LE RÊVOSCOPE, un projet d'auto-édition littéraire

Merci pour votre soutien ! Le livre est publié est disponible en ligne comme en libraire ! Retrouvez Le Rêvoscope sur fnac.com Plongez dans un monde où vous êtes constamment contrôlés... ...jusque dans vos rêves En 1977, près de 20 ans après la fin d’une guerre qui a décimé l’Europe, le totalitarisme s’est abattu sur tout le continent. Pour garantir la paix, le choix a été fait de diviser la population en cités. Dans l’une d’entre elles, la Cité 70, les forces au pouvoir ont investi chaque millimètre de la vie des citoyens. Contrôlés jusque dans leurs rêves par les rêvoscopes, les habitants sont sous une constante vérification justifiée par un désir de paix et de sécurité. Les rêvoscopes avaient été rendus obligatoires en 1962. Pas plus gros qu’une boîte à cigares, ils enregistraient les rêves de leurs propriétaires. Le rêvoscope était une promesse de quiétude pour le peuple, une garantie de liberté en échange d’un contrôle du subconscient. Plutôt que d’investir lourdement dans une surveillance de masse de tous les instants, le Gouverneur de Cité 70 avait préféré surveiller les rêves. Reflets des pensées de la journée, on ne pouvait pas truquer ses propres rêves. Quiconque s’opposait au rêvoscope était radié des listes de travailleurs, tout bonnement mis à part de la société. S’opposer au rêvoscope, c’était embrasser la vie de clochard. Un homme au cœur d'une histoire qu'il n'a pas choisie Leo Watson est un ancien militaire traumatisé par la guerre. Employé sans histoire d’une usine de télévisions, il sera interrogé au sujet de rêves illégaux découverts sur son rêvoscope : une tentative d’assassinat sur la personne la plus importante de Cité 70, le Gouverneur. Victime d'un faussaire de rêves, Leo se verra confié la tâche de retrouver le faussaire avant qu’il ne parvienne à infecter les rêvoscopes de tous les citoyens. Il sera accompagné de Sarah, la fille du Gouverneur, idéaliste et rebelle, aux antipodes de son père mais pourtant privilégiée parmi les privilégiés. - Pourquoi me regardez-vous de la sorte ? demanda Sarah en interrompant ses explications. - Je comprends pourquoi votre père vous a confié cette tâche, répondit Leo. Vous êtes passionnée. Le visage de Sarah se renferma à l’évocation de son père. Elle coupa le projecteur et s’en éloigna. Voyant qu’il avait offensé son interlocutrice, Leo se confondit en maladroites excuses. - Ne vous excusez pas, rétorqua doucement Sarah. Je n’aime qu’on me rappelle que je ne suis qu’un outil du Gouverneur. - Si vous êtes son outil, répondit Leo, je dois également en être un. - Vous et moi n’avons pas choisi ce qui nous arrive, Monsieur Watson. Nous sommes à son service, que nous le voulions ou non. Mon premier roman, un rêve à réaliser Je suis Lucas P. Lesiak, auteur du roman Le Rêvoscope. Quelle grande fierté de pouvoir dire qu'avant mes 30 ans, j'ai déjà écrit un bouquin. Une case de cochée dans ma vie, mais je ne veux pas m'arrêter à la rédaction. Aujourd'hui, je sollicite l’aide de la communauté KKBB pour m’aider à éditer Le Rêvoscope, le premier de mes romans que j’espère nombreux, le rêve de quelqu’un qui n’a rien d’un écrivain mais qui a tout de même décidé de le devenir. Dans mon écriture, j'aime créer un univers de dystopie légère : je demande au lecteur de n'accepter qu'un élément fictif - ici le fonctionnement du rêvoscope - pour que toute l'histoire qui s'en suit découle naturellement et logiquement. Un seul élément fantastique, imaginaire, pas de ce monde, mais tout le reste est plausible. Comment j'ai écrit Le Rêvoscope Comme beaucoup de personnes dans le monde, les différents confinements m'ont permis de me consacrer à l'écriture d'une histoire qui me trottait déjà dans la tête depuis longtemps. Tous les matins, je m'installais devant mon ordinateur, une grande tasse de café à la main, l'album live de Carpenter Brut dans les oreilles, et me plongeais dans l'univers dystopique de Cité 70. Au fur et à mesure que j'écrivais l'histoire de Leo, Sarah, ou encore du Gouverneur Mabrouk, je les voyais s'inscrire dans une réalité certes irréelle, mais pas impossible. De là à prétendre à une critique de notre monde ? Certainement pas ! Je ne souhaite que proposer au lecteur une parenthèse de laquelle il sortirait plus heureux, plus jovial, plus compréhensif de son monde réel. Une suite ? Cela dépend de vous ! Dans l'absolu, tout est possible !