"Points de suspension"

<p> <u><strong>Présentation "Points de suspension"</strong></u></p> <p>  </p> <p> Pour leur deuxième exposition, le <strong>collectif MULUPAM</strong> qui rassemble Muriel Carpentier, Lucile Hoffmann, et Paméla Dorival présente <strong>"Points de suspension"</strong>.</p> <p>  </p> <p> Cette <strong>exposition performative</strong> sera présentée du<strong> 9 au 20 mai 2013</strong> dans le<strong> cloître du musée de la Vie Bourguignonne Perrin de Puycousin à Dijon.</strong></p> <p>  </p> <p> Toutes trois issues de l’Ecole Nationale Supérieure d’Art de Dijon, ces artistes développent leur<strong><em> </em>démarche autour de l’identité, s’interrogent sur la forme de l’oeuvre</strong> et plus particulièrement la<strong> façon de la présenter.</strong> Le collectif axe sa recherche sur les<strong> fondements de l’individu</strong>. Il s’interroge sur<em> </em><strong>la construction et le cheminement de chacun</strong><em>.</em></p> <p>  </p> <p> Cette nouvelle exposition est une<strong> oeuvre métisse à la fois plastique et scénique</strong>, proposé sous <strong>deux points de vue</strong>. Le visiteur pourra expérimenter <strong>deux parcours</strong>.</p> <p>  </p> <p> Le<strong> parcours plastique</strong><strong> </strong>ponctué de <strong>5 boîtes-installations</strong>, créé autour de<strong> volume, d’images et d’espaces scénographiés,</strong> propose <strong>un voyage </strong>au sein des différentes strates qui constituent l’individu. Chaque boîte interroge un des éléments de ce qui nous définit. Le visiteur les traverse les unes après les autres. Chaque «question» est traitée en privilégiant le <strong>rapport visuel</strong>.</p> <p>  </p> <p> Dans la <strong>partie performative,</strong> le visiteur se place à l’extérieur de la boîte. Celle-ci relève de la <strong>performance</strong> et met en jeu des<strong> actions menées par un comédien-performeur.</strong> Le visiteur aborde celle-ci par<strong> l'aspect sonore et assiste à la performance</strong>. Le comédien-performeur n’est pas visible, il est isolé dans sa boîte. Il sera le relai de bribes d’identités qu’il retransmettra au visiteur.</p> <p>  </p> <p> Présenté comme <strong>un voyage, un jeu de piste, ou une quête</strong>, le visiteur sera placé tantôt au centre de l’oeuvre, amené à <strong>faire ses choix </strong>et à <strong>expérimenter lui-même</strong>, tantôt en <strong>spectateur </strong>recevant et assemblant <strong>une identité</strong>.  </p> <p>  </p> <p> <img alt="_clsion_cadrage" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/15756/_clsion_cadrage.jpg"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <u><strong>Le collectif MULUPAM</strong></u></p> <p>  </p> <p> Muriel Carpentier, Lucile Hoffmann et Paméla Dorival se rencontrent au cours de leurs études à l’Ecole Nationale Supérieur d’Art de Dijon. Des discussions qu’elles ont durant celles-ci, elles trouvent des parallèles dans leurs démarches autour de l’image, l’espace et la lumière.  </p> <p>  </p> <p> <strong>Muriel Carpentier</strong> travaille dans le domaine de l’art et du design, mélangeant la vidéo et l’espace. Elle déroule cette matière virtuelle dans des environnements et permet ainsi de s’interroger sur leur vision et leur perception.  </p> <p>  </p> <p> <strong>Lucile Hoffmann</strong> développe une démarche artistique en utilisant principalement la vidéo et la photo. Dans ses créations, elle s’intéresse aux gestes et aux signes qui traduisent notre identité et évoquent diverses relations au monde et aux autres.  </p> <p>  </p> <p> <strong>Paméla Dorival</strong> construit son travail autour du paradoxe. Elle met en oeuvre des matériaux pauvres ou non-nobles. Leur mise en place leur donne un aspect exceptionnel voir mystique. Touche à tout, ses oeuvres prennent la forme de sculptures, d’installations ou de vidéos.      </p> <p>  </p> <p> Les questionnements plastiques de chacune touchant à l’individu, au caractère intime de l’expérience et à l’oeil comme outil de vision se chevauchent. La thématique de l’identité se définit alors.</p> <p> Par ailleurs, au regard des différents médias qu’elles utilisent,<strong> la forme de l’oeuvre et la façon de la présenter</strong> deviennent leur <strong>base de réflexion</strong>. Le visiteur est envisagé comme mobile. Son parcours, les choix dont il dispose pour le réaliser, font sens au sein des projets du collectif.</p> <p>  </p> <p> Ainsi<strong> "ÉCLATS", leur première oeuvre commune</strong>, est une <strong>exposition déambulatoire d’art contemporain </strong>dans l’espace urbain. « L’autre » y est évoqué par sa présence ou son absence, par des silhouettes, des gestes et des objets... Interroger son regard dans celui de l’autre, remettre en doute son individualité, une déambulation à la découverte de soi et de son rapport à l’autre. "ÉCLATS" a été présentée dans 7 lieux à Dijon du 14 au 20 novembre 2011. </p> <p>  </p> <p> <img alt="Logo_ok_540" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/15759/logo_ok_540.jpg"></p> <p>  </p> <p> <strong><u>L'oeuvre</u></strong></p> <p>  </p> <p> <em>Un jeu, une quête, un héros</em></p> <p>  </p> <p> <strong>"Points de suspension"</strong> est envisagé comme un jeu, dans lequel chaque étape peut se lire et se vivre de multiples manières. Ce jeu comme le parcours du <strong>héros</strong> inclut <strong>le voyage, les épreuves et la quête.</strong> Le visiteur sera tantôt le héros tantôt le témoin. C’est le cadre qui lui permettra de découvrir l’exposition. Au cours de son voyage le héros est testé et accumule des expériences. Au final, c’est le chemin parcouru qui permet au héros de trouver la <strong>valeur</strong> de ce qu’il a accompli.</p> <p>  </p> <p> <em>Points de départ</em></p> <p>  </p> <p> À son arrivée, les <strong>règles du jeu</strong> lui sont exposées :<strong> deux choix</strong> sont possibles, deux espaces complémentaires qu’il pourra tous deux expérimenter pendant le temps d’ouverture de l’exposition. Ils se lisent de manières transversales visuellement et auditivement. Le visiteur peut suivre un<strong> circuit balisé constitué de cinq "boites"</strong>, <strong>cinq installations plastiques</strong> ou se diriger vers une<strong> boite sonore </strong>travaillée de manière performative. Il peut commencer indifféremment par l’un ou l’autre des itinéraires. Il doit se rendre disponible et attendre son tour pour ces étranges attractions.</p> <p>  </p> <p> <em>Buts du jeu</em></p> <p>  </p> <p> La <strong>traversée de cette exposition</strong> offre un effeuillage des couches formant l’individu.<strong> Le visiteur se retrouve face à lui-même</strong> et peut faire état des choses. Ce qui le construit : passé, présent, attentes et déceptions, rencontres... Toutes ces strates qui constituent l’être, empilent souvenirs et espoirs pour l’avenir.</p> <p>  </p> <p> <em>Le voyageur</em></p> <p>  </p> <p> Dans cette nouvelle création, Mulupam approfondit ses réflexions sur la<strong> position du spectateur</strong> et place celui-ci comme<strong> acteur de son propre trajet.</strong> Il sera placé tantôt au centre de l’oeuvre, amené à faire ses choix et à expérimenter lui-même dans le parcours plastique ; tantôt en spectateur recevant et assemblant une identité dans le parcours performatif. Le collectif propose ainsi<strong> plusieurs points de vue </strong>et fait vivre une <strong>expérience psychologique et physique, intérieure et extérieure.</strong> Le voyageur est parfois statique dans l’attente ou la contemplation : il est à l’écoute et se recueille dans ce lieu. Parfois mobile dans le déplacement ou la manipulation: il ne regarde pas simplement l’oeuvre, il la traverse, l’actionne. Il participe à la création de l’oeuvre et la vit.</p> <p>  </p> <p> <img alt="_criture" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/15484/_criture.jpg"></p> <p>  </p> <p> <strong><u>2 itinéraires</u></strong></p> <p>  </p> <p> Pour la<strong> compréhension de l’oeuvre, les deux circuits sont indissociables.