Victor ou les enfants au pouvoir - Comédie Framboise

Aidez la Comédie Framboise à financer son spectacle ! Un drame surréaliste, drôle, dérangeant, pétillant, explosif, âcre, rythmé, corrosif !

Visuel du projet Victor ou les enfants au pouvoir - Comédie Framboise
Réussi
22
Contributions
03/06/2014
Date de fin
3 810 €
Sur 2 700 €
141 %

Victor ou les enfants au pouvoir - Comédie Framboise

<p>  <strong>RÉSUMÉ</strong></p> <p>  </p> <p> Le 12 septembre, c’est la Saint-Apollinaire, c’est aussi l’anniversaire de Victor. Aujourd’hui, Victor Paumelle, fils de Charles et Émilie Paumelle, fête ses neuf ans. Enfant unique, Victor mesure 1 mètre 80 et est « terriblement intelligent. » Mais surtout, Victor détient un secret... Serait-ce l’adultère de son père avec la voisine, Thérèse Magneau, épouse d’Antoine Magneau et mère d’Esther ? Et c’est aujourd’hui, en présence de tous – Les Paumelle, Les Magneau, le général Lonségur et la bonne Lili – que Victor a décidé de tout révéler, faisant ainsi voler en éclats : les règles, les conventions...et les vases de Sèvres. Dans cette prise de pouvoir violente, cruelle et terriblement drôle, personne n’est épargné, pas même la bonne Lili ou la petite Esther. Alors pourquoi Victor agit-il ainsi ? Au nom de quoi ? De la vérité ? Mais soudainement, Ida Mortemart, son ange de la Mort, s’invite à la fête. Après son départ, elle laisse derrière elle une sensation étrange de pourriture, de gouffre et d’angoisse...La soirée a basculé. Le secret tout juste dévoilé, Victor n’a plus d’autre choix, face au malaise grandissant des adultes, que de s’enfermer dans la douleur, jusqu’à la mort. Mais avant, il veut savoir comment on fait l’amour !</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Poulet" height="280" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/84912/Poulet.png" width="391"></p> <p>  </p> <p> <strong>NOTE D'INTENTION</strong></p> <p>  </p> <p> "Mais c’est un drame ! » Ainsi s’achève Victor ou les enfants au pouvoir, de Roger Vitrac. Un drame, certes, mais un drame surréaliste, drôle, dérangeant, pétillant, explosif, âcre, rythmé et corrosif. Victor Paumelle, fils de Charles et Émilie Paumelle, triste témoin de l’adultère de son père avec la voisine, décide de tout révéler le jour de ses 9 ans. Dans la tête de Victor, le secret est insoutenable : il en mourra. Et quand il meurt, c’est « l’enfance » qui meurt avec lui. Mais Victor n’est pas innocent. Il est omniprésent, omniscient et inquiétant. Il détient le secret, et par conséquent le pouvoir, dont il va user tout au long de la pièce. Construite en apparence comme une comédie aux allures légères, la pièce bascule peu à peu en eaux troubles, provoquant une certaine gêne, un vertige chez le spectateur, partagé entre la sensation d’en savoir trop et le désir d’en apprendre plus. Car Victor meurt avant d’avoir tout dit, et beaucoup de questions demeurent sans réponse. La mise en scène ne cherchera pas à lever le voile sur ces zones d’ombre. L’intérêt de Victor ne réside pas dans son dénouement expéditif, mais dans l’étrangeté qui s’en dégage. La tension de l’intrigue naît de ce va-et-vient constant entre ce qu’on dit et ce qu’on tait, ce qu’on montre et ce qu’on cache. Il s’agira de mettre en lumière cette dualité omniprésente tout au long de la pièce: dualité du héros, enfant de 9 ans dans un corps d’adulte, dualité des autres personnages, dualité de ton – faut-il rire ou grincer des dents ? Car il ne faut pas oublier l’aspect extrêmement jubilatoire de la pièce: malgré une atmosphère funeste, la pièce multiplie les gags burlesques. Mais le rire que nous chercherons à provoquer sera moins proche du rire vaudevillesque que du « rire absolu » dont parle Artaud, ce « rire qui va de l’immobilité baveuse à la grande secousse de larmes. » Là réside le plus bel aspect du surréalisme de la pièce : le comique comme moyen de supporter l’insupportable, l’humour comme politesse du désespoir. C’est donc avec légèreté que nous rendrons hommage à Vitrac. Nous créerons l’univers musical de la pièce dans cette optique. Au travers de comptines, de musiques sacrées réinventées – auxquelles le texte fait sans cesse référence – de chorégraphies construites autour de mouvements de répétitions de la vie quotidienne poussés jusqu’à l’absurde, nous souhaitons mener Victor au-delà d’une simple satire de la bourgeoisie. Et faire entendre sa poésie. Artaud disait: « Vous me demandez ce que j’attends de cette pièce osée et scandaleuse, c’est bien simple, j’en attends tout. » Oui, attendre tout, c’est attendre une pièce ficelée comme une partition de musique, des cris, du chant, de la danse, des bruits, des explosions et du silence ! Quel bruit peut bien faire le silence ? Quel bruit peut bien faire le secret...dans la tête de Victor ? Dans cet étrange brouhaha, un être, grand et petit, va s’exprimer, emportant avec lui la poésie surréaliste, les peintures de Dalí, les films de Buñuel et les cadavres exquis.