Sugar Lake

Pièce de Lee Blessing, mise en scène de Béatrice Agenin. Création Festival D'Avignon off 2014.

Visuel du projet Sugar Lake
Réussi
53
Contributions
27/06/2014
Date de fin
6 005 €
Sur 6 000 €
100 %

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Avignon Festival & Compagnies - le OFF

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Sugar Lake

<p>  </p> <iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="405" src="//cdn.embedly.com/widgets/media.html?src=http%3A%2F%2Fwww.youtube.com%2Fembed%2FFsPjT3rizRo%3Fwmode%3Dopaque%26feature%3Doembed&amp;wmode=opaque&amp;url=http%3A%2F%2Fwww.youtube.com%2Fwatch%3Fv%3DFsPjT3rizRo&amp;image=http%3A%2F%2Fi1.ytimg.com%2Fvi%2FFsPjT3rizRo%2Fhqdefault.jpg&amp;key=ff2702755d9749cda571c6d6c2f3eb46&amp;type=text%2Fhtml&amp;schema=youtube" width="540"></iframe> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="405" src="//cdn.embedly.com/widgets/media.html?src=http%3A%2F%2Fwww.youtube.com%2Fembed%2F6cSsYSndGLE%3Fwmode%3Dopaque%26feature%3Doembed&amp;wmode=opaque&amp;url=http%3A%2F%2Fwww.youtube.com%2Fwatch%3Fv%3D6cSsYSndGLE&amp;image=http%3A%2F%2Fi1.ytimg.com%2Fvi%2F6cSsYSndGLE%2Fhqdefault.jpg&amp;key=ff2702755d9749cda571c6d6c2f3eb46&amp;type=text%2Fhtml&amp;schema=youtube" width="540"></iframe> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Pourquoi j’aime la pièce et j'ai voulu la monter</strong></p> <p>  </p> <p> <em>Reach : Je tue des femmes, vous savez !</em></p> <p> <em>Iris : Je sais.</em></p> <p>  </p> <p> "C’est la troisième pièce de Lee Blessing que je monte. La première, <em>Indépendance</em>,  était un coup de cœur.  C’était une pièce sur l’enfance : une mère manipulatrice empêchait ses filles de grandir et de la quitter. Son pouvoir destructeur avait pour arme le double discours qui rend fou.</p> <p> Lee Blessing est venu en France et m’a confié la deuxième pièce : <em>En allant à Saint Ives</em>.  La mère d’un tyran africain demandait à un médecin du poison pour tuer son fils. Le crime n’est jamais loin dans les pièces de Blessing. Son Théâtre met en scène des personnages tendus entre le Bien et le Mal.</p> <p> «  Sugar Lake »  parle du pouvoir des médias. Bill Reach est un héros. Il a tué dix neuf personnes. On écrit sur lui, on l’interviewe, il reçoit des lettres d’admiratrices, il fascine. Il est en prison, mais cela ne l’empêche pas de se prendre pour Dieu. A la journaliste qui l’interroge sur la motivation de ses crimes, il demande : «  Qui serez-vous dans 100 ans ? ». Bill Reach se sent unique, supérieur au commun des mortels, invulnérable. Le corps social que représentent les médias, lui permet de se construire une identité narcissique jusqu’à la reconnaissance.</p> <p>  </p> <p> Le crime est à l’honneur, en couverture des magazines. Et pas seulement dans les journaux à sensation. Sur la première page du Nouvel Observateur en Aout 2011, un homme, l’œil rivé sur la lunette de son fusil, s’apprête à tuer 80 personnes.  Un cercle rouge encadre sa photo.</p> <p> «  Il faut vendre ce livre, il y a de la concurrence dehors » dit le tueur dans la pièce. Blessing s’interroge sur le monde dans lequel il vit. Notre monde. Un monde où la criminalité devient un des éléments  de notre société de loisirs. Se faire peur à bon compte à travers la télévision, les livres, la presse, un monde de consommation, où nos désirs sont multipliés par la publicité. </p> <p> Dans ce monde, le discours médiatique sur le crime ne relève d’aucun déterminisme, d’aucune  conspiration, c’est seulement un produit d’industrie.</p> <p> Le crime a toujours interrogé l’être humain. On préfère l’image du monstre qui ne nous ressemble pas, de crainte de franchir soi-même le tabou. L’image du monstre est très rassurante parce qu’elle  nous éloigne du vertige que nous pourrions éprouver en approchant de trop près nos propres pulsions. Les plus grands écrivains ont écrit sur la transgression de ce tabou pour en chercher les causes. Mais Lee Blessing va plus loin. La journaliste attend un enfant et, face au monstre, elle est obligée de prendre parti.