Embarquez avec Nicolas sur la Mini Transat 2015
Course transatlantique à la voile, en solitaire sur un bateau de 6.50m de long, sans assistance et sans communication avec la Terre.
Réussi
La course se fait en deux étapes. La première (Douarnenez - Canaries) dure une grosse semaine (8 à 11 jours) et la deuxième (Canaries - Gouadeloupe) environ 15 à 21 jours.
La Mini Transat se court tous les deux ans depuis 1977 et le nombre de places est limité à 84 bateaux pour l'édition 2015.
Principalement de la nourriture lyophilisée en raison de son faible encombrement (les bateaux sont petits!) et de la simplicité de préparation.
Le bateau est équipé d'un pilote automatique qui barre en respectant la consigne qui lui est donnée, souvent un angle constant par rapport au vent.
En revanche le pilote automatique ne fait pas tout : il faut se réveiller régulièrement pour surveiller l'évolution du vent en force et en direction, régler ou changer les voiles, surveiller le plan d'eau...
De fait, les solitaires dorment par petites siestes (parfois moins de 15 mins) et rarement plus que 5 ou 6 heures par jour.
En revanche le pilote automatique ne fait pas tout : il faut se réveiller régulièrement pour surveiller l'évolution du vent en force et en direction, régler ou changer les voiles, surveiller le plan d'eau...
De fait, les solitaires dorment par petites siestes (parfois moins de 15 mins) et rarement plus que 5 ou 6 heures par jour.
Pas de dessalinisateur! On embarque les réserves d'eau en jerricans, soit 50 litres pour la première étape et environ 100L pour la deuxième étape. Cela correspond à au moins 5L d'eau par jour, ce qui est très raisonnable à condition de ne pas prendre de douche!
Pour alléger le bateau il n'est pas rare de vider une partie des réserves d'eau potable si on va plus vite que prévu - et de re-remplir les bidons avec de l'eau de mer au besoin pour équilibrer le bateau.
En plus des réserves courantes, il est obligatoire d'embarquer un bidon de 10L d'eau de survie que les coureurs n'ont pas le droit d'utiliser sous peine de disqualification.
Pour alléger le bateau il n'est pas rare de vider une partie des réserves d'eau potable si on va plus vite que prévu - et de re-remplir les bidons avec de l'eau de mer au besoin pour équilibrer le bateau.
En plus des réserves courantes, il est obligatoire d'embarquer un bidon de 10L d'eau de survie que les coureurs n'ont pas le droit d'utiliser sous peine de disqualification.
Oui! Une carte est mise à jour plusieurs fois par jour avec la position de tous les coureurs. A tous moments vous savez donc exactement où j'en suis et comment je me débrouille par rapport aux autres concurrents!