Food Transition - le film
Financez le projet de film qui réunit les solutions pour l’émergence d’un nouveau modèle alimentaire !
Réussi
Le cinéma est l’un des meilleurs moyens de transmettre les messages du film au plus grand nombre. Plan presse, promotion, campagne d’affichage : contrairement à la télévision et aux séries Web, la promotion d’un film de cinéma est échelonnée sur plusieurs semaines, ce qui n’est pas le cas pour un documentaire télé. Les réseaux de distribution et de festivals permettent aussi de faire tourner les films pendant plusieurs mois, voire années, après leur sortie nationale. Un atout incroyable pour faire connaître les enjeux de notre sujet !
Obtenir l’accord d’un distributeur n’est pas un obstacle en soi. C’est plus difficile de signer un contrat dans lequel le distributeur s’engage de manière significative dans la production et la promotion du film ! On parle ici de plusieurs centaines de milliers d’euro. Nous préférons attendre la fin de la campagne, pour arriver dans la négociation forts d’une communauté déjà dynamique et motivée. L’objectif : obteniir plus de libertés et de moyens.
Les producteurs ne mettent pas tout l'argent : leur travail est d'aller en chercher. Ce qui n'est pas toujours simple, particulièrement pour des documentaires. Notre société de production, Cinextra Productions, réunit des auteurs et réalisateurs qui veulent avoir la liberté d’initier leur projet en toute indépendance. Nous n’avons donc pas les moyens d’autofinancer la production d’un film pour le cinéma. Nous avons besoin de nous associer à une plus grosse société de production pour obtenir les financements et les accords des chaînes de télévision.
Le budget d’un film documentaire dépend surtout des conditions de tournage (ville, mer, désert, forêt tropicale…) et donc du sujet. A titre d’exemple, le documentaire « Amazonia », sorti en 2015, a coûté 12,69 millions d’euros, là où le film « Etre et avoir », tourné dans une école primaire d’une commune rural d’Auvergne, a coûté 1 million. Le devis de « Food transition » a été estimé à 900.000 €, alors que nous devons voyager à travers la France et les Etats-Unis, deux pays où les transports, les hébergements et les salaires sont élevés. Nous avons réduit le budget aux dépenses indispensables.
Deux sénarii sont possibles. Soit notre campagne de crowdfunding est une réussite et nous n’aurons pas de soucis pour boucler le plan de financement du film. Votre plébiscite sera un argument décisif pour convaincre les distributeurs, chaînes de télévision et coproducteurs étrangers.
Soit la campagne ne fonctionne pas comme on l’espère. Alors nous devrons trouver d’autres sources de financement. La solution du mécénat pourrait être étudiée, à condition que la ou les organisation.s partage.nt l’esprit et l’éthique du film. Bien sûr, nous préférons de loin un soutien populaire qui nous assurerait une totale indépendance !
Soit la campagne ne fonctionne pas comme on l’espère. Alors nous devrons trouver d’autres sources de financement. La solution du mécénat pourrait être étudiée, à condition que la ou les organisation.s partage.nt l’esprit et l’éthique du film. Bien sûr, nous préférons de loin un soutien populaire qui nous assurerait une totale indépendance !
Les bénéfices supplémentaires seront investis dans la création d’une plateforme web d’échange d’informations, d’expériences et de conseils, sur le sujet de la transition de notre modèle alimentaire. Il existe déjà beaucoup de contenus en ligne, mais très peu de plateformes, utilisables par tous et gratuites, qui les rassemblent à un seul et même endroit.
Les déplacements en France seront assurés au maximum par train et voiture électrique. Pour les voyages transatlantiques, nous utiliserons l’avion, mais nous avons organisé une compensation carbone avec l’association Co2 Solidaire afin de palier à l’impact carbone des déplacements liés à la production du film.