</p> <p> J’aime ce Théâtre, jamais tranquille. J’aime ces personnages qui tentent de trouver des réponses en se heurtant à la société qui les entoure. Lee Blessing interroge nos consciences, et va à l’extrême du supportable pour nous obliger à nous positionner. J’aime le personnage d’Iris qui me fait penser à cette journaliste, Laurence Lacour, qui, après avoir couvert l’affaire Grégory, a abandonné son métier pour se consacrer à une autre mission plus humaine, plus authentique, qui ne la contraignait pas à mentir pour être plus percutante que ses collègues. Elle avait rencontré la mère du petit enfant noyé, et touchée par cette femme, elle a choisi de quitter le journalisme tel qu’il est pratiqué dans les affaires criminelles. Iris est de cette trempe-là."</p> <p> <em>Béatrice Agenin</em></p> <p>  </p> <p> <img alt="Extraits_de_presse_independance" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/86307/Extraits_de_presse_Independance.jpg"></p> <p>  </p> <p> <img alt="Extraits_de_presse_saint_ives" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/86309/Extraits_de_presse_Saint_Ives.jpg"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Résumé</strong></p> <p>  </p> <p> Iris et Dan Henniman, un couple de journalistes, mariés depuis peu de temps, ont passé un contrat avec un éditeur pour écrire un livre sur un célèbre serial killer, William Reach. Leur démarche est de comprendre ce type de personnalité afin de mieux s’en prémunir. Mais Reach soutenu par l’éditeur refuse les questions qui touchent à son identité.</p> <p> La pièce se déroule alternativement dans le parloir d’une prison, où ont lieu les interviews avec Reach, et dans la chambre d’un motel, perdu dans une contrée désertique des Etats-Unis, où le couple à dû s’exiler pour rester proche de la prison. </p> <p> Iris et Dan s’aiment et Iris tombe enceinte.</p> <p> Au fur et à mesure des interviews, les journalistes prennent conscience qu’ils sont manipulés par le tueur en série, arrogant et sans scrupule. Dan et Iris qui croyaient écrire pour le bien de l’humanité, se voient contraints de suivre le sensationnalisme de leur temps. Leur éthique est mise à mal par ce qu’ils voulaient combattre. Quel est ce monde dans lequel leur enfant va naître ? Le métier de journaliste qu’ils ont choisi a t’il quelque chose à voir avec l’homme qui, face à eux,  prétend être tout puissant, parce qu’il sème des cadavres sur la route de Sugar Lake ? </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Mise en scène</strong></p> <p>  </p> <p> <em>Si tu regardes longtemps un abîme, l’abîme regarde aussi longtemps en toi.  (Nietzsche)</em></p> <p>  </p> <p> Une prison, un motel, deux espaces scéniques sur un même plateau. Alternativement, les scènes, courtes, se succèderont, rapides, tendues, pour créer l’asphyxie. Dans les noirs, imperceptiblement, la chambre du motel disparaitra au profit de la prison, le lit d’abord, symbole de l’amour du couple, puis l’espace tout entier, happé, hanté, par la présence du tueur, qui s’immisce jusque dans les consciences des deux journalistes. Il n’y aura plus à la fin qu’une table et trois chaises, et ces trois jeunes gens, confrontés au vide.</p> <p> Peu d’éléments de décor, mais une tension extrême dans la direction d’acteurs et dans le travail de la lumière.</p> <p>  </p> <p> <strong>L'auteur : Lee Blessing</strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> Lee Blessing est né à Minneapolis en 1949. Il a obtenu un double Master en poésie et en écriture dramatique à l'Université d'Iowa. Il vit et travaille à New York, USA.</p> <p> Il est l’auteur de nombreuses pièces : <em>The Real Billy The Kid, The Authentic Life of Billy the Kid, Nice People Dancing to Good Country Music, Independence, Riches (</em>ou <em>War of the Roses), Eleemosynary, Oldtimers Game, </em><a href="http://en.wikipedia.org/wiki/A_Walk_in_the_Woods_(play)"><em>A Walk in the Woods</em></a>, <em>Two Rooms, Cobb, Down the Road</em>, <a href="http://en.wikipedia.org/wiki/Fortinbras"><em>Fortinbras</em></a>,<em> Lake Street</em> <em>Extension</em>,<em> Patient A, Going To St. Ives</em>, <em>Chesapeake</em>, <em>The Winning Streak</em>, <em>Thief River, Black Sheep</em>, <em>The Roads That Lead Here, Whores</em>, <em>Snapshot</em>, <em>Tyler Poked Taylor</em>, <em>Flag Day</em>, <em>The Scottish Play, A Body of Water, Lonesome Hollow, Moderation, Great Falls, Perilous Night, Into You, Heaven's My Destination, </em><em>Courting Harry</em>.