PAS EXACTEMENT L'AMOUR
<p style="text-align:center"><em><strong>POURQUOI PAS EXACTEMENT L'AMOUR ? </strong></em></p>
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<p>Ils sont cinq. Ils ont toutes et tous des raisons d’être à terre. En cause : <strong>l’amour</strong>. Ils ont entrepris un court séjour loin du monde et, surtout, de l’objet de leurs affres. Ce groupe de parole est le lieu censément idéal pour se raconter, dans l’espoir de se réparer. Ils vont tout se dire, sous le regard bienveillant d’une psychologue. <strong>Évidemment rien n’arrivera comme prévu.</strong></p>
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<p><img alt="" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/636044/Capture_d__cran_2019-12-05___15.25.06-1575556016.png" width="100%" /></p>
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<p style="text-align:center"><em><strong>LA COMPAGNIE </strong></em></p>
<p>C'est l'histoire de cinq jeunes acteurs et actrices qui se rencontrent à l'école du Lucernaire.<br />
Ils savent qu'après leur formation, ils ne se quitteront pas. Ils savent qu'ils veulent continuer à travailler ensemble. Ils rêvent autour d'un texte Pas exactement l'amour qu'on leur a fait lire et qu'ils ont adoré.</p>
<p>Ils décident de ne pas faire que rêver et sollicitent l'auteur,<strong> Arnaud Cathrine</strong>. <strong>La rencontre a lieu. C'est un coup de foudre.</strong><br />
La compagnie est née et ne peut s'appeler que <strong>« Pas exactement l'amour »</strong>. Compagnie émergente, elle se donne comme ambition de monter ce premier projet amoureux et de se consacrer avant toute chose, dans le futur, aux écritures contemporaines.</p>
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<p style="text-align:center"><em><strong>EXTRAIT NOTE D’INTENTION DE L’AUTEUR</strong></em></p>
<p>Juillet 2018 : j’assiste au Lucernaire à la mise en scène de <strong>Florence Le Corre</strong> et Philippe Person dont j’admire le travail : Le songe d’une nuit d’été. Je découvre là une troupe de jeunes comédiens tout à fait étonnants qui sortent tout juste del’école. Ils ont une vingtaine d’années. Florence me présente cinq d’entre eux qui ont décidé de monter une compagnie. Elle me fait part de leur désir à tous d’adapter l’un de mes livres qu’elle leur a fait découvrir pendant l’année ; elle en assurerait la mise en scène. Je suis emballé, j’aime les commencements, accompagner une toute jeune troupe. Nous nous revoyons plus longuement et je leur propose de m’atteler à mon recueil de nouvelles Pas exactement l’amour qui, comme son titre l’indique, a trait à la passion et à comment on s’en débrouille (ou pas). Il s’agit là d’un drôle de pari puisque les récits n’ont théoriquement rien à voir les uns avec les autres. Mais Alice, Juliette, Bénédicte, Lucas, Jordan... <strong>tous se reconnaîtront dans la trajectoire de leur personnage ... avec un point commun L'amour ... enfin pas exactement ... </strong></p>
<p>Arnaud CATHRINE</p>
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<p style="text-align:center"><em><strong>NOTE DE MISE EN SCÈNE</strong></em></p>
<p>La rencontre avec <strong>Arnaud Cathrine</strong> a lieu fin 2011. Une lectrice rencontre un auteur qu'elle vénère. En 2012, c'est l'actrice qui travaille avec lui autour d'une adaptation de son roman La disparition de Richard Taylor.</p>
<p>Depuis, l'envie d'emprunter ensemble un chemin.<br />
En juin 2018, de jeunes comédiens et comédiennes viennent me demander de les mettre en scène... Ils voudraient jouer Pas exactement l'amour d'Arnaud Cathrine...</p>
<p><strong>Au commencement, donc, était le désir.</strong></p>
<p>L'adaptation d'Arnaud Cathrine, faite sur mesure, est traversée par cette question du désir dans son accomplissement parfois, dans sa frustration souvent, dans son absence aussi. L'écriture devient alors comme un « sismographe » des sentiments.</p>
