"Quelque chose de commun..." au Festival d'Avignon 2013

Poursuivre l'aventure de "Quelque chose de commun...", première création de La Nivatyep Cie en Avignon 2013 / Merci pour votre soutien !

Visuel du projet "Quelque chose de commun..." au Festival d'Avignon 2013
Réussi
182
Contributions
28/06/2013
Date de fin
7 567 €
Sur 7 000 €
108 %

"Quelque chose de commun..." au Festival d'Avignon 2013

<p> <strong>VOILA. COLLECTE TERMINEE... </strong>  </p> <p>  </p> <p> <strong>MERCI A NOS 182 KISSBANKERS !! </strong></p> <p> <strong>VOS DONS, VOS MESSAGES, VOS SOUTIENS, VOS ENCOURAGEMENTS, VOS PETITS MOTS EN TOUS GENRES NOUS D</strong><strong>ONNENT ENCORE PLUS DE MOTIVATION, D'ENERGIE ET DE COURAGE POUR LA SUITE !!</strong>   </p> <p>  </p> <p> <strong>NOUS PARTONS EN AVIGNON AVEC UNE EQUIPE AU TOP DE SON ENERGIE , ET PLEINE D'ENVIE DE CONTINUER A FAIRE VIVRE CETTE BELLE HISTOIRE !</strong>  </p> <p>  </p> <p> <strong>A TRES BIENTOT AU THEATRE DE L'ADRESSE DU 8 au 31 JUILLET A 21H25 !!</strong></p> <p> -------------------------------------------------------------------------------------</p> <p>  </p> <p> NOUS VENONS DE DÉPASSER LES 7000€.</p> <p> C'EST GÉNIAL !!!</p> <p> WAOUUUUUUUUUUUHH TOUT CA GRACE A VOTRE INCROYABLE SOUTIEN.</p> <p> VOUS ETES LES MEILLEURS KISSBANKERS DE LA TERRE !!!!</p> <p> !!! MERCI !!!  </p> <p> PAS DE PANIQUE A TOUS CEUX QUI PENSAIENT NOUS AIDER ET QUI NE L'ONT PAS ENCORE FAIT : IL EST TOUJOURS TEMPS !</p> <p> LA COLLECTE SE CLOTURE LE 28 JUIN, D'ICI LA, TOUT EST POSSIBLE !!</p> <p>  </p> <p> <strong>"QUELQUE CHOSE DE COMMUN..."</strong></p> <p>  </p> <p> "Quelque chose de commun naissait donc, de tous ceux-là, qui n'avaient rien en commun."  Didier-Georges Gabily</p> <p>  </p> <p> <strong>Mise en scène / Chorégraphie : </strong>Juliette Peytavin</p> <p> <strong>Textes : </strong>Ecriture collective</p> <p> <strong>Scénographie : </strong>Juliette Peytavin</p> <p> <strong>Créateur sonore : </strong>Guilhem Delhomme</p> <p> <strong>Créateur lumière : </strong>Yoan Caveau de Lima</p> <p> <strong>Conseils scénographie : </strong>Yoan Claveau de Lima</p> <p> <strong>Comédiens / Danseurs : </strong>Manon Allouch / Louise Belmas / Julie Collomb / Benjamin Farfallini / Maxime Mikolajczak / Romane Peytavin / Issam Rachyq-Ahrad ou Antoine Formica</p> <p>  </p> <p> Avec la participation de Mahio Campanella / Camille Cuisinier / Magalie Dupuis / Anouck Hilbey / Pauline Jambet / Léna Peytavin / Mathieu Tanguy / Mikaël Teyssié / Amélie Vissol </p> <p>  </p> <p> Avec le regard extérieur de Gildas Milin</p> <p>  </p> <p> <strong>Durée :</strong> 1h10 </p> <p>  </p> <p> <strong>Site : </strong><a href="http://la-nivatyep-cie.fr/" target="_blank">http://la-nivatyep-cie.fr/</a></p> <p>  </p> <p> <img alt="Dsc_0680" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/16656/DSC_0680.JPG"></p> <p>  </p> <p> <strong>LE PROPOS :</strong></p> <p>  </p> <p> L'individu se construit dans le groupe. Il cherche à se définir, à briller, à aimer. Il se confronte à l'autre, le jalouse, désespère, rit, s'énerve, se pavane, se sent entouré, fort, écoute, rêve, a confiance, doute, soutient, s'affirme, se surprend, s'effondre, s'essouffle, vit, Existe.</p> <p> Et de tout cela son corps en garde la mémoire.</p> <p>  </p> <p> Sur scène, un ensemble d’individus décident de se donner rendez-vous sur le lieu qui serait celui de leur rencontre. </p> <p> Consciemment ou malgré eux, ils vont être amenés à questionner l'essence de ce qui les lie, ce qu'ils partagent et refusent de partager, ce qu'ils sont et ce que chacun souhaiterait qu'ils soient.</p> <p>  </p> <p> C'est à travers des identités fortes et stéréotypées que les comédiens explorent les systèmes qui s'établissent au sein de toutes communautés.</p> <p> L'individu se construit-il dans le groupe ou est-ce le groupe qui construit l'individu ?