Enregistrement WAGNER : CD « Extase Maxima » par le pianiste WILHEM LATCHOUMIA

<p> <iframe frameborder="no" height="166" src="https://w.soundcloud.com/player/?url=http%3A%2F%2Fapi.soundcloud.com%2Ftracks%2F89122686&amp;show_artwork=true&amp;maxwidth=900" width="540"></iframe></p> <p> <img alt="Photo_wilhem_latchoumia_coudes___mains___anthony_arquier_2013" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/42476/Photo_Wilhem_Latchoumia_coudes___mains___Anthony_Arquier_2013.jpg"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Wilhem Latchoumia a enregistré cet été un CD consacré à Richard Wagner et aux compositeurs qui ont transcrit son oeuvre pour le piano.</strong></p> <p>  </p> <p> L'enregistrement a eu lieu à la faveur d'une tournée qui l'a conduit à Venise, entre autres.</p> <p> Il s'est déroulé dans des conditions idéales, à l’Auditorium de Cahors. Wilhem y avait donné un récital en mars dernier et avait été séduit par la superbe acoustique du lieu.</p> <p>  </p> <p> <strong>      CD « Extase Maxima » | programme </strong></p> <p> Wagner / Liszt : Fantaisie sur des thèmes de <em>Rienzi</em>
</p> <p> Wagner : Fantaisie en fa dièse mineur
 WWV 22</p> <p> Wagner / Jaëll : transcription op. 112, extraite de <em>Drei Stücke aus Richard Wagners </em>Tristan &amp; Isolde</p> <p> Pesson : <em>En haut du Mât (une chanson de marin)</em></p> <p> Wagner / Liszt : <em>Isoldes Liebestod</em>
</p> <p> 
Wagner / Wolf : Paraphrase sur <em>Die Walküre</em></p> <p> 
Wagner : Élégie en la bémol majeur WWV 93</p> <p>  </p> <p> <img alt="Wl_cd_wagner_shooting" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/41887/WL_CD_Wagner_Shooting.jpg"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>     Tournée Wagner | 18 récitals depuis 2012 </strong></p> <p> 02 juin 2012 : Festival de la Vézère (19)</p> <p> 28 juin 2012 : Moulins, Nuits de musiques vivantes (03) [2 concerts]</p> <p> 02-07 octobre 2012 : Saison du Vieux Palais d’Espalion (12) [5 concerts]</p> <p> 13 octobre 2012 : Venise, Palazzetto Bru Zane (Italie)</p> <p> 10 mars 2013 : Schiltigheim (68)</p> <p> 02 juin 2013 : Florence, Institut Français (Italie)</p> <p> 09 juin 2013 : Paris, Théâtre des Bouffes du Nord</p> <p> 16 juin 2013 : Lille Piano(s) Festival (59)</p> <p> 12 juillet 2013 : Festival de la Charité-sur-Loire (58)</p> <p> 29 août 2013 : Festival Berlioz (38)</p> <p> 25 septembre 2013 : Théâtre d’Orléans (45)</p> <p> 19 mars 2014 : Opéra de Dijon (21)</p> <p> 02 avril 2014 : La Courroie, Entraigues sur la Sorgue (84)</p> <p>  </p> <p>    </p> <p> <strong>ILS EN PARLENT...</strong></p> <p>  </p> <p> <strong>Wilhem Latchoumia nous fait à nouveau aimer Wagner</strong></p> <p> <em>(...) le musicien possède le talent et la sensibilité pour faire vivre à la fois le feu et la fougue wagnérienne mais tout autant la beauté et l’émotion des mélodies, mises à nue, et comme redécouvertes dans l’intimité d’un récital.</em> Arnaud Besnard | La Montagne</p> <p>  </p> <p> <strong>Impressionnant, Wilhem Latchoumia !</strong></p> <p> <em>L’artiste a su, grâce à son interprétation des plus convaincante, immerger le public dans sa narration musicale. (...) Chaque sentiment, chaque thème est caractérisé avec beaucoup de justesse et d’émotion. Un jeu très solide allié à une sonorité pleine et entière, projetée avec beaucoup de brillance. (...) L’interprète a su transmettre à son public le sens de la musique qu’il a joué, et cela avec une pleine passion. Si bien que l’on peut être certain qu’aucun spectateur ne s’est posé l’inéluctable question : « Aimez-vous la musique du XX e ? ». </em>Lorraine Wild | Le Bien Public                                    </p> <p>                                                                  </p> <p> <strong>Finesse &amp; infatigable fluidité</strong></p> <p> <em>Latchoumia est fait pour cette musique. Tout en ménageant quelques puissants forte, il effleure le clavier dans les Reflets de Debussy et Six Epigraphes antiques, avec un toucher aussi léger que le coup de pinceau de Claude Monet dans les Vues de la cathédrale de Reims. L’utilisation constante des pédales renforce encore l’effet de sourdine. Son sens de la délicatesse est souligné par ses poignets mobiles, de souples phrases dessinées avec finesse et une infatigable fluidité.</em></p> <p> Cecelia Porter | The Washington Post</p> <p>  </p> <p> Photos W. Latchoumia © Anthony Arquier</p> <p> <img alt="Photo_wilhem_latchoumia_trois-quarts_rapproch____anthony_arquier_2013" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/42477/Photo_Wilhem_Latchoumia_trois-quarts_rapproch____Anthony_Arquier_2013.jpg"></p>