Le vélo du futur - recycler votre énergie - freiner c'est accélérer
Nouvelle technologie révolutionnaire: le vélo CussC. Participez au décollage de ce magnifique projet. Freiner c'est accélérer !
Réussi
Oui – Dès que vous commencez à freiner, l’aide mécanique s’annule pour permettre aux freins à mâchoires et au freinage par ressort CussC d’être complétement opérationnel.
Oui – Il est entièrement protégé des intempéries extérieures entre ses 2 coques métalliques.
Non – Le ressort en fibre de carbone sera très léger, et seuls les coques et l’arbre support devront être en métal.
Le poids final du produit CussC est estimé à moins de 2kg (en plus d’une roue normale).
Le poids final du produit CussC est estimé à moins de 2kg (en plus d’une roue normale).
Oui – L’encombrement du mécanisme est similaire à celui d’une roue traditionnelle. Il y a simplement à rajouter un câble de transmission depuis le guidon, jusqu’à la roue, et un mécanisme de répartition des freinages.
Non – Il faut simplement que le cycliste puisse utiliser normalement un vélo.
Non – Il sera beaucoup moins chère.
Non – Nous avons tous des dérailleurs faits d’engrenages dans nos roues de vélo, qui ont largement fait leurs preuves, et qui sont similaires aux engrenages CussC.
Oui et Non – Sur un parcours trop plat et sans arrêt, le CussC n’aura pas d’occasion de se charger et ne restera pas opérationnel très longtemps. Par contre, dans toute autre situation il fonctionnera plus longtemps (pas besoin de recharge électrique).
Non – Pour l’instant, il n’est pas prévu d’y accéder facilement. Mais une étude pour pouvoir modifier automatiquement les rapports d’engrenage (avec un vélo en cours de fonctionnement), et donc la force de relance, est en cours.
Oui – Une étude sur une intégration de ce mécanisme CussC sur un camion a montré une forte réduction des émissions de CO2.
Non – Un petit capuchon amovible protégera le bouton de relance présent sur le guidon.
Oui – Le ressort est dans la roue et les engrenages sont de l’autre côté de la roue par rapport au dérailleur. Aucune adaptation n’est donc nécessaire pour conserver son dérailleur.
Non – Le mécanisme ne dépasse pas en épaisseur la chaîne du vélo, et de toute façon le pied ne va pas jusqu’à la roue arrière.
Non – La roue ne sera pas complétement remplie par le mécanisme, et les coques n’étant pas « plates », le vent pourra circulé sans appuyer outre mesure sur la roue.
Non – Le mécanisme CussC ne nécessite aucun entretien particulier. Bien sûr, quel que soit l’objet que l’on utilise, c’est une bonne habitude de le maintenir propre.
Non – Bien au contraire. Dans chaque roue normale, un compromis entre légèreté et sécurité est étudié. Là avec les coques en métal, la sécurité est présente quoi qu’il arrive (élément extérieur venant percuter la roue par exemple).
Non – La toxicité de l’amiante vient du fait que ses fibres sont des microparticules (et peuvent donc pénétrer profondément dans les poumons). Dans le ressort CussC, les fibres sont aussi longues que le ressort lui-même (fil de plus de 10m).
Non – 2 solutions sont possibles :
Il pourra être proposé différents CussC en fonction du type de cycliste que vous êtes.
Un engrenage supplémentaire peut être ajouté pour permettre d’avoir 2 forces de chargements.
Il pourra être proposé différents CussC en fonction du type de cycliste que vous êtes.
Un engrenage supplémentaire peut être ajouté pour permettre d’avoir 2 forces de chargements.
Non – Si un des 2 bouts du ressort se détache, alors le ressort se remet mécaniquement en position « non-chargé », c’est-à-dire resserré autour du pignon de la roue sans la bloquer.
Non – Et c’est un avantage à considérer. Étant protégé dans sa coque métallique, le freinage grâce au mécanisme CussC est opérationnel par tout temps.