Dans Ma Baignoire - Court Métrage Nikon Film Festival

Une immersion dans la mémoire d'une jeune femme dont les souvenirs remontent à la surface lors d'un séjour dans sa salle de bain.

Project visual Dans Ma Baignoire - Court Métrage Nikon Film Festival
Successful
51
Contributions
12/05/2013
End date
€2,030
Out of €1,800
113 %

Dans Ma Baignoire - Court Métrage Nikon Film Festival

<p> <strong>SYNOPSIS</strong></p> <p>  </p> <p> Blanche, une jeune femme de 20 ans, passe du temps dans sa salle de bain. Un espace dans lequel elle se laisse aller à redécouvrir son passé et certains épisodes de son enfance, marquée par la fragmentation de sa famille.</p> <p>  </p> <p> <strong>NOTE D'INTENTION DE PRODUCTION</strong></p> <p>  </p> <p> Nous sommes 5 étudiants du Master 2 Pro «Cinéma, Télévision, Nouveaux Médias» de l’Université Paris 1 - Panthéon-Sorbonne. Nous avons choisi comme projet majeur de notre année d’étude la production d’un court-métrage dans le cadre du festival Nikon/Mk2. Ce festival propose de réaliser des films de 140 secondes maximum répondant à un thème précis : «Je suis un souvenir» pour l’édition 2013-2014. Tous les membres de l’équipe sont extrêmement motivés par l'idée de travailler sur la problématique du souvenir, en totale adéquation avec la thématique du scénario original.</p> <p>  </p> <p> Ainsi « Dans Ma Baignoire » traite des relations parents/enfants et des traumas infantiles, de l’innocence du besoin d’affection et des conséquences du temps qui passe. Le titre devant être adapté pour qu’il entre dans les critères du thème du Festival, le court s’intitule aussi « Je suis dans ma mémoire ».</p> <p>  </p> <p> Ugo Nicolas, le réalisateur est un ami d’enfance de Julien Mabin, co-réalisateur et scénariste. Ils sont tous deux issus de familles nombreuses fragmentées.</p> <p>  </p> <p> Le projet est réalisable grâce à l’apport en matériel de captation d’une co-production: Vertical Light et la trouvaille d’un décor atypique, un pavillon de chasse extrêmement bien entretenu, renfermant une salle de bain d’époque tout à fait fidèle à la vision des auteurs. Un casting pertinent et osé avec de jeunes actrices en devenir et des acteurs de théatre confirmés pour les rôles d’adultes, apporte une réelle force au scénario et au projet dans son ensemble.</p> <p>  </p> <p> <strong>NOTE D'INTENTION RÉALISATION</strong></p> <p>  </p> <p> «Je suis un souvenir», thème imposé pour participer au festival MK2/Nikon, ouvre de nombreuses perspectives cinématographiques. Les réalisateurs ont décidé de l’aborder de manière frontale, honnête, voire intimiste en cherchant à retranscrire les conséquences d’un trauma d’enfance sur un être alors en passe de devenir adulte et confronté à des attaques de son inconscient. Cette très belle jeune femme qui apparaît pleine de vie aime se recueillir dans sa salle de bain, un espace restreint qui ouvre des portes vers un univers à la frontière entre son passé et le rêve, un lien vers l’univers aquatique, espace très souvent sujet à des angoisses phobiques de l’enfance.</p> <p> L’objectif est de parvenir à illustrer cette dichotomie entre le monde réel et celui des souvenirs chez Blanche. La baignoire est ce passage entre les deux mondes: Les yeux fermés, la tête sous l’eau, les repères du réel n’existent plus et les souvenirs peuvent refaire surface.</p> <p>  </p> <p> Dans le cas de Blanche, les similitudes physiques entre les actrices (Blanche à 8 &amp; 20ans) étaient primordiales pour passer d’ une période de sa vie à l’autre. Un jeu sur la couleur de l’image en post production aidera aussi grandement à clarifier les différentes temporalité des événements. De plus nous jouerons sur une légère alternance des tonalités de lumière au tournage: Plutôt chaude lorsque Blanche est à l’aise dans la salle de bain, elle virera vers quelque chose de plus froid lors la présence de la belle mère.</p> <p>  </p> <p> Le montage parallèle entre les deux univers nous permet de mettre en avant sa perte de repères liée à son trauma infantile et la « disparition » de sa figure maternelle, le remplacement par un être avec lequel elle n’a pas d’affinités et les conséquences sur sa situation actuelle. Blanche sera souvent filmée en plan moyen ou rapprochés sur ses yeux et les formes de son visage pour souligner l’entrée dans son intimité. Au contraire les personnages du père et de la belle-mère seront plus fréquemment filmés en plans américains pour marquer l’éloignement à leur enfant.</p> <p>  </p> <p> Le décor en huit-clos quasi total dans une sublime salle de bain d’époque, un espace censé procurer un sentiment intense de sécurité et de recueil sur soi, apparaît comme le lieu parfait pour confronter l’humain à ses souvenirs et son inconscient, l’enfant à son trauma. L’action se situe dans un pavillon de chasse des Yvelines au beau milieu d’un grand domaine verdoyant avec notamment d’immenses arbres, contrastant avec l’étroitesse de l’espace de la salle de bain.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>DÉCORS</strong></p> <p>  </p> <p> Salle de bain d'époque</p> <p>  </p> <p> <img alt="Imb-salle_de_bain" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/49920/IMB-Salle_de_bain.png"></p> <p>  </p> <p> Alentours du pavillon de chasse</p> <p>  </p> <p> <img alt="Imb-pavillon_de_chasse" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/49958/IMB-Pavillon_de_chasse.png"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>LISTE ARTISTIQUE</strong></p> <p>  </p> <p> Blanche (20 ans) - <em>Johanna Nault</em></p> <p>  </p> <p> <img alt="Imb-blanche_20" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/49959/IMB-Blanche_20.png"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> Blanche (8 ans) - <em>Garance Vallé</em></p> <p>  </p> <p> <em><img alt="Imb-blanche_8" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/49960/IMB-Blanche_8.png"></em></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> La mère de Blanche - <em>Mélanie Lecarpentier </em></p> <p>  </p> <p> <em><img alt="Capture_d_e_cran_2013-11-15_a__13.27.30" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/49961/Capture_d_e_cran_2013-11-15_a__13.27.30.png"></em></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> La belle-mère - <em>Marie Devaud </em></p> <p>  </p> <p> <em><img alt="Capture_d_e_cran_2013-11-15_a__13.28.45" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/49963/Capture_d_e_cran_2013-11-15_a__13.28.45.png"></em></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> Le père - <em>Dominique Chivot </em></p> <p>  </p> <p> <em><img alt="Capture_d_e_cran_2013-11-15_a__13.29.32" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/49964/Capture_d_e_cran_2013-11-15_a__13.29.32.png"></em></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>PRODUCTION</strong></p> <p>  </p> <p> <u>Producteur exécutif</u> : <strong>Julien Mabin</strong></p> <p> <u>Producteur</u> : <strong>Joséphine Vallé Franceschi</strong></p> <p> <u>Producteur</u> : <strong>Laura Ho-Tong</strong></p> <p> <u>Producteur</u> : <strong>Thomas Jacquey</strong></p> <p> <u>Producteur</u> : <strong>Thao Nguyen</strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>EQUIPE TECHNIQUE </strong></p> <p>  </p> <p> <u>Réalisateurs</u>                     </p> <p> <strong>Ugo Nicolas </strong></p> <p> <strong>Julien Mabin </strong></p> <p>  </p> <p> <u>Directrice de la photographie</u><strong>    </strong></p> <p> <strong>Anouck Thedenat </strong></p> <p>  </p> <p> <u>1er assistant caméra </u></p> <p> <strong>Rémi Mullier</strong></p> <p>  </p> <p> <u>2nd assist caméra / Renfort Electro</u></p> <p> <strong>Dimitri Sorel</strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <u>Ingénieur du son &amp; Compositeur</u></p> <p> <strong>Nathan Cohen</strong></p> <p>  </p> <p> <u>Monteur</u>                              </p> <p> <strong>Antoine Dubois</strong></p> <p>  </p> <p> <u>Régisseuse générale</u></p> <p> <strong>Laura Ho-Tong</strong></p> <p>  </p> <p> <u>Cuisinière</u></p> <p> <strong>Sarah Rashidian<em> </em></strong></p> <p>  </p> <p> <u>Photographe plateau</u>:</p> <p> <strong>Joséphine Vallé Franceschi</strong></p> <p>  </p> <p>  </p>

