Album tamghra-beat
<p><strong>Présentation</strong> <strong>du</strong> <strong>projet</strong> :</p>
<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/704221/8b334d03-0b6d-4479-9bd5-9de630f8acbe.jpg" width="100%" /></p>
<p> Ce projet de création est d’abord un partage puis une fusion de quatre cultures , Maghrébine , Africaine, Latine et Européennes par la rencontre de quatre pays : Maroc, France, Burkina Faso, Venezuela , et un échange entre des artistes aux pratiques et aux styles différents.</p>
<p>Cette démarche est innovante car l’œuvre rendue résulte a la fois d’un travail individuel et collectif mariant instruments traditionnels et modernes et des pratiques d’horizons différentes évoluant dans un cadre d’échange, de recherche et de création de mélodies ouvertes sur le monde.</p>
<p>Cette création permet également aux artistes africains de donner une dimension internationale à leur travail, au delà de leur village , pays et continent. </p>
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<p><strong>Conception</strong> <strong>et</strong> <strong>direction</strong> <strong>musicale</strong> <strong>du</strong> <strong>projet</strong> :</p>
<p>L'album tamghra-beat est ainsi le fruit de plusieurs collaborations, de résidences artistiques, de voyage autour du monde et de rencontres culturelles d'un Marocain. </p>
<p>De ce fait en darija marocaine le [ tameghrabit ] signifie "la marocanité" une manière de faire les choses à la marocaine qui représente notre attachement à nos racines. </p>
<p>D'autre part la composition du nom de l'album à une autre facette . En berbère [tameghra] signifie la célébration et accolé au mot "beat" ,qui signifie le "rythme", l'album est donc une Célébration de rythmes à la Marocaine qui va mettre en valeur notre patrimoine musicale dans toutes ses diversités avec une touche mondiale. C'est un travail de recherche, de création et de métissage entre les cultures. </p>
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<p><strong>Leader du projet '' simo babara '' </strong></p>
<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/704213/7dbc2ee1-7f2b-479b-b701-10f51e87f440.png" width="100%" /></p>
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<p>Simo Babara est un musicien multi-instrumentiste auteur compositeur interprète marocain Né à Casablanca, Simo Babara, puise ses influences de son fief d’origine, Errachidia, dans le sud marocain.</p>
<p>Des influences sahraouies et berbères qu’il a puisé dans une grande famille de mélomanes ; son père était guitariste et ses grands oncles, des percussionnistes. </p>
<p>Autodidacte à ses débuts, Simo Babara, a acquit un style et une empreinte musicale depuis une multitude de formations, masters class, et des stages de musiques que ses rencontres et voyages ont mis sur son chemin.</p>
<p>A ses début, il cherche à maitriser le Balafon, le Guembri et la guitare, ces instruments à cordes sont loin de son univers actuel, mais ils vont lui permettre à perfectionner son oreille musicale et donc devenir avec le temps, auteur-compositeur.</p>
<p>Gourmand des rythmes du monde, il va, quelques années plus tard, à la recherche de nouvelles sonorités qui mettront de nouveaux instruments entre ces mains. Cette fois-ci, ses inspirations sont latines et orientales.</p>
<p>Au fil des stages à l’étranger, Simo Babara apprendra à dompter les congas, le bongo, les cajons … plus encore la derbouka. </p>
<p>Au bout de dix ans, Simo Babara a cumulé des expériences reconnues avec plusieurs formations tels que ; Bramel'z et Gnawa Click et surtout des collaborations avec des artistes de renoms tel que Khansa Batma, Saida Fikri, Bilal, Reda Taliani, Khaoula Moujahid…</p>
<p>Quand à ses idoles, Simo Babara reconnait le talent absolu de Rhani Khrija, Giovanni Hidalgo et Mamady Keita.</p>
<p>Actuellement, Simo Babara est en phase de recherches de nouvelles inspirations qui trouvent leurs origines dans les chants Hamdouchi, Houari, Hassani… Son objectif : marquer de son empreinte musicale ses collaborations futures tout en y mettant la signature de ses origines, marocaines et africaines.</p>