</p> <p> Il a obtenu de nombreuses récompenses parmi lesquelles l’<a href="http://en.wikipedia.org/wiki/John_F._Kennedy_Center_for_the_Performing_Arts"><strong>American College Theater Festival Award</strong></a> (1979)<em>, </em>le <strong>Jerome Foundation Grant</strong> (1981, 1982), le <strong>McKnight Foundation Grant</strong> (1983, 1989)<em>, </em>le <a href="http://en.wikipedia.org/wiki/Humana_Festival_of_New_American_Plays"><strong>Great American Play Award</strong></a> pour<em> Oldtimers Game</em> (1982), <em>Independence</em> (1984),<em>War of the Roses</em> (1985)<em>, Down the Road</em> (1991)<em>, Snapshot</em> (2002)<em>, The Roads that Lead Here</em> (2003)<em>, Great Falls</em> (2008)<em>, Wild Blessings</em> (2009, le <a href="http://en.wikipedia.org/wiki/National_Endowment_for_the_Arts"><strong>National Endowment for the Arts Grant</strong></a> (1985, 1988)<em>, l</em>e <strong>Bush Foundation Fellowship</strong> (1987)<em>, </em>le <strong>American Theater Critics Association Award </strong>pour <a href="http://en.wikipedia.org/wiki/A_Walk_in_the_Woods_(play)"><em>A Walk in the Woods</em></a> (1987)<em>, A Body of Water</em> (2006)<em>, Great Falls</em> (Citation, 2009)<em>, </em>le <strong>Marton Award</strong> (1988)<em>, </em>le <strong>Dramalogue Award</strong> (1988), et le <a href="http://en.wikipedia.org/wiki/Guggenheim_Fellowship"><strong>Guggenheim Fellowship</strong></a> (1989)</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>L'adaptateur : François Bouchereau</strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> François Bouchereau est médecin. Il a exercé en hôpital psychiatrique, a participé aux débuts d’Urgence-Psychiatrie, a exercé en médecine générale et au SAMU de Paris, a travaillé en Afrique et au Moyen-Orient, a coordonné et effectué de nombreuses missions sanitaires dans le monde entier pour Europ-Assistance, a été directeur médical de Medic’Air International et travaille actuellement pour International SOS.</p> <p> Auteur de dix-neuf pièces radiophoniques (de 30 ou 45 minutes), pour les Dramatiques de minuit, pour Les Tréteaux de la nuit et pour Nuits Noires sur France-Inter ainsi que pour Histoires d’un soir sur Radio-Bleue.</p> <p> Parmi les interprètes de ses pièces : Annie Girardot, Jean-Pierre Cassel, Béatrice Agenin, Michel Aumont, Bernard-Pierre Donnadieu, Henri Courseaux, Annick Blancheteau, Michel Beaune…</p> <p> Il a adapté trois pièces de Lee Blessing : <em>Indépendance,</em> crée au Théâtre 13 avec une tournée en France, en Belgique et en Suisse, <em> En allant à Saint-Ives,</em> crée au Festival de Spa et reprise au Théâtre Marigny en 2006, avec une tournée en France et Belgique, et<em> Sugar Lake.</em></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Mise en scène : Béatrice Agenin</strong></p> <p>  </p> <p> <strong><img alt="Photo_agenin" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/86312/PHOTO_AGENIN.JPG"></strong></p> <p>                                               </p> <p> Après un second prix au Conservatoire national supérieur d’art dramatique, elle entre  à la Comédie- Française et devient sociétaire  de 1976 à 1984. Elle y joue Marivaux, Molière, Musset, Calderon, Racine, Corneille… Sa rencontre avec Jean-Paul Roussillon sera déterminante pour elle.</p> <p> Elle joue aux côtés de Jean-Paul Belmondo, « Kean » et « Cyrano de Bergerac », joue Feydeau, Saunders, Edward Albee, puis crée sa compagnie pour monter et jouer «  Les femmes savantes » de Molière, « Les Sincères  et l’Epreuve » de Marivaux, et deux pièces de l’auteur contemporain américain, Lee Blessing : « Indépendance » et « En allant à Saint Ives ».  </p> <p> Elle a tourné pour la télévision et le cinéma, entre autres avec Edouard Molinaro, Pierre Granier-Deferre, Steve Suissa, et on la voit depuis une vingtaine d’années dans la série «  Une famille Formidable » de Joël Santoni.