts Florissants de William Christie à l'Opéra Comique, à l'Opéra royal de Versailles et à la Brooklyn Academy of Music à New-York. Sa confrontation avec le monde du théâtre la conduit à lier bientôt danse et mime ; dans <i>Le Bourgeois Gentilhomme</i> pour commencer, où Benjamin Lazar, metteur en scène, et Cécile Roussat, mime et chorégraphe, lui ouvrent de nouvelles perspectives. Avec plus de cinquante représentations, cette production du <i>Poème Harmonique</i> lui fait parcourir l'Europe. Ce cheminement la conduit à une collaboration comme comédienne avec le Shlemil Théâtre (Julien Lubek et Cécile Roussat) dans <i>La Belle et la Bête,</i> <i>Rameau et la danse</i> (dir. Musicale John-Eliot Gardiner) et <i>Musennâ</i>, qui l'amène à jouer aux Bouffes du Nord, au Théâtre Montansier de Versailles, au Royal Albert Hall à Londres, etc.</p> <p>  </p> <p> <strong>Leslie Salomon</strong>, comédienne, danseuse</p> <p> Après une formation de 4 ans à l’atelier d’art dramatique de Radka Riaskova, elle joue dans <i>la Ménagerie de verre</i> de Tennessee Williams et <i>la Descente d'Orphée</i> de Tennessee Williams, mise en scène de Radka Riaskova . Elle intègre la cie Libre d’esprit en 2004, elle jouera dans toutes les créations jusqu’en 2011 : <i>Mon ami Paranoiaque</i> de Nikson Pitaqaj , <i>une demande en mariage</i> de Tchekhov, <i>l’été d’une agonie</i> (à l'occasion de la commémoration du massacre de Srebrenica, par l'association Srebrenica 2005), <i>Requiem </i>de Roger Lombardot, <i>Crime et châtiment</i> d’après Dostoievki : mises en scène de Nikson Pitaqaj et <i>La petite Catherine de Heilbronn</i> de Kleist, mise en scène de Coralie Pradet. En 2011, elle commence une formation intensive de danse flamenca. Récemment, elle a joué dans <i>toujours ensemble</i> de Anca Visdei sous la direction de Coralie Pradet. Elle est également sculptrice et plasticienne.</p> <p>  </p> <p> <strong>Lili Mamath</strong>, comédienne, danseuse, metteur en scène</p> <p> De père chinois et de mère française, elle est comédienne, danseuse, metteuse en scène, plasticienne, chercheuse (ENSAD). Elle fait pousser son arbre aux multiples ramures et s'intéresse aux cultures du monde. Artiste pluridiciplinaire, ses mots d'ordre sont la diversité des horizons, les ponts, les passerelles...</p> <p> Elle danse depuis son plus jeune âge (classique, libre, contemporaine, kathak) et découvre le butô en 2006. Elle se forme à cette danse auprès d'Atsushi Takenouchi, de Yumiko Yoshioka, de Gyohei Zaitsu et de Yumi Fujitani - danse qu'elle pratique depuis régulièrement et qu'elle inclut dans des performances portées à la scène. Elle travaille au sein de la troupe des Muses bathymétriques, et dans des ateliers mêlant la voix et le corps auprès de Vincent Dupont, ainsi que dans des ateliers de danse inclusive (danse et LSF) auprès de Delphine Soyer. Au théâtre, elle joue des pièces classiques avec le Théâtre du Conte Amer auprès d’Ophélia Teillaud et Marc Zammit (Racine, Molière, Marivaux), aussi bien que du théâtre contemporain avec la Cie l'Accord sensible auprès de François Lanel, ainsi que dans des pièces à destination des jeunes publics dans la Cie des Petites Bulles vertes et dans la Cie Lilliput auprès de Maritoñi Reyes. Elle est également metteuse en scène (compagnie Candela, association Membrane). Elle dirige plusieurs ateliers théâtre et travaille notamment avec des missions locales auprès de jeunes de banlieue avec l'association ATOM. Elle co-fonde en 2006 le collectif Fossile avec Samuel Racine où elle participe depuis à la création d’installations interactives : conception de scénographies, créations visuelles et sonores. Elle s'intéresse tout particulièrement à l'articulation de ces installations avec la scène à travers des performances. Elle créée également en 2011 l'association eDISTIL, maison d'édition de livres d'artistes. Elle est également chercheuse à l'ENSAD depuis 2012, dans le programme Théâtra/scénographie (scénographie du drame antique grec et scénographie contemporaine).