Allocation of funds

<p> Ce court-métrage sera en partie financé par Timedia, l'association des étudiants du Master 2 "Cinéma, Télévision, Nouveaux Médias" de Paris 1, ainsi que par le Crous de Paris. Cependant, ces aides seront loin d'être suffisantes pour couvrir l'ensemble des frais de production. Votre soutien sera déterminant pour que nous puissions défrayer les acteurs et l'équipe technique, composée entièrement de jeunes professionnels de l'audiovisuel, ainsi que financer la location d'un matériel de captation de qualité.</p> <p>  </p> <p> Voici comment seront repartis les 1800 € demandés :</p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Budgetimb-new" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/51201/BudgetIMB-new.png"></p> <p>  </p>

Rewards

€5

  • 3 contributions
UN GRAND MERCI Vous recevez par mail la copie numérique du film.

Estimated delivery: January 2014

€10

  • 15 contributions
Première contrepartie + votre nom figurera au générique de fin en tant que contributeur.

€20

  • 16 contributions
Deux premières contreparties + vous recevrez chez vous une copie DVD du film.

€30

  • 2 contributions
Trois premières contreparties + L'affiche du film signée par les auteurs.

€40

  • 2 contributions
Quatre premières contreparties + Le scénario original du film avec un mot de remerciement des auteurs.

€50

  • 5 contributions
Cinq premières contreparties + une photographie officielle du tournage à choisir parmi un catalogue.

€100

  • 2 contributions
Six premières contreparties + vous participez au dîner de fin de tournage avec l'actrice principale et l'équipe du film.

€500

    Sept premières contreparties + un droit de regard sur le FINAL CUT + le logo de votre entreprise au générique d'entrée du film en tant que mécène.

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    Give what I want

    Sold out

    Sold out

    €200

    • 2 contributions
    Sept premières contreparties + votre nom au générique comme partenaire officiel du film