</p> <p> <strong>Parlent-ils d’eux ?... de nous, ou de vous ?</strong></p> <p>  </p> <p> <strong>L’ESPACE :</strong></p> <p>  </p> <p> Les acteurs évoluent sur un sol ensablé comme échos au bac à sable de notre enfance. Celui-ci garde l’empreinte des mouvements, la mémoire d’un vécu. Les interprètes progressent sur scène dans un univers sonore créé par Guilhem Delhomme en live.</p> <p>  </p> <p> <img alt="Dsc_0273" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/16653/DSC_0273.JPG"></p> <p>  </p> <p> <strong>UN PROJET EN MOUVEMENT :</strong></p> <p>  </p> <p> Au départ ils sont dix. Dix élèves-acteurs de l’Ecole Régionale d’Acteur de Cannes (ERAC), menés par une onzième (Juliette Peytavin), profitant du cadre confortable de l’Ecole Supérieure pour créer quelque chose (…de Commun).</p> <p> L’Aventure commence donc à Marseille en décembre 2009, dans les locaux de la Friche de la Belle de Mai. Ici la fiction s’amorce. A mesure que le projet prend forme apparaissent la volonté, l’envie, la nécessité de poursuivre le processus au-delà de l’Ecole. Ainsi, en juin 2011 se retrouvent 9 des 10 acteurs présents à la Création, rejoints par 8 comparses (danseurs, acteurs, architectes, créateur de son électronique), pour poursuivre le projet.</p> <p> Le spectacle cherche alors son identité, et la décision est prise non seulement de doubler les rôles, mais encore de proposer une distribution aléatoire, tirée au sort chaque soir. Idéalement servi par cette forme hybride, le propos du spectacle s’affine au fil des résidences et des représentations (Treize Vents à Montpelier, Théâtre de La Loge à Paris, JTN, Théâtre Ouvert…).</p> <p> Puis, riche de cette expérience, de cette forme multiple, la distribution finit par se stabiliser afin d’approfondir les rapports entre les interprètes, les personnages. Aujourd’hui, <u>« <em>Quelque Chose de Commun</em>… »</u> est donc un spectacle composé de 7 interprètes, riche des multiples modulations survenues au gré de son histoire. </p> <p>  </p> <p> <strong>JULIETTE PEYTAVIN, ET L’ORIGINE DE « QUELQUE CHOSE DE COMMUN » :</strong></p> <p>  </p> <p> Formée en danse et théâtre, Juliette Peytavin se nourrit d’artistes comme Pina Bausch, Koen Augutjinen, Christophe Marthaler. Ces artistes qui dépassent l’idée de « genre artistiques », et qui s’expriment au travers de ces multiples médias qui nous entourent aujourd’hui sans soucis de classification.</p> <p>  </p> <p>  A l’ERAC, élève pendant 3 années au sein d’un groupe imposé. Juliette s’est interrogée sur les variations des rapports qu’entretien un individu avec son entourage social, considérant le comportement et l’image renvoyée de soi comme évolutifs.</p> <p> La notion de définition individuelle structure ce premier projet.</p> <p>  </p> <p> Suis-je maître de ce que l’autre perçoit de moi ? Que veut dire être soi ? Qu’est ce que veux que l’on voit de moi ? Suis-je uniquement ce qu’ils décident que je sois ? Qu’a t-on en commun ?</p> <p>  </p> <p> Au travers de ces questions elle construit un cadre fictionnel sur une histoire de groupe. </p> <p> Ce cadre pré écrit constitue des contraintes pour les interprètes : chacun doit prendre en charge un trait de personnalité prédéfinie. Ces traits, devront devenir leur impulsion pour créer au mieux leur rôles : Optimiste, Conflit, Questionnement…</p> <p>  </p> <p> 7 règles pour construire 7 personnalités.</p> <p>  </p> <p> L’acteur s’investi alors pour nourrir ce canevas de règles par son imaginaire, sa propre sensibilité, ces propres techniques, ses mots, son corps. A eux d’y trouver la complexité, la finesse de ce qu’évoque en un premier temps ces « traits de caractère ».</p> <p> A eux de décider ce qu’ils veulent donner à voir.