IDIOT

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Visuel du projet IDIOT
Réussi
30
Contributions
06/07/2013
Date de fin
3 653 €
Sur 3 500 €
104 %

IDIOT

<p> <strong>HISTOIRE DU ROMAN</strong></p> <p>  </p> <p> Après plusieurs années en Suisse pour soigner son épilepsie et une forme d’idiotie, le prince Mychkine retourne dans son pays pour y rencontrer la bonne société russe. Bien qu’officiellement guéri, le jeune prince se comporte de manière singulière : il est profondément humble, doux et il fait confiance à tout le monde. Il a la particularité de toujours voir le bon coté des gens qu’il rencontre.</p> <p> Visionnaire, sincère et spontané, fondamentalement bon, le prince Mychkine sera accepté par cette société cupide et hypocrite comme un être à part. Offrant une nouvelle manière de voir le monde, celui que l’on nomme <em>l’Idiot </em>déclenchera chez tous ceux qu’il rencontrera de nouvelles interrogations, révélant les caractères passionnels d’une société décadente.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Mychkine" height="491" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/21507/Mychkine.jpg" width="334"></p> <p> <em>                           Le Prince Mychkine - Photo : Philippe Sébert -</em></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>GENESE DU PROJET</strong></p> <p>  </p> <p> <strong>Un Work in progress pour une nouvelle traduction et l’écriture d’une partition pour la scène. </strong></p> <p> <strong>A mes côtés pour la traduction, Sergueï Vladimirov, homme de théâtre, collaborateur d’Anatoli Vassiliev en France et pour l’adaptation, Pauline Thimonnier, jeune dramaturge du TNS.</strong></p> <p>  </p> <p> <strong><em>Une 1ère étape de travail en juin-juillet 2011</em></strong></p> <p> <em>Au château de La Roche Courbon - festival Sites en Scène - Conseil Général de Charente Maritime</em></p> <p>  </p> <p> Une première esquisse avec <strong>A la recherche de l’Idiot</strong>, <strong>partition pour 8 acteurs</strong> a été proposée et réalisée à grandes foulées, par lâcher prises, sur nos premières sensations.</p> <p> En plein processus de recherche, les présentations ont évolué au fil des soirées en se nourrissant des échanges avec le public, dans une relation semblable à l’hôte et à l’invité.</p> <p>  </p> <p> <strong><em>2ème étape de travail</em></strong></p> <p> Lecture d’<strong>Un Idiot</strong>, <strong>partition pour 10 acteurs</strong> au Théâtre du Petit Hébertot à Paris le 30 janvier 2012</p> <p>  </p> <p> <strong><em>3ème étape de travail</em></strong></p> <p> <strong>IDIOT</strong>, <strong>partition pour 6 acteurs</strong> au cœur des contradictions et des ambitions de la société déclinante de Dostoïevski, écrite en quatre mouvements comme les quatre parties du roman pour les quatre saisons : l’hiver, le printemps, l’été et l’automne. Chaque mouvement agit avec une grande rapidité d’action qui a l’allure de catastrophe, dans le sens d’un mouvement tourbillonnant.</p> <p> Cette adaptation donne à entendre une parole qui rassemble, qui donne le goût de l’autre. La chair des mots que nous avons choisie à plusieurs cœurs et plusieurs mains est humaniste.</p> <p> L’écriture polyphonique de Dostoïevski nous a donné la matière vivante de cette partition puisée aux sources mêmes des dialogues du roman.</p> <p> Une écriture proche du cinéma qui avance « par sauts », en traduisant tour à tour enthousiasme et fatalité. Une partition en accélération comme une pensée poétique qui traduit l’hébétude irrévocable dans laquelle tombe le Prince Mychkine. Une écriture résolument contemporaine qui dévoile les mécanismes de la folie et interroge notre état d’être au monde.