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<img alt="1" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/84297/1.jpg" /></div>
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Combien de couples européens enlacés un samedi soir au rythme d'un air endiablé ont-ils conscience de l'hommage qu'ils sont en train de rendre aux dieux africains? Et pourtant, ces danses à deux ou à trois en groupes ne dérivent-elles pas tout droit du vieux fonds subsaharien? Admirable circuit culturel : de l'Afrique aux Antilles, aux Amériques, à l'Europe et à l'Afrique derechef. Javas et tango, cha-cha-cha ou jerk ne sont que les étapes mimées d'une certaine africanisation des comportements occidentaux. Chaque occidental qui danse adresse un hommage inconscient aux génies d'Afrique. Le rythme africain a conquis le monde. </div>
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<em> ( par Abdelwahab Bouhdiba, " Pluralisme social et pluralisme culturel" )</em></div>
Basango Jazz Festival
Le Basango Jazz Festival symbolise tout l’esprit de la culture congolaise au travers d’un événement musical magique et unique.
Échoué
4
Contributions
01/07/2014
Date de fin
250 €
Sur 13 179 €
2 %
Les publications
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En 1982 le chef de l'État avait promulgué la loi sur les droits d'auteur et les droit voisins, une loi aux termes de laquelle les expressions du folklore doivent être protégées par la future société nationale des auteurs, et leur exploitation musicale donner lieu à la perception d'une redevance qui alimentera un fonds d'aides aux musiciens nationaux. On peut louer sans réserve le législateur congolais d'avoir ainsi fondé la solidarité des artistes sur des bases historiques et culturelles, mais il reste que l'application de ce principe est resté lettre morte. Le BCDA " Bureau Congolais des Droits d'Auteur " a du mal à respecter ses engagements, rare sont les artistes inscrits au BCDA et qui touchent à leurs droits.</p>
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<img alt="Gasandji" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/83691/Gasandji.jpg" /></p>
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De tous les arts, la musique est celui qui contribue le plus à la culture de l'homme, ne serait-ce qu'en raison de son appel direct, émotionnel et universel, dont l'appréciation ne nécessite ni effort intellectuel ni formation raffinée. "Laissez-moi faire les chansons d'un peuple et peu m'importe qui fera les lois", voilà un hommage à peine exagéré rendu au pouvoir de la musique. Une histoire des progès de l'humanité qui ne tiendrait pas compte de cet art comporterait de ce fait d'affligeantes lacunes..."</p>
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<em> (Histoire de l'humanité, vol.1, Unesco)</em></p>
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L'acteur Omar Sy pourrait être le personnage principal de Black Bazar, l'adaptation au cinéma du livre d'Alain Mabanckou, actuel président du Prix du Livre Inter. Publié en 2009, Black Bazar (Seuil) raconte sur le ton de la moquerie l'histoire d'un congolais, appelé le "fessologue" par ses amis. Parti de son pays pour s'installer à Paris, il noue une relation avec une jeune femme. Dans le scénario écrit par Alain Mabanckou, le "fessologue" sera chargé d'aller récupérer son enfant au Congo. Le projet est entre les mains du producteur d'Omar Sy. </div>
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Le tournage de Black Bazar aura lieu à Paris et à Brazzaville. </div>
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<font class="Apple-style-span" color="#000000" face="Arial, FreeSans, sans-serif">À SUIVRE</font></div>
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<img alt="Helmie-bellini" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/80878/Helmie-Bellini.jpg" /></p>
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<p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 11.0px Arial">
Helmie Bellini parle d’amour, de caresses. De tristesse, d’abandon. De chants, de grandes ladies. Elle porte des compositions originales, d’un ton qui incite à la sérénité. Ses mélodies recherchent la beauté sans fioritures. Des textes en français, un langage construit, la musique est parfois dans les mots ; le style emprunte à la poésie et à l’héritage du romantisme. D’autres chants sont en lingala, en téké, et l’on a la sensation de les comprendre tant la voix d’Helmie Bellini à elle-seule raconte une histoire. Sous les couverts d’un périple linguistique, ce voyage est intérieur. Les musiciens qui l’entourent sur « il était une voix » mélangent les genres et entremêlent des sons qui, loin de se heurter, se complètent. Où le piano côtoie les tablas, où la batterie rencontre la harpe. L’ensemble dans un esprit créatif qui nous rappelle qu’en musique, tout n’a pas encore été trouvé, qu’il reste des sons et des atmosphères inexplorées. La preuve. </p>