</p> <p>  </p> <p> <strong>ILS EN PARLENT  </strong></p> <p>  </p> <p> <em>«… Retrouver cette atmosphère du temps de l’apprentissage et des maîtres dont il faut apprendre, aussi, à se défaire. Retrouver le temps de l’insouciance, celui de tous les possibles, et de tous les rêves possibles avant que le temps vienne quelque peu les racornir... </em></p> <p> Parions que l'on retrouvera très vite cette belle équipe sur d'autres tréteaux.<em>»</em></p> <p> <em><strong>Marie-José Sirach</strong></em></p> <p> <em><strong>L’HUMANITE 16/04/2012</strong></em></p> <p>  </p> <p> <em>« … Au sortir de votre spectacle je me suis dit que je venais de voir enfin réussi cet idéal fantasmé d'un Théâtre/Danse.</em></p> <p> <em>Une proposition neuve, inconnue, stupéfiante car totalement simple. Convaincante.</em></p> <p> <em>Oui "Quelque chose de commun" est du Théâtre. Oui danser les mots, danser les relations, danser les situations, danser les personnages est possible.</em></p> <p> <em>Je ne saurais dire comment c'est possible mais votre spectacle à la force de l'évidence..."</em></p> <p> <em><strong>Jean-Claude Fall</strong></em></p> <p>  </p> <p> <em>"...Ils sont sept jeunes acteurs/danseurs…</em></p> <p> <em>Au début, ils se déshabillent et jouent avec du sable. C’est l’enfance, le retour aux sources. Puis ils évoluent, ils virevoltent, ils pirouettent, ils s’emmêlent les uns avec les autres, quelquefois les uns contre autres. Tour à tour, ils mettent en avant leurs défauts, leurs petits traits de caractère, tentent de s’affirmer… Une place particulière est laissée à l’indécision et au doute qui sont comme deux personnages clés de la pièce...</em></p> <p> <em>C’est violent et c’est une métaphore de ce poids qu’est le regard des autres et que l’on subit chaque fois que la vie en société devient trop lourde. C’est poétique mais pas prétentieux..."</em></p> <p> <em><strong>Hermine Mauzé</strong></em></p> <p> <em><strong>BLOG PARIS 8/03/2013</strong></em></p> <p>  </p> <p> <img alt="Dsc_0277" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/16655/DSC_0277.JPG"></p> <p>  </p> <p> <strong>L'EQUIPE</strong></p> <p>  </p> <p> <img alt="Manon" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/16717/Manon.jpg"></p> <p> <strong>MANON ALLOUCH - </strong><strong>Interprète</strong></p> <p> Après 17 années passées entre l’île de la Réunion et la Nouvelle Calédonie où elle découvre et se passionne pour l’art dramatique aux côtés de <strong>Stéphane Piochaud</strong>, Manon Allouch s’installe en Avignon, en 2004. Elle se forme au Conservatoire d’Avignon sous la direction de <strong>Pascal Papini</strong> où elle travaille avec différents intervenants comme <strong>Martine Viard, Jean-Louis Hourdin, Eric Jacobiak</strong> ...</p> <p> En 2007, elle intègre l’ERAC (Ecole Régionale d’Acteur de Cannes) où elle profitera de l’enseignement de <strong>Catherine Marnas, André Markovitch, Michel Corvin, Gildas Milin ou encore Nadia Vonderheyden</strong>.</p> <p> Elle s’interesse de près à la direction d’acteur et à la mise en scène qu’elle pratique à l’ERAC sur un texte de <em>Jean-Luc Lagarce</em> <u>Juste la fin du monde.</u></p> <p> A sa sortie d’école, en juillet 2010, elle est assistante à la mise en scène de <strong>Kheireddine Lardjam</strong> de la Compagnie El Ajouad, sur deux projets : <u>Les Bornes ou le colonialisme intérieur brut</u> de <em>Mustapha Benfodil</em> et <u>De la salive comme oxygène </u>de <em>Pauline Sales</em> (festival du CDN de Sartrouville « Odyssée en Yveline »).En 2011, elle présente sa première mise en scène au festival d’Avignon, <u>Premier amour</u> de <em>Beckett</em>. On la retrouve également sur scène avec <u>Les bonnes </u>de <em>Jean Genet </em>mise en scène de <strong>Yvan Romeuf</strong>, dans le rôle de Solange</p> <p>  </p> <p> <img alt="Louise" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/16718/Louise.jpg"></p> <p> <strong>LOUISE BELMAS - Interprète</strong></p> <p> Louise Belmas est reçue au concours de l’ERAC en 2007 et intègre la promotion 18 (2007-2010). </p> <p> Là, elle travaille, entre autres, avec <strong>Gildas Milin</strong>, <strong>Xavier Marchand</strong>, <strong>Béatrice Houplain</strong>, <strong>Emilie Rousset</strong>, <strong>Nadia Vonderheyden</strong>,et <strong>Catherine Marnas</strong>.