PapelArt sur YIA
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<strong>Parce qu’aujourd’hui, une jeune galerie ne peut se faire connaître et offrir une réelle visibilité aux artistes dont elle défend le travail sans participer aux foires et salons d’art contemporain d’envergure internationale, nous avons besoin de votre soutien pour rendre possible notre présence sur le salon YIA (Young International artistes) !</strong></p>
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Notre galerie a franchi les étapes de sélection permettant de participer à la 3ème édition du salon YIA qui aura lieu à Paris ( Bastille Design Center / Loft Sévigné / Espace Joseph / Espace Commines) du 23 au 27 octobre prochains. C’est là un premier pas de franchi, non pas des plus faciles, non pas des moindres alors que la sélection était drastique ! Il est aussi un gage de qualité…À l’heure de notre deuxième anniversaire, la volonté de Romain Tichit de nous associer à cet évènement consacre le travail déjà effectué et la qualité des choix qui ont été les nôtres. Elle nous offre aussi une chance inégalable de développement.</p>
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<img alt="Carton_v_ux_2013_1___glisse__e_s_" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/42636/carton_v_ux_2013_1___glisse__e_s_.jpg"></p>
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La galerie PapelArt en quelques dates :</p>
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- Inauguration de la galerie; exposition Eros & Pornos, octobre 2010</p>
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- ART PARIS FAIR, avril 2012, invitation sur le stand de Bookstorming </p>
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- 1ère exposition d'Hideki Seo (suivie de sa présence à la Gaité lyrique in Monsters in Fashion )</p>
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- Exposition collective Curiosités animales avril 2013 (suivie de la sélection de Noémie Sauve : prix Talents d’eau / Fondation Schneider- finaliste du prix cat. dessin)</p>
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Mais si la première étape, celle de la sélection est désormais franchie, la seconde, celle du financement du stand commence maintenant, avec vous ! Car cette chance a un prix. : 5300 euros HT pour 5 jours de présence; somme que la galerie seule ne peut pas prendre à sa charge compte tenu de son existence récente, de sa volonté de défendre des artistes émergents et du contexte économique peu favorable à l’activité.</p>
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C’est pourquoi nous tentons aujourd’hui de sensibiliser le monde de l’art et ses acteurs au dysfonctionnement qui condamne les jeunes structures et artistes à s’exclure du march é de l’art sans lequel un développement et une existence durable deviennent impossibles.</p>
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L’élitisme (sélection par l’argent et notoriété déjà acquise) nuit à la diversité des propositions largement déplorée par le public et les collectionneurs.</p>
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Déjà en 2007 Jean-Sébastien Stehli dénonçait dans son article <em>Quelles foires ! </em> <em>in l’Express</em>, 23. fév 2007 que les foires étaient l’indispensable lieu de rencontre avec les collectionneurs, avec les conservateurs de musées, vitrine indispensable pour lancer des artistes, faire connaître une jeune galerie. En vendant une seule pièce tout peut changer, le galeriste Kamel Mennour disait : « Quand tu n'en es pas, tu es presque hors jeu. Etre présent est une estampille de qualité et de sérieux pour les collectionneurs (… )». Martin Bethenod confirmait: "Grâce à ces foires, une galerie peut se faire un nom en un an ou deux, alors qu'avant il en fallait cinq ou dix pour établir une réputation."</p>
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Il s’agit d’un enjeu stratégique incontournable, un risque financier démesuré pour notre galerie, lesquels s’inscrivent pourtant dans le cadre le plus propice à notre succès alors même que le salon YIA a pour spécificité de présenter des artistes émergents, acteurs de la scène artistique de moins de 40 ans; logique générationnelle dans laquelle s’inscrit la galerie PapelArt depuis son origine (jeunes galeristes, artistes émergents, nouveaux collectionneurs).</p>
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Nous présenterons à cette occasion le travail de Sandra PLANTIVEAU (qui aura simultanément un solo show à la galerie) et Noémie SAUVE.</p>
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<strong>Mégalithe</strong>, Encre sur papier, 85 X 120 cm, 2010 <strong>©Sandra Plantiveau</strong></p>
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<strong>Soutenir ce projet c’est :</strong></p>
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- participer au développement de notre galerie contribuer à la pérennité de notre structure agir en conscience pour faire évoluer le marché de l’art dans sa logique excluante</p>
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- donner une chance aux galeristes qui, par un engagement de chaque jour, croient en l’art et visent à régénérer la scène artistique en perpétuant le travail d’accompagnement des artistes, qui ne se limite pas à la vente d’œuvres.</p>
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- offrir à ces deux artistes l’accès à un public d’envergure internationale</p>
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4300 euros pour le stand</p>
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700 euros pour la communication</p>
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<img alt="Ours_constelle__noe_mie_sauve" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/41492/ours_constelle__noe_mie_sauve.jpg"><img alt="Sp_dessin_kiss_kiss_zoom" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/41493/SP_dessin_kiss_kiss_Zoom.jpg"></p>