</p> <p> Actuellement elle prépare un «  Cabaret » sur la chanteuse Barbara au Studio Théâtre de la Comédie- Française pour Septembre 2014.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Constance Dollé est <em>Iris Henniman</em></strong></p> <p>  </p> <p> <strong><em><img alt="Photo_constance" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/86313/PHOTO_CONSTANCE.JPG"></em></strong></p> <p>                                              </p> <p> Après avoir obtenu une maîtrise de philosophie, elle commence à suivre des cours d'art dramatique au conservatoire du Xe arrondissement de Paris puis elle intègre la classe libre du cours Florent. Elle commence alors à travailler au théâtre : <em>Le Bel Air de Londres</em> au <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9%C3%A2tre_de_la_Porte-Saint-Martin" title="Théâtre de la Porte-Saint-Martin">théâtre de la Porte-Saint-Martin</a> avec    <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Robert_Hirsch_%28acteur%29" title="Robert Hirsch (acteur)">Robert Hirsch</a> et <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Marina_Hands" title="Marina Hands">Marina Hands</a>, puis au <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9%C3%A2tre_de_l%27Atelier" title="Théâtre de l'Atelier">théâtre de l'Atelier</a> dans <em>Le malin plaisir </em>mis en scène par <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Jacques_Lassalle" title="Jacques Lassalle">Jacques Lassalle</a> aux côtés d'<a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Elsa_Zylberstein" title="Elsa Zylberstein">Elsa Zylberstein</a> et de <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/B%C3%A9atrice_Agenin" title="Béatrice Agenin">Béatrice Agenin</a>,  suit <em>Cinq filles couleur pêche</em>, toujours au théâtre de l'Atelier, avec <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Ir%C3%A8ne_Jacob" title="Irène Jacob">Irène Jacob</a>, <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Camille_Japy" title="Camille Japy">Camille Japy</a> et <a href="http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=%C3%89lisabeth_Vitali&amp;action=edit&amp;redlink=1" title="Élisabeth Vitali (page inexistante)">Élisabeth Vitali</a>.</p> <p> Parallèlement elle joue à la télévision sous la direction de Thierry Binisti avec qui elle tournera plusieurs fois, <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Richard_Bohringer" title="Richard Bohringer">Richard Bohringer</a>, Stéphane Kappes, Renaud Bertrand, Élisabeth Rappeneau, <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Denys_Granier-Deferre" title="Denys Granier-Deferre">Denys Granier-Deferre</a> (<em>Clémentine</em>), <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Raoul_Peck" title="Raoul Peck">Raoul Peck</a> (<em><a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/L%27Affaire_Villemin" title="L'Affaire Villemin">L'Affaire Villemin</a></em>). </p> <p> Au cinéma, c'est <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/G%C3%A9rard_Jugnot" title="Gérard Jugnot">Gérard Jugnot</a> qui lui offre son premier grand rôle au côté de <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/G%C3%A9rard_Depardieu" title="Gérard Depardieu">Gérard Depardieu</a> et <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Catherine_Frot" title="Catherine Frot">Catherine Frot</a> dans <em><a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Boudu" title="Boudu">Boudu</a></em>, puis elle travaille avec <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Philippe_Le_Guay" title="Philippe Le Guay">Philippe Le Guay</a>, <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Michel_Boujenah" title="Michel Boujenah">Michel Boujenah</a>, <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Andr%C3%A9_T%C3%A9chin%C3%A9" title="André Téchiné">André Téchiné</a>...</p> <p> Depuis 2008 elle est Suzanne dans la série <em>Un village français</em> sur France 3 et inaugure la série fantastique<em> Les revenants</em> sur Canal plus, saluée à la fois par un grand succès d'audience et par la critique.