EPIC FAILURE

<p> <img alt="Logo_criarts" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/7133/LOGO_CriArts.jpg"></p> <p> <strong>Epic Failure</strong></p> <p> création De Johanna Hess</p> <p>  </p> <p> « Epic Failure » est un terme très moderne (XXIème siècle) employé par les internautes et les joueurs de RP (rôle play) pour signifier l’échec total, magistral, et cependant risible.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <u>Résumé :</u></p> <p> Une jeune femme fête ses trente ans, toute seule, chez elle. Elle n’a jamais connu sa mère dont le fantôme, sorte de projection fantasmée, la hante depuis toujours et ce soir-là, de manière encore plus forte que d’habitude.</p> <p> Trente ans, date symbolique pour une femme où il faut rendre des comptes à la société, avoir gravi des échelons, gagné ses galons : métier, mari, enfant ; sous peine d’être souvent taxé de marginalité ou d’immaturité dans nos sociétés occidentales.</p> <p> Privée dès la naissance du regard et de l’affection de sa mère, elle peine à trouver ses repères, à construire sa véritable identité, à devenir un maillon de la chaîne humaine, à aimer. Le personnage de L’Homme apparaît comme témoin et mêle sa voix à la sienne pour raconter l’échec de leur histoire amoureuse.</p> <p> Dans un cri de révolte halluciné, directement adressé au fantôme de sa mère, elle s’insurge contre l’injustice du procès que la société l’oblige à se faire contre elle-même.</p> <p> Par une espèce de convocation mystique, elle appelle sa mère répondre de son crime : l’abandon de sa propre chair. Mais elle s’épuise en vain car l’accusée ne peut ni répondre, ni réparer. «Epic Failure».</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <u>Distribution</u></p> <p> (mise en scène de Julie Louart)</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Metteur en scène</strong></p> <p lang="fr-FR"> <u>Julie Louart</u></p> <p> <img alt="Julie_louart" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/7141/Julie_Louart.jpg"></p> <p> Professeur de théâtre au Cours Florent</p> <p> Mises en scène et Théâtre :<i>Terres</i><i> Mortes</i>, <i>Les 4 jumelles,Barbe bleue espoir des femmes, Trust</i> Co-fondatrice de la Cie Des CriArts</p> <p> Cinéma: <i>Éric</i> de Nicolas Simonin - festival de Newport Beach : meilleur short film meilleure interprétation féminine - festival short corner Cannes 2011</p> <p>  </p> <p> <strong>Auteur</strong></p> <p> <u>Johanna Hess</u></p> <p> <img alt="Hess" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/7142/Hess.jpg"></p> <p> CFA d’Asnières</p> <p> Théâtre : <i>La tentation de</i> <i>St Antoine</i> mise en scène L. Lascourrege</p> <p> <i>Stabbat Mater furiosa</i> de JP Siméon mise en scène Charles D'Orion</p> <p> <i>Baal </i>mise en scène M. Franzetti</p> <p> Mise en scène : <i>Il faut</i> <i>qu'une porte soit ouverte ou fermée </i>de Musset</p> <p> Ecrit : <i>Epic Failure</i></p> <p>  </p> <p lang="zxx">  </p> <p> <strong>L'HOMME</strong></p> <p>  </p> <p> <u>Yacine Ait Benhassi</u></p> <p> <img alt="Mg_7253nb" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/11393/mg_7253nb.jpg"></p> <p>  </p> <p> <strong>Je dis non</strong>, création théâtrale et m.e.s de Fatym Layachi, rôle principal,Casablanca</p> <p> <strong>Les enfants</strong>, création théâtrale et m.e.s de Louiza Bentoumi, rôle Menzielis, Paris</p> <p> <strong>À</strong><strong> l’aube de l’enterrement</strong>, création théâtrale et m.e.s de Julien Oliveri, rôle primo, Paris</p> <p> <strong>Tourn</strong><strong>é</strong><strong>e Lectures</strong>, BDP de Marseille, Le Voleur et les chiens de Mahfouz,Taxi Khamis</p> <p>  </p> <p> <strong>CNSAD, </strong>promotion 2012<strong>,</strong> Paris</p> <p> <strong>La jeune femme</strong></p> <p> <u>Camille Jacoulet</u></p> <p> <img alt="Jacoulet" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/7145/Jacoulet.jpg"></p> <p> Théâtre :</p> <p> Juin 2012 <i>la Fausse</i> <i>Suivante </i>de Marivaux <i> </i>festival dis(vers<i> </i>et va (riez)</p> <p> <i>Jacques ou la soumission suivi de l'avenir est dans les œufs mise</i> en scène Paul Desvaux</p> <p> Cinéma :</p> <p> <i>Zeropolis</i> CM de Quartz</p> <p> Télévision :</p> <p> Série Pooton's Bay</p> <p>  </p> <p> <strong>La Mère</strong></p> <p> <u>Claire Bluteau</u></p> <p> <img alt="Bluteau" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/7146/Bluteau.jpg"></p> <p> Théâtre :<i>Le