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« Gainsbourg confidentiel est le disque de la nuit qui tombe. C'est le Mean Streets (ce chef-d'œuvre imbibé et crépusculaire signé Scorsese) de Gainsbourg. C'est le disque de l'homme seul qui fume à la table desservie où elle n'est pas venue. C'est le disque jazz du milieu de la nuit, quand les traits se gonflent, quand les bouteilles sont mortes, quand les paquets de clopes vides sont jetés par terre. » - Jean-François Brieu

Il s'agit d'un récit où Gainsbourg n'est pas encore Gainsbarre. Au travers d'une époque (1957-63), de ses mentalités et de ses mœurs, se précisent la personnalité d'un artiste, l'écriture d'un authentique créateur, la prosodie d'un superbe musicien.

« Gainsbourg confidentiel”, une pépite musicale »

Ah, s’immerger dans l’intelligence de ce génie mélancolique et misogyne que les femmes adoraient, ses jeux de mots brillants ! Une mise en scène claire, pour une évocation truffée de détails passionnants... ! - Le Dauphiné

« Amateurs de (bonnes) chansons, précipitez- vous ! » Un spectacle réussi, pleinement original. Attachant, intelligent et sensible. - Vaucluse Matin

Ce spectacle a été crée le 25 janvier 2016 au théâtre du Chien Qui Fume (Avignon) et sera repris pendant le Festival Off d'Avignon du 7 au 30 juillet 2017 (relâche le 12-19-26) à 19h10 au Petit Chien 76 rue Guillaume Puy - Avignon

Réservations : +33 (0)4 90 85 89 49 / www.chienquifume.com

Plus d'infos (dossiers artistiques et photos) sur le site de Gainsbourg Confidentiel

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Dans la presse :

« Gainsbourg confidentiel », une pépite musicale ! Ah, s’immerger dans l’intelligence de ce génie mélancolique et misogyne que les femmes adoraient, ses jeux de mots brillants ! Côté cour, un fauteuil, une lampe, pour la narration. Côté jardin, le concert. Une mise en scène claire, pour une évocation truffée de détails passionnants... ! - Le Dauphiné

Un très jazzy cabaret « Gainsbourg confidentiel ». On n’a quitté ni des yeux ni des oreilles (...) Stéphane Roux, beau gosse et belle voix, interprétant le plus moche et plus sexy des grands poètes : une (re)découverte, puisque c’est au Gainsbourg et aux premiers albums des années 57-63, qu’ils se consacraient. - La Provence

Amateurs de (bonnes) chansons, précipitez-vous ! Un spectacle réussi, pleinement original. Attachant, intelligent et sensible. - Vaucluse Matin

Aux impeccables prestations musicales et vocales s’ajoute le commentaire fin et bien senti du critique et maître de conférences Jean-François Brieu. - La Marseillaise

Distribution :

Texte Jean-François Brieu / Adaptation magoni / Mise en scène David Fabre / Collaboration artistique Gérard Vantaggioli / Direction d’acteur Agnès Pétreau / Avec Stéphane Roux / Musiciens David Fabre (guitare) et Aurélien Maurice (contrebasse) / Lumières Franck Michallet / Son Benoit Pouzol / Costumes Nathaly « Zip » / Crédit photo Philippe Hanula // Production LMA / En co-réalisation avec le "Chien Qui Fume" / Ce spectacle à reçu le soutien de la SPÉDIDAM

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Notes pour la mise en scène :

Les Partitas et Suites de Bach, les tragédies de Shakespeare, les comédies de Molière... s’affranchissent du temps, suscitent toujours les mêmes passions, le même intérêt. Sans cesse renouvelées, toujours redécouvertes, elles ravivent une mémoire dont l’impérieuse nécessité est celle d’entendre ce qui se joue sous l’éclairage d’un jour nouveau.

Les écritures contemporaines participent de cette même exigence. Elles témoignent des émotions, des troubles, des mentalités d’une époque et sont la traduction d’une histoire, celle des êtres vivants.

Ainsi, Gainsbourg Confidentiel en dit plus long qu’une simple confidence. Si Serge Gainsbourg - Auteur-compositeur-interprète - est le personnage central de la pièce à partir duquel gravite toute une faune de personnages, son récit est celui d’une époque ou poésie, musique, cinéma formaient un joyeux compagnonnage.

Au travers des documents d’archive, l’on voit bien comment, bien avant la multiplicité des médias, l’O.R.T. F., attestait déjà d’un monde où le génie créatif avait bien du mal à se frayer un passage.

C’est ce spectacle, magistralement porté par un comédien -Stéphane Roux- qui donne sens à un ouvrage remis sur le métier. C’est l’intelligence la plus fine de ses musiciens -David Fabre et Aurélien Maurice- qui égrène une musique dont les rythmes nous donnent la mesure du temps. C’est la note de couleur la plus haute d’une écriture ciselée par un écrivain -Jean- François Brieu -. Ce sont enfin toutes ces écritures croisées qui nous laissent à penser l’art et la culture dans ce qu’ils ont de plus généreux, de plus pertinent.

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