Tournage Clip STATION

<object height="185" width="100%"> <param name="movie" value="http://player.soundcloud.com/player.swf?theme_color=EFECEA&color=039&sharing=false&font=arial&download=false&show_comments=false&url=http%3A%2F%2Fsoundcloud.com%2Feliott-manceau%2Fsets%2Fstation"></param> <param name="allowscriptaccess" value="always"></param> <param name="wmode" value="opaque"></param> <embed src="http://player.soundcloud.com/player.swf?theme_color=EFECEA&color=039&sharing=false&font=arial&download=false&show_comments=false&url=http%3A%2F%2Fsoundcloud.com%2Feliott-manceau%2Fsets%2Fstation" allowscriptaccess="always" height="185" wmode="opaque" type="application/x-shockwave-flash" width="100%"> </embed> </object> <p> </p> <p><strong>STATION : LA BIO</strong></p> <p> </p> <p>A force de déjouer les caprices horaires du Réseau Ferré Régional entre NANTES et RENNES d’où ils sont originaires, il fallait bien que ces cinq-là volent un peu de leur temps perdu de gare en gare à cette station assise dont ils ont usé les fonds de leur jeans <em>slims</em> à composer sur leurs guitares, les hymnes de leurs conjointes retrouvailles.</p> <p> </p> <p>STATION donc, afin de faire le pont entre attentes muées en savantes mélodies, référence certaine aussi au <em>Thin Withe Duke</em>, période <em>Golden Years,</em> dont ils portent tous les cinq, la fraîcheur des années d’or. Celles où l’utopie s’enjoint parfois de l’éclat du miroir renvoyé au portrait de Dorian Gray.</p> <p> </p> <p><em>Mirror-Mirror</em> pourraient t’ils chanter à l’unisson, reprenant le choral d’<em>Arcade Fire</em>, dont ils écumèrent pendant deux saisons les concerts en France et Outre-Manche. Retour forcé à l’inconfortable station couchée dans les petites gares des districts de Londres et autres cités festivalières, pour toujours revenir sur St Pancras via King’s Road et arpenter sagement Camden, ses boutiques de fringues seventies, sans passer par la case taxi.</p> <p> </p> <p>C’est avec cette fascination tournée vers l’énergie anglaise, sa légende forgée des trouvailles dont ils se nourrissent tels d’avides orpailleurs, que leur langue s’est heurtée à l’évidence naturelle de l’idiome.</p> <p> </p> <p>Du temps à attendre donc, tous et tout à la musique, à son alchimie fédératrice revendiquée dans cette intuitive référence qui s’affranchit d’une élégance toute nouvelle.</p> <p> </p> <p>A l’origine, c’est en découvrant ses reprises postées sur <em>Dailymotion</em> pour un projet de théâtre, que le metteur en scène Renaud Cojo a flairé le potentiel des capacités vocales et l’évidence de la présence scénique de Eliott.</p> <p> </p> <p>« Enrôlé » (dans son propre rôle) par l’artiste, à participer à sa création <em>Et Puis J’ai Demandé à Christian de Jouer L’Intro de Ziggy Stardust</em>, spectacle-performance axé sur la figure du double chez David Bowie,qu’ Eliott a pu forger au rythme de la tournée (plus de cent dates entre 2009 et 2011) son expérience de la scène et son désir de porter en groupe, ses compositions sur la planète Rock’n’Roll.</p> <p> </p> <p>Aujourd’hui il amène avec lui ses comparses bretons Alex, Iwan, Brieuc et Thibaud dans l’aventure STATION, aidé du complice Cojo, qui apporte au combo sa vision de la performance, qui emprunte au théâtre d’aujourd’hui la rigueur de  son esthétique. Ce dernier confie à Christian Quermalet (<em>Yann Tiersen</em>, <em>Married Monk</em>) la production du premier CD 3 titres de STATION « I won’t be long » (Décembre 2011).