Pilote Commissaire Diop

Série écrite par Bruno Rossat, d'après sa bande dessinée

Réalisée par Bruno Rossat & Alessio Boselli (et d’autres réalisateurs pour les épisodes suivants)

En dehors d’Omar Sy, combien d’acteurs à la peau noire voyez-vous briguer des premiers rôles à la télévision ou au cinéma ? Bien peu.

Relégués aux seconds rôles ou au « black de service » , on voit bien que la diversité culturelle de notre pays ne se reflète pas sur nos écrans. Avec commissaire Diop nous espérons bien jeter un pavé dans la marre !

De nombreuses autres questions sociétales seront abordées dans cette série : homophobie, sexisme, pauvreté, racismes et inégalités en tous genres, handicap, écologie, etc.

Mais plus qu’une série engagée, Commissaire Diop est avant tout une comédie qui saura susciter l’émotion de ses téléspectateurs.

Toutefois pour que ce projet puisse voir le jour, nous avons besoin du soutien de chacun afin de réunir la somme nécessaire au tournage du premier épisode pilote.

SOMMAIRE

1. Synopsis

2. Note d'intention de l'auteur-réalisateur

3. Notes sur l'écriture

4. Présentation de l'auteur - réalisateur

5. Présentation second réalisateur

6. Présentation l'acteur principal

1. Synopsis

C'est la vie quotidienne d'un commissariat de quartier de banlieue dans lequel une brigade de police traite à la fois le vol à l'étalage, les meurtres, cambriolages, trafics humains, voies de faits...

Bartolomé Lucius Diop en est le commissaire principal, il est secondé par la capitaine Élodie Martial, 100% flic, qui se charge de tenir la "base" d'une main ferme mais avec justesse et humanité.

On travaille pour le public. C'est pourquoi Commissaire Diop se veut avant tout une série policière divertissante malgré les sujets graves qui sont traités.

Et grâce au personnage principal, qui apporte avec splendeur et panache un côté décalé voir surréaliste, on aime la façon dont les enquêtes sont menées.

2. Note d'intention de l'auteur - réalisateur

Au départ, le scénario de « Commissaire Diop » était destiné à la bande dessinée.

Je venais de terminer l'écriture d'un autre projet tout en griffonnant les croquis de la BD quand a germé l'idée de ce flic rasta, sûr de lui et en-dehors des codes de procédure mais qui respecte la loi et fait de son métier une véritable profession de foi à la manière d'Axel Foley, le flic de Beverly-Hills.

Dans la série, la criminalité augmente (favorisée par une situation économique et sociale qui se détériore) mais la police de ce commissariat a une méthode : le maximum d'efficacité avec le minimum de violence.

Par contre, mes personnages ne sont pas des héros et encore moins des victimes (loin de toute critique naïve de la société dans laquelle ils évoluent.)

Pris dans une spirale de harcèlement et de déstabilisation, il réagit avec un instinct aiguisé (qui s'affûte au fil des épisodes) : le parcours de Diop se veut rythmé à chacune de ses enquêtes.

Bruno Rossat

3. Notes sur l'écriture

Le rythme

Dans mon récit, j’ai trouvé des outils pour que la progression respecte un développement organique.

C'est ainsi qu'est né le personnage de Valérie Chevallier, la cousine de Jessica qui n'existait pas dans la BD.

Mais aussi les péripéties entre Diop et le lieutenant Fournier : les personnages se fuient, se croisent et se retrouvent dans une seule et même arène de jeu, qui constitue la trame policière.

La résolution

La résolution des histoires restera toujours la même. Je ne veux laisser planer aucun doute sur les relations qu’entretiennent entre eux les protagonistes.

J'ai le sentiment d'avoir sondé la série en profondeur et fait les choix nécessaires, parfois risqués, mais en connaissance de cause.

Bruno Rossat

4. Présentation de l'auteur - réalisateur

Bruno Rossat est avant tout un réalisateur - enseignant, mais aussi un prolifique scénariste en France comme à l'étranger.

1986. Il est d'abord scénariste et dessinateur de bandes dessinées.

Puis se consacre exclusivement à l’écriture à partir de 1987 et ne lâche plus le stylo à partir de cette année.

Il poursuit par la réalisation de ses scénarios avec quelques courts métrages, au rythme de un à deux par an de 1989 à 1994.

Mais abandonne la réalisation en 1995 pour se focaliser sur l'écriture.

Acteur, il débute au cinéma par hasard en 1988 dans le film de José Pinheiro « Ne réveillez pas un flic qui dort »

Le milieu du cinéma l'intéresse, mais pas le métier d'acteur. Le métier de cinéaste, il le pratique depuis plus de trente ans au gré de ses rencontres artistiques.