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Mychkine_et_rogojine" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/21510/Mychkine_et_Rogojine.jpg"></p> <p> <em>Rogojine et Mychkine - Photo : Philippe Sébert -</em></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>LE CALENDRIER DE CREATION</strong></p> <p>  </p> <p> Résidence de création à La Fabrique du Vélodrome et au Théâtre universitaire à La Rochelle puis à la Scène Nationale d'Angoulême - <strong>Avant-Première le mercredi 2 octobre 2013</strong> <strong>à Angoulême</strong> -</p> <p>  </p> <p> Théâtre Belle Ville à Paris - <strong>Générale Presse Mardi 15 octobre -</strong></p> <p> <strong>Représentations du 16 octobre au 1er décembre 2013 à 21h </strong>- relâche du 28 octobre au 4 novembre -  </p> <p>  </p> <p> <strong>En Région, Janvier 2014 </strong>- Représentations au Théâtre Gallia à Saintes - au Palais des Congrès de Royan - au Théâtre Universitaire - Maison de l’Etudiant à La Rochelle - Tournée en 2014/2015</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>IDIOT aujourd’hui, pourquoi ?</strong></p> <p>  </p> <p> <strong>IDIOT </strong>propose une traversée aux tréfonds de l’âme humaine, dans la tempête hallucinée de la vie. C’est le procès d’un auteur à son siècle où Dostoïevski pose les questions essentielles avec une simplicité implacable en passant du plan moral à l’interrogation métaphysique par le détour d’une quête de soi et de l’autre. Avec <strong>L’Idiot</strong>, Dostoïevski nous mène au-delà des apparences pour découvrir l’inadaptation des êtres au monde. Ce qui était vrai en son temps, l’est encore aujourd’hui.</p> <p> « <strong>IDIOT</strong> adapté du roman L’Idiot de Dostoïevski clôt la trilogie d’ « Une méditation sur le mal ou la figure du monstre » que j’ai amorcée en 2008 avec la création de Britannicus de Racine et prolongée avec Barbe bleue dans un texte inédit de Christian Caro créé en juillet 2009. Dans Britannicus la matrice du pouvoir c’est la Famille, dans Barbe Bleue c’est l’Amour et ses déchirements avec l’homme-animal, l’homme-blessé, dans Idiot c’est la Maladie.</p> <p> le Prince Mychkine est monstrueux parce qu’il ne sait pas, il EST tout simplement. Sans passé, sans avenir, Mychkine est un être désincarné qui n’a d’existence que dans l’instant des rencontres qu’il vit au moment où elles se présentent à lui. Comme un être à part, il offre et propose un nouveau regard, une nouvelle façon de voir le monde. En révélant la nature profonde, les souffrances des êtres qu’il rencontre, il fait tomber les masques, piétine avec son cœur l’égo de chacun. C’est absolument monstrueux et magnifiquement généreux.</p> <p> Au delà de cette trilogie, IDIOT, c’est l’histoire d’un homme qui veut sauver l’humanité à en perdre la raison et c’est magnifiquement tragique ! » L.Andreini</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Mychkine_et_agla_a" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/21513/Mychkine_et_Agla_a.jpg"></p> <p> <em>Aglaïa et Mychkine - Photo : Philippe Sébert -</em></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> Comme des loups dans la steppe, assoiffés de liberté, au centre de notre adaptation siège le quatuor Mychkine-Rogojine-Aglaïa-Nastassia qui incarne la cruauté de la fin d’un monde, d’une société épuisée qui cherche désespérément de nouveaux repères.</p> <p> <strong>IDIOT </strong>interroge ce passage, la transition que nous vivons d’un monde à l’autre, qui nous donne le vertige par peur de ne pas être à la hauteur.</p> <p> La question fondamentale au centre de l'œuvre de Dostoïevski, et reprise comme titre par Giorgio Agamben, c’est “Qu’est-ce que le contemporain ? ” Être contemporain, c’est “fixer le regard sur son temps pour en percevoir non les lumières, mais l’obscurité.” C’est donc “savoir voir cette obscurité, et être en mesure d’écrire en trempant la plume dans les ténèbres du présent. C’est celui qui perçoit l’obscurité de son temps comme une affaire qui le regarde et n’a de cesse de l’interpeller, quelque chose qui, plus que toute lumière, est directement et singulièrement tourné vers lui. Contemporain est celui qui reçoit en plein visage le faisceau de ténèbres qui provient de son temps.”