</p> <p>  </p> <p> <strong>Luigi Cerri,</strong> comédien, metteur en scène</p> <p> Luigi Cerri est comédien, auteur et metteur en scène, et par ailleurs docteur en économie politique. En 2002 il met en scène sa première pièce, <i>La Stanza</i>, pour laquelle il bénéficie d'une subvention de l'Université de Sienne. En France, après avoir suivi des ateliers sur le jeu masqué et sur le clown à l'Université de Paris X, il intègre en 2004 l'École Jacques Lecoq. Il écrit et met en scène les pièces suivantes: <i>Légère variation en sous-sol, Romulus et Remus, et Blé et Fer</i> (texte primé au concours Oltreparola). En tant que comédien, il joue dans les créations récentes de la compagnie Soif, dont il est co-directeur artistique : <i>Les Souliers Rouge</i>s, spectacle jeune public, et <i>Penthésilée</i>, de H. von Kleist. Il se produit dans <i>Rated X</i> et <i>Gérardo</i>, d'Angelo Pavia (Teatro Hermitage), à Paris et en Italie; dans <i>La Machine Infernale</i>, de J. Cocteau, mise en scène de J. Feneyrou; dans <i>Le Corps de la Rob</i>e, d'Aude Vallet-Sanchez. Avec la Compagnie Libre d'Esprit il joue dans <i>Crime et Châtiment</i>, d'après Dostoïevski, puis dans <i>La petite Catherine de Heilbronn</i>, et <i>La marquise d'O</i> de Kleis<i>t</i>.</p> <p> En 2011 il revient à la mise en scène avec <i>Moro</i>, opéra contemporain d'A. Manucci, avec la compagnie Appels d'Air. Il travaille à nouveau avec cette équipe en 2012/2013 pour la mise en scène et adaptation du <i>Don Giovanni</i> de Mozart.</p> <p> Il a réalisé en 2012 une adaptation d'<i>Othello</i>, de W.Shakespeare, pour un seul comédien. En 2013 il participe au projet initié par Bruno Latour <i>Gaia global Circus</i>, projet présenté dans plusieurs CDN. </p> <p>  </p> <p> <strong>Carlos Marulanda</strong>, comédien</p> <p> Formation à Escuela Popular de Arte à Medellin, Colombie avec, entre autres, Carlos Mario Aguirre. Participation au Groupe d’intervention théâtrale par rapport à la problématique en Amérique Centrale à Paris pour soutenir les révolutionnaires au Nicaragua, Salvador et Guatemala. Créations collectives par des comédiens d’Amérique Centrale et d’Amérique du Sud. En France, formation de théâtre à Paris 8 et à l’école de théâtre à Fontenay-sous-Bois. Création de la troupe Sémilla avec des élèves de l’école de théâtre. Création de l’<i>atelier </i>de Jean-Claude Grumberg <i>Le cimetière des éléphants</i> de Jean Paul Dumas, <i>Coups de feux sur Broadway, Ma famille</i> de Carlos Liscano, <i>les prétendants</i> de Jean-Luc Lagarce…atelier de recherche de performance corporelle avec les Koeurs Purs et la Machinante à Montreuil. Atelier de recherche avec Patricia Nova, comédienne, danseuse et metteur en scène péruvienne : Création collective de performances-spectacles, de <i>La vie de Galilée</i> de Brecht, et d’une adaptation de <i>Macbeth</i> de Shakespeare, plusieurs créations autour de l’oeuvre de Louis Calaferte mise en scène de Pascal Sandoz.</p> <p>  </p> <p> <strong>Samuel Racine</strong>, régisseur lumière/sonorisateur/comédien/musicien</p> <p> Né en Bretagne, il s'installe à Paris pour passer une maîtrise de lettres modernes à la Sorbonne et approfondir sa pratique théâtrale. Au fil des stages puis des créations ou des reprises, il rencontre différentes pratiques théâtrales auprès de Masaki Iwana, Mayte Vaos, Yves Donq, Ctibor Turba, Marc Zammit, Ophélia Teillaud, Tapa Sudana, Eric Cugnot, Kazem Shahryari, Antoine Chalard, ou Stanislav Jeleskin. Il voit le théâtre comme le lieu d'une rencontre entre de multiples points de vue, un carrefour entre vie, art et technique. C'est dans le même esprit de transversalité qu'il s'intéresse aux cultures du numérique et apprend à l'école Louis Lumière des bases en réalisation documentaire pour le web. Il se forme aussi à la technique du spectacle vivant, à l'enregistrement de terrain, au montage et réalise des bandes-son ou des performances sonores. Il utilise la photographie et la vidéo pour des pièces de théâtre, des installations et des courts-métrages, en particulier avec le collectif Fossile et l'association Tribudom. Son goût pour les chemins de traverse le conduit ainsi à diversifier les expériences, ici et ailleurs, entre parole, performance, arts numériques et audio-visuel.