De Passage

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Visuel du projet De Passage
Réussi
55
Contributions
02/12/2015
Date de fin
2 585 €
Sur 2 500 €
103 %

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De Passage

<p> <strong>Synopsis</strong></p> <p>  </p> <p> Maximilien est un jeune comédien. Il vit avec Juliette. Un soir, elle organise une fête costumée dans leur appartement. Maximilien, lui, est à l’écart, ne s'intègre pas, se sent observé, ne désire que Juliette. </p> <p> Il s'échappe de la soirée, erre, se perd, fait la rencontre d’une femme et d’un banc...</p> <p>  </p> <p> <em>Le dessin ci-dessus</em><em> est de Dan Aboucaya.</em></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <a href="https://scontent-bru2-1.xx.fbcdn.net/hphotos-xat1/t31.0-8/12183879_1663588627254479_4122983534025254171_o.jpg" target="_blank"><img alt="" src="https://scontent-bru2-1.xx.fbcdn.net/hphotos-xat1/t31.0-8/12183879_1663588627254479_4122983534025254171_o.jpg"></a><em>Affiche de William Mathelin-Moreaux</em></p> <p>  </p> <p> <strong>Présentation du projet</strong></p> <p>  </p> <p> <em>«I like large parties. They’re so intimate. At small parties there isn’t any privacy»</em> (Jordan dans <em>Great Gatsby</em> de Fitzgerald).</p> <p>  </p> <p> Ce court-métrage est le premier projet porté par l’association “Les Films des Gerry”. Par le biais de cette structure, nous avons réuni plusieurs étudiants d’horizons divers et quelques jeunes professionnels du cinéma tous intéressés et motivés à l’idée de réaliser ce film. Le tournage aura lieu les deux premiers weekends de décembre à Paris. Dans un premier temps, nous allons nous concentrer sur les séquences d’extérieur suivant la progression de Maximilien à travers la ville puis sur celles d’appartement, véritables ossatures de la narration. </p> <p>  </p> <p> PS : pour nous suivre cette Facebook, c'est par ici (<a href="https://www.facebook.com/filmdepassage/">https://www.facebook.com/filmdepassage/</a>).</p> <p>  </p> <p> <strong>La genèse du projet</strong></p> <p>  </p> <p> L’idée initiale était d’imaginer une soirée déguisée au cours de laquelle un apprenti comédien (Maximilien) obsédé par son prochain spectacle s'ennuierait profondément et s’esquiverait en douce pour s’introduire dans une autre soirée, plus survoltée. Travailler sur l’image du masque nous intéressait tout particulièrement : le masque que revêt le comédien, celui que l’on revêt en société et de manière plus concrète, celui que revêt chaque invité pour se <i>déguiser</i>. </p> <p>  </p> <p> Fraîchement sortis de l’adolescence mais pas encore pleinement dans l’âge adulte, cette idée du masque derrière lequel on se cache en société nous est d’autant plus perceptible. Jeunes, on essaie des masques sans cesse différents en fonction de l’individu qui se trouve en face de nous. Nous sommes tiraillés par l’uniformité qui nous ferait basculer dans le «monde des grands» et la multiplicité de notre identité, de notre apparence. Ce basculement, Maximilien le rejette. Il veut jouer, encore un peu. </p> <p>  </p> <p> Son caractère torturé, à la fois amoureux transi et égoïste mégalomane, est tout droit inspiré d’Alceste du <i>Misanthrope</i> de Molière, pièce qui me hante littéralement depuis sa représentation théâtrale par Ivo van Hove aux Ateliers Berthier en 2012.</p> <p>  </p> <p> <a href="http://ilinfernodotcom.files.wordpress.com/2012/03/file_1351_menschenfeind111.jpg" target="_blank"><img alt="" src="https://ilinfernodotcom.files.wordpress.com/2012/03/file_1351_menschenfeind111.jpg"></a></p> <p> <em>Le </em><i><em>Misanthrope</em> </i>par<i> </i>Ivo van Hove aux Ateliers Berthier</p> <p>  </p> <p> <strong>Mettre en scène un jeune couple</strong></p> <p>  </p> <p> La trame narrative du court-métrage s’articule autour du couple que forme Maximilien et Juliette. Il s’agit d’entrer, au cours d’une soirée, dans leur quotidien en évitant le socle de la crise conjugale ou existentielle. Le ton et le rythme de l’ensemble du film adoptent ainsi une forme légère, virevoltante, loin de toute gravité.</p> <p>  </p> <p> Les marqueurs du quotidien sont peu à peu exacerbés par l’ennui et la paranoïa développés par Maximilien — l’ivresse de la soirée aidant — ainsi que par une mystérieuse rencontre au détour d’un banc parisien. Cette rupture de ton scinde le film en deux parties véritablement disjointes : la deuxième partie de soirée se perçoit comme une sorte de rêve où la réalité devient poreuse, mouvante, s’opposant au quotidien du couple.