</p> <p> Au sortir de l’école, elle est comédienne permanente au CDR de Tours pendant un an, puis entame une collaboration avec <strong>Bertrand Bossard</strong>, artiste associé au CENTQUATRE, autours du projet transdisciplinaire,  <em>Anatomie du Chaos.</em></p> <p> En 2013 elle joue dans Le Jeu des 1000€ mis-en-scène par <strong>Bertrand Bossard </strong>au CENTQUATRE et en tournée.</p> <p>  </p> <p> <img alt="Yoan" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/16724/Yoan.jpg"></p> <p> <strong>YOAN CLAVEAU DE LIMA - Créateur Lumière</strong></p> <p> Yoan Claveau de Lima est architecte, mais quand il met de côté son casque de chantier c’est pour endosser d’autres rôles, toujours dans l’ombre en bon concepteur. Fasciné par certains traits de son travail, il aime se confronter au volume et sa pratique par plusieurs moyens et le proposer à autrui. Il privilégie les arts plastiques qu’il considère comme un média pour pousser ses expériences et ses pulsions et en appréhender le résultat. La scénographie et les commandes lumières en font partie. En adéquation avec son associé G.Delhomme ils oeuvrent autant qu’ils le peuvent à la création de situations par la maîtrise des interfaces qu’ils diffusent au public au passants et si possible à leurs clients.</p> <p> Diplômé de l’ENSA Paris-la-Villette avec comme patron d’atelier <strong>Xavier Juillot </strong>du pôle Arts Architecture et Scénographie. </p> <p>  </p> <p> Travaux en cours : </p> <p> - Création de l’atelier d’architecture CABINET CABINET avec Guilhem Delhomme à Montpellier</p> <p>  </p> <p> <img alt="Julie" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/16720/Julie.jpg"></p> <p> <strong>JULIE COLLOMB</strong><strong> - </strong><strong>Interprète</strong></p> <p> Julie Collomb est née en 1987.</p> <p> Elle grandit dans une famille nombreuse de la banlieue lyonnaise.</p> <p> Après un Bac littéraire, elle intègre la Formation professionnelle d'acteurs de La Scène sur Saône, puis la promotion 18 de l'Ecole Régionale d'Acteur de Cannes.</p> <p> Depuis sa sortie en 2010, elle a joué Agnès dans <u>L'école des Femmes</u> de <em>Molière</em>, mise en scène par <strong>Danielle Majeur.</strong></p> <p> Elle poursuit également le travail sur <u>Quelque Chose de Commun... </u>menée par Juliette Peytavin.</p> <p> Maman depuis 2012, Julie Collomb est particulièrement intéressée par le travail sur le Clown.<em>.</em></p> <p>  </p> <p> <img alt="Guilhem" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/16721/Guilhem.jpg"></p> <p> <strong>GUILHEM DELHOMME - Créateur son</strong></p> <p> Guilhem Delhomme termine ses études d’architecture en 2010 à l’ENSA de Paris-La Villette, où le pôle Art et Scénographie l’amène à approcher différents modes de conception, différents médiums dans des lieux post-industriels ou urbains. Regroupé par goût commun pour un certain situationnisme, il collabore actuellement avec Yoan Claveau de Lima, architecte, sous l’appellation Y&amp;G. Leurs mises en oeuvres s’exercent, par modifications spatiales des lieux de vie, à une déstabilisation des comportements pré-établis, des usages et de l’utilisation commune des sens, et cela via tous types de support. C’est dans le cadre d’une application sonore qu’il prend le nom de <strong>Sant Axurit,</strong> couverture qui lui permet de diffuser électroniquement son appréciation des basses fréquences, de la bass music, et de ses influences anglaises et jamaïcaines. Procédant en live, grâce au sampling, au processing et à quelques machines, il parvient