Paroles d'Insoumuses

La poésie de l’asphalte - Che3r el kayyes

Visuel du projet Paroles d'Insoumuses
Réussi
72
Contributions
21/12/2020
Date de fin
2 580 €
Sur 1 600 €
161 %

Paroles d'Insoumuses

<p>&nbsp;</p> <p><strong>Le projet&nbsp;</strong></p> <p>&laquo;&nbsp;Paroles d&rsquo;Insoumuses&nbsp;&raquo; est un reportage&nbsp;photo qui documente de fa&ccedil;on sensible et artistique&nbsp;l&#39;engagement f&eacute;ministe d&#39;artistes tunisiennes urbaines.&nbsp;Du rap&nbsp;au graffiti, en passant par le slam, l&#39;exposition donne la parole &agrave; des artistes &eacute;mergentes et talentueuses, qui r&eacute;sistent et cr&eacute;ent, chacune&nbsp;&agrave; leur mani&egrave;re.&nbsp;</p> <p>Cette exposition photographique est issue d&rsquo;un travail de terrain r&eacute;alis&eacute; &agrave; Tunis et &agrave; Sfax dans le cadre de mon m&eacute;moire en Sciences Politiques. J&rsquo;ai cherch&eacute; &agrave; garder des traces de mes rencontres sous forme visuelle et sonore.&nbsp;</p> <p>Pour&nbsp;voir le jour, le projet &laquo;&nbsp;Paroles d&rsquo;insoumuses&nbsp;&raquo; a besoin de vous : votre contribution est essentielle !&nbsp;</p> <p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/696340/8861c0ab-2ed0-4adb-8902-859adc6731d8.JPG" /></p> <p><strong>Et concr&egrave;tement ?&nbsp;</strong></p> <p>Le projet vise &agrave; mettre en lumi&egrave;re le parcours de ces femmes. L&rsquo;exposition pr&eacute;sentera les photographies argentiques prises lors de mes voyages. Elle sera enrichie par la projection des Fleurs du bitume, documentaire qui a constitu&eacute; les pr&eacute;misses de mon travail. Des moments d&rsquo;&eacute;changes et de d&eacute;bats seront &eacute;galement imagin&eacute;s en parall&egrave;le de l&rsquo;exposition.&nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp;&nbsp;</p> <p>À l&rsquo;occasion du dixi&egrave;me anniversaire des soulèvements populaires des pays arabes, dit &laquo; printemps arabes &raquo;, qui ont &eacute;mergé des régions intérieures de la Tunisie ; l&rsquo;exposition propose un focus sur le Maghreb avec un autre regard.&nbsp;En effet, ce sujet pluriel aborde des questions liées à la jeunesse et aux femmes à travers le prisme singulier de la création artistique.&nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp;&nbsp;&nbsp;</p> <p>En croisant plusieurs thématiques et en s&rsquo;inscrivant en dehors des grilles de lecture conventionnelles, l&rsquo;exposition est susceptible de toucher un public varié. De plus, elle donne la parole &agrave; des voix marginalis&eacute;es et contribue &agrave; la visibilisation de jeunes artistes tunisiennes.&nbsp; &nbsp; &nbsp;</p> <p>Par ailleurs, la photographie est un médium accessible pouvant servir de support à la discussion et à l&rsquo;organisation d&rsquo;évènements sur cette thématique (conférence, film, rencontre, concert). Ainsi, en fonction des espaces disponibles et des partenariats tissés, l&rsquo;exposition prendra plusieurs formes, s&#39;adressera &agrave; diff&eacute;rents publics et engagera des d&eacute;bats enrichissants.&nbsp;</p> <p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/696346/2aa84e18-100f-4960-8e29-b7f659dabbce.JPG" /></p> <p><strong>Le documentaire&nbsp;</strong></p> <p>&Eacute;crit et r&eacute;alis&eacute; par Karine Morales et Caroline P&eacute;ricard</p> <p>Une coproduction Keren Big Bang Films (2017) 52 minutes</p> <p>Dans les rues de Tunis et de Sfax, Chaima danse, Oum&eacute;ma graffe, Shams slame. Elles ne se connaissent pas mais font parties de la m&ecirc;me g&eacute;n&eacute;ration. Elles sont n&eacute;es sous la dictature de Ben Ali. Elles sont les adolescentes de la r&eacute;volution du Jasmin qui a &eacute;clos en Tunisie en 2011. Elles incarnent toutes les nuances, parfois oppos&eacute;es, toujours compl&eacute;mentaires, d&rsquo;un combat commun : la libert&eacute; des femmes dans leur pays. Un combat pacifique qu&rsquo;elles m&egrave;nent dans la rue, espace largement occup&eacute; par les hommes en Tunisie, et qu&rsquo;elles ont choisi de reconqu&eacute;rir par la pratique du Street Art. Un combat qui fait osciller leur quotidien entre peur, espoir, violence, &eacute;nergie cr&eacute;ative et soif de libert&eacute;.