Back Cover #6 – Special Japon

Back Cover est une revue de réflexion sur le design graphique, la typographie, les cultures populaires… Soutenez le numéro spécial Japon!

Visuel du projet Back Cover #6 – Special Japon
Réussi
176
Contributions
31/08/2013
Date de fin
6 130 €
Sur 5 500 €
111 %

Back Cover #6 – Special Japon

<p> <strong>Back Cover</strong>, design graphique, typographie, etc. est une revue de réflexion et d’analyse des pratiques du design graphique, de la typographie et plus largement des arts visuels. Bilingue <strong>français–anglais</strong>, elle est distribuée <strong>internationalement</strong>. Elle a été créée par des designers graphiques en 2008. Elle reste aujourd"hui une revue indépendante et autofinancée.</p> <p>  </p> <p> <strong>Back Cover</strong> est une tribune pour des personnalités de tous pays qui font ou analysent l’univers visuel dans lequel nous vivons et dont le travail, les mots ou les partis pris sont forts et pertinents. Les designers sont particulièrement sollicités pour y prendre la parole.</p> <p> <strong>Back Cover</strong> n’est pas une revue d’actualité. Elle propose des réflexions, des analyses critiques et historiques, des expériences individuelles et collectives. Chaque numéro regroupe des contributions d’acteurs internationaux qu’ils soient critiques, historiens de l’art, designers, journalistes spécialisés dans les domaines du design graphique, de la typographie, de l’illustration ou des arts visuels, et ce sous différentes formes : interview, journal de bord, texte théorique, transcription de conférence…</p> <p> <strong>Back Cover</strong> est une revue indépendante imaginée et conçue par des designers, produite comme un outil de réflexion, de découverte et de travail. Le sixième numéro de <strong>Back Cover </strong>est le fruit d’un séjour de quatre mois au Japon. Il est entièrement consacré à ce territoire géographique et culturel dont les créations dans ces domaines sont méconnues.</p> <p>  </p> <p> Peu de créations en provenance du Japon nous parviennent. Notre connaissance se limite aux importations commercialement viables (et donc traduites) et à certaines pratiques marginales, rares, introduites ça et là par des passionnés qui partagent leur curiosité. Il nous paraissait nécessaire de traiter ce sujet aux multiples facettes et à la richesse inestimée. La difficulté linguistique et la complexité des signes propres à la culture japonaise en font également son intérêt. Être sur place nous a donc permis de rapprocher le lointain et tenter de le comprendre davantage.</p> <p> <strong><em>Design graphique au Japon. Tentative d’approche des pratiques contemporaines</em> </strong></p> <p> par Alexandre Dimos Profitant d’un séjour de quatre mois à Kyoto dans le cadre d’une résidence à la Villa Kujoyama, Alexandre Dimos, a tenté de saisir les différentes façons de pratiquer le design graphique au Japon et de comprendre la place des graphistes au sein de la société japonaise.   Cet article présente également quatre entretiens avec Kazunari Hattori, All Right graphics, Bunpei Yorifuji, Yuma Harada</p> <p>  </p> <p> <img alt="Dscf5824" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/32370/DSCF5824.JPG"></p> <p>  </p> <p> <img alt="B42jap_0427" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/32378/B42JAP_0427.jpg"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Bunpei" height="275" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/32375/Bunpei.jpg" width="249"></p> <p>  </p> <p> <strong><em>Entretien avec Satoshi Kondo et Takahiro Ichino</em> </strong></p> <p> par Mariko Yokogi et Naoharu Tatara</p> <p> Tokyo concentre toutes les attentions dans les domaines de la création. Mais plus à l’est, Osaka, un autre monstre urbain offre ses propres singularités. Entretien croisé entre deux jeunes designers graphiques du Kansai.</p> <p>  </p> <p> <strong><em>Koga Hirano</em> </strong></p> <p> par Kiyonori Muroga</p> <p> Figure marquante et singulière dans la typographie au Japon, Koga Hirano est un personnage engagé aux compositions typographiques uniques et déstructurées. Portrait.</p> <p>  </p> <p> <strong><em>L’édition des livres imprimés au Japon à l’époque d’Edo</em> </strong></p> <p> par Christophe Marquet</p> <p> Durant la période Edo (XVIIe – XIXe siècle), l’organisation industrielle et sociale de l’édition était très développée, florissante et les techniques de distribution poussées et efficaces. Les éditeurs y avaient une place de choix et la propiété des plaques de bois nécessaires à l’impression des estampes était indispensable pour tenir son rang. Retour sur un moment clé de l’histoire de l’édition.</p> <p> <img alt="Typomeiji" height="209" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/32371/TypoMeiji.jpg" width="247"></p> <p>  </p> <p> <strong><em>La Typographie au japon depuis l’ère Meiji </em></strong></p> <p> par Toshiaki Koga</p> <p> La composition typographique moderne s’est développée au Japon au début du XXe siècle. Cet essort correspond au moment où le pays a été propulsé vers une occidentalisation voulue par le pouvoir politique. La langue japonaise nécessite des milliers de caractères pour constituer une fonte. Comment les caractères typographique sont-il créés, développés et distribués depuis lors?</p> <p>  </p> <p> <img alt="_mg_7426" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/32373/_MG_7426.JPG"></p> <p>  </p> <p> <strong><em>Yuichi Yokoyama</em> </strong></p> <p> par Kodama Kanazawa et Laurent Bruel</p> <p> Auteur prolifique au coup de crayon bien aiguisé, Yuichi Yokoyama imagine ses histoires dans des décors géométriques aux personnages sans cesse en mouvement. Soutenu et publié en France par les éditions Matières, son travail reste confidentiel au Japon mais Yokoyama ne transige pas. Double regard japonais et français sur son œuvre de mangaka et de peintre.</p> <p>  </p> <p> <img alt="Dada" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/32374/Dada.jpg"></p> <p>  </p> <p> <strong><em>Narita Tohl</em> </strong></p> <p> par Noi Sawaragi</p> <p> Dans les années 1960, Narita Tohl a participé à la création de dizaines de monstres et de personnages pour les séries télévisées Ultra Q et Ultraman. Son travail est profondément encré dans l’histoire de l’art et se situe aux croisements des cultures savantes et populaires. Les monstes «Dada», «Buruton» et «Garamon» convoquaient ainsi des figures de l’histoire de l’art française sur les écrans des jeunes japonais.</p> <p>  </p> <p> <strong><em>Norakuro dans l’histoire de la bande dessinée japonaise</em> </strong></p> <p> par Isao Shimizu</p> <p> Œuvre majeure de Tagawa Suihô, la série de mangas Norakuro a débutée en 1931 et s’est poursuivie durant dix ans dans les pages de la revue Shônen Club. Énorme best-seller, vendu à plus d’un million cinq cent mille exemplaires, Norakuro est de loin le plus populaire des mangas des années 1930 – et au-delà.  L’immense popularité de Norakuro tient au fait qu’il s’agit du premier long récit japonais en bande dessinée avec pour personnage principal, Norakuro, un chien soldat, dont les multiples épisodes dépeignent les réussites et promotions… Cependant Norakuro ne saurait être réduit à son seul statut de manga à succès. Son style d’expression a été l’instigateur d’une réforme profonde. C’est de cette « réforme Norakuro » dont il va être question ici.</p> <p>  </p> <p> <strong><em>Les représentations de la catastrophe</em> </strong></p> <p> par Anne-Lyse Renon</p> <p> La catastrophe de Fukushima en mars 2011 n’est pas un monde nouveau dans la représentation de la catastrophe nucléaire. mais parce qu’il y a des moyens nouveaux de la représenter qui n’existaient pas par le passé, et de plus avec d’autres temporalités, l’on peut en recenser de multiples formes de visionnage. Comment s’effectuent l’expression, l’interprétation et la transmission par et avec les images d’un tel évènement? Quelle est la place du design (graphique) dans un tel mécanisme de lecture?</p> <p>  </p> <p> <strong><em>Tokyo parle à Tschichold</em> </strong></p> <p> par Victor Guégan</p> <p> Les racines de la Nouvelle Typographie se circonscrivent-elles à l’Europe ? Un petit livre publié en 1925 et jusqu’alors passé inaperçu – pourtant conseillé dans la bibliographie du manifeste Die Neue Typographie (1928) par le jeune Jan Tschichold – va puiser bien au-delà de notre vieux continent pour comprendre la modernisation spectaculaire menée par une poignée d’artistes et typographes d’Europe centrale pendant l’entre-deux-guerres. Écrit de Tokyo par une universitaire allemande, Anna Berliner, il dresse une typologie des annonces dans la presse quotidienne japonaise au début des années 1920. Il donne ainsi à voir les réponses graphiques de la publicité nippone aux problèmes posés par l’industrialisation massive de l’imprimerie, notamment l’émergence d’un répertoire de symboles en voie de normalisation.</p>