à extraire des ambiances sombres, minimales et déstructurées. </p> <p>  </p> <p> Travaux en cours : </p> <p> - Création de l’agence d’architecture CABINET CABINET avec Yoan Claveau de Lima à Montpellier </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Benjamin" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/16722/Benjamin.jpg"></p> <p> <strong>BENJAMIN FARFALLINI</strong><strong> - </strong><strong>Interprète</strong></p> <p> Après un baccalauréat littéraire avec option cinéma audiovisuel,  il entre au conservatoire de Nice en section art dramatique. Il suit en parallèle les ateliers du Théâtre National de Nice avec <strong>Frédéric De Goldfiem</strong>. Il réussit le concours d’entrée à l’Ecole Régionale d’Acteur de Cannes en 2007. Pendant les trois ans de formation il suit des stages avec <strong>Catherine Marnas, Nadia Vonderheyden, Gildas Milin.</strong> En 2011, il interprète <u>Ricky Pompon</u> dans la pièce jeune public du même nom, et joue dans <u>Le jeu des mille euros,</u> pièces écrites et mises en scène par <strong>Bertrand Bossard</strong>. </p> <p>  </p> <p> <img alt="Photo31_31__2_" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/27939/Photo31_31__2_.jpg"></p> <p>  </p> <p> <strong>ANTOINE FORMICA - Interprète</strong></p> <p> Antoine Formica intègre en 2007 l’école régionale d’acteurs de cannes. Durant sa</p> <p> formation il a travaille notamment sous la direction de <strong>Gildas Millin, Alain Zaepffel Nadia Vonderheyden Catherine Marnas.</strong></p> <p> En 2010 il a joue dans<u> le journal d’un fou </u>de <em>Nikolaï Gogol</em> mis en scène par<strong> Mikael Teyssié </strong>en tourné avec les comédiens de sa promotion.</p> <p> Antoine est admis comme élève-comédien à la Comédie Française de juin 2010 à fin juillet 2011.</p> <p> Il a joué dans <u>L’avare</u> de <em>Molière</em> mis en scène <strong>par Catherine Hiegel</strong>, <u>les Oiseaux</u> d’<em>Aristophane</em> mis en scène par <strong>Alfredo Arias</strong>, <u>Les Habits Neufs de l’empereur</u> mis en scène <strong>par Jacques Allaire</strong>, <u>Un Fil à la patte</u> mis en scène par <strong>Jérome Deschamps </strong>et dans <u>l’Opéra de Quat’sous</u> mis en scène par <strong>Laurent Pelly</strong>.</p> <p> A la fin de cette année, dans le cadre des cartes blanches des élèves, il joue dans <u>Peanuts</u> de <em>Fausto Paravidino</em> mis en scène par <strong>Marie-Sophie Ferdanne</strong> et <u>Pauvre Julien</u> de <em>Jehan Rictus</em> mis en scène par <strong>Félicien Juttner</strong>.</p> <p> En 2011 il est réengagé pour jouer dans <u>Le Malade Imaginaire</u> mis en scène par <strong>Claude Stratz</strong> en tournée à Séoul, Pékin et Taiwan.</p> <p> Il joue également dans <u>Norma Jean</u>, adaptation du roman de <em>J.C Oates</em> mis en scène par <strong>John Arnold</strong>.</p> <p> Il a également travaillé avec <strong>Pascal Rambert</strong> pour le court-métrage début en 2006.</p> <p>  </p> <p> <img alt="Maxime" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/16723/Maxime.jpg"></p> <p> <strong>MAXIME MIKOLAJCZAK</strong><strong> - </strong><strong>Interprète</strong></p> <p> Après avoir étudié au conservatoire de Bordeaux en 2005, Maxime Mikolajczak se forme l’ERAC de 2006 à 2009 avec <strong>Simone Amouyal, Richard Sammut, Christian Esnay, Guillaume Vincent, Didier Galas</strong>...Par la suite, il travaille avec <strong>Bérengère Jannelle</strong> sur <u>Amphitryon</u> de <em>Molière</em>, <strong>Stephane Olivié-Bisson </strong>sur <u>Caligula</u> d'<em>Albert Camus,</em> <strong>Maïa Jarville</strong> dans une adaptation d'un roman de <em>Christian Bobin</em>, <u>Tout le monde est occupé</u>. Il collabore également avec le chorégraphe<strong> Nasser Martin-Gousset </strong>dans sa dernière création <u>Le visisteur</u>. C'est en 2011 qu'il participe à la création de <u>"Quelque Chose de Commun..."