</p> <p>Oeuvre int&eacute;gr&eacute;e &agrave; la collection permanente du MUCEM Projection au Mucem en Mai 2019</p> <p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/696347/08a3424a-1d8b-4a38-a898-c7e43e8c429e.jpg" /></p> <p>&nbsp;</p> <p>&laquo; L&agrave; o&ugrave; la parole n&#39;&eacute;merge pas encore, c&#39;est notre po&eacute;sie qui nous aide &agrave; la fa&ccedil;onner. La po&eacute;sie n&#39;est pas que r&ecirc;ve et vision, elle est la colonne vert&eacute;brale de nos existences. Elle pose les fondations des changements futurs, elle jette un pont par-dessus notre peur de ce qui n&#39;est pas encore advenu. &raquo; Audre Lorde</p> <p>&nbsp;</p> <p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/696341/36202b92-957e-4647-9a2e-75ffb6c3a224.jpg" /></p> <p><strong>La biographie &nbsp; </strong>&nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp;</p> <p>Je m&rsquo;appelle Anouk et j&rsquo;ai 24 ans. J&rsquo;ai fait des études d&rsquo;Histoire et de Sciences Politiques à Nantes puis à Bruxelles. Durant mon cursus universitaire, j&#39;ai été particulièrement sensible aux problématiques liées à la jeunesse, aux mouvements populaires et aux droits des femmes. Au fil de mes études, je me suis spécialisée sur la région du bassin méditerranéen.&nbsp;</p> <p>Ces intérêts se sont renforcés lors de la réalisation de mon mémoire encadré par l&rsquo;Université Libre de Bruxelles sur le féminisme et les arts urbains. Cette recherche s&rsquo;appuyait sur un travail de terrain effectué en Tunisie en partenariat avec l&rsquo;Institut de recherche sur le Maghreb contemporain. Au-delà de la dimension académique, j&rsquo;ai documenté ce sujet au travers de photographies argentiques et d&rsquo;enregistrements audio, que je souhaite à présent valoriser.&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;</p> <p>Je travaille actuellement en service civique à Géopolis, centre de photojournalisme de Bruxelles. Ma mission est centrée sur la programmation de la radio européenne Euradio, rattachée à ce lieu d&rsquo;exposition. Sur le plan professionnel, je m&rsquo;investis dans des projets croisant les dimensions politique et artistique. Je suis attirée par le secteur culturel, journalistique ainsi que celui du documentaire. Dynamique, curieuse et observatrice, je suis animée par le désir de rencontrer et de comprendre les autres. J&#39;ai &agrave; coeur de retranscrire les r&eacute;alit&eacute;s qui m&#39;entourent, ici ou ailleurs.&nbsp;</p> <p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/696342/198af653-ccc9-4fa4-85e7-4845149d4cc0.JPG" /></p> <p><strong>L&#39;origine&nbsp;du projet </strong>&nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp; &nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;</p> <p>Ce projet a émergé à la suite d&rsquo;un s&eacute;jour &agrave; Tunis.&nbsp;Je suis partie dans le cadre d&rsquo;un service volontaire européen durant une année de césure effectuée entre la licence et le master. Sur place, j&rsquo;ai réalisé un reportage photo sur l&rsquo;immigration clandestine des jeunes vers les côtes européennes.&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp; &nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;</p> <p>En parallèle de ce travail, j&rsquo;ai fait la rencontre avec plusieurs collectifs de hip-hop masculins avec lesquels j&rsquo;ai pass&eacute;́ du temps lors de leurs moments de création. J&rsquo;ai côtoyé des rappeurs, des graffeurs, des danseurs et des photographes. J&rsquo;ai suivi leur quotidien, découvert les difficultés auxquelles les artistes de ce milieu sont confrontés et échangé avec eux sur ces problématiques. C&rsquo;était un 𝘶𝘯𝘪𝘷𝘦𝘳𝘴 𝘵𝘳𝘦̀𝘴 𝘮𝘢𝘴𝘤𝘶𝘭𝘪𝘯, centré autour de la notion de crew, toutefois bienveillant à mon égard.&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;</p> <p>De retour à Nantes, j&rsquo;ai été bénévole au festival Hip Opsession au cours duquel était organisée une soirée dédiée à la culture hip-hop en Tunisie. J&rsquo;ai assist&eacute;́ à la projection du documentaire Les fleurs du bitume&nbsp;réalisé par Caroline Péricard et Karine Morales, portrait de trois jeunes artistes urbaines tunisiennes. Ce film m&rsquo;a interpell&eacute;&nbsp;et a constitu&eacute;&nbsp;le point de départ d&rsquo;une réflexion sur la place des femmes dans cette sc&egrave;ne artistique.&nbsp;&nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp;</p> <p>J&rsquo;ai décidé d&rsquo;approfondir ce questionnement en choisissant ce sujet pour mon mémoire de master en Sciences politiques à l&rsquo;Université Libre de Bruxelles