À quoi servira la collecte

<p> Ce numéro 6 est exceptionnel à plusieurs titres. Dans sa méthode d'élaboration mais aussi par l'ampleur du contenu. Le japonais est une langue difficile dont les coûts de traduction dépassent ceux des langues que nous traduisons couramment (anglais, allemand, espagnol, etc.).</p> <p> La collecte permettra de financer la totailté des traductions, les prises de vues pour constituer le matériel iconographique et la production.</p> <p>  </p> <p> La collecte nécessaire est d'au moins 5500€. Si nous dépassons cette espérance, nous pourrons commencer à financer le numéro 7.</p> <p>  </p> <p> Ils soutiennent déjà le projet: A is for apple, D'autant plus, Esad - Amiens, Ebabx - Bordeaux, Fedrigoni, Head - Genève, Lecturis, Takeo, Typotheque, Village fonts.</p>

Contreparties

5 €

  • 2 contributions
Remerciement sur le site internet de la revue

15 €

  • 2 contributions
Remerciement sur le site internet de la revue + Version pdf de la revue dans votre langue

20 €

  • 103 contributions
Remerciement sur le site internet de la revue + le numéro 6 de Back Cover en avant première

35 €

  • 36 contributions
Remerciement sur le site internet de la revue + le numéro 6 de Back Cover en avant première + le sac en tissu Back Cover sérigraphié

60 €

  • 14 contributions
Remerciement sur le site internet de la revue + le numéro 6 de Back Cover en avant première + le sac en tissu Back Cover sérigraphié + une affiche Back Cover numérotée imprimée en Risographie

100 €

  • 16 contributions
contreparties précédentes + vous recevez le numéro 7 de Back Cover à paraître en 2014 + vous êtes remercié dans le colophon de la revue

200 €

  • 1 contribution
contreparties précédentes + vous recevez un ouvrage de votre choix du catalogue des éditions B42 + 1 invitation privée au pot de livraison de la revue à Paris

500 €

contreparties précédentes + vous êtes remercié en tant que mécène du numéro 6 dans le colophon

1 000 €

    contreparties précédentes + un abonnement à vie à la revue Back Cover

    1 500 €

      contreparties précédentes + vous êtes remercié en tant que grand mécène du numéro 6

      5 000 €

        Contreparties précédentes + vous recevez l'ensemble des ouvrages à paraître des éditions B42.

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