Bouc</i> de Fassbinder mise en scène de Cyril Manetta <i>Baal</i> mise en scène de M. Franzetti</p> <p> Peer Gynt mise en scène C.Mathau</p> <p> Mise en scène : aide à la création performance théâtrale</p> <p> Musique : compositrice dans l'adaptation des misérables mise en scène M.Montel</p> <p>  </p> <p> <strong>Styliste/conception costumes</strong></p> <p> <u>Nicolas Candas</u></p> <p> <img alt="Candas" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/7148/Candas.jpg"></p> <p> Depuis2002 YvesStLaurent,Lanvin,Chloe,Balenciaga Styliste modéliste</p> <p> 2001/2002 NAPOLIPARIS créateur Assistant styliste;modéliste</p> <p> 1996/2001 Aides Paris et Uk Coalition Londres</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong><u>Interventions artistiques</u></strong></p> <p>  </p> <p> David Hess crée l'ambiance sonore de la pièce.</p> <p>  </p> <p> <strong>Musique et ambiance sonore</strong></p> <p> <u>David Hess</u></p> <p> <img alt="Hess" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/7149/Hess.jpg"></p> <p> Batterie sous la direction de D. Bichon</p> <p> Piano jazz et d'harmonie jazz à la Bill Evans Piano Academy</p> <p> fondateur et claviériste dans Hifi On Steroids</p> <p> claviériste dans Graamh</p> <p> compositeur pour pub et jeux vidéos</p> <p> Concerts :Théâtre Pierre cardin, le Gibus, l’International, le New Morning, la Boule Noire, le Divan du monde...</p> <p>  </p> <p> <strong>Violoncelle</strong></p> <p> <u>Olivier Schlegelmilch</u></p> <p> <img alt="Schlegelmilch" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/7150/Schlegelmilch.jpg"></p> <p> Lauréat du concours internationnal Perkumania (catégorie 2, discipline : timbales)</p> <p> deuxième prix à l'unanimité du jury en supérieur au concours del'UFAM (violoncelle)</p> <p> recital de violoncelle, prof de violoncelle</p> <p>  </p> <p> <strong>Guitare</strong></p> <p> <u>Sébastien Ehlinger</u></p> <p> <img alt="Ehlinger" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/7153/Ehlinger.jpg"></p> <p> comédien depuis 1988, t avec l'Attrape théâtre, compagnie dirigée par Christophe Thiry.</p> <p> interprète et compositeur de musiques actuelles depuis cinq ans,</p> <p> guitare et basse, ayant suivi une formation de deux ans au CIM, école de musique.</p> <p> Acrobate</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>RÉGISSEUR VIDÉO/CAMERAMAN</strong></p> <p> <u>Guillaume Tosello</u></p> <p> <img alt="Tosello" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/7156/Tosello.jpg"></p> <p> Théâtre : <i>J'éprouve </i>création de L. Masson</p> <p> Mise en scène :<i> Tartuffe</i> de Molière, <i>Jacques le</i> <i>fantaisiste </i>de J. Patucci.</p> <p> Réalisation, cadrage, montage : <i>Bloody Mary </i>, <i>Together alone </i>avec G. Corde</p> <p> <i>ils et elles nous parlent</i> documentaire avec N. Djouder</p> <p> Organisateur de festivals</p> <p> Professeur au Cours Florent</p> <p>  </p> <p> <strong>RÉGISSEUR GÉNÉRAL</strong></p> <p> <u>Cyril Manetta</u></p> <p> <img alt="Manetta" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/7157/Manetta.jpg"></p> <p> Théâtre : <i>Guerre </i>de Goldoni mes H. Dalem, <i>Le</i> <i>dindon </i> mes B. Murat</p> <p> Mise en scène :<i> Le bouc</i> de Fassbinder ; <i>Le huron</i> opera de Grétry</p> <p> Création lumières : Formation technique au Théâtre Edouard 7 et assistant de 2 créations de Laurent Castaing , éclairagiste. Créateur lumière pour la Cie de Quat'sous et paradoxe(s).</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>POURQUOI ?</strong></p> <p>  </p> <p> Mon point de départ consistait à poser certaines questions fondamentales : en 2012, qu'attend on nous d'une femme? Qu'est ce qui la définit ? Comment se construit elle ?</p> <p> La jeune femme n'arrive plus à avancer alors qu'elle le désire ardemment. Mais je n'ai pas voulu qu 'elle se limite à une simple plainte. Elle fait un constat douloureux, certes, mais dans un cri dont la force même doit la conduire à trouver des solutions.</p> <p> Ce personnage, qui ne sait pas d'où il vient, ne peut donc pas s'aimer, ni aimer quelqu'un d'autre. Ne connaissant pas sa mère, elle n'a pas de repère, pas de matière.</p> <p> Mais au delà de la mère, se pose la question de savoir d'où l'on vient, à quoi on est relié, quel est le sens de notre vie.</p> <p> L'écriture théâtrale permet la fusion de la réalité et de l'imaginaire. La scène devient le lieu onirique où l'on peut convoquer ses fantômes intérieurs et les apostropher jusqu'au paroxysme dans une quête presque impossible de vérité.