</p> <p>  </p> <p> <img alt="Img_5230-1446653863" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/248128/IMG_5230-1446653863.JPG"></p> <p> <em>Lieu de fantasme, une photographie de la Petite Ceinture décorant leur appartement : l’ouverture vers un autre monde. </em></p> <p>  </p> <p> L’assemblage des contraires nourrit l’ensemble de notre processus créatif. Il rend possible à la fois le jaillissement de l’absurde et les ruptures de ton. Le tiraillement entre deux pôles, symbolisés par ces deux moments de soirée, est également lisible dans la dualité de Maximilien qui, déguisé en Zorro (le justicier masqué vengeant les opprimés), souhaite interpréter et mettre en scène Roberto Zucco (un hors-la-loi coupable de parricide et de matricide). </p> <p>  </p> <p> La volonté de fédérer des comédiens d’âges et d’expériences diverses fait également partie de nos enjeux principaux. Cette dynamique de «troupe» se ressent dans notre travail avec les acteurs, elle s’inscrit dans chacune de nos répétitions. Autant que notre désir de cinéma, c’est l’amour du jeu et de l’esprit collectif qui irrigue ce projet de court-métrage.</p> <p>  </p> <p> <img alt="Rdv_s_2-1446659491" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/248164/RDV_S_2-1446659491.jpg"></p> <p> <em>Un exemple de la soirée qui attend Maximilien... </em></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Une idée du collectif </strong></p> <p>  </p> <p> L’esprit collectif, catalyseur de l’énergie du film, est visible sur trois niveaux :</p> <p> - L’association que nous avons créée, «Les Films des Gerry».</p> <p> - L’équipe extrêmement hétérogène que nous avons incorporée dans le projet. Le tournage et sa préparation sont un moyen efficace de polariser des compétences multiples et permettent ainsi aux étudiants de se rencontrer et d’échanger.</p> <p> - La lecture du film qui peut se percevoir comme une ode au collectif (dans sa seconde partie) : le réenchantement personnel de Maximilien s’accompagne par une ré-appropriation collective de l’espace public. </p> <p>  </p> <p> L’alliage entre la confiance en soi et l’espérance collective est un thème qui nous est cher : la naissance de l’émerveillement passe, en tout cas dans notre film, par le regard que l’autre porte sur nous. </p> <p>  </p> <p> La gestion de Maximilien dans le cadre souligne cette jonction. C’est un personnage fuyant l’étroitesse d’espace : du confinement de son appartement, il s’épanouit par la largeur galvanisante de la rue. Cette oppression puis cette libération de carcans tant physiques (le cadre) que sociaux (le rôle qu’il doit jouer avec les invités) donne le mouvement de la mise en scène. </p> <p>  </p> <p> <img alt="Rdv_s_1-1446654087" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/248129/RDV_S_1-1446654087.jpg"></p> <p> <em>Tag du collectif Les Rendez Vous Sauvages</em></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>L’ironie </strong></p> <p>  </p> <p> Pour contrebalancer avec le sérieux de Maximilien, présent physiquement mais ailleurs dans son esprit, nous comptons apporter une touche ironique et décalée par le burlesque des discussions entre lui et les différents convives. Obnubilé par le texte de Koltès et par sa relation avec Juliette, Maximilien n’a aucune emprise sur le monde qui l’entoure. Il est comme écartelé dans son inaction, en léthargie constante durant toute la soirée qui se déroule dans son appartement. </p> <p>  </p> <p> Les intentions comiques sont également présentes dans la gestuelle et les déguisements des convives (Batman, Catwoman, Dark Vador, une policière) qui s’apparentent à la culture pop mais symbolisent également l’ordre et l’autorité, étouffant Maximilien le temps d’une soirée. Nous allons utiliser ces costumes comme des accessoires, des éléments de décor. </p> <p>  </p> <p> Préserver une certaine simplicité de situation et une légèreté de dispositif est un moyen efficace d’amener le court-métrage vers cette forme comique. </p> <p>  </p> <p> <strong>Nos influences </strong></p> <p>  </p> <p> La soirée d’appartement, dans laquelle se débat Maximilien, figure de l’ennui et de la stagnation, doit aussi distiller un sentiment d’étrangeté. Les plans extrêmement travaillés de David Lynch dans lesquels le bizarre s’infiltre dans le quotidien le plus banal ont été un véritable moteur d’inspiration dans notre travail artistique tout comme ceux de la soirée au début de <i>Pierrot le fou</i> de Godard. </p> <p>  </p> <p> <img alt="12188347_10154434190514968_1656156632_n-1446638053" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/247970/12188347_10154434190514968_1656156632_n-1446638053.jpg"></p> <p> <i>Blue Velvet</i> de David Lynch</p> <p>  </p> <p> <img alt="12207935_10154434190389968_1656374128_n-1446638072" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/247971/12207935_10154434190389968_1656374128_n-1446638072.jpg"></p> <p> <i>Pierrot le fou</i> de Jean-Luc Godard : Belmondo passe d’un invité à l’autre, d’une discussion à l’autre, dans une ambiance suintant l’ennui</p> <p>  </p> <p> Avec Hong Sang-soo, Philippe Garrel est