</p> <p> Notre Idiot propose UN ETAT D’ETRE AU MONDE. La chute de Mychkine et la destruction de sa raison par sa maladie sont à l’image de la chute de notre monde. Une mutation de civilisation, que l’on nomme « crise » pour limiter et contenir la peur, est en marche depuis plusieurs décennies et il devient vital de changer profondément les fondements de notre société pour essayer de préserver et réinventer l’humain et son humanité.</p> <p>  </p> <p> <strong>IDIOT</strong> est un appel urgent à respirer ensemble !</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Rogojine_et_nastassia" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/21516/Rogojine_et_Nastassia.jpg"></p> <p> <em>Rogojine et Nastassia - Photo : Philippe Sébert - </em></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>L’AUTEUR</strong></p> <p> Fedor Mikhaïlovitch Dostoïevski (1821-1881) naît à Moscou. Très jeune, il connaît des traumatismes insurmontables : il voit sa mère souffrir dans la résignation et son père tué violemment. Il lit beaucoup : Balzac, Hoffmann, Schiller, Victor Hugo, Shakespeare, Racine, Goethe. A 23 ans, il publie son premier ouvrage loué par la critique, <em>Les Pauvres gens</em>, Bielinski s'écrie : « Un nouveau Gogol nous est né ! »</p> <p> Bien qu’issu d’une classe privilégiée, il éprouve une grande attirance pour le peuple opprimé. Il se rapproche du cercle socialiste de Pétrachevski en 1847. Mais Dostoïevski est impliqué dans une conspiration contre le tsar. Il est arrêté et condamné à mort. Sa peine est commuée en exil. Quatre ans en Sibérie, « seulement » quatre ans grâce au tsar Alexandre III qui amnistie les condamnés politiques.</p> <p> Lorsqu’il écrit <strong><em>L’Idiot</em></strong> en 1868, il a 47 ans. Dostoïevski a déjà vécu beaucoup d’épreuves : condamnation à mort, le pistolet sur la tempe, déportation en Sibérie, crises d’épilepsie, deuil d’un enfant, pertes au jeu.</p> <p> Son œuvre tourmentée, hantée par la recherche de l'authenticité, est à la fois un tableau réaliste du monde et une somme universelle et prophétique de l'âme humaine. Tant dans sa vie que dans son travail d'écriture, Dostoïevski a été aux prises avec une profonde inquiétude métaphysique, et habité par une foi ardente dans le Christ et le peuple russe. Sa carrière n'a cessé d'osciller entre exaltation et désillusion, et ce n'est que très tardivement qu'il a été reconnu.</p> <p> Quand il meurt, en janvier 1881, à Saint-Pétersbourg, toute la population assiste à ses obsèques.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Nastassia_et_rogojine" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/21518/Nastassia_et_Rogojine.jpg"></p> <p> <em>Nastassia et Rogojine - Photo : Philippe Sébert -</em></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>LE THEATRE AMAZONE - COMPAGNIE LAURENCE ANDREINI</strong></p> <p>  </p> <p> De Labiche à Lawrence Durrell, de Victor Hugo à Christian Caro, de Fedor Dostoïevski à Tennessee Williams, de Racine à Michel Vinaver, de Marivaux à Margareta Garpe, Amour et Pouvoir ont traversé les créations du Théâtre Amazone.</p> <p> Aujourd’hui, avec la trilogie - <em>Une méditation sur le mal</em> ou la figure du monstre - (<strong>Britannicus</strong>  2008, <strong>Barbe Bleue</strong> 2009, <strong>IDIOT</strong> 2011-2013) et le diptyque <em>En Plein Cœur</em> (<strong>Pièces Montées</strong> 2010, <strong>Chambres d’Amour</strong> 2012-2015), l’exercice du pouvoir, les labyrinthes de l’âme et les passions souterraines sont plus que jamais au cœur du travail de Laurence Andreini.</p> <p> « Fouiller l’intime dans l’écriture classique et l’écriture contemporaine, frotter les langues et les langages à travers les siècles pour que de nouveaux champs d’investigations se libèrent et me permettent d’explorer le corps et la chair des mots avec l’acteur au travail … Creuser, caresser, choquer, embrasser le verbe pour construire tel un palimpseste, une grammaire de l’espace et un théâtre organique, généreux et populaire.