</p> <p> <img alt="Pourquoi" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/7160/Pourquoi.jpg"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>COMMENT?</strong></p> <p>  </p> <p> L'action se déroule dans un décor de fête d'anniversaire. Ballons de baudruche et serpentins jonchent la scène. Malgré cette apparence festive, il n'y a qu'une seule chaise devant la table servant de buffet.</p> <p> <img alt="Comment" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/7161/Comment.jpg"></p> <p> Au fond de la scène demeure une ombre, personnage masqué représentant la mère, qui, en lien avec les musiciens, ponctuera certains moments de la pièce.</p> <p> <img alt="Comment2" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/7162/comment2.jpg"></p> <p> De l'autre coté, une autre présence, plus malsaine : l'homme, qui observe tout le long de la pièce et finit enfin par s'exprimer comme une sorte de témoin, au micro.</p> <p> Le décor est en adéquation avec la jeune femme, son mal être, ses obsessions. N'ayant aucun repère affectif, aucune éducation maternelle ; elle s'est formée seule et se repose sur des éléments concrets. C'est pourquoi elle a besoin de mettre un nom aux choses. Chaque élément, qu'il soit matériel ou humain, est nommé par un post-it.</p> <p> <img alt="Comment3" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/7163/comment3.jpg"></p> <p> Tout tourne autour du personnage de la jeune femme.</p> <p> Souvent en distance, elle rit d'elle même et de ses problèmes.</p> <p> Mais elle passe vite du rire aux larmes, de l'hystérie à la passivité.</p> <p> Elle a un rapport très cynique à son corps, elle ose s'en moquer et le marque de ses imperfections.</p> <p> C'est quelqu'un qui ne s'aime pas et qui n'arrive pas à aimer l'autre. Elle mange beaucoup. Cela lui permet d'oublier qu'elle est seule.</p> <p> La musique marque ses changements d'humeur, on voyage du macabre à l'électro, en passant par le lyrisme de l'insouciance.</p> <p> La mère est une sorte d'image fantomatique qui la hante. Elle n'agit que par le chant et la danse.</p> <p> Elle fait partie intégrante du groupe de musiciens. Elle soulève le thème de l'enfance lors du chant et ramène aux souvenirs inexistants. Elle cherche à se faire entendre mais la jeune femme ne la voit jamais.</p> <p> Elle porte un masque dont elle se défait à la fin.</p> <p> En constante mouvance, son corps flotte.</p> <p> Travail avec une chorégraphe.</p> <p> <img alt="Comment4" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/7165/comment4.jpg"></p> <p> L'homme, personnage mystérieux, symbolise l'échec amoureux.</p> <p> Il n'a aucun contact verbal direct avec la jeune femme. Il témoigne de leur histoire passée par le prisme d'un micro. Son discours est simple et anecdotique, car il ne fait que dresser le constat des choses. Seuls les corps entrent en contact. Ce n'est qu'à travers eux que les deux personnages dialoguent vraiment.</p> <p> Les corps et les voix s'entremêlent, mais la distance reste impossible à franchir.</p> <p> Les silences comptent beaucoup. Plus ou moins longs, ils sont porteurs de troubles, et laissent le place aux interrogations, à certaines mimiques des personnages, à leurs analyses sorties de nulle part...</p> <p> <img alt="Comment5" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/7168/comment5.jpg"></p> <p>  </p> <p> <img alt="Comment6" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/7169/comment6.jpg"></p> <p> A la fin, elle ne veut plus continuer à faire semblant et désire sortir de ce monde d'images. Elle détruit les ballons, décroche les post-it, et met le feu au mensonge. Mère et fille s'appellent, mais en vain.... EPIC FAILURE</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>NOTE D'INTENTION LUMIÈRE</strong></p> <p>  </p> <p> Une femme seule, le jour de son anniversaire.</p> <p> Dans sa tête un band, une mère et un petit ami.</p> <p> Quand l’espace de la réalité se bat contre l’espace imaginaire.</p> <p> Une table, une jeune femme et une lumière qui délimite cet espace laissant à peine pressentir ce qu’il y a autour…</p> <p> Autour, deux ombres qui semblent ramper vers elle, vers ce centre.</p> <p> Le personnage principal, seule au centre avec sa table sera dans son espace éclairé par deux découpes qui délimiteront soit un espace rond, soit un espace carré au sol afin de figurer l’instabilité qui règne dans sa tête.