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Image" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/84913/image.png"></p> <p> Cravate-cheveux – Exposition « Le surréalisme et l’objet »         </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Fromage" height="380" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/84914/fromage.png" width="291"></p> <p> Ceci est un morceau de fromage – René Magritte – 1946</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>L'ÉQUIPE</strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  <img alt="Image.02n1ex" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/84916/image.02N1EX.png"></p> <p>  </p> <p> <strong>Léonie Pingeot </strong>– <em>METTEUR EN SCÈNE</em> Fondatrice de la Comédie Framboise, Léonie est metteur en scène et comédienne. Victor ou les enfants  au pouvoir, de Roger Vitrac, est sa troisième mise en scène au sein de la compagnie, après deux spectacles  musicaux, Jeux de mots laids pour gens bêtes, autour des textes et des chansons de Boby Lapointe, et  Redis le me, autour des chansons de Bourvil et Fernandel. Elle a également mis en lecture Peter Pan, avec  Alice Butaud, pour la Foire du Livre de Bruxelles. Elle a co-créé avec Camille Wallecan et Nicolas Ducray  la série J’irai à Cannes, soutenue par le CNC, dans laquelle elle tient un des rôles principaux. À l’image,  elle a tourné sous la direction d’Alain Tasma, Marjorie Curtis et récemment Tonie Marhall. A la radio, elle prête sa voix à  de nombreuses fictions pour France Culture et France Inter.</p> <p>  </p> <p> <strong>Comédiens</strong></p> <p>  </p> <p> <img alt="Image.tyt0ex" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/84918/image.TYT0EX.png"></p> <p>  </p> <p> <strong>Julie Badoc </strong>– <em>Esther Magneau</em></p> <p> Formée à l’école Claude Mathieu, Julie fait partie du collectif de la Moutonne, au sein duquel elle joue  Parcours de Santé présenté au Festival de Marionnettes de Charleville-Mézières. En 2013, elle rejoint la  Comédie Framboise pour jouer dans Redis le me, m.e.s Léonie Pingeot, dans Le Musée de la femme,  spectacle masqué, m.e.s Mariana Araoz, et dans Vous disiez ? de Tardieu, m.e.s Amandine Calsat. Elle  sera dans le prochain long métrage d’Eric Veniard, Hot dog. Elle prête également sa voix au personnage  de Cixi dans le dessin animé Lanfeust Quest. Julie est co-fondatrice avec Antoine Deklerck de la Norale  de Choël.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong><img alt="Image.76kkex" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/84919/image.76KKEX.png"></strong></p> <p>  </p> <p> <strong>Victor Boulenger</strong> –<em> Victor Paumelle</em></p> <p> Formé au Théâtre des enfants terribles, Victor a également suivi un stage dirigé par Niels Arestrup. Au  théâtre, il a joué dans La Passion selon T de Truffaut et Tchekhov et dans Elvire Jouvet 40 de Brigitte  Jacques. On a pu le voir dans les téléfilms Alias Caracalla, réalisé par Alain Tasma et La Smala, réalisé  par Olivier Barma. Il a tourné dans de nombreux courts-métrages, dont Jiminy, d’Arthur Molard (prix du  public, prix du jury du meilleur court-métrage au PIFFF 2013). Il a réalisé récemment un court-métrage  intitulé Hamburger.</p> <p>  </p> <p> <img alt="Attachment-1" height="159" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/86090/Attachment-1.jpeg" width="116"></p> <p>  </p> <p> <strong>Antoine Deklerck</strong> –<em> Antoine Magneau</em></p> <p> Comédien-chanteur formé à l'école Claude Mathieu et à l'Académie des Arts de Minsk en Biélorussie, il  joue dans la comédie musicale de Louis Chedid, Le Soldat Rose en 2013. Il est membre actif de la  Compagnie Arnold et participe à toutes ses pièces géorgiennes. Depuis 2010, il travaille régulièrement à  Genève, avec La Ronde d'Arthur Schnitzler, à la Parfumerie auprès de Patrick Mohr, et joue en 2011 dans  Stop I need a change, mis en scène par Johanne Hariri. Il crée à Paris La Norale de Choël, chorale-spectacle  qu'il chante, joue et dirige.