</p> <p> Placer mon regard sur les territoires de l’intime et du particulier pour rejoindre l’Histoire, convoquer le Public à entrer dans « nos chambres », dans de petits coins choisis tout exprès pour écouter et entendre les maux de l’âme et les secrets de personnages aux destinées si proches des nôtres, rencontrer toujours les jeunes acteurs d’aujourd’hui, transmettre aux spectateurs de demain - lycéens et étudiants - mon amour de la langue et ma passion de la scène. Voilà ce qui me porte à faire du théâtre, ici et maintenant. » L.A</p> <p> Après un parcours de Cayenne à La Rochelle, avec une escale à Paris en 1990, le temps d’y nouer quelques amitiés fortes chez Pierre Debauche à l’Ecole Internationale de mise en scène, Laurence Andreini fonde sa compagnie le Théâtre Amazone en 1993 à Paris et arrive en Charente Maritime en 1994. Aujourd’hui, elle est artiste-associée à La Fabrique du Vélodrome, un lieu de résidences de création de la ville de La Rochelle qu’elle a fondé en 1998.</p> <p> Laurence Andreini a mis en scène plus de 27 textes classiques et contemporains dont plusieurs inédits en France. Artiste-pédagogue, militante des plateaux reconnue par ses pairs en Région Poitou-Charentes, l’art de la mise en scène est pour elle un art de la transmission.</p> <p> « Cette femme artiste est une découvreuse et une passeuse » écrit Eric Chauveau dans Sud Ouest en 2006.</p> <p> Parallèlement à la Création, notamment <strong>Sappho</strong> de Lawrence Durrell (première en France), <strong>A Julia</strong> de Margareta Garpe (première en France), <strong>Le Prince Travesti</strong> de Marivaux, <strong>Propriété Condamnée</strong> de Tennessee Williams, <strong>La Belle et la Bête</strong> d’après Madame Jeanne Leprince de Beaumont, <strong>Not about Nightingales</strong> de T.Williams (première en France) et plus près de nous <strong>Marie Tudor</strong> de Victor Hugo, <strong>Britannicus </strong>de Racine, <strong>Barbe Bleue</strong> de Christian Caro et <strong>Pièces Montées - le jour de la Noce et les Brumes du lendemain</strong> - La Compagnie privilégie son travail de transmission en direction des publics universitaires et scolaires pour lesquels, L.Andreini dirige des masters class et des ateliers de pratique théâtrale.</p> <p> « Ardente disciple de Tespis, le premier acteur grec dont on ait connaissance, dionysiaque assumée, Laurence Andreini a une ascendance italienne ; elle a grandi auprès de chaleureux banquets arrosés de vin. Cette femme de Théâtre défend un théâtre viscéral, qui cherche la vérité et la poésie et qui exige un don de soi énorme de la part de l’interprète. Sa direction d’acteurs est impressionnante d’humanité et de puissance », écrit Ana Clàudia Cavalcante  dans A Tarde, journal national brésilien, lors de ses résidences à l’Alliance Française de Salvador do Bahia en 2004 et 2005.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>L’EQUIPE AUTOUR DE LAURENCE ANDREINI - METTEUR EN SCENE</strong></p> <p> Sergueï VLADIMIROV - Traducteur</p> <p> Laurence ANDREINI - Pauline THIMONNIER - Sergueï VLADIMIROV - Adaptateurs</p> <p> Gabrielle PIWNIK - Collaboratrice artistique</p> <p> Charlotte VILLERMET - Scénographe et Créatrice des costumes</p> <p> Jean-Paul DEWYNTER - Constructeur du décor</p> <p> Michaël SCHALLER - Créateur Son</p> <p> Boris Van Overt Veldt - Régisseur Son</p> <p> Jean-Pascal PRACHT - Créateur Lumière</p> <p> Thomas Laigle et Fanny Perreau - Régisseurs Lumière</p> <p> Laurent SEMELIER - Régisseur Général  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>LES COMEDIENS</strong></p> <p> Valentine ALAQUI - Aglaïa Epantchine</p> <p> Eric BERGEONNEAU - Rogojine Parfione</p> <p> Clémentine BERNARD - Nastassia Philippovna</p> <p> Romain COTTARD - Le Prince Mychkine</p> <p> Philippe MAYMAT - Le Général Epantchine et Le Général Ivolguine</p> <p> Et un comédien du Jeune Théâtre National – Gania</p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Temp_te_nastassia_et_rogojine" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/21521/Temp_te_Nastassia_et_Rogojine.jpg"></p>