</p> <p> La mère et le petit ami placé en retrait de chaque côté de ce premier espace seront éclairés en contre de sorte que leur ombre avancera jusqu’au bord de ce centre de lumière. Cela appuiera le côté « fantomatiques » de ces êtres qui peuplent la mémoire de notre femme seule.</p> <p> Le groupe de musique situé en fond de scène nous fera penser à un petit groupe de ball-trap  avec ce côté « cheap » appuyé par les banderoles et les lumières. Mais une esthétique un peu plus burtonienne viendra petit à petit remplacer cette atmosphère de base.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>NOTE D'INTENTION VIDÉO</strong></p> <p>  </p> <p> Le dispositif vidéo, simple a pour objectif de placer le spectateur au cœur de l’image, faire entrer le spectateur dans l’image scénique en l’augmentant. La technique de l’image vidéo nous permet d’avoir un effet de zoom, ne garder que l’émotion qui dépasse la situation. Un travail sur l'intime.</p> <p>  </p> <p> La table comme élément central de la scène qui apparaît ainsi être un élément centrale de situation et d’action et en arrière plan, sur une toile (5m sur 2), la projection de deux éléments distincts :</p> <p> la projection de ce que le spectateur ne voit pas : ce qui se passe sous la table couverte d’une nappe. Faire rentrer le spectateur dans ce monde intérieur qui protège,</p> <p> la projection de ce que le spectateur voit : un effet d’augmentation de la sortie de la comédienne l’image de la chute de la nappe qui en s’ouvrant laisse apparaître ce corps monstrueux.</p> <p>  </p> <p> Les images projetées auront été préalablement filmées, retouchées avec l’utilisation de techniques 3D toujours dans cette recherche d’augmentation du réel pour produire cet effet de démesure. Le style sera direct et concret : nous ne recherchons pas une esthétique ou une plastique particulière : nous ne voulons pas entrer dans une valeur fictionnelle mais au contraire proposer une vision macroscopique : c’est un témoignage, objectif s’il en est, au sens journalistique en attirant et orientant l’œil du spectateur sur un aspect particulier : la monstruosité.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>NOTE D'INTENTION CONERNANT LA MUSIQUE</strong></p> <p>  </p> <p> " La musique dans Epic Failure, prend une place assez importante. Jouée sur scène par les musiciens, elle fait partie intégrante du plateau et devient narrative aux côtés des comédiens.</p> <p> Elle est voulue comme un personnage supplémentaire, qui incarne à tour de rôle les émotions ou l'espace sonore dans lequel celles-ci sont offertes. Le spectateur voyage alors entre une décor musical évident, celui de la scène,</p> <p> et un décor musical plus induit, qui est celui de l'intériorité des personnages. Dans son rapport au texte, elle entretient la même ambivalence, se faufilant entre les mots, leur portée et leurs implications. "</p> <p>   </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Références</strong></p> <p>  </p> <p> <u>Musique :</u></p> <p>  </p> <p> Happy birthday de Steevie Wonder</p> <p> ( côté second degré)</p> <p> <img alt="Steviewonder" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/7170/steviewonder.jpg"></p> <p>  </p> <p> Fever Ray et Soap and skin</p> <p> ( côté macabre lyrique)</p> <p> <img alt="Feverray" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/7172/FeverRay.jpg"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> Vitalic et Moderat</p> <p> ( le côté électroelectro pop)</p> <p> <img alt="Vitalic" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/7174/Vitalic.jpg"></p> <p>  </p> <p> Cocorosie</p> <p> (le côté poétique et fantomatique du domaine de insouciance, de l'enfance)</p> <p> <img alt="Cocorosie" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/7175/Cocorosie.jpg"></p> <p>  </p> <p> La Llorona</p> <p> (le coté fantasmagorique de la mère)</p> <p> <img alt="Llorona" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/7176/Llorona.jpg"></p> <p>  </p> <p> Peinture :</p> <p>  </p> <p> Frida Kahlo</p> <p> ma nourrice et moi</p> <p> <img alt="Khalo" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/7177/Khalo.jpg"></p> <p>  </p> <p> Photographe:</p> <p> Bahareh Bisheh</p> <p> <img alt="Bisheh" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/7178/Bisheh.jpg"></p> <p>  </p> <p>  </p>