Les abeilles de La Ferme aux Mille Fleurs passent en BIO !

<p> Comme vous avez pu l'entendre, les abeilles sont menacées plusieurs facteurs en sont la cause ; les produits phytosanitaires et OGM, les parasites (acarien Varroa destructor) et maladies des abeilles, les insectes prédateurs, les modifications paysagères, etc...</p> <p>  </p> <p> <img alt="Img_3832-1428963471" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/185993/IMG_3832-1428963471.JPG"></p> <p>  </p> <p> La pollinisation, réalisée en partie par les abeilles est essentielle à la production des denrées nécessaires à nourrir la planète.</p> <p> Si les abeilles venaient à disparaître, l'ensemble des autres pollinisateurs seraient déjà disparus.</p> <p> Il est donc primordial pour préserver la biodiversité ainsi que les différents pollinisateurs, de favoriser le développement d’une apiculture responsable, respectueuse de l'abeille.  </p> <p>  </p> <p> <strong>Qui somme-nous ?</strong></p> <p>  </p> <p> Baptiste 33 ans</p> <p>  </p> <p> <img alt="Photo_couleurs-1427703960" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/179832/Photo_couleurs-1427703960.jpg"></p> <p>  </p> <p> Maraîcher bio de formation, j’ai été chef d’une exploitation en GAEC (Groupement Agricole d'Exploitation en Commun) pendant 5 ans.</p> <p> Trois ruches m’ont été offertes par mon oncle, apiculteur professionnel, qui m’a transmis la passion des abeilles ; elles m’ont permis de polliniser les légumes. Fort de cette expérience enrichissante, chaque année, j’ai doublé le nombre de mes ruches jusqu’à en avoir 40 aujourd’hui.</p> <p> Mon espoir est de vivre de cette nouvelle passion et mon objectif d’élever 200 ruches certifiées en bio.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> Edwige, 30 ans,</p> <p>  </p> <p> <img alt="Photo_08-04-2015_19_22_42-1428598096" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/184420/Photo_08-04-2015_19_22_42-1428598096.jpg"></p> <p>  </p> <p> Infirmière en voie d'exercer en tant que praticienne en kinésiologie.</p> <p> Pendant mon congé parental, je souhaite m'inscrire dans ce projet en soutien de mon mari.</p> <p> Au-delà de cette aide, mon objectif est de faire de la transformation de légumes et de produits de la ruche.  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Pourquoi en bio ?</strong></p> <p>                          <img alt="Logo_ab_europe-1427703913" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/179831/logo_ab_europe-1427703913.jpg"></p> <p>  </p> <p> Je suis depuis longtemps sensibilisé au respect de notre environnement,  c'est pour moi des valeurs essentielles.</p> <p> Empruntant la terre à nos enfants, il me paraît indispensable d'en prendre soin en préservant les sols et la biodiversité.</p> <p> En produisant bio,  je souhaite proposer au consommateur des aliments sains, en pratiquant une agriculture sans produits chimiques de synthèse et sans OGM.</p> <p> J'ai choisi de convertir mon rucher en bio pour respecter le bien être des abeilles en choisissant des zones de butinage éloignées des sources de pollution.</p> <p>  </p> <p>                           </p> <p>  </p> <p> <strong>Le projet :</strong></p> <p>  </p> <p>            <img alt="Ferme-1427704807" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/179837/Ferme-1427704807.jpg"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> Nous avons récemment trouvé la ferme correspondant à notre projet de vie. Elle est située en Isère, près de Beaurepaire. <strong>Le terrain, certifié en Agriculture Biologique</strong> en janvier dernier sera partagé entre les abeilles, les légumes bio et quelques animaux.</p> <p>  </p> <p> N’ayant pas la possibilité de bénéficier d’aides à l’installation pour la création de notre projet, nous avons choisi une installation progressive pour laquelle il me faut conserver mon activité salariée de maraîcher encadrant dans un Jardin de Cocagne.</p> <p>  </p> <p> Le projet est de <strong>convertir les 40 ruches actuelles en bio</strong>, de porter à <strong>70 colonies</strong> le cheptel d’ici un an pour arriver à <strong>250 ruches à terme</strong> et devenir professionnel.</p> <p> Nous devrons également acheter le matériel pour transhumer les abeilles (les déplacer au fil des floraisons) de façon autonome sur des zones de butinage exemptes de pesticides. et aménager une miellerie pour extraire le miel.</p> <p>  </p> <p> Parallèlement, je pense développer l’activité maraîchage biologique afin de répondre à la demande locale.</p>