<p>Les nouvelles adaptées au théâtre donnent naissance à cinq personnages réunis dans un espace clos : l'hôpital psychiatrique. Nous sommes là pour entendre la parole de ces patients en court séjour. L'écriture d'Arnaud Cathrine fait toujours coexister humour et désespoir, confidences sensibles et provocation. Ici plus que jamais les deux pôles s'attirent et se repoussent. « Aime-moi je te fuis, fuis-moi je te suis. »</p>
<p>Dans une unité psychiatrique, un cercle de parole réunit une psychologue et trois patients et patientes, rejoints bientôt par un visiteur, semble-t-il égaré.</p>
<p><strong>La parole se libère ou s'altère. Point commun de ces rescapés ? L'amour. Enfin, pas exactement.</strong></p>
<p><strong>La souffrance de l'abandon, de la trahison, du mépris, l'amour fou. Fous d'amour ?</strong></p>
<p>Pour superviser la séance, une psychologue en plein deuil qui tente de gouverner ce canot de sauvetage. Sans gouvernail, donc. Finalement, celui qui ne faisait que passer prendra place et prendra la place des fantômes des uns et des autres pour les aider à rejoindre la rive.</p>
<p>La mise en scène cherchera à faire entendre ces êtres dans ce moment précis où le seul objectif semble être de réussir à tenir debout. Ils sont à bout de force, à bout de souffle, au bout du rouleau et, pourtant, dans ce cercle de parole, ils vont accepter de reconstruire leur histoire pour tenter d'y voir plus clair. Mon travail sera de rendre sensible ce passage du brouillard en soi-même à cette petite lumière qui revient, comme un phare au loin.</p>
<p>Le cercle de parole, c'est aussi ici parfois le lieu du conflit. A-t-on forcément envie d'écouter ? Peut-on tout dire ?</p>
<p>Et que se passe-t-il quand un visiteur débarque sans prévenir ?</p>
<p>Et que se passe-t-il si la personne qui mène la séance est elle-même au bord du gouffre ?</p>
<p>Tous ces accidents font de cette séance un moment de pure tension dramatique.</p>
<p>Vincent Blot propose un décor mobile fait de panneaux lumineux qui construisent et déconstruisent l'espace : tantôt salle de réunion, tantôt couloir, tantôt écran, tantôt « espace vide », espace mental.</p>
<p>Dans cet univers esthétique fort où la lumière sera tour à tour aveuglante ou ténue, évolueront ces personnages au bord du précipice.</p>
<p>Dans une alternance de moments très réalistes inspirés par le théâtre documentaire et de zones plus étranges conduites par les logorrhées des uns et des autres, nous travaillerons l'obsession à l'œuvre en chacun de ces êtres. Et tenterons derépondre à la question :<strong> « Pas exactement l'amour... Mais alors, quoi ? ».</strong></p>
<p>La création sonore sera signée <strong>Florent Marchet</strong>. C'est en 2004 que ce dernier entre dans mon salon. On vient de m'offrir un album, «Gargilesse», avec ce commentaire : « Je suis sûr que tu vas adorer ! ». Non seulement j'adore, mais j'admire. La musique et les chansons de Florent Marchet deviennent la bande-son de ma vie. Nous nous rencontrons quelques années plus tard.</p>
<p>Pas exactement l'amour est donc aussi pour moi un exercice d'admiration. C'est le point de rencontre dans le travail avec ces deux auteurs-là (qui travaillent régulièrement ensemble), la création sonore de Florent constituant la « méta- partition » du spectacle, comme une chambre d'échos au texte d'Arnaud. L'univers sonore viendra accompagner le travail sur les différents univers mentaux des personnages, mais nous plongera aussi bien dans la «matière sonore» du quotidien, bande FM et ritournelles.</p>
<p>Florence LE CORRE</p>
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<p style="text-align:center"><em><strong>CREATION MUSICALE</strong></em></p>
<p style="text-align:center"><img alt="" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/636485/Capture_d__cran_2019-12-05___15.35.27-1575714369.png" /></p>
<p><strong>Florent Marchet</strong> est auteur, compositeur et interprète.<br />
Il signe « Gargilesse » (Barclay) en 2004. L'album est couronné par plusieurs prix : Constantin, Fair, Académie Charles Cros.<br />