</strong> Ils sont séparés mais nous présentent un <strong>ensemble de réflexions qui se complètent, se répondent, se font écho</strong>.</p> <p>  </p> <p> <em>Traversée avec escales</em></p> <p>  </p> <p> Pour le<strong> parcours aux 5 boites</strong>, le voyageur doit suivre un<strong> mode d’emploi</strong> propre à chaque installation : il les visite seul, à son rythme et doit attendre son tour pour entrer dans la suivante.</p> <p>  </p> <p> En choisissant cet itinéraire, il suit un chemin qui le guide à la <strong>boîte 1</strong>. Ce portique met en scène les fondements de l’individu, questionne ses racines, et les bagages qui lui ont été légués.</p> <p>  </p> <p> La <strong>boîte 2</strong>, évoque un curieux palais des glaces. Les reflets du visiteur se brouillent dans ceux d’inconnus familiers. Son identité semble se disperser parmi tous ces étrangers, toutes ces étrangetés.</p> <p>  </p> <p> En entrant dans la <strong>boîte 3</strong>, le visiteur arrive dans un sas. Devant lui se présentent 2 portes. Il devra calculer, peser avec soin, comparer et choisir quelle voie sera la sienne.</p> <p>  </p> <p> A peine entré dans la <strong>boîte 4</strong>, le visiteur est confronté à une image onirique qui lui est tout de suite ôtée du regard. Extase, évanescence, regret, disparition. Ce qu’il aura vécu ou ce qu’il projette ne sera pas sans conséquence sur sa perception de la boîte.</p> <p>  </p> <p> La <strong>boîte 5</strong>, ne propose pas d’issue. C’est la fin du parcours. Pourtant quelque chose semble inachevé, en suspend. Si l’histoire du héros n’est plus contée, elle continue malgré tout.</p> <p>  </p> <p> <em>Traversée sans escale</em></p> <p>  </p> <p> Pour l’autre parcours, le visiteur attend à l’extérieur de la salle. Une fois invité à entrer, il y découvre une autre boîte. Elle ne se pénètre pas. <strong>Sans support visuel, le visiteur est à l’écoute.</strong> Il reçoit une parole, perçoit des gestes qui lui permettent de<strong> recomposer une identité.</strong> Il peut s’y comparer et s’y identifier.</p> <p>  </p> <p> <img alt="Boite" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/15485/boite.jpg"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <u><strong>Intentions</strong></u></p> <p>  </p> <p> <em>L’identité - thématique universelle, lecture individuelle</em></p> <p>  </p> <p> <strong>L’identité</strong> est une problématique qui touche chacun. En fonction de l’âge ou des événements qui ponctuent la vie, elle apparaît de manière plus ou moins centrale. Elle nous renvoie à qui nous sommes par rapport aux autres, aux choix que nous faisons, à nos désirs et nos rêves. Dans une société où la place de l’individu est sans cesse remise en question, il est utile de prendre un temps pour<strong> faire le point.</strong></p> <p>  </p> <p> Le collectif Mulupam propose cet espace. Un <strong>espace</strong> qui est aussi <strong>versatile</strong> que le visiteur lui même. Ici pas de réponses définitives ni de jugements singuliers. Le visiteur dresse un simple <strong>état des lieux </strong>pour lui-même. Il trace les <strong>contours de celui qu’il es</strong>t à ce moment précis.</p> <p>  </p> <p> <em>Le cloître - lieu public pour une expérience intime</em></p> <p>  </p> <p> Qu’elle soit sous forme de sculpture, d’installation vidéo ou sonore, l’oeuvre nécessite toujours un certain volume, un certain espace. Le collectif<strong> prend en compte le lieu</strong> dans laquelle celle-ci est présentée. Il peut<strong> faire partie de l’oeuvre</strong>, devenir une contrainte pour la manière de la montrer et parfois même lui donner du sens.</p> <p>  </p> <p> À Dijon, <strong>"Points de suspension"</strong> est présenté au<strong> cloître du Musée de la Vie Bourguignonne</strong>. Ce lieu a été choisi pour ces caractéristiques atypiques et sa fonction d’origine. Espace de méditation et de déambulation, il<strong> renforce le sens de l’oeuvre</strong>. Il est le cadre privilégié à cette courte introspection.