</p> <p>  </p> <p> <strong>Mirta Caamaño</strong>, comédienne</p> <p> Comédienne née à Salto, Uruguay. Formation au théâtre El Galpon puis au Conservatoire National Dramatique Margarita Xirgu. Elle a joué Lope de Vega, Tirso de Molina, F. de Rojas, Shakespeare, Euripide et F. Garcia Lorca, avec la Comédie Nationale. Elle quitte le pays pour des raisons politiques en 1977. En France, études théâtrales (Licence, Université de Paris III), stages avec A. Mnouchkine et J.P. Denizon et Yoshi Oïda, comédiens de la troupe de Peter Brook. Depuis 1978, elle joue Giraudoux, Arrabal, Ionesco, H.Müller avec des troupes françaises et franco-latino-américaines, et dans des spectacles de théâtre-danse-musique, de théâtre de rue et théâtre pour enfants.</p> <p> Elle écrit des adaptations pour des spectacles unipersonnels qu'elle joue en France et en Uruguay : Fil de femme, montage de personnages féminins de pièces de F. Garcia Lorca, <i>Moi, Juana Inés de la Cruz</i>, d'après la prose et la poésie de la religieuse mexicaine Sor Juana Inés de la Cruz … et <i>Crédo d'amour en tango</i> de Horacio Ferrer. Pendant huit ans elle a participé aux Rencontres à la Cartoucherie où elle a joué dans plusieurs spectacles mis en scène, entre autres, par Philippe Adrien, avec qui elle a aussi écrit en collaboration.</p> <p> Elle a suivi une initiation au clown : Stages au théâtre Le Samovar dirigé par Matthieu Pillard (février 2010) et au théâtre Yunqué, par Serge Poncelet (octobre 2011). En 2012 elle a écrit avec Alain Dordé <i>La Folle, le retour, </i>monologue qu'elle a joué lors de festivals concernant les questions écologiques.</p> <p>  </p> <p> <strong>Adrien Utchanah,</strong> comédien, metteur en scène, dramaturge</p> <p> Après s'être formé au studio Alain le Bock avec notamment Vincent Dussart il fonde la Compagnie du crayon. Parallèlement aux projets qu'il initie, il continue à se former en suivant "la formation du pédagogue" à l'école Auvray Nauroy. Il met en place des ateliers pour adultes et monte des pièces qu'il écrit pour eux. Il se dirige surtout vers la mise en scène et adapte Copi, Minyana et Marion Aubert. En tant que comédien , il travaille avec Pierre Pirol dans Jeanne d'Arc de Maeterlink ou les Bacchantes avec la cie les Ménades. </p> <p> Il suit de nombreux stages avec Sophie Thébaut, Enrique Moralès… et approfondit la méthode Meisner avec Scott Williams. Il travaille également avec des groupes d'adolescents lors de séjours théâtraux, intervient dans des collèges, et met en scène le groupe Infroissable Zack. </p> <p>  </p> <p> <strong>Michel Chaigneau</strong>, comédien</p> <p> Au théâtre, Michel CHAIGNEAU a fait la plus grande partie de sa carrière dans les Centres Dramatiques, Théâtres Nationaux et avec des troupes subventionnées de la décentralisation. </p> <p> Un des épisodes les plus marquants a été sa longue collaboration avec Michel DUBOIS du centre Dramatique de Normandie (1974 – 1982). </p> <p> Ces dernières années, on l’a également vu sur les scènes parisiennes dans des mises en scène de Bernard MURAT, Yves GASC, Laurent TERZIEFF et de Brigitte JACQUES, à la Comédie Française... En 2007, il joue sous la direction de R.Leteurtre dans <i>un garçon impossible</i>, en 2006 dans <i>les brigands</i> de Shiller dirigé par P. Desveaux, en 2044 avec R. Loyon dans <i>la Mouette</i> de Tchekhov, en 2002 dans <i>Ruy Blas</i>, dirigé par Brigitte Jacques… Il collabore aussi régulièrement avec France Culture et France Inter : Fictions dramatiques, Emissions poétiques, premières lectures d’auteurs , Série « Au fil de l’histoire » - Catherine LEMIRE, Marguerite GATEAU, Christine BERNARD-SUGY, Jacques TARONI, Guy