En 2007, il enregistre entre Los Angeles et le Berry « Rio Baril » (Barclay) qui sera classé selon les Inrockuptibles parmi les « 100 meilleurs albums de l'année 2000 ». C'est en 2008 que débute la collaboration avec l'auteur Arnaud Cathrine. Le livre- album Frère animal (verticales / Gallimard) sera suivi du spectacle éponyme. Florent Marchet compose de nombreuses bandes originales tant pour les œuvres de fictions (« A moi seul » de Frédéric Videau, « Neuf jours en hiver » d'Alain Tasma, « Carré 35 » d'Eric Caravaca...) que pour des documentaires (« Le choix de mon père » de Rabah Zanoun).<br />
Par ailleurs, il réalise des albums pour d'autres artistes comme Clarika ou Elodie Frégé.<br />
En 2016, création de l'épisode 2 de « Frère animal » avec de nouveau une série de concerts dans toute la France.</p>
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<p style="text-align:center"><em><strong>INTENTIONS SCÉNOGRAPHIQUES</strong></em></p>
<p>Pour formaliser <strong>la salle et le couloir de l’hôpita</strong>l ainsi que les espaces mentaux des personnages, la scénographie se développe sous forme de modules et de volumes rétro éclairés qui structurent l’espace.</p>
<p>Ils évoluent sur scène au gré des situations physiques et mentales des protagonistes.</p>
<p>La blancheur des éclairages sur les panneaux lisses évoque l’univers clinique et froid de l’hôpital.</p>
<p>Les panneaux réfléchissants et les volumes parallélépipèdes servent de révélateurs d’images au récit des trois patients. Ombres et lumières, silhouettes et projections se succèdent pour créer un écho au texte.</p>
<p><img alt="" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/636069/Capture_d__cran_2019-12-05___15.38.29-1575557922.png" width="100%" /></p>
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<p style="text-align:center"> <em><strong> FLORENCE LE CORRE Mise en scène</strong></em></p>
<p style="text-align:center"><img alt="" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/636058/Capture_d__cran_2019-12-05___15.39.33-1575557000.png" /></p>
<p>Comédienne, metteuse en scène et auteure-adaptatrice. C'est par le cinéma et le film «Bête noire» de Frédéric Sabouraud (Les Cahiers du Cinéma) que tout commence alors qu'elle a 14 ans. Mais c'est finalement la scène qui l'attire plus que tout. Elle se forme donc très tôt aux arts de la scène : théâtre, chant et danse.</p>
<p>Elle fréquente avec un égal bonheur les répertoires classiques et contemporains : parmi les moments marquants, elle sera en 2004 sur la scène du Rond-Point dans « Si Camille me voyait » de Roland Dubillard mes de Maria Machado, en 2014 dans « Marie Tudor » mes de Philippe Calvario. Depuis 2012, elle travaille en collaboration avec le metteur en scène Philippe Person.</p>
<p>Elle met en scène en 2003 « Je me souviens (plus ou moins) » au Théâtre de la Vieille Grille à Paris, « Le Dindon » et « Le songe d'une nuit d'été » en collaboration avec Philippe Person, au Théâtre du Lucernaire en 2017 et 2018. En 2017, elle signe aussi la mise en scène de « Quadrille » de Sacha Guitry qui se jouera au Théâtre du Funambule à Paris puis en tournée.</p>
<p>Depuis 2001, elle travaille régulièrement pour Radio France et particulièrement pour France Culture, à la fois comme interprète et comme adaptatrice. Sa production du « Monde d'hier » de Stefan Zweig en 2013 est un record d'écoute.</p>
<p>Elle signe pour le théâtre l'adaptation et la traduction du « Marchand de Venise » de Shakespeare pour la Compagnie 13, et les réécritures de conte tel que « Boucle d'or, une étrange affaire » mes d'Isabelle Hazaël ou « Peau d'âne : on n'épouse pas son papa » mes de Pénélope Lucbert.</p>
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<p style="text-align:center"><em><strong>ARNAUD CATHRINE</strong></em></p>
<p style="text-align:center"><img alt="" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/636059/Capture_d__cran_2019-12-05___15.39.59-1575557045.png" /></p>