</p> <p>  </p> <p> Par ailleurs, ayant une<strong> volonté de sensibiliser un large public à l’art contemporain</strong>, le collectif présente son oeuvre dans un lieu qui ne lui est pas habituellement affecté. C’est une occasion de croiser les publics dans un lieu du patrimoine dijonnais. Ainsi le collectif s’adresse à un public d’initiés et non-initiés à l’art contemporain.</p> <p>  </p> <p> <img alt="Clo_tre" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/15486/clo_tre.jpg"></p> <p>  </p> <p> <em>Corps en mouvements - le visiteur mobile et l’artiste en action</em></p> <p>  </p> <p> <em>"L’histoire de l’art de la performance au XXème siècle est celle d’une technique permissive, aussi flexible qu’ouverte, aux variables infinies et exécutées par des artistes désireux d’outrepasser les limitations de formes d’art plus établies et résolues à soumettre leur art directement au public."</em></p> <p>  </p> <p> Roselee Goldberg dans "La performance, du futurisme à nos jours" Éditions Thames et Hudson,collection l’univers de l’art</p> <p>  </p> <p> Dans la démarche du collectif,<strong> le rapport au déplacement est essentiel</strong>. Il est envisagé comme un élément à part entière de l’oeuvre. Si dans leur <strong>première exposition "ÉCLATS"</strong>, il n’y avait que le visiteur qui était envisagé comme mobile, dans <strong>"Points de suspension"</strong> le collectif a développé cette <strong>notion de mouvement en l’appliquant également à l’oeuvre elle-même.</strong> C’est ainsi que la performance apparaît dans la création.</p> <p>  </p> <p> Dans le parcours plastique c’est le visiteur qui vient à la rencontre de l’oeuvre. Dans le parcours performance c’est l’oeuvre, par le biais du performeur, qui vient à la rencontre du visiteur.</p> <p>  </p> <p> <em>Une oeuvre métisse - liens invisibles</em></p> <p>  </p> <p> Les oeuvres des membres du collectif sont toujours à la <strong>frontière entre art contemporain, scénographie et théâtre</strong>. Cela les mène à envisager une oeuvre où cette ambiguïté entre arts plastiques et arts vivants serait encore plus marquée. <strong> </strong></p> <p>  </p> <p> <strong>"Points de suspension"</strong> est alors construite comme une oeuvre métisse à la fois<strong> plastique et scénique.</strong> Mêlant<strong> installations plastiques et performance</strong>, elle est travaillée avec le <strong>comédien Julien Colombet.</strong></p> <p>  </p> <p> Tout en recherchant le mélange de ces 2 formes artistiques le collectif les sépare, les présentant comme <strong>2 modes de transmission distinct.</strong> L’un<strong> visuel</strong> où le <strong>corps est actif et en mouvement,</strong> l’autre <strong>sonore</strong> où<strong> le corps est immobile et en position de récepteur.</strong></p> <p>  </p> <p> Le mélange n’est donc pas immédiat. Le visiteur reçoit l’un puis l’autre, puis il combine et ré-interprète ce qu’il aura vu en premier. Il découvre alors des liens là où il ne semble pas y en avoir.</p> <p>  </p> <p> Le collectif pointe ainsi les<strong> points de jonctions entre chaque chose</strong>, qu’il s’agisse des différentes formes d’art ou des individus.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <u><strong>L’équipe  du projet</strong></u></p> <p>  </p> <p> Pour mener à bien l'exposition <strong>"Points de suspension", </strong>le collectif en plus des trois membres de celui-ci s'est entouré d'une équipe composé d'un comédien, d'un éclairagiste et d'une chargée des relations avec le public.