En 1999, il fonde LEWITT PRODUCTION, société de production internationale qui se spécialise dans l'émergence d'artistes du secteur culturel et artistique.

Son retour derrière la caméra se fait au début de l'année 2012 avec l'écriture et la réalisation d'un petit film associatif pour ACTION NO LIMIT, une école de combats & cascades de cinéma dirigé par Dara Indo Oum, lui-même ancien acteur et cascadeur de cinéma.

En mars 2013, il créé 7-1 ART PRODUCTION, une association audiovisuelle fondée sur le principe de la formation aux différents métiers artistiques. Principalement axée sur la jeunesse : comédiens à partir de 6 ans, et techniciens à partir du lycée. Puis en avril de cette année, il fonde avec Jean-Jacques Berthieu et Alessio Boselli, l'association CINÉMA DE PARIS, dont Commissaire Diop sera le premier projet.

5. Présentation du second réalisateur

Après un parcours varié (infographie 2D / 3D, travail social, dessin industriel, etc.) il se lance dans les années 2000 dans diverses collaborations audiovisuelles : TV, docus, fictions.

Il retournera brièvement sur les bancs de l'ESRA, célèbre école de réalisation, avant de se lancer à plein temps comme réalisateur indépendant.

En 2016, il rencontre Bruno Rossat et intègre l’équipe de 7-1 ART PRODUCTION, participants à de nombreux tournages aux postes de réalisateur ou directeur de la photographie.

Il signe aux côtés de Bruno Rossat la réalisation du premier épisode du commissaire Diop.

6. Présentation l'acteur principal

Jean-Jacques Berthieu dit Jean-Jacques ou Jean-Jacques B est un artiste français, auteur, compositeur, interprète, présentateur télé, producteur et acteur, né à Douala au Cameroun. Il est passionné de musique reggae, jazz, house, électro, pop, blues, chanson française et camerounaise.

Pendant 10 ans, Jean-Jacques est directeur artistique sur la chaîne de télévision « La Locale TV » puis travaille avec Karl Zéro dans « Le Vrai Journal » (en 2006.)

Il est aussi organisateur de soirées et concerts (La Cigale, le Bataclan, l'Alhambra…) ainsi que de nombreux festivals en France, en Suède, en Angleterre et en Afrique.

Sa récente rencontre avec Charles Dumont (compositeur pour Edith Piaf…) a été décisive pour produire, en octobre 2019, un concert au premier étage de La Tour Eiffel dont il fait la première partie. Un album de reprises en reggae de 11 titres, offerts par Charles Dumont, est en préparation.

Jean-Jacques a 4 albums à son actif dont le titre « Richesse », signé chez Warner Chappell Music France et plus de 80 singles enregistrés à la Sacem.

En 2010, il réalise son titre «Sun is coming » en collaboration avec Rami Mustakim, qui devient clip de l'été sur MBOA TV.

Il accomplit également un featuring avec la chanteuse Lorie, sur le titre «Têtu », à la demande de Frédérique Château (producteur de Florent Pagny, Natasha St-Pier...)

Cette pluralité qui lui colle à la peau, le mène à coopérer musicalement avec des artistes tels que Maxime Desprez (producteur pour David Guetta), Fabien du groupe KYO, Freeman du groupe IAM, Step-Art (producteur pour Pupajim), Kylian Mash et tant d’autres.

Aujourd’hui Jean-Jacques prépare la sortie d’un nouvel opus « Lumière » et une réédition de « Richesse » en co-production avec Rami Mustakim du label Monsieur Monsieur.

7-1 Art Production

Le projet de l’association 7-1 Art Production est né d’un collectif de passionnés professionnels de tous horizons désireux d'œuvrer pour la promotion et la diffusion audiovisuelle d’événements culturels et artistiques en Essonne.

La présence de plusieurs partenaires fer-de-lance dans la création et la diffusion de projets artistiques et culturels dans ce département, ainsi que la participation du collectif à ces différentes manifestations, par la captation et la réalisation de reportages, de documentaires et de vidéos événementielles pendant la saison 2013, fait émerger l’idée de pérenniser ce type d’interventions.

C’est ainsi que naît officiellement l’association 7-1 Art Production courant Mars 2013. Cette démarche d’officialisation s’accompagne d’une réflexion de fond et de forme sur le projet de l’association.

Si les prestations auxquelles 7-1 Art Production a participé à ce jour se sont naturellement orientées vers l'audiovisuel du fait de la passion commune de ses membres pour cette pratique, l’association ne se limite pas à cette expression et est ouverte à toutes les sensibilités artistiques et culturelles.

7-1 Art production s'implique également dans le bénévolat et participe à de nombreux reportages en faveur des organismes à causes humanitaires. Parce que les actions humanitaires s’inscrivent dans deux sortes de contexte : l’urgence et le développement.

Commissaire Diop

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