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<p><strong>Taha</strong> <strong>el</strong> <strong>hmidi</strong> </p>
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<p>Taha El Hmidi est un guitariste de jazz marocain / multi-instrumentiste / compositeur originaire du Maroc. Il a commencé à jouer de la musique à l’âge de 16 ans sans suivre aucun cours de musique. Quatre ans plus tard, Taha commença à s’intéresser à la musique improvisée. À 22 ans, il jouait de la musique de manière professionnelle dans toute la ville avec de nombreuses bandes locales. À l’âge de 24 ans, Taha travaille pour un navire de croisière européen où il apprend son deuxième instrument, le PIANO, et rencontre de nombreux musiciens internationaux qui le rapprochent de son inspiration au jazz. En 2017, Taha est rentré au Maroc avec le désir d’apporter une touche de jazz moderne à la scène marocaine. Il a immédiatement commencé à donner des concerts dans tout le pays avec de nombreux musiciens de jazz locaux. Parallèlement, Taha prépare son premier album EP «OUT OF NOWHERE» mêlant jazz / Funk, musique soul mettant en vedette des musiciens nationaux et internationaux. L’éducation de Taha a contribué à forger son propre son unique, riche en jazz qui capture l’esprit de l’âge du jazz et continue également à faire avancer le genre pour sa génération.</p>
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<p><strong>Alain</strong> <strong>vernery</strong> </p>
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<p>Pianiste autodidacte, passionné de musiques improvisées, il séjourne dans les caraïbes et au Brésil où il étudie le piano avec Paolo Gondgi à l'université de Salvador de Bahia. Il joue avec le groupe Ilù Batà ( afro jazz ) et la compagnie de danse Olodum dirigée par Bira Reis.</p>
<p> A son retour en France, il étudie l'harmonie Jazz avec Michel Zénino et l'arrangement avec Yvan Julien. Il continue de se perfectionner auprès des musiciens avec qui il collabore comme Eddy Gaulein-Steff, Pete Osborn, Boris Pokora, Rémi Abram, Gustavo Ovales, Azuquita, Eduardo Vals , Luis Villoria entre autres...</p>
<p>Il accompagne aussi la chanteuse Panaméenne Yomira John lors de ses concerts en Europe.</p>
<p>Il est le pianiste de La Banda Salsa d'Eduardo vals.</p>
<p>Récemment il intègre le Phocea orchestra, big band de jazz, et le quintet du trompettiste Thierry Amiot, auprès duquel il développe un son et un jeu résolument moderne.</p>
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<p><strong>Kanazoe</strong></p>
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<p>Il est reconnu par ses pairs à travers toute l’Afrique mandingue comme le jeune génie du balafon, tant pour ses prouesses techniques, que sa créativité et sa musicalité. Né au Burkina Faso dans une célebre famille de griot, il joue le balafon dioula, sambla et toussian (pentatonique) le balafon diatonique et le Ngoni, une harpe pentatonique.</p>
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<p><strong>Eduardo</strong> <strong>Vals</strong> </p>
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<p>1997, Eduardo Vals avec son orchestre Kanabayén, enregistre son premier CD en France « QUIMBOMBO CON SALSA », avec Déclic Communication. Ce disque a rencontré un succès commercial certain, qui lui a ouvert de nombreuses scènes françaises et internationales.</p>
<p>En 2000, il fait de Barcelona-Espagne la ville préféré pour c’est concerts. Enregistre son deuxième album « LLEVA DENTRO EL CARIBE » chez K-Industrie il continue a jouer avec Kanabayén dans différentes salles en Espagne et aussi dans des Festivals européens. En 2004, il est l’invité pour la Salsa dans le prestigieux Forum Universel de las Cultural de Barcelona, dédié au développement durable et aux conditions pour la paix et la diversité culturelle.</p>