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <em><strong>Julien Colombet</strong></em> - comédien-performeur</p> <p>  </p> <p> Après sept années passées au Théâtre Universitaire et deux ans au Conservatoire Régional D’art dramatique , Julien Colombet commence sa carrière professionnelle dans différentes compagnies de la région. Il travaille notamment avec la compagnie 26000 couverts sur deux spectacles et a participé à toutes les créations de la compagnie SF dont les deux en coproduction avec le Centre Dramatique National de Dijon, jouées à Chalon Dans La Rue. Sa pratique de comédien le dirige vers des formes plus libres et lorsque le collectif Mulupam le contacte pour lui présenter le projet «Points de suspension» il y porte un véritable intérêt. Après quelques séances de recherche sur l’aspect performance du projet sa participation n’est pas remise en doute et il devient l’artiste performeur de «Points de suspension». Sa voix sera celle de quatre artistes, à la fois la sienne et celle de chaque membre du collectif.</p> <p>  </p> <p> <em><strong>Julien Poupon</strong> </em>- éclairagiste et régisseur lumière</p> <p>  </p> <p> Depuis toujours il est un spectateur assidu de théâtre, de danse, de concerts et de cirque. Né en 1980, Il se destine d’abord aux métiers du génie civil mais c’est l’envie de « travailler dans la culture » qui prend le dessus. En 2007 il intègre une école grenobloise et signe un contrat de professionnalisation avec le Théâtre Dijon Bourgogne (TDB), Centre Dramatique National de Dijon. Deux années riches d’apprentissages, de rencontres professionnelles et artistiques. Il a participé activement à de nombreuses créations, notamment avec Irene Bonnaud, Matthias Langhoff, Stéphanie Chaudesaigues, Diana Bratu, Sebastien Canet ou encore Jean-Philippe Naas. Il rencontre le collectif Mulupam à l’occasion de leur résidence aux ateliers du TDB en juin 2012. Il doit les accompagner dans la création d’une des boîtes de «Points de suspension». Séduit par le projet il accepte de les accompagner dans la conception lumière de l’oeuvre jusqu’à sa présentation en mai 2013.</p> <p>  </p> <p> <em><strong>Marie Lambert</strong></em> - chargée des relations avec le public</p> <p>  </p> <p> Marie Lambert a une formation en gestion de projets culturels qu’elle a suivi à l’IUP Denis Diderot de Dijon. Au cours de son parcours universitaire, elle s’est spécialisée dans la Médiation Culturelle auprès du public et plus particulièrement le jeune public. Elle rencontre le collectif Mulupam en 2011  alors que l’exposition «Éclats» est en préparation. Elle les accompagne dans le cadre d’un service civique avec pour mission de les assister dans les actions de communication, de médiation, de diffusion et de leurs autres tâches courantes. Cette première expérience avec le collectif est pleine d’enseignement et des liens de confiances se tissent. L’envie de travailler à nouveau ensemble est là, le projet et les conditions sont réunis pour que cette envie se réalise. Elle les accompagne sur «Points de suspension» depuis novembre 2012.</p> <p>  </p> <p> <u><strong>Médiation</strong></u></p> <p>  </p> <p> <em>Temps de rencontres et d’échanges</em></p> <p>  </p> <p> Si le collectif est présent lors de chaque temps d’ouverture et assure la vie de l’exposition, de véritables temps de rencontres seront organisées. En effet chaque boîte du parcours plastique devant se vivre seule, les visites commentées dans leur forme habituelle ne peuvent être proposées. C’est pourquoi des temps de rencontres avec les membres de l’équipe seront organisés pendant la période de l’exposition. Ces moments d’échange permettront un dialogue entre visiteurs et concepteurs. Une opportunité de voir l’oeuvre dans les yeux de ceux qui l’ont créée et leur vision de la création artistique contemporaine.</p> <p>  </p> <p> <img alt="Luciole_recadrage" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/15764/luciole_recadrage.jpg"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> Vous pouvez consulter le dossier de presse de l'exposition <a href="https://docs.google.com/viewer?a=v&amp;pid=sites&amp;srcid=ZGVmYXVsdGRvbWFpbnxtdWx1cGFtfGd4OjI1NDRiMGMzNTY4MDAzM2E" target="_blank">ici</a>.</p> <p>  </p>