</p> <p> </p> <p>Le tournage du clip du morceau éponyme est prévu pour le printemps 2012 est assuré par Renaud Cojo et entiérement tourné avec un Canon 5D Mark 2.</p> <p> </p> <p><img src="http://nsa28.casimages.com/img/2011/12/13/111213083238530476.jpg" alt="" width="563" height="374"></p> <p> </p> <p>Le <strong>scénario</strong> du clip fait voyager le groupe dans un avion reconstitué au sol à la manière des marelles pour enfants et sur fond de paysages mobiles et qui viendra se poser sur la scène d'un vieux théâtre. </p> <p> </p> <p><strong>I won't be Long</strong></p> <p>"In the explosion i cannot fake</p> <p>The girl i knew is holding my brain</p> <p>Please understand i'm not afraid</p> <p>to keep that pain deep in me</p> <p> </p> <p>If we keep standing there</p> <p>People'll try to blast our cries</p> <p>'cause they're just feeding their minds</p> <p>with the boys you cannot blind</p> <p> </p> <p>And after all, what do wee see?</p> <p>Nothing, but birds trying hard to be free</p> <p>And after all, where do we run?</p> <p>To nowhere, cause our time keeps running wild</p> <p>I won't be long</p> <p>Iwon't be long</p> <p>I won't be long, in the center of things</p> <p>i won't be long</p> <p> </p> <p>I feel i'm walking by myself</p> <p>i feel nothing around us can fall</p> <p>i feel i'm still watching your face</p> <p>for the flame's still above my head</p> <p> </p> <p>And after all, what do wee see?</p> <p>Nothing, but birds trying hard to be free</p> <p>And after all, where do we run?</p> <p>To nowhere, cause our time keeps running wild</p> <p>I won't be long</p> <p>Iwon't be long</p> <p>I won't be long, in the center of things</p> <p>i won't be long"</p> <p> </p> <p>Toutes les informations sur STATION  : http://www.ouvrelechien.com/collaborations/station.html</p> <p> </p> <p>Répétition du morceau brute : </p> <p> </p> <p> <object width="421" height="421" data="http://www.youtube.com/v/puUB9Op7B38" type="application/x-shockwave-flash"> <param name="data" value="http://www.youtube.com/v/puUB9Op7B38"> <param name="src" value="http://www.youtube.com/v/puUB9Op7B38"></object> </p> <p> </p> <p>Un aperçu du travail de Renaud Cojo (Arte Belgique)</p> <p> </p> <p> <object width="423" height="339" data="http://vimeo.com/moogaloop.swf?clip_id=20788178" type="application/x-shockwave-flash"> <param name="data" value="http://vimeo.com/moogaloop.swf?clip_id=20788178"> <param name="src" value="http://vimeo.com/moogaloop.swf?clip_id=20788178"></object> </p> <p> </p> <p> </p><h2>Qui suis-je ?</h2><p><img src="http://nsa27.casimages.com/img/2011/12/13/111213084821970465.jpg" alt="" width="210" height="315" /></p> <p>&nbsp;</p> <p><strong>Renaud Cojo</strong><br /><br /></p> <p>N&eacute; en 1966 au moment o&ugrave; David Robert Jones devient David Bowie. Renaud grandit en banlieue d&rsquo;une ville calme. Il Suit des &eacute;tudes de sociologie, socialise et s&rsquo;isole. Il cr&eacute;e son premier alias en 1990 et s&rsquo;appelle d&eacute;sormais Renaud Cojo.<br /><br /></p> <p>Com&eacute;dien, metteur en sc&egrave;ne, auteur, performeur, il rencontre le th&eacute;&acirc;tre gr&acirc;ce &agrave; la musique. En 1991, il cr&eacute;e le label Ouvre le Chien avec lequel il dirige plusieurs projets.<br /><br /></p> <p>D&rsquo;embl&eacute;e il affirme la spontan&eacute;it&eacute; de son langage en s&rsquo;opposant aux m&eacute;canismes de la repr&eacute;sentation, pour une forme esth&eacute;tique libre, et articule son travail autour de th&eacute;matiques complexes alliant des notions d&rsquo;instinct, d&rsquo;ambigu&iuml;t&eacute;, de fragmentation, d&rsquo;&eacute;bauche. (Les Taxidermistes, What in the World, Lolicom).<br /><br /></p> <p>Pour Louis de Fun&egrave;s de Val&egrave;re Novarina est cr&eacute;&eacute; en 1998 en tourn&eacute;e nationale avec Dominique Pinon et constitue une &eacute;chapp&eacute;e vers une forme plus entendue de reconnaissance th&eacute;&acirc;trale.<br /><br /></p> <p>Cojo traverse le th&eacute;&acirc;tre institutionnel en questionnant la repr&eacute;sentation de la figure humaine, son entendement monstrueux, gr&acirc;ce &agrave; sa &laquo; trilogie involontaire &raquo; . Il pr&eacute;sente en 2000 la cr&eacute;ation fran&ccedil;aise Phaedra&rsquo;s Love de Sarah Kane au Th&eacute;&acirc;tre de la Bastille. Pour le Festival d&rsquo;Avignon en 2002, il cr&eacute;e La Marche de l&rsquo;architecte de Daniel Keene et propose l&rsquo;&eacute;touffant Sniper de Pavel Hak dans un dispositif &eacute;lectro-acoustique &agrave; La Ferme du Buisson et Villeneuve d&rsquo;Ascq (Labomatic, 2005).<br /><br /></p> <p>Outre la cr&eacute;ation th&eacute;&acirc;trale, il publie le po&egrave;me-fleuve Rave/ma religion aux &eacute;ditions William Blake and Co dont il donne une version performative en 2005. Il joue dans les premiers spectacles de Michel Schweizer (Kings, Scan) et s&rsquo;agite aux c&ocirc;t&eacute;s de Patrick Robine dans Le Zootropiste au Th&eacute;&acirc;tre du Rond-Point (2005 et 2006). R&eacute;alisateur, il initie &laquo; Band In A Phone &raquo;, projet de captation filmique int&eacute;grale, via t&eacute;l&eacute;phones portables pour un concert du groupe flamand Zita Swoon.<br /><br /></p> <p>Apr&egrave;s&nbsp; la cr&eacute;ation de Elephant People (2007), pop op&eacute;ra dont la th&eacute;matique est celle des monstres forains et dont la musique est jou&eacute;e en direct sur sc&egrave;ne par The Married Monk (Discograph Label), Et puis j&rsquo;ai demand&eacute; &agrave; Christian de jouer l&rsquo;intro de Ziggy Stardust (en tourn&eacute;e europ&eacute;enne 2010/2011) propose un th&eacute;&acirc;tre-performance confrontant l&rsquo;individu &agrave; l&rsquo;instabilit&eacute; de son identit&eacute;.<br /><br /></p> <p>Dans la continuit&eacute; de ce travail, Renaud Cojo prolonge la question de l&rsquo;identit&eacute; virtuelle comme moteur d&rsquo;un th&eacute;&acirc;tre-v&eacute;rit&eacute; investissant le champ des r&eacute;seaux sociaux &agrave; travers Plus tard, j&rsquo;ai fr&eacute;mi au l&eacute;ger effet de reverbe sur &laquo; I Feel Like A Group Of One &raquo;(Suite Empire).</p> <p>&nbsp;</p> <p>Il porte pour les ann&eacute;es &agrave; venir une multitude de projets, gr&acirc;ce &agrave; de nombreuses rencontres fortuites et savamment calcul&eacute;es.<br /><br /></p> <p>"Station" appartient &agrave; ces projets hybrides qu'il souhaite mettre en place sur les saisons futures.</p>