<p>Né dans la Nièvre en 1973, <strong>Arnaud Cathrine</strong> a fait des études de lettres modernes et d'anglais à Paris. Il commence à écrire à l'âge de quinze ans : des nouvelles et beaucoup de romans interrompus à la fin du premier chapitre. Il publie son premier livre, Les Yeux secs, en 1998 aux Editions Verticales. Il a 23 ans. Depuis, il a fait paraître une trentaine de romans. D’une part en littérature générale : Sweet home, La disparition de Richard Taylor, Les garçons perdus, Je ne retrouve personne, <strong>Pas exactement l’amour (Prix de la nouvelle de l’Académie Française)</strong> ainsi qu’un essai sur ses livres de chevet : Nos vies romancées. D’autre part en littérature jeunesse : Je suis un garçon, Je suis la honte de la famille, Je suis l’idole de mon père... Dernièrement, il a publié dans la collection R des Éditions Robert Laffont les une série en trois tomes pour jeunes adultes - À la place du cœur - ayant trait à l’expérience des attentats de 2015.</p>
<p>Arnaud Cathrine aime tout particulièrement ouvrir le champ d'exploration de l'écriture : il a adapté son roman La Route de Midland pour le cinéma avec Eric Caravaca (sorti en 2004 sous le titre Le Passager avec Julie Depardieu) ainsi que Je ne retrouve personne, diffusé sur Arte en 2015 sous le titre Neuf jours en hiver (réalisation : Alain Tasma). Il a co-écrit avec Eric Caravaca le documentaire « Carré 35 » (Sélection officielle de Cannes 2017 et nommé aux Césars 2018).</p>
<p>Et puis il y a l’expérience de la scène. En 2008, Frère animal fut un roman co-chanté et co-écrit avec <strong>Florent Marchet </strong>(livre/album aux Editions Verticales). La transcription scénique a réuni les deux compères, ainsi que Valérie Leulliot (Autour de Lucie) et Nicolas Martel (Las Sondas Marteles). Frère animal s'est produit à Paris au Café de la Danse, aux Bouffes du Nord et à l'Européen ainsi qu'en province pendant trois ans. En 2013, Arnaud Cathrine a joué au côté de Nathalie Richard dans l'adaptation scénique de son livre Le journal intime de Benjamin Lorca, mise en scène par Ninon Brétécher (104 et Théâtre Monfort). En 2015, il a écrit un spectacle interprété par Anna Mouglalis et mis en scène par la même Ninon Brétécher : Sérénades.</p>
<p>Octobre 2016 : le deuxième volet de l'aventure Frère animal paraît chez Pias, sous forme d’album cette fois. Après les Francofolies de La Rochelle, La Philharmonie de Paris et le Trianon (le groupe est accompagné pour l’occasion par Bernard Lavilliers et Jeanne Cherhal), le spectacle a tournée dans toute la France.</p>
<p>Arnaud Cathrine publiera son prochain livre en mars 2019 aux Éditions Verticales / Gallimard. Il part en tournée avec Vincent Dedienne pour Fou de Vincent d’Hervé Guibert, <strong>et prépare avec Florence Le Corre l’adaptation théâtrale de son recueil Pas exactement l’amour.</strong></p>
<p>Il aura tout le temps de se reposer quand il sera mort.</p>
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<p style="text-align:center"><em><strong>LUCAS BOTTINI</strong></em></p>
<p style="text-align:center"><img alt="" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/636060/Capture_d__cran_2019-12-05___15.40.11-1575557083.png" /></p>
<p>Après une formation à l'école d'art dramatique du Lucernaire, il se spécialise dans le mime à l'école internationale du mime corporel dramatique. Il joue dans « Le Dindon » de Feydeau puis sera le Puck du « Songe d'une nuit d'été » de Shakespeare dans la mise en scène de Philippe Person et Florence Le Corre au Théâtre du Lucernaire. On le voit aussi dans plusieurs courts métrages dont « Je suis un prix » (Nikon Film Festival). Il prête régulièrement sa voix pour du doublage de films.</p>
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<p style="text-align:center"><em><strong>JORDAN BRANDAO RODRIGUES</strong></em></p>
<p style="text-align:center"><img alt="" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/636062/Capture_d__cran_2019-12-05___15.40.19-1575557283.png" /></p>