CAVAGNAC (centenaire Jean Renoir – Avignon)</p> <p>  </p> <p> <strong>Ya-Hui Liang</strong>, musicienne </p> <p> Elle a fait ses études à l’Université Nationale d’Arts deTaïpei (département musique traditionnelle chinoise) Puis elle intègre l’orchestre traditionnel chinois de la ville de Kaohsiung avec lequel elle se produira à travers l’Asie. Elle décide de se perfectionner en France en suivant les cours de percussion (théâtre musical) dans la classe de Gaston Sylvestre au Conservatoire à rayonnement régional de Rueil-Malmaison. Elle y obtient en 2003 un 1er prix à l’unanimité et les felicitations du jury. Elle s’intéresse en parallèle au zarb, tambour iranien, qu’elle étudiera avec François Bedel. Elle travaille régulièrement pour le théâtre notamment avec les metteurs en scène Ophélia Teillaud et Marc Zammid. Elle a également effectué plusieurs stages de danse Butô avec Yumi Fujitani. </p> <p> Elle est aussi membre du groupe de Gamelan Pantcha Indra rattaché à l’Ambassade Indonésie à Paris.</p> <p>  </p> <p> <strong>Jérémie Abt</strong>, musicien</p> <p> Il commence son cursus musical par le piano puis s’oriente vers la batterie et les percussions.</p> <p> Il intègre la classe de percussion du CRR de Rueil-Malmaison, dans laquelle il découvre et explore le répertoire contemporain, et le théâtre musical en particulier, sous la conduite d’Eve Payeur. Un puissant attrait pour les musiques traditionnelles l’amène à étudier le zarb, tambour perse iranien, avec François Bedel, ainsi que le gamelan Gong kebyar, ensemble de percussions balinais. Après avoir obtenu un 1er prix de percussion à l’unanimité puis un prix d'excellence, il choisit d’approfondir l’étude du zarb auprès de Djamchid Chemirani, et celle du gamelan auprès de I Wayan Kumpul et de I Nyoman Kariasa, à Bali, où il retourne régulièrement.</p> <p> Ses activités diverses reflètent l’éclectisme de son parcours : avec la compagnie Eclats, il crée en 2012 à l'opéra de Bordeaux « Couacaisse », un spectacle solo pour le jeune public sur une musique d'Aurelio Edler Copes et des textes de Corinne Lovera-Vitali, mis en scène par Sophie Grelié, qui est en tournée en France, en Belgique et au Canada..</p> <p> Dans ses autres activités, il collabore régulièrement avec l’ensemble Cbarré, Nicolas Frize - les musiques de la boulangère- et avec le chœur contemporain Musicatreize.</p> <p> Par ailleurs, il est le cofondateur d'un ensemble de percussions à géométrie variable: « La 7ème Triple » dédié à la création musicale et au théâtre instrumental. Sa passion pour le zarb s'épanouit dans le « New zarb trio » avec Pablo Cueco et Xavier Epiard mais aussi en improvisant avec Sonia Masson (Cie du lampion) dans des projets mêlants poésie et musique Enfin, son intérêt pour les musiques de Bali l’amène à fonder avec Théo Merigeau et Hsiao-Yun Tseng un groupe à l'ambassade d’Indonésie à Paris ainsi qu'à diriger le gamelan Bintang Tiga de Gaston Sylvestre à Marseille.</p> <p>  </p> <p> <strong>Andrea Romani, </strong>musicien</p> <p> Andrea est né dans la ville de Crémone. Musicien autodidacte , il est l'un des rares artistes qui pratique la flûte dans la tradition du jazz . Après une période de deux ans de formation à la Civica Scuola di Jazz  de Milan (2000/2002) , il a rejoint le Civica Jazz Big Band, l'un des meilleurs big band italien . En tant que membre de la bande , il a joué dans des concerts où des musiciens importants ont été invités , comme Paolo Fresu , Enrico Rava , Enrico Pierranunzi, Dave Liebmann , Max Roach, Bobby Watson.</p> <p> En 2004 il a décidé de découvrir Paris , qui est devenu sa résidence principale . Dans les premières années il a créé un quartet jouant des compositions originales avec le batteur Anthony Paganotti , le pianiste Daniel Benoit , et Nicolas Moreaux .  Il joue dans l'album " Southern Avenue " du sextet dirigé par Fabrizio Cecca , publié par Chrystal Records.  