l’autre grande source d’inspiration du film. Ces deux cinéastes mettent l’acteur au centre de leur travail créatif. Hong Sang-soo est un virtuose de l’improvisation et du plan statique où chacun des personnages, généralement attablés autour de plusieurs verres d’alcool, se confient de manière de plus en plus embarrassante. </p> <p>  </p> <p> <img alt="12207864_10154434190454968_597262953_n-1446638340" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/247975/12207864_10154434190454968_597262953_n-1446638340.jpg"></p> <p> <i>Hill of Freedom</i> de Hong Sang-soo</p> <p>  </p> <p> Garrel est un adepte de la prise unique ce qui permet de garder une certaine pureté à la fois sur le plan technique mais également artistique. Néanmoins la rapidité de l’enchaînement des plans au moment du tournage n’altère en rien son travail avec les comédiens puisqu’il procède à de très nombreuses séances de répétitions en amont. Et c’est dans cette même pulsion que nous conduisons le projet : beaucoup de répétitions visant à créer un véritable lien entre les acteurs et à modeler le texte en fonction d’eux, peu de prises de vue pour être efficace au moment du tournage.</p> <p>  </p> <p> <img alt="12197312_10154434190859968_1282231102_o-1446638376" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/247976/12197312_10154434190859968_1282231102_o-1446638376.jpg"></p> <p> <i>La Jalousie</i> de Philippe Garrel</p> <p>  </p> <p> <strong>Présentation de l’équipe</strong></p> <p>  </p> <p> <u><strong>Casting</strong></u><strong> </strong></p> <p>  </p> <p> <strong>Martin Jaspar : </strong></p> <p>  </p> <p> <img alt="Portrait_rire-1446637674" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/247963/portrait_rire-1446637674.jpg"></p> <p>  </p> <p> <strong><em>L’interprète de Maximilien.</em></strong> A la suite d’une formation d’acteur au Laboratoire de Formation au Théâtre Physique, Martin a rejoint la compagnie du Théâtre du Balèti avec laquelle il joue <i>Amor Fati</i> puis <i>Dévoration</i>. Ces deux créations collectives dirigées par Maxime Franzetti sont interprétées dans différents festivals européens. En 2014, il participe à la création du festival du Théâtre du Roi de Coeur, établi en Dordogne. Martin jouait également le rôle principal dans le premier court-métrage d’Antoine du Jeu.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Mathie Charlote :</strong></p> <p>  </p> <p> <img alt="12212029_10154434185754968_1821248810_n-1446638642" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/247978/12212029_10154434185754968_1821248810_n-1446638642.jpg"></p> <p>  </p> <p> <strong><em>L’interprète de Juliette. </em></strong>Sa passion pour la danse et le théâtre l’on conduit à monter le spectacle multidisciplinaire <i>Vie</i>, joué notamment au festival d’Avignon à la Manufacture en 2014. A travers cette aventure extrêmement enrichissante, Mathie s’ouvre à l’art visuel. Elle participe ainsi à de nombreux projets audiovisuels (court-métrages, clips, pubs) tout en continuant à cultiver son attrait pour la danse.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Rose Husson :</strong></p> <p>  </p> <p> <img alt="Rose_husson_2-1446638658" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/247979/Rose_Husson_2-1446638658.jpg"></p> <p>  </p> <p> Rose interprète un <strong>mystérieux personnage</strong> qu’on vous laisse découvrir dans le film! </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Equipe technique </strong></p> <p>  </p> <p> <strong>Producteur : Léopold Wolfrom.</strong>  Intéressé depuis un grand nombre d’années par le cinéma et son économie, Léopold avait déjà prêté main forte à Antoine pour la production et l’organisation du tournage de son précédent court-métrage. Par ailleurs Léopold est passionné d’araignées. </p> <p>  </p> <p> <strong>Chef opérateur : Simon Philippe.</strong> Après des études audiovisuelles à Nantes, il travaille actuellement en tant que cadreur-monteur. En parallèle de plusieurs projets personnels et professionnel, Simon a récemment monté un étonnant mashup, mêlant Hitchcock et Kubrick, qui a été relayé par de nombreux sites (Libération, Les Inrocks, Slate, Konbini, Time). Vous pouvez découvrir cette vidéo en ligne ici : </p> <p> <a href="https://www.youtube.com/watch?v=h4M6qoQmmDU&amp;feature=youtu.be" target="_blank">https://www.youtube.com/watch?v=h4M6qoQmmDU&amp;feature=youtu.be</a></p> <p>  </p> <p> <strong>Assistant opérateur : Dorian Rivière.</strong> Actuellement en master de Cinéma et Audiovisuel à la Sorbonne Nouvelle. Son poste de cadreur dans le documentaire <i>Petites Chroniques Urbaines</i> lui permet d’allier sa passion de l’image à celle du street art, culture dans laquelle il a grandi. </p> <p>  </p> <p> <strong>Assistant réalisateur : Jeremy Sawicki.