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong><img alt="Image.lwt1ex" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/84920/image.LWT1EX.png"></strong></p> <p>  </p> <p> <strong>Lisa Garcia </strong>– <em>Thérèse Magneau</em></p> <p> Lisa commence le théâtre à l'âge de huit ans avec la Compagnie Les pieds dans l'eau. À dix-sept ans, elle  joue dans La Savetière prodigieuse de Garcia Lorca, m.e.s. Violette Campo. Puis elle joue Adela dans La  Maison de Bernarda Alba. Après avoir suivi trois ans de formation à l'école Claude Mathieu, elle interprète,  à la fois en français et en espagnol, le rôle de Beatriz Gonzales dans Une ardente patience d'Antonio  Skármeta, rejoint la Comédie Framboise dans Redis le me, m.e.s. Léonie Pingeot, joue Juliette dans Roméo  et Juliette m.e.s. Violette Campo, et participe à la création collective Du sel sur les moineaux, au Festival  Les Théâtrales de Mourenx. Dernièrement, elle a joué dans C’est tout pour cette nuit ! de Michel Ocelot. Au cinéma, on  a pu la voir dans Eastern Boys, réalisé par Robin Campillo.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Image.srmkex" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/84921/image.SRMKEX.png"></p> <p>  </p> <p> <strong>Samuel Glaumé </strong>– <em>Le général Étienne Lonségur</em></p> <p> Formé à l’école Claude Mathieu, Samuel a joué dans plusieurs mises en scène de Camille de la Guillonière :  À tous ceux qui de Noëlle Renaude, La Noce de Brecht et La Cerisaie de Tchekhov. Il travaille également  avec Jean Bellorini dans Paroles Gelées, d’après Rabelais (au Rond-Point en 2014). Récemment, il a mis  en scène Tailleur pour Dames de Feydeau. Il a joué dans Millénium, fiction radiophonique pour France  Culture. À l’image, on a pu le voir dans Le Soldat Blanc, réalisé par Erik Zonca pour Canal+ .</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong><img alt="Image.qw3rex" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/84922/image.QW3REX.png"></strong></p> <p>  </p> <p> <strong>Clémentine Niewdanski</strong> – <em>Émilie Paumelle</em></p> <p> Formée à l’école Claude Mathieu, Clémentine travaille au sein de la Comédie Framboise depuis ses débuts ;  elle a joué dans Jeux de mots laids pour gens bêtes et Redis le me, m.e.s. Léonie Pingeot. Au théâtre, elle  a tenu le rôle principal de Douce France, m.e.s. Jean-Camille Sormain et du Locataire Chimérique, m.e.s.  Guillemette Ferrié. À l’image, elle interprète un des rôles principaux de la série J’irai à Cannes, produite par  Boa Films. À la radio, elle a travaillé notamment avec Doria et Rafik Zénine pour France Culture. Elle a mis  en scène trois spectacles pour enfants : Peau d’âne, Enfant de la Terre, et Le retour du pingouin vers la  jungle.</p> <p>  </p> <p> <img alt="429753_3428407826909_719926838_n" height="183" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/86433/429753_3428407826909_719926838_n.jpg" width="122"></p> <p>  </p> <p> <strong>Yoann Parize</strong> – <em>Charles Paumelle</em></p> <p> Formé au Studio-Théâtre d’Asnières puis au Cfa des comédiens, Yoann apprend la danse, le chant et la  marionnette tout en participant à de nombreux projets. Il travaille avec Edouard Signolet, Antoine Bourseiller,  Jean-Claude Penchennat, Laurent Serrano, Hervé van der Meulen sur des créations classiques et contemporaines. Il crée la Compagnie Poètes et Astronautes en 2010 puis le Festival Lakapsul en Picardie  en 2011. Il a mis en scène plusieurs spectacles, parmi lesquels Cette nuit on s’apprivoise, Monstrantrop,  Ma vie de Chandelle. Il a joué dernièrement dans La Bande du Tabou, cabaret du Collectif du Flore.