Il a effectué de nombreux concerts principalement en France, avec le guitariste italien Federico Casagrande , souvent en quartet , avec le batteur Gautier Garrigue et le bassiste argentin Gael Petrina. En 2010, il décide de partir pour une résidence de deux ans entre Istanbul et Athènes (Grèce et de nombreux autres endroits ) . Pendant cette période, il approfondit ses recherches déjà commencées en expérimentant le Ney turc, sous la supervision de son maître Omer Erdogduler à Istanbul. Il effectue  plusieurs spectacles avec Harris Lambrakis Quartet , en particulier SGT dans Thêatre de la Fondation Onassis à Athènes, il enregistre quelques titres dans le dernier disque de Harris Lambrakis , " Meteora " . A Athènes il joue du jazz en quartet avec Gregoris Danis , Petros Varthakouris et Niko Sidirokastridis . Avec le ney il rentre dans l' entourage de Ross Daly dans le village de la musique de Labyrinthe en Crète où il a joué dans des spectacles . A Istanbul , il joue de la flûte jazz dans Nardis Jazz Club Volkan Topakoglu et Eylul Bicer . En 2013, il revient à Paris , où il poursuit sa pratique du Ney: il joue avec Alexandros Papadimidrakis ( oud ) , le groupe turc Seruven , et le collectif arménien Medz Bazaar . Dans les deux dernières années, il a fondé un projet collectif international appelé Alonisma / Grandola Jazz collective , qui mêle vidéo , danse, peinture d'action , jazz et musique orientale : il realise une premiere performance du projet au  59rivoli a Paris, puis au Chene a Villejuif en hiver 2014. Il travaille actuellement avec Mauro Gargano et Federico Casagrande et d'autres musiciens au projet d'enregistrement de ses propres compositions originales, pour une sortie prévue en 2015 .  </p> <p>  </p> <p> <strong>Grégoire Lorieux,</strong> compositeur</p> <p> Né en 1976, Grégoire Lorieux est compositeur et réalisateur en informatique musicale, chargé de l'enseignement à l'IRCAM. Après des études de musicologie et de musique ancienne, il se consacre à la composition auprès de Philippe Leroux, puis notamment de Gérard Pesson. Son activité pédagogique au sein de l'IRCAM se partage entre la transmission des notions de l'informatique musicale vers tous publics (documentation, ateliers de pratique) et une réflexion sur la musique mixte, comme en témoigne le cycle de pièces pédagogiques Études Électriques. Il initie pour le Centre Pompidou deux saisons de concerts commentés d'oeuvres IRCAM, repris au Centre Pompidou-Metz. Engagé dans plusieurs ensembles de musique contemporaine, il collabore en tant que réalisateur en informatique musicale avec de nombreux créateurs. G. Lorieux compose pour de nombreux solistes et ensembles en France, en Allemagne et en Espagne, écrit aussi pour la scène et obtient de nombreuses commandes et résidences. Il crée l'ensemble fleur inverse (compositions et improvisations). G. Lorieux reçoit le prix des jeunes compositeurs de la SACEM en 2009. Il suit le programme d’expérimentation en arts et politique de Sciences-Po en 2012-2013.</p> <p>  </p> <p> <strong>La troupe de danse et musique N’Diaye, Moussa Ndiaye, Matime Mbaye, Youssou Sene, Ousmane</strong></p> <p> <strong>Kote/association Diamou Africa,</strong> danseurs, musiciens</p> <p> Installée à Mbour au Sénégal, sur la petite côte, la famille Ndiaye est une famille de griots où l'on pratique les danses des différentes régions du Sénégal et où l'on joue de différents instruments de percussions : djembés, sabar, sorruba, tama, bongo, bugga rabu, dum... Les membres de la famille Ndiaye travaillent le plus souvent ensemble, chacun ayant commencé le métier d’artiste depuis sa plus tendre enfance. Pendant plus de 20 ans ils ont accompagné leur père et oncle, Ibrahim Ndiaye à travers le Sénégal dans des spectacles traditionnels, des spectacles de lutte sénégalaise, des festivals, des concours... Ils animent des cours et des stages de danse au Sénégal pour des groupes venus d'Europe.