</strong> Après deux ans de prépa littéraire option cinéma, Jeremy se spécialise dans le métier d’assistant réalisateur au CLCF. Viennent ensuite deux stages professionnels en mise en scène sur une pub (<i>Let’s play</i>) et une série (<i>Falco</i> pour TF1) ainsi que deux expériences en tant que premier assistant sur les court-métrages <i>Feu, mes frères</i> de Simon Rieth et <i>Au cœur de la nuit</i> de Martin Trajkov. </p> <p>  </p> <p> <strong>2nd Assistant Réalisateur : Théo Hoch.</strong> Après une licence de cinéma à Paris III et un stage à la rédaction des <i>Cahiers du Cinéma</i> où il rencontre Antoine, Théo suit actuellement avec lui un master professionnel de scénario à la Sorbonne (Paris I). <i>De Passage</i> sera sa seconde expérience en tant qu’assistant réalisateur, ayant déjà travaillé avec Jérémy sur le tournage de <i>Feu, mes frères</i>.</p> <p>  </p> <p> <strong>Ingénieur du son :  Jean-Frédérick Grosdemange.</strong> Evoluant aussi bien sur les tournages qu’en post-production, Jean-Frédérick a participé à de nombreux projets (court-métrages, long-métrages, web-séries, documentaires, pubs). En plus d’avoir supervisé le son de plusieurs productions, il est en permanence à la recherche de nouvelles collaborations. </p> <p>  </p> <p> <strong>Compositeur : Alexandre Singier.</strong> A la suite d’un parcours musical classique au sein d’un conservatoire parisien, il s’est spécialisé dans les musiques électroniques. Alexandre a travaillé en tant que compositeur sur plusieurs projets dont le précédent court-métrage d’Antoine. Tout en poursuivant ses études dans la classe de composition contemporaine du CRR d’Aubervilliers, il prévoit de sortir un EP dans le courant de l’année. </p> <p>  </p> <p> <strong>Maquilleuse : Jeanne Françoise.</strong> Maquilleuse depuis quatre ans, Jeanne a officié sur des shootings photos, des court-métrages, des clips et une pièce de théâtre (<i>La noce chez les petit-bourgeois</i> de Brecht). Elle travaille actuellement chez M.A.C. </p> <p>  </p> <p> <strong>Diffusion et distribution : Lucas Darmon. </strong>Après une licence en droit à l'Université Paris II et un Master en communication à l'IFP, Lucas s'est mis en tête de "remonter" la filière cinématographique, multipliant les expériences aussi bien en distribution (Aramis Films), qu'en production (SBS Productions). Il est également responsable de la rubrique cinéma du Webzine culturel La Trempe.com. </p> <p>  </p> <p> <strong>L’équipe Déco</strong></p> <p>  </p> <p> <strong>Marie-Marie Dutour :</strong> Etudiante en 3eme année en Design d'Objet aux Arts Décoratifs de Paris. Par sa création, Marie-Marie exprime un point de vue sur l'homme et son futur à travers des objets manipulables et utiles dans la vie de tous les jours. Au même titre que l’objet <i>designé</i>, le cinéma se révèle pour elle un formidable moyen de (re)penser le quotidien en général. </p> <p>  </p> <p> <strong>Guillaume Burg :</strong> Passionné de graffs et de street art, Guillaume est actuellement en deuxième année d’école d’architecture à Val de Seine. En plus d’apporter son originalité et sa créativité au service du décorum, il est en charge de l’organisation de la deuxième soirée du tournage.</p> <p>  </p> <p> <strong>Louis Duboys Fresney :</strong> Etudiant en Master 1 en école d’architecture à la Villette. Féru de photographies et de friches industrielles, Louis avait trouvé l’ensemble des décors du premier court d’Antoine.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Biographie du Réalisateur : Antoine du Jeu </strong></p> <p>  </p> <p> <a href="https://scontent-mrs1-1.xx.fbcdn.net/hphotos-xpt1/v/t1.0-9/10470929_10153829961544968_4962439343828456485_n.jpg?oh=e327e9048579bf206dcc7103a0d8f1b5&amp;oe=56FAB977" target="_blank"><img alt="" src="https://scontent-mrs1-1.xx.fbcdn.net/hphotos-xpt1/v/t1.0-9/10470929_10153829961544968_4962439343828456485_n.jpg?oh=e327e9048579bf206dcc7103a0d8f1b5&amp;oe=56FAB977"></a></p> <p>  </p> <p> Né le 17 novembre 1993, Antoine est passionné par l’écriture et le cinéma depuis l’enfance. Après avoir filmé successivement les membres de sa famille et ses amis proches dans des films amateurs tout au long de son adolescence, il est entré à l’ESEC pour se professionnaliser dans l’audiovisuel. A la suite de sa première année dans cet établissement, Antoine a réalisé son premier véritable court-métrage (<i>Derrière mon cœur palpite un doigt d’honneur</i>).</p> <p>  </p> <p> Il s'est spécialisé en scénario où il a eu l'occasion de développer plusieurs projets. L’année dernière, un stage à la rédaction des <i>Cahiers du Cinéma </i>lui a notamment ouvert de nouveaux horizons. Antoine poursuit actuellement ses études en Master Pro de Cinéma à Paris I et un Master de Lettres à Paris III où il entreprend un mémoire sur l’insurrection et la révolte. </p> <p>  </p>