</p> <p> Après avoir réalisé son premier court métrage <em>Femme de personne</em>, elle fait un retour remarqué au théâtre dans <em>Sunderland</em> de l'auteur Clément Koch mis en scène par Stéphane Hillel au petit théâtre de Paris  puis dans <em>Le dindon</em> mis en scène par Bernard Murat et retransmis en direct sur France 2 au printemps 2012. </p> <p> Cet automne elle était sur la scène du théâtre Hébertot dans <em>Le plus heureux des trois</em> mis en scène par Didier Long.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Emmanuel Noblet est <em>Dan Henniman</em></strong></p> <p>  </p> <p> <strong><em><img alt="E.noblet" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/86316/E.Noblet.jpg"></em></strong></p> <p>  </p> <p> Au théâtre il joue Racine, Shakespeare, Corneille, Marivaux, Garcia-Lorca, Andreïev, Durif, Puig, Slavkine, Lagarce… Il travaille sous la direction de Silviu Purcarete, David Gauchard, Maurice Attias, Paul Golub, Alain Bézu, Catherine Delattres, Sophie Lecarpentier, Didier Long, Yann Dacosta, Catherine Hiegel. Avec Thierry Collet il joue en tant que magicien.</p> <p> Récemment, il était aux côtés de François Morel dans « Le Bourgeois Gentilhomme » de Molière mis en scène par Catherine Hiegel, 200 représentations au Théâtre de la Porte St Martin et en tournée.</p> <p> Talent Cannes ADAMI en 2004, il tourne dans de nombreux téléfilms dont « L’Affaire Villemin » (Raoul Peck), « SCALP » série de Canal+ (Xavier Durringer et Jean-Marc Brondolo) et la comédie « Au bas de l’échelle » (Arnaud Mercadier).</p> <p> Au cinéma il joue dans « La Conquête » de Xavier Durringer et « La fille de nulle part » de J.C. Brisseau (Léopard d’Or 2012).</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Gaël Giraudeau est <em>William Reach</em></strong></p> <p>  </p> <p> <strong><em><img alt="Gael_giraudeau" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/86318/GAEL_GIRAUDEAU.jpg"></em></strong></p> <p>  </p> <p> Après avoir été créateur d'univers dans le jeu vidéo, Gaël se lance dans une formation de comédien pendant 2 ans au QG, école de théâtre, entre 2010 et  2011, sous la direction entre autres d'Yves Pignot, Daniel Berlioux et Gregory Questel. Il continue aujourd'hui à suivre des cours de chant et de danse. En 2011, il tourne une série de formats courts burlesques pour internet avec les réalisateurs Najar et Perrot, nommés les "Jeudis de Luce". </p> <p> Il compose plusieurs personnages dans une comédie, "Le vernissage", qui s'est jouée au théâtre Clavel en 2012.</p> <p> Il joue ensuite dans une capsule nommée "Retour à la vie" en mai 2013, un drame se déroulant à la fin de la seconde guerre mondiale, avec  le duo Bernard Malaka et François Dunoyer. </p> <p> Puis dans une comédie à Avignon en juillet 2013, nommée "Super moi", création originale écrite par Olivier Balu.</p> <p>  </p> <p> <strong>Ce spectacle est produit par la Compagnie M.E.L.O.D.I, les productions du Levant et ID Production</strong></p>

À quoi servira la collecte

<p> Cette collecte nous permettra de prendre en charge la moitié des frais de transports, repas et hébergement, pour 5 personnes sur la totalité du mois de juillet et pour 3 personnes supplémentaires (assistante, créateur lumière, décorateur) pour les jours de montage. Ces frais s'élèvent à 12 000 euros :</p> <p>  </p> <p> 6 000 euros pour les logements</p> <p> 3 500 euros pour les repas (20 euros jour/ personne)</p> <p> 1 500 euros de transports pour l'équipe</p> <p> 1 000 euros pour le transport du décor aller/retour depuis Paris</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> A titre informatif, le budget global pour la production et l'exploitation du spectacle à Avignon (23 représentations) s'élève à 66 840 euros</p>

Contreparties

10 €

  • 4 contributions
Nos remerciements

20 €

  • 6 contributions
Une affiche du spectacle et nos remerciements

30 €

  • 10 contributions
Une invitation à une des représentations et les contreparties précédentes

60 €

  • 6 contributions
Deux invitations et les contreparties précédentes

100 €

  • 5 contributions
Le texte adapté en français de la pièce et les contreparties précédentes

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