À quoi servira la collecte

<p> Cette collecte contribuera à la production du spectacle, notamment autour des pôles suivants :</p> <p> Costumes : 2500 Euros. Accessoires décor : 700 Euros. Maquillage : 300 Euros.</p> <p>  </p> <p> <strong>Au delà de 3500 euros</strong>, vos dons nous aideront à financer la construction du décor pour la scénographie de Charlotte Villermet dont le coût s’élève à <strong>15 000 euros</strong>.</p> <p>  </p> <p> L’équipe du Théâtre Amazone et Laurence Andreini vous remercient de votre soutien !</p>

Contreparties

10 €

  • 4 contributions
Merci pour votre soutien ! Vous marquez votre soutien au projet. Nous partageons avec vous l’évolution du projet grâce aux lettres d’information. Nous honorerons votre nom en qualité de « soutien » au projet sur notre site internet.

25 €

  • 6 contributions
Merci pour votre générosité ! En plus des contreparties précédentes, nous avons le plaisir de vous envoyer une affiche dédicacée par l’équipe du spectacle.

50 €

  • 9 contributions
(Soit 17€ après déduction fiscale (nous vous enverrons un reçu).) Un grand merci à vous ! En plus des contreparties précédentes, nous vous envoyons une photo 15*21 du spectacle dédicacée par l’équipe.

100 €

  • 1 contribution
(Soit 34€ après déduction fiscale (nous vous enverrons un reçu).) Merci de tout cœur ! En plus des contreparties précédentes, nous vous envoyons une invitation à la générale presse le 15 octobre 2013 au théâtre de Belle Ville à Paris. Vous pourrez rencontrer l’équipe artistique à l’issue de la représentation autour d’un verre.

200 €

  • 4 contributions
(Soit 68€ après déduction fiscale (nous vous enverrons un reçu).) L’équipe vous remercie chaleureusement ! En plus des contreparties précédentes, vous recevrez 1 invitation pour une seconde personne à la générale presse le 15 octobre 2013, ainsi qu’un moment privilégié avec l’équipe « en bord de scène » accompagné d’une coupe de champagne Louis Roederer, le champagne des tsars. Nous vous enverrons également la partition originale pour 6 acteurs de IDIOT, texte de notre adaptation d’après le roman L’Idiot de Dostoïevski.

1 000 €

  • 1 contribution
(Soit 340€ après déduction fiscale (nous vous enverrons un reçu).) Mille mercis à vous ! En plus de la lettre d’information, de l’affiche dédicacée, de la photo, de la partition pour 6 acteurs de IDIOT, vous recevrez 2 invitations pour 2 personnes pour le jour de votre choix au théâtre de Belle Ville à Paris entre le 16 octobre et le 1er décembre 2013 (relâche du 28 oct. au 3 nov.). Votre soirée sera suivie d’un dîner avec l’équipe artistique.

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