Bleu amer

Le projet est de réunir sur scène la poésie, la musique, et l'art plastique ainsi que la lumière. Le but : offrir un spectacle complet qui entremêle, entre-choque, ces trois arts. La ville de Brest pourrait-être intéressée, rendez-vous le 20 septembre à a bibliothèque d'étude pour approfondir ce concept et trouver un lieu.

Project visual Bleu amer
Failed
6
Contributions
10/20/2011
End date
€200
Out of €3,000
7 %

The publications

<p>vous pouvez le lire à voix basse tel une marée qui monte et voir la voix de tyco moon, plus tard, si j'arrive à réunir les fonds, lecture ici : <a href="http://www.welovewords.com/documents/le-fou-du-royaume-dhiver-the-end">http://www.welovewords.com/documents/le-fou-du-royaume-dhiver-the-end</a></p> <p> </p> <p>par avance merci</p>
<p><strong>Lanildut entrée du Pays</strong></p> <p> </p> <p> </p> <p><strong><br></strong></p> <p> </p> <p> </p> <p>Papa et son auguste père ne souriaient pas face à l'objectif, en ce temps là, une photographie c'était du sérieux, tous les jours dimanche si d'aventure vous vous retrouviez face à l'appareil qui immortalise la nouvelle. Enfin pas le papier, pas l'arbre, l'ajonc, le papyrus où je ne sais qu'elle arbuste mais votre physionomie marquée dans le temps. L'aber-ildut, village fantôme qui n'existe que dans nos mémoires, car si vous discutez de sa présence dans le pays de l'Iroise chacun vous dira que c'est une mer, euh pardonnez moi un bras de mer, une rivière anguille qui plonge avec délice vers l'Océan Atlantique. Le Tromeur, le mur y est encore il marque la devanture du port, et l'entrée au village, si vous venez de naître, vous verrez que la façade de la maison bleu n'existe pas encore, que celle orange est noire et blanche comme les touches d'un piano. Nous sommes devant l'anse de la chapelle Saint-gildas reconstruite dans les années folles de quatre-vingt, on voit personne pas une âme, pas une dame, pas un carrier... Comment-ont-ils fait ? Si vous pouvez me l'expliquer, je suis preneur. Je sais par la parole de ma mère que des bistrots battaient la campagne, que les chevaux avaient des abreuvoirs, et des anneaux accroché au Gulf-Stream, pas ce courant chaud mais une auberge qui a accueillit de nombreuses personnes dont un tableau, cadeau, de l'église qui se glisse sur le miroir de mon imagination. Je dévisse, digresse, et je pars de la rue du Rumorvan, passe devant l'impasse, glisse devant ses murs clôt et se met en arrêt sur le chemin de l'enfance, devant l'épicerie, celle juste en face de là, le lieu peint, la toile, le sanctuaire, le repaire de nombreuses familles, et le GR34 qui coule de source. Le touriste va la où le ruisseau chante et jumelle dans les bras, observe la faune, la flore, et les cygnes du port. Le jour de cette carte postale, je ne le connais pas, simplement les années nazi allaient transformer leur vie, comme nous nous ne nous attendions pas à un séisme fou, un humain maître du charivari qui fait exploser la planète de ses rêves de feu et de sang. Parcouraient plutôt le sentier et que vous n'en avez pas assez, allez vers le grand Ouest, voir un crapaud, et molène, Ouessant, la pierre de l'aber, le lieue rouge, et vous y retrouverez un abri côtier, vous y mangerez face au déferlement d'algue, et puis si le cœur vous en dit, une balade sur un rocher mémoire entouré de deux sphinx, le rocher de granit rose, esseulé sur un bout de Terre pas très loin du phare du four à ne pas confondre celui-ci et l'envie de fare au four, si breton.</p>
<p>Né à l'Ouest là où le soeil se couche, la mer d'Iroise était mon salon avant quelques voyages, Nantes pour les études, peu brillante manquait de lumière, je crois. Puis l'aventure amazonienne, cinq moisde souffrance en France pleine d'arbres qui, je me souviens, tombaient dès les premières pluie, de belles rencontre aussi, et puis "divagations d'un loup solitaire" où je raconte l'accident aux éditions syllabaire (numérique), à l'endroit ou à l'envers, je parcours le monde, pour y peupler mon imaginaire. Humania m'a façonné et le forum tir na n'og et cie, des amis de la virtualité, ont accompagné la naissance de nouvelles dans les recueils du coeur, HAMAP, S.O.S enfant, et naissance de "désirs d'îles" et de Nautile éditions ma maison. Avant que ce livre ne dérive et parte ailleurs chez édilivre Aparis. Dans ma mémoire rien, dans mes tiroirs des tonnes d'écrits, et "Bleu Terre" un receuil sur l'amer, un receuil sur mes maux, une balade sur l'Océan de mes pensées sauvages.puis de l'écrit au livre où je livre "la petite sirène de Koort" une dérive vers un monde imaginaire où si vous vous laissez porter par le son et le sens, vous sourirez. Enfin "le mage du Rumorvan, policier régionaliste un peu fantaisiste basé sur un vrai meurtre à l'aber-ildut, disponible à lanildut, et aussi sur les éditions en ligne frédéric serre. Enfin pour Noël, sorti de "parafer ordinaire", un monde chien et de "liu, androïde majordome, à voir. Tous les mois, la gazette de l'iroise journal gratuit laissera porter ma voix sur une prose que je compose sans faire exprès...</p>
<p>juste pour remercier véronique et sa participation physique, présente et soutient du projet. Ainsi que ses deux amis qui ajoute le charme de l'inconnu dans ce monde, où ma prose est méconnue.je délire là mais c'est normale, je suis juste content. jeff</p>
<p>un premier contact téléphonique pour un lieu, ce château peut-être ? une visite sur le net</p> <p> </p> <p>http://www.kergroadez.fr/</p> <p> </p> <p>bonne balade</p>
<p>le mieux pour se faire une idée visiter son site : http://www.ludovigh.com/sommaire.php3</p> <p> </p> <p>une toile au hasar, le book, son influence est sous-marine peintre de Marseille</p>