</u>, mis en scène par Juliette Peytavin.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="_n3g6488" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/16712/_N3G6488.jpg"></p> <p> <strong>ROMANE PEYTAVIN</strong><strong> - </strong><strong>Interprète</strong></p> <p> Depuis son plus jeune âge, Romane s'est destiné à la danse.</p> <p> Elle se forme au conservatoire régional de Montpellier en section danse contemporaine, au près    </p> <p> de <strong>Michel Rust, Jean-Pierre Alvarez, Rita Quaglia </strong>et <strong>Eve Jouret.</strong></p> <p> Elle obtient son Certificat d'Etude Chorégraphique en 2011 (mention très bien), et son Baccalauréat technique musique danse en 2012 (mention très bien).</p> <p> Le travail de stage ponctuel avec <strong>Leonardo Monteccia, Rita Cioffi, Mittia Fendotenco, Mathilde Monnier, Maguy Marin, Hélène Catala</strong>, la découverte de la danse Odissi avec <strong>Lingaraj Pradham</strong> et de la danse Gaga avec <strong>Ohad Naharin </strong>ont été décisifs dans sa recherche professionnel.</p> <p> En 2010, lors du lancement de la première Zat à Montpellier, elle travaille avec <strong>Willy Dorner</strong> dans <u>Body Espace.</u> A partir de 2011, elle est interprète dans <u>"Quelque Chose de Commun..."</u> chorégraphié par Juliette Peytavin. En 2012, elle participe a la création de <u>Kinès</u> réalisé par Maxime Avron et en 2013 elle organise le festival des Hors-Lits à Paris avec le Collectif Nitchevo.</p> <p>  </p> <p> <img alt="Juliette" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/16725/Juliette.jpg"></p> <p> <strong>JULIETTE PEYTAVIN - Metteur en scène / Chorégraphe</strong></p> <p> Née en 1987, Juliette Peytavin associe danse et théâtre dans son expérience de la scène. Elle se forme en danse avec <strong>Maryline Ferro</strong>, et <strong>Léonardo Montecchia</strong> avec lequel elle danse dans <u>L’autre création </u>montée en 2007, elle prend de nombreux cours auprès notamment de <strong>Lila Greene, Fabrice Ramalingom </strong>et <strong>Maya Brosch</strong>. Quand au théâtre, elle débute avec la poète <strong>Brigitte Baumié</strong> puis avec la compagnie <u>Tire pas la nappe</u>, ensuite elle rentre au Conservatoire d’art dramatique de Montpellier sous la direction d’<strong>Ariel Garcia-Valdès</strong>, ou elle travaille avec <strong>Yves Ferry, Hélène de Bissy</strong> et <strong>Sébastien Lagord.</strong></p> <p> Cette jeune comédienne intègre en 2007 l’Ecole Régionale d’Acteur de Cannes, ou elle profitera d’un enseignement dense et varié auprès d’intervenants comme<strong> Catherine Marnas, </strong><strong>Gildas Milin </strong>ou <strong>Nadia Vonderheyden.</strong> Cette école sera aussi le ferment de rencontres essentielles avec ses camarades de promotion, rencontres qui l’entraîneront vers la mise en scène avec <u>« Quelque chose de commun… »</u> ou la question du lien entre ses deux formations se posera concrètement.</p> <p> Comme actrice elle travaille avec <strong>Cécile Backès, Olivier Balazuc, Brigitte Baumié.</strong></p> <p>  </p> <p> <img alt="Issam" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/16726/Issam.jpg"></p> <p> <strong>ISSAM RACHYQ-AHRAD</strong><strong> - </strong><strong>Interprète</strong></p> <p> Issam commence le théâtre au Conservatoire de Bordeaux à l’âge de 21ans en parallèle de ses études en droit, qu'il abandonnera rapidement pour se consacrer pleinement au théâtre. En 2007 il intègre l’ERAC ou pendant trois ans il travaille avec divers metteurs en scène. Dès sa sortie d’école, il fait partie de la création de <u>J’ai 20 ans qu’est ce qu’il m’attend?</u> mise en scène par <strong>Cécile Backes</strong>. Il travaille également avec <strong>Ahmed Madani </strong>sur <u>Illuminations</u>, et participe à de nombreux courts-métrages.</p>