</p> <p> Ils forment également une troupe de «faux-lions» (Simba) dont les représentations sont appréciées dans tout le Sénégal. Ils sont également en lien avec la ville de Lorient dans laquelle de nombreux cours, stages et festivals ont lieu grâce à l’association Diamou Africa.</p> <p>  </p> <p> <strong>Lazare Minoungou</strong>, comédien, conteur, danseur, musicien</p> <p> Après avoir été formé au Centre de Formation en Arts Vivants (CFRAV, Ouagadougou) dirigé par J.P Guingané, aux Ateliers de formation au jeu d’acteurs - dirigés par Jean Dreze, Patrick Brüll (Belgique), Roger Nydegger (Suisse), au Carrefour International de théâtre de Ouagadougou (CITO), dirigés par Hans Mathiesen (Danemark), Lucas Fusi (Italie), il travaille en stage avec Sotigui Kouyaté, Koffi Kwahulé et Kangni Alem et se forme au métier de conteur avec Prosper Zerbo (Burkina)... Il joue depuis entre la France la Suisse et l’Afrique : Big Shoot - de Kofi Kwahulé, m.e.s Cédric Brossard, Cie d’Acétés (France), N do kela - de Kulsi Lamko, m.e.s Rodrigue Norman, «Afrique en créations» Théâtre Du Vieux Colombier à Paris (France), l’Archipel-Scène Nationale (Guadeloupe), CCF Ouagadougou (Burkina), La parenthèse de sang - de S. Labou Tansi, m.e.s J.P Guingané, théâtre de la Fraternité- Espace Gambidi (Ouagadougou)... Zigli le terrible de J.P Guingané, Festival Grenoble (France), Le nouvel habit de l’empereur - m.e.s Ildevert Meda, CITO, CCF Ouaga et Bobo (Burkina), Cellule - m.e.s. par Roger Nydegger Suisse, Brasserie de Koffi Kwahulé m.e.s par Christophe Merle, France Il est également conteur permanent de 2003 à 2006 au CCF de Ouagadougou (Burkina Faso) et participe à de nombreux festivals (Yeelen Burkina) : festival international de Gatan Gatan (Niger), festival Fiad Pub (Tchad). Il anime des stages de contes depuis 2005 en France, Belgique et au Burkina.</p> <p> Il est également percussionniste et pratique la danse et le chant traditionnel Burkinabe.</p> <p>  </p> <p> <strong>Aleye Ndao, </strong>danseur, comédien</p> <p> Danseur, chanteur et musicien né au Sénégal, Alseye effectue sa première formation en danse Diolla à Dakar, entre 2000 et 2006 avec les ballets Libaro Baliya de Zahl Seydi et Bakalama de Thiokésin, en danse contemporaine avec Matéo Molès, Rij Wilson et bien d’autres… Il poursuit sa formation en danse-théâtre avec la chorégraphe Marie Sitarénos et en danse classique et jazz avec André Lorenzetti. Entre 2006 et 2009, il participe aux créations de la cie la cinquième dimension (<em>eau Bénite</em> à la Biennale de la danse de Lyon) et de Bujuman (<em>le temps d’aimer la danse</em>). En 2009 il participe au spectacle <em>Traite négrière</em> d’Alphonse Thiérou. De 2010 à 211, il est interprète dans <em>Aida</em> (festival d’Orange et Stade de France). En 2012, il rejoint la cie Prana pour la création <em>Tropisme</em>. En 2014, il joue dans le spectacle de la cie Difé Kako, <em>Noir de boue et d’obus</em>. Parallèlement, il dispense des cours de danse afro-contemporaine. </p> <p>  </p> <p> <strong>Mariama Diedhiou,</strong> danseuse, comédienne</p> <p> Après 10 ans de danses africaines (Guinée, Sénégal, Côte d’Ivoire) en se formant auprès de Doudou N’Diaye, Rose junior, Yama Diouf, de danses afro-brésiliennes et samba auprès de Bia de Oliveira, elle intègre la City Lit Education School à Londres où elle obtient son premier certificat en danse. En 2008 elle entre à l’école de danse « Free Dance Song » où elle prépare le diplôme de l’EAT et le Certificat psychopédagogie du mouvement dansé. Elle y poursuit une formation éclectique en danse afro-américaine (technique Dunham), contemporain, jazz, classique, afrocontemporain. Parallèlement elle intègre diverses compagnies et formations en dansant pour le concert au Stade de France 2010 de Yannick Noah, pour Diblo Dibala, pour la Cie Afrocontemporaine N’gambart et pour Alphonse</p> <p> Tiérou. Depuis 2008, elle est danseuse-percussionniste dans la Cie Battements d’Elles (Congo), la Batucada Zalindé, la Cie Oyamidance (Salsa, samba, afro) ou encore la compagnie Difé Kako en 2010 (Château Rouge, Noir de boue et d’obus).</p>