<p>Il commence sa formation d'acteur au cours Florent et lors de stages intensifs en anglais sur la technique Meisner dirigés par Anthony Montes, Mark Pellegrino ("Lost", "Supernatural", etc...) et Tracy Pellegrino à la Paris Film Academy. Il décide alors d'intégrer la toute nouvelle école du Lucernaire. Il co-écrit un court-métrage en 2015 dans lequel il joue le premier rôle : "H&J" réalisé par Mae Ferron. Il joue les rôles d'Obéron et de Thésée dans "Le Songe d'une nuit d'été" mis en scène par Florence Le Corre et Philippe Person.</p>
<p>Il tourne dans "Aussi fort que tu peux" de Mathieu Morel, sélectionné au Festival Cheries-cheris 2019. Il joue le rôle d'Arthur dans "Un dernier texte avant la fin du monde" de Michaël Helmrich, actuellement en création.</p>
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<p style="text-align:center"><em><strong>BÉNÉDICTE FANTIN</strong></em></p>
<p style="text-align:center"><img alt="" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/636063/Capture_d__cran_2019-12-05___15.40.26-1575557430.png" /></p>
<p>lle commence le théâtre en Argentine où elle se forme auprès de Matias Scarvaci, Maria Figueras et Bernardo Cappa. De retour à Paris, elle poursuit sa formation au cours de différents stages et au sein de l'école du Lucernaire. En 2018, elle joue dans Le Songe d'une nuit d'été mis en scène par Florence Le Corre et Philippe Person au Lucernaire. Elle fait partie de la compagnie Pas exactement l'amour depuis sa création en septembre 2018.</p>
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<p style="text-align:center"><em><strong>JULIETTE RAMIREZ</strong></em></p>
<p style="text-align:center"><img alt="" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/636064/Capture_d__cran_2019-12-05___15.40.35-1575557504.png" /></p>
<p>Après un passage au cours Florent, elle se forme à l'école l'art dramatique du Lucernaire. Au cinéma, on l'a vue dans le long métrage « La position d'Andromaque » d'Erick Malabry ou dans divers courts métrage dont « Je suis un cadeau » d'Alias Issa lors du Nikon Film Festival 2018. A la télévision, elle participe au Woop sur C8. Au théâtre, elle est Titania dans « Le songe d'une nuit d'été » de Shakespeare, mes Philippe Person et Florence Le Corre.</p>
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<p style="text-align:center"><em><strong>ALICE SERFATI</strong></em></p>
<p style="text-align:center"><img alt="" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/636068/Capture_d__cran_2019-12-05___15.40.45-1575557662.png" /></p>
<p>Après un Baccalauréat option Théâtre à Paris, Alice s'oriente d'abord vers des études de journalisme avec un goût particulier pour la radio. En 2015, elle co-présente l'émission quotidienne "l'Agenda" sur FPP (106.3FM). En 2016, elle trouve sa voie à l’école d’art dramatique du théâtre du Lucernaire. Elle participe à plusieurs court- métrages, un clip et à une web série "Le Off ". Depuis 2017, elle assiste Stéphane Bari sur la mise en scène du spectacle « Marie Octobre » au théâtre de Ménilmontant et en tournée. Elle est Hermia dans « Le Songe d’Une Nuit d’Eté » de Shakespeare mis en scène par Philippe Person et Florence le Corre au théâtre du Lucernaire.</p>
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<p><strong><em>POURQUOI NOUS AVONS BESOIN DE VOUS ? </em></strong></p>
<p>Nous avons eu beaucoup de chance.</p>
<p>Nous avons fait des rencontres formidables. </p>
<p>D’abord nous nous sommes rencontrés <strong>NOUS</strong> : 5 copains d’école qui n’ont pas envie de se quitter et qui adorent travailler ensemble. </p>
<p>Puis, <strong>Florence Le Corre</strong>, notre professeure, devenue notre metteure en scène et qui nous accompagne depuis plusieurs années avec exigence et bienveillance.</p>
<p>Et, <strong>Arnaud Cathrine</strong>, un auteur que nous admirons et qui a adapté sans hésiter son recueil de nouvelles rien que pour nous !</p>
<p>Enfin, une donatrice au grand coeur, <strong>Christel Fontaine</strong> qui est la première à avoir cru en nous et en notre projet. Grâce à elle, nous avons pu lancer la machine : financer l’adaptation de la pièce, le teaser, une lecture publique à La Maison de la Poésie…</p>
<p><strong>Alors aujourd'hui nous avons besoin de VOUS !</strong></p>