<p>Entre 2010 et 2012, il réalise plusieurs concerts au Venezuela et reçoit une offre du Centre Nationale du Disque (CENDIS) Venezuela, pour produire un CD : « LA NUEVA SALSA DE VALS » qui a été présenté au publique en 2012 dans les différentes salles du Venezuela et d’Europe. En juillet 2013 Eduardo Vals a été l’invité « latino » dans le Festival Moz’aique au Havre-France et entre 2015 et 2017 fait infatigables allers/retours entre Venezuela et la France notamment pour jouer au 5eme Festival de Salsa La Estancia (PDVSA) ; Banco Central de Venezuela (BCV) ; Festival Salsa Latitudes Caraïbes (CANTV) et d’autres.</p>
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<p><strong>Mathieu</strong> <strong>chédeville</strong> </p>
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<p>2008 le DUMI et en </p>
<p>2009, le DEM de Jazz suite à un cursus au CRR de Perpignan. </p>
<p>Il rejoint le Melquiadès Quartet en 2010, groupe avec lequel il se </p>
<p>produira en France et à l’étranger. En 2011, il remporte le prix du </p>
<p>soliste au Concours International de Jazz de Getxo avec ce projet. </p>
<p>En 2013, le quartet invite le saxophoniste Julien Lourau pour le </p>
<p>projet de création Mapamundi. Matthieu firte également avec </p>
<p>la musique du Maghreb avec Isatis et l’électro-rock au sein du </p>
<p>Dakodak quartet. Il pratique le théâtre et le conte musical dans </p>
<p>diverses compagnies.</p>
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<p><strong>Soufiane</strong> <strong>gaga</strong></p>
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<p>Soufiane Gaga est un batteur percussionniste marocain d’origine berbère.</p>
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<p>Son style se définit par un mélange de différents rythmes, d’ici et d’ailleurs.</p>
<p>Il a commencé sa formation académique en 2002, Aujourd’hui il’ a eu sa 1ère médaille en batterie classique au Conservatoire de Casablanca.</p>
<p>Son niveau s’est enrichi à travers différentes expériences, échanges et collaborations vécues, tant sur scène qu’en studio, au niveau national qu’a l’international.</p>
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<p>Il a joué avec: Dizzy Dros, Don Bigg et Reda Taliani</p>
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<p>Passionné de musique depuis l’âge de 6 ans, Florent multiplie les expériences musicales (et les instruments !)</p>
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<p>En effet, parallèlement à son métier de musicien intervenant qu’il exerce depuis 6 ans et pour lequel il joue principalement de la guitare, Florent collabore actuellement à de nombreux projets en tant que :</p>
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<p><strong>tromboniste:</strong></p>
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<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/704223/da081fa2-13d0-436f-8e9c-1be4808a4fb8.jpg" width="100%" /></p>
<p>Calle Caribe, qu’il a créé en 2014</p>
<p>Skamanians, groupe de rock steady perpignanais</p>
<p>Latin Sound Ensemble, avec le tromboniste Beppe Caruso</p>
<p>mais également en tant que :</p>
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<p>The Dramatix, créé par Bett Betty</p>
<p>Trombone Reunion Ensemble avec Beppe Caruso, José Moléro, Hervé Barthes et Emmanuel Culié</p>
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<p>Avant de venir s’installer dans l’Héraut, il a joué sur Toulouse dans le Culinaro Jazz Band, La Charanga Contradanza (crée par le flûtiste Aldo Guinart), ainsi qu’au Maroc avec le groupe de salsa Ocho Punto et le groupe de fusion maghrébine Ma Click créé par Anas Zine</p>
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<p>C’est cette envie toujours croissante de partager avec le plus grand nombre cette magnifique langue universelle qu’est la musique, qui le pousse à de nouvelles expériences, à de nouvelles rencontres et l’amène vers la composition de musiques mêlant toutes ses influences</p>
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