Femmes de l'être

<p> <strong>Calamity Jane</strong> rencontre <strong>Brigitte Fontaine</strong>, <strong>Colette</strong> affronte les bonnes manières d'<strong>Agatha Christie</strong>, <strong>la Palatine</strong> devient la grande <strong>Castiglione</strong>, <strong>Alexandra David Néel</strong> découvre Lhassa. <strong>Elsa Triolet</strong> est accompagnée de l'allegretto de la Symphonie n°7 de Beethoven...</p> <p>  </p> <p> Le voyage est dense, il traverse les époques, les styles, ces femmes se rencontrent, se répondent, s’affrontent. </p> <p>  </p> <p> Trop peu reconnues, trop peu entendues, nous tenions à leur rendre la place qu’elles méritent, il ne s’agit pas du devant de la scène, il s’agit de toute la scène. </p> <p>  </p> <p> <img alt="Sans_titre_7-1421606122" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/153563/Sans_titre_7-1421606122.jpg"></p> <p>  </p> <p> <a href="http://www.dailymotion.com/video/x88k57_juliette-noureddine-rimes-feminines_music" target="_blank">Voici la musique d'ouverture du spectacle .</a></p> <p>  </p> <p> Nous créons ce spectacle d'1h15 pour le <strong>Festival d'Avignon</strong>. Il s'agit d'une pièce tout public. Trois comédiennes sont sur scène et incarnent tour à tour des <strong>grandes figures féminines</strong>. </p> <p>  </p> <p> Pour cela, nous les avons fait évoluer dans des décors et leur avons réservé des ambiances aussi variées qu’elles. Toutes particulières et pourtant toutes universelles, nous les mettons aujourd’hui en lien. </p> <p>  </p> <p> Ainsi, nous avons pensé notre spectacle comme un <strong>dialogue entre des femmes</strong> et voulu imaginer leur rencontre afin d’offrir à leurs mots une résonance théâtrale. Une manière pour nous d’illustrer en images que l’identité féminine n’est pas une maxime, une définition encyclopédique mais qu’elle est aussi multiple que le sont les femmes, qu’elles écrivent ou non. </p> <p>  </p> <p> <img alt="Sans_titre_6-1421606142" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/153564/Sans_titre_6-1421606142.png"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>                                             DISTRIBUTION</strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Constance Fortin</strong></p> <p> <i>Comédienne</i></p> <p>  </p> <p> <img alt="Img_9421-1421606702" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/153569/IMG_9421-1421606702.jpg"></p> <p>  </p> <p> Après avoir étudié l’art sous différents angles (à Lille puis à Bruxelles), de la sculpture aux effets spéciaux de maquillage, en passant par la scénographie, elle se forme en tant que comédienne à l’école d’art dramatique Jean Périmony à Paris (2011-2014). </p> <p> À la suite d’un stage au Théâtre National de Strasbourg (TNS), Constance joue dans <i>The Actor’s Nightmare</i> en 2009 à Strasbourg. En 2011 et 2012, elle participe aux projets <i>Racine &amp; Molière</i> et <i>The most beautiful French love moments</i> à Los Angeles. En 2012, elle apparaît dans l’<i>Effet Domotro, </i>court métrage de Frédéric Pelletier et Fabien Luszezyszyn. En 2013, Constance participe au <i>Testament de Louis XVI</i>, projet de la compagnie Astoë (qu’elle co-dirigeait jusqu’en mai 2014) puis reprend un rôle dans la pièce de théâtre <i>L’Emmerdeuse</i> pour une cinquantaine de représentations. C’est avec le rôle de Mme Smith (<i>La Cantatrice chauve</i>), qu'elle tient pendant 5 mois, que l’année 2014 se poursuit pour elle. En créant la compagnie de l’Heure Bleue à 8 mains et les <i>Femmes de l’être</i>, une nouvelle aventure théâtrale s’annonce en cette année 2015.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Émilie Gaumard</strong></p> <p> <i>Comédienne</i></p> <p>  </p> <p> <img alt="Vincennes2-2-1421606940" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/153571/Vincennes2-2-1421606940.JPG"></p> <p>  </p> <p> Originaire de Montbéliard, elle fait ses premiers pas en tant que comédienne sur les planches du théâtre Le Granit dans le territoire de Belfort, en interprétant des textes de Jean Lambert Wild.</p> <p> À Strasbourg de 2005 à 2011, elle suit un cursus de lettres modernes et s’intéresse à la figure de Chopin dans la littérature, avec pour sujet de mémoire « les motifs littéraires pour décrire l'émotif Chopin ». En parallèle, elle découvre un autre monde en devenant figurante pour l'Opéra National du Rhin, d'abord dans l'opéra de Gustave Charpentier, <i>Louise</i>, mis en scène par Vincent Boussard. puis dans le ballet <i>Giselle</i> chorégraphié par Maina Gielgud, et enfin dans l'opéra de Leoš Janáček, <i>Jenůfa</i>, mis en scène par Robert Carsen.</p> <p> Elle suit par la suite les cours de l'école d'art dramatique Jean Périmony<i>. </i>Elle y fait la rencontre de la compagnie Astoë, et joue, en avril 2013, dans <i>Le Testament de Louis XVI</i> en l'église de la Trinité. Elle mêle à son parcours poésie et vidéo dans <i>L'Histoire est terminée</i>, long métrage de Kevin Boillot.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Chloë Mouchoux</strong></p> <p> <i>Comédienne</i></p> <p>  </p> <p> <img alt="10811925_10205860791057692_278309671_n-1421607087" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/153575/10811925_10205860791057692_278309671_n-1421607087.jpg"></p> <p>  </p> <p> Après plusieurs projets de comédie musicale avec la compagnie Mission Opéra à Rennes, Chloë s'installe à Paris en 2010 pour suivre une formation à l'école d'art dramatique Jean Périmony. En 2012, elle participe au spectacle <i>The most beautiful French love moments</i> à Los Angeles. En 2013, elle est assistante metteur en scène et comédienne pour <i>Le Testament de Louis XVI</i> puis pour <i>La Cantatrice chauve</i>. Pendant neuf mois, elle y incarne Mme Martin. Fin 2014, elle entre au Studio Actors Factory grâce auquel elle découvre le travail face caméra. Elle n'en oublie pas moins sa passion pour le théâtre qui l'amène à participer au spectacle <i>Femmes de l'être</i> cette même année.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Cloé Rollin-Dargent</strong></p> <p> <i>Metteur en scène</i></p> <p>  </p> <p> <img alt="558156_3489516687504_814696836_n-1421607201" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/153577/558156_3489516687504_814696836_n-1421607201.jpg"></p> <p>  </p> <p> Cloé Rollin-Dargent a suivi un cursus en art du spectacle à l'université de Strasbourg. Elle y obtient un master de recherche en études chorégraphiques dans lequel elle s'intéresse aux influences de l'esclavage sur les danses traditionnelles d'Afrique noire et du Brésil.</p> <p> Sa rencontre avec les membres de la compagnie est l'occasion de mettre ses notions de scénographe au service des textes, alliant ses goûts pour la littérature et pour le théâtre.</p> <p>    </p>