À quoi servira la collecte

<p> Monter un tel projet demande un budget conséquent et beaucoup d’aides. C’est pourquoi nous avons fait appel aux Fonds de Soutiens et de Développement des Initiatives Étudiantes (FSDIE) de la Sorbonne Nouvelle, du Panthéon la Sorbonne et de Paris Descartes. Nous avons aussi demandé une aide au CROUS, à la Maison des Initiatives Étudiantes et à différentes Mairies. </p> <p>  </p> <p> Cependant, pour accomplir à bien notre projet de court-métrage nous avons besoin de vous. Vous êtes le chaînon manquant. Grâce vous, tout sera possible (Sky is the limit!).</p> <p>  </p> <p> <img alt="Capture_d__cran_2015-11-05___12.41.18-1446723724" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/248328/Capture_d__cran_2015-11-05___12.41.18-1446723724.png"></p> <p>  </p> <p> Vos dons seront utilisés pour les décors du film, pour la régie (afin de nourrir toutes les petites bouches de l'équipe) et la post-production (sinon le film restera malheureusement dans les caméras).</p> <p>  </p> <p> Si vos dons dépassent nos espérances, et si la collecte atteint :  </p> <p>  </p> <p> <strong>3 000 euros :</strong> Nous pourrons alors assurer un montage, mixage son et étalonnage de grande qualité.</p> <p>  </p> <p> <strong>4 000 euros : </strong>Nous diffuserons le film dans un très grand nombre de festivals français et internationaux.</p> <p>  </p> <p> <strong>5 000 euros : </strong>Cette somme nous permettrait de parer à tous les aléas du tournage notamment dans les lieux que nous occuperons. En plus de ces potentielles redevances, nous pourrons utiliser des titres d’artistes labellisés. </p>

Contreparties

5 €

  • 2 contributions
Votre nom au générique du film

10 €

  • 10 contributions
Le scénario du film en PDF + la contrepartie précédente.

15 €

  • 6 contributions
Le lien Vimeo vous permettant de voir le film avant tout le monde + toutes les contreparties précédentes.

20 €

  • 5 contributions
L'affiche du film + toutes les contreparties précédentes.

30 €

  • 8 contributions
Vous recevrez le DVD du film avec un petit mot doux + toutes les contreparties précédentes.

50 €

  • 11 contributions
Une invitation à l'avant première mondiale du film + toutes les contreparties précédentes.

100 €

  • 8 contributions
Une invitation à la soirée du film + toutes les contreparties précédentes.

200 €

  • 1 contribution
Un magnifique tirage des photos du tournage + toutes les contreparties précédentes.

500 €

Votre nom en tant que producteur exécutif du film + toutes les contreparties précédentes.

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