À quoi servira la collecte

<p> Les recettes du festival iront directement au <strong>salaire des interprètes.</strong></p> <p> Pour leur assurer un salaire convenable, la compagnie a fait des demandes de subventions auprès de collectivités publiques.</p> <p> La SPEDIDAM a répondu : ils nous soutiennent dans notre aventure Avignonnaise. </p> <p>  </p> <p> Le Théâtre <u>Au bout là-bas</u>, en Avignon nous fait un don qui nous permettra de payer <strong>l'assurance et la communication ( tracts / affiches ). </strong></p> <p>  </p> <p> Nous créons donc cette collecte pour : </p> <p>  </p> <p> La location du théâtre _ <strong>6500 €  </strong></p> <p> et</p> <p> L'achat des costumes et des décors _ <strong>500 €</strong></p> <p> ( sable + polyane + scotch + rampe fluo ) <strong>      </strong></p> <p>  </p> <p> Tout ce qui dépassera des 7000€, sera pour notre logement durant le festival.</p>

Contreparties

10 €

  • 21 contributions
Un grand Merci + Une très belle photo du spectacle dédicacée

20 €

  • 50 contributions
Un grand Merci + Le pin's de La Nivatyep Cie + Contrepartie précédente

50 €

  • 45 contributions
Un grand Merci + Une invitation au spectacle + Contreparties précédentes

100 €

  • 16 contributions
Un grand Merci + Le sac de la Nivatyep Cie + Une répétition ouverte pour vous + Contreparties précédentes

250 €

  • 2 contributions
Un grand Merci + Une deuxième invitation au spectacle + Un verre partagé avec l’équipe à la fin d'une représentation + Contreparties précédentes

500 €

    Un grand Merci + Une imitation de votre chanteur ou acteur préféré dans le spectacle le soir ou vous assistez à une représentation + Contreparties précédentes

    1 000 €

      Un grand Merci + Une vidéo dédicacée par l’équipe + Contreparties précédentes

      3 500 €

        Un grand Merci + Une soirée avec toute l'équipe du spectacle + Contreparties précédentes

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