À quoi servira la collecte

<p> <u><strong>- La collecte servira en premier lieu à payer en partie la campagne de communication qui nous permettra d'attirer le public et les programmateurs.</strong></u></p> <p>  </p> <p> <u><strong>Coût prévu : 1500 euros. </strong></u></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <u><strong>- Elle nous servira à nous équiper techniquement.</strong></u></p> <p>  </p> <p> <u><strong>Coût prévu : 800 euros. </strong></u></p> <p>  </p> <p> <u><strong>Notre projet est de jouer notre diptyque en plein-air à partir de l'été 2015, ce qui implique pour la compagnie de s'équiper afin de devenir </strong></u><u><strong>techniquement </strong></u><u><strong>complètement autonome. </strong></u></p> <p>  </p> <p> <img alt="Photobacc20145-1410973953" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/120552/photobacc20145-1410973953.jpg"><img alt="Photobacc201412-1410973963" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/120553/photobacc201412-1410973963.jpg"><img alt="Photobacc201417-1410973976" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/120554/photobacc201417-1410973976.jpg"></p> <p>  </p>

Contreparties

5 €

  • 1 contribution
La reconnaissance de l'équipe

10 €

  • 1 contribution
La reconnaissance de l'équipe et un tarif réduit pour les représentations de décembre 2014 et janvier 2015

25 €

  • 1 contribution
La reconnaissance de l'équipe et une invitation pour les représentations de décembre 2014, janvier ou février 2015

40 €

  • 1 contribution
La reconnaissance de l'équipe et une invitation pour 2 personnes pour les représentations de décembre 2014, janvier ou février 2015

70 €

  • 1 contribution
La reconnaissance de l'équipe et 2 invitations pour 2 personnes pour les représentations de décembre 2014, janvier ou février 2015

100 €

La reconnaissance de l'équipe et 2 invitations pour 2 personnes pour les représentations de décembre 2014, janvier ou février 2015 + un album des spectacles les Bacchantes et les Troyennes

200 €

  • 2 contributions
La reconnaissance de l'équipe et 2 invitations pour 2 personnes pour les représentations de décembre 2014, janvier ou février 2015 + un album des spectacles les Bacchantes et les Troyennes + un croquis original signé par le créateur du visuel de l'affiche : Nelson Gomes-Teixeira

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