imaJn'ère 2014

<p> Depuis maintenant trois ans, l'association <a href="http://imajnere.%C2%ADblogspot.%C2%ADfr" target="_blank">imaJn'ère</a> fait la promotion de la littérature dite <em>populaire </em>par tous les moyens à sa disposition : fanzines gratuits, livres, <a href="http://imajnere.blogspot.fr/p/les-emissions-sur-radio-g.html" target="_blank">émissions de radio</a>, chroniques internet, conférences, expositions...</p> <p>  </p> <p> Le but est de créer le lien entre les personnes, de sortir le <em>mauvais genre</em> de son ghetto, d’ouvrir de nouveaux horizons. De manière générale, nous appellerons <em>littérature populaire</em>, tous les genres qui ne rentrent pas dans le cadre de la littérature traditionnelle : science-fiction, fantastique, fantasy, polar, gore...</p> <p>  </p> <p> <img alt="P1070193" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/32641/P1070193.JPG"></p> <p>  </p> <p> Nos deux premières conventions en 2011 et 2012, axées principalement sur la science-fiction et le fantastique, offrirent au public deux expositions et une douzaine d'invités écrivains et illustrateurs.</p> <p>  </p> <p> <img alt="P1070905r" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/32642/P1070905r.jpg"></p> <p>  </p> <p> En 2013, le polar et le gore font leur entrée dans le projet, la taille de la convention augmente. Ce sont maintenant huit expositions et une quarantaines d'invités qui se partagent les lieux. La convivialité est au rendez-vous, c'est notre marque de fabrique, qui satisfait autant les invités que le public. Ajoutons que, chaque année, l'association édite un recueil de nouvelles, sur un thème donné, qui rassemble écrivains professionnels et amateurs, ces derniers sélectionnés sur concours.</p> <p> <img alt="Img_1297" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/32666/IMG_1297.JPG"></p> <p> Avec cette montée en puissance, la nécessité de nouveaux moyens de financement se fait sentir en complément de nos moyens traditionnels. C'est là que les kissbankers interviennent.</p>