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong><img alt="Image.yp4vex" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/84923/image.YP4VEX.png"></strong></p> <p>  </p> <p> <strong>Amélie Porteu de la Morandière</strong> – <em>Lili</em></p> <p> Formée en chant lyrique avec Pali Marinov et à l’école Claude Mathieu, Amélie y rencontre les membres qui  formeront la Comédie Framboise, au sein de laquelle elle assure la direction musicale et joue dans Jeux de  mots laids pour gens bêtes et Redis le me. Elle participe en tant que comédienne et chanteuse à L’Opérette  imaginaire - Acte de Valère Novarina, m.e.s. Marie Ballet et Jean Bellorini. Elle a également joué dans Le Cid  de Corneille, m.e.s. Bruno Spiesser et participe actuellement à la création de Bérénice de Racine, m.e.s.  Vincent Menjou et Michaël Horchman. Elle a mis en scène trois spectacles, Il fait beau plusieurs fois par  jour, spectacle de poésie, Histoire de Gipsy et Verma de Sonia Pavlik, spectacle pour enfants, et Tout le monde veut vivre,  d’Hanok Levin.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Image.qzfnex" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/84924/image.QZFNEX.png"></p> <p>  </p> <p> <strong>Camille Wallecan</strong> – <em>Ida Mortemart, le médecin</em></p> <p> Après une formation à l’école Claude Mathieu, elle intégre la Comédie Framboise et joue dans Jeux de mots  laids pour gens bêtes et Redis le me, m.e.s. Léonie Pingeot. En parallèle, Camille prête sa voix pour la radio  (Nova), met en scène Je hais les routes départementales, de Jean Yanne, et réalise les épisodes pilotes  d’une série destinée à la télévision, J’irai à Cannes, produite par Boa Films. Professeur de théâtre auprès de  jeunes enfants et d’adolescents, elle monte de nombreux spectacles avec eux.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Musiciens</strong></p> <p>  </p> <p> <img alt="Image.lpjiex" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/84926/image.LPJIEX.png"></p> <p>  </p> <p> <strong>Raphaël Bancou</strong> –<em> Pianiste</em></p> <p> Formé au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris (prix d'harmonie et de contrepoint), Raphaël  écrit les musiques de plus d’une trentaine de documentaires, pour France 3, Arte ou Canal+ , et au cinéma  la musique de Les liens d’Aymeric Mesa-Juan, nominé au Festival de Venise. Attiré par le théâtre, il signe  ensuite les musiques de plus d’une quinzaine de pièces. Ses collaborations incluent entre autres les metteurs  en scène Xavier Lemaire, Anthéa Sogno, Hervé Devolder, Jean-Hervé Appéré, Jean-Luc Moreau, Alexis  Michalik et Vincent Vittoz. Il a écrit un opéra pour enfants intitulé Christophe Colomb, un conte musical La  Magi-sienne, et un polar musical, Bonnie and Clyde. Il a signé les musiques de Gaston et Lucie, livre-disque pour enfants  (Harmonia Mundi). Il travaille avec la Comédie Framboise depuis la création du spectacle Redis le me.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Image.wmfuex" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/84927/image.WMFUEX.png"></p> <p>  </p> <p> <strong>Louise Pingeot</strong> –<em> Chanteuse lyrique</em></p> <p> Diplomée de l’École Nationale de Musique de Paris, Louise est soprano colorature. Elle a chanté dans divers  festivals, dont le Festival de Pézenas, le Festival lyrique-en-mer à Belle-Ile-en-Mer, le Festival de musique  des Chapelles, le Festival Gloriana, le Festival Les Nuits d’été à Corte. Elle a interprété, entre autres, les rôles  de Frasquita dans Carmen de Bizet, de Clorinda dans la Cenerentola de Rossini, de Clémence dans Mireille  de Gounod, et d’Inès dans Les Bavards d’Offenbach. Elle sera bientôt Dorothée dans La Bonne d’enfant  d’Offenbach, sous la direction de Jean-Christophe Keck, et Anna Gomez dans The Consul de Menotti dirigé  par Inaki Encina Oyon avec l’orchestre Pasdeloup au Théâtre de l’Athénée Louis Jouvet à Paris. Elle se produira également  au Grand Théâtre de Bordeaux. Louise a reçu le Premier Prix Opéra à l’unanimité au Concours de Chant des Amis du Grand  Théâtre de Bordeaux, le 3ème prix Opéra à l’unanimité au Concours National de Chant Lyrique de Béziers et est lauréate  du concours de Mélodies françaises Les Saisons de la Voix, à Gordes.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Équipe technique</strong></p> <p>  </p> <p> <strong>Caroline Denne</strong> – <em>Son</em></p> <p> Formée à l'Institut National de l'Audiovisuel, Caroline est technicienne d'exploitation son depuis 2010. Elle participe à des  festivals de musique en Île-de-France, tels La Défense Jazz Festival, Soirs d'été, Festival Saint-Denis ou Mozaïk, aux  Mureaux, et travaille ponctuellement au Café de la Danse (concerts musique actuelle) ou à La Fondation Cartier (Soirées  Nomades autour de l'art contemporain). Elle part en tournée avec la compagnie de théâtre de rue Oposito, pour la nouvelle  création Kori-Kori durant l'été 2013. Caroline rencontre Léonie Pingeot et la Comédie Framboise en 2011 pour la  sonorisation de leur deuxième création, Redis le me. Cette heureuse collaboration l'amène aujourd'hui à participer à la  création de Victor ou les enfants au pouvoir.</p> <p>  </p> <p> <strong>Olivier Drouot</strong> – <em>Lumières</em></p> <p> Diplômé de l’École Nationale Supérieure Louis Lumière en 1984, Olivier est créateur et régisseur lumière depuis 1990 :  il a collaboré à plus de trente spectacles, principalement pour le théâtre, avec différents metteurs en scène dont : Patrick  Pelloquet, Roger Cornillac, Jean-Claude Drouot, Vincent Garanger, Jean-Pierre Miquel, Paul Grenier, et Léonie Pingeot  (Jeux de mots laids pour gens bêtes et Redis le me). Chef opérateur pour le cinéma et la télévision (fiction et  documentaires), il a travaillé entre autres sur Fatima l’algérienne de Dakar, long métrage réalisé par Med Hondo et sur  Alexis ou le voyage étranger, réalisé par Serge Roullet. Il est également réalisateur de films documentaires : Les mains  ont la parole, 2013, Au-dessus des Nuages, 2000, et Paroles de cubains, 1998.</p> <p>  </p> <p> <strong>Michaël Horchman</strong> –<em> Scénographie</em></p> <p> Diplômé de l’École Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Paris, Michaël a conçu la scénographie de plusieurs pièces  de théâtre dont Train de pluie, m.e.s. Laure Speri et Catherine Hubeau, Tout le monde veut vivre d’Hanok Levin, m.e.s.  Amélie Porteu de la Morandière et Bérénice de Racine, m.e.s. Vincent Menjou et lui-même. Après Redis le me, Michaël  signera sa deuxième collaboration avec la Comédie Framboise pour Victor ou les enfants au pouvoir. Michaël est également  scénographe pour des expositions et des festivals (dernièrement le Festival des vendanges à Suresnes), et décorateur  pour le cinéma, notamment pour le long métrage Diario de Bucaramanga, réalisé par Carlos Fung.</p> <p>  </p> <p> <strong>Laurianne Scimemi</strong> –<em> Costumes</em></p> <p> Après une Licence D’Arts Plastiques à l’Université d’Aix-en-Provence en 1999, elle obtient en juin 2004 le diplôme de  Costumier et Scénographe au Théâtre National de Strasbourg. Très vite, elle commence à travailler en France, au théâtre  avec Guy-Pierre Couleau, Edouard Signolet, Eva Doumbia, Catherine Anne, Jean Bellorini, Thierry Roisin, Brigitte Jaques- Wajeman, et dans d’autres domaines tels que le cinéma, l’opéra et la mode. En Italie, son pays d’origine, elle travaille  principalement avec Giorgio Barberio Corsetti, Spiro Scimone et Francesco Sframeli et comme assistante costumière pour  Toni Servillo. <em>« Tu me fais mal avec ton coude. </em></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <em>Approche ta tête ici, l’oreiller est plus frais. Où se trouve ta main ? Je suis bien comme ça. Restons assis. Ne bouge pas ! » « Il y a longtemps que je l’attendais. Quelle joie, quelle joie d’avoir assassiné nos enfants ! »</em></p> <p> Extrait de L’âge d’or de Luis Buñuel</p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Vitrac" height="456" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/84917/Vitrac.png" width="342"></p> <p> Roger Vitrac à 9 ans avec ses parents. Bibliothèque de la ville de Paris, fonds Roger Vitrac/R. Smah</p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>DATES À VENIR : DU 5 AU 28 JUILLET 2014 - THÉÂTRE ACTUEL - FESTIVAL D'AVIGNON</strong></p> <p> <strong>SORTIE DE RÉSIDENCE LE 19 NOVEMBRE 2014 À PUTEAUX</strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>La Comédie Framboise est soutenue par  L'ADAMI*, LA SPEDIDAM*, LE GROUPE COLAS et LA VILLE DE PUTEAUX.</strong></p> <p>  </p> <p> <em>*L’adami société des artistes-interprètes, gère et développe leurs droits en France et dans le monde pour une plus juste  rémunération de leur talent. Elle les accompagne également par ses aides financières aux projets artistiques. (www.adami.fr) </em></p> <p> <em>La SPEDIDAM est une société de perception et de distribution qui gère les droits des artistes-interprètes en matière d'enregistrement, de diffusion et de réutilisation des prestations enregistrées.</em></p>

À quoi servira la collecte

<p> Cette collecte nous permettra de financer une partie des costumes et prendra également en charge les dépenses liées à la scénographie.</p> <p>  </p> <p> <strong>En détails : </strong></p> <p>  </p> <p> <u><strong>Construction du décor et accessoires : 1700 euros</strong></u></p> <p> <u><strong>Costumes : 1000 euros</strong></u></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> Nous travaillons tous énormément afin de créer un spectacle drôle et puissant à l'image de la Comédie Framboise, aidez-nous à le finaliser ! Si par bonheur nous dépassons la somme de 2700 euros, cela nous permettra d'élargir la diffusion et la communication du projet, et de couvrir nos futures dépenses durant le festival d'Avignon.  </p> <p>  </p> <p> <strong>Alors n'hésitez pas à faire exploser le compteur !!</strong></p> <p>  </p> <p> <strong>UN GRAND MERCI !</strong></p> <p>  </p>

Contreparties

15 €

  • 3 contributions
Une énorme bise de toute l'équipe

Livraison estimée : janvier 2015

30 €

  • 1 contribution
Une photo inédite des répétitions + contrepartie précédente

Livraison estimée : janvier 2015

50 €

  • 3 contributions
Une affiche du spectacle + contreparties précédentes

Livraison estimée : janvier 2015

100 €

  • 5 contributions
Une affiche du spectacle dédicacée + contreparties précédentes

Livraison estimée : janvier 2015

200 €

  • 3 contributions
Deux invitations pour venir voir la pièce à l'occasion de la sortie de résidence le 19 novembre 2014 à Puteaux + contreparties précédentes

Livraison estimée : janvier 2015

500 €

Deux invitations pour venir voir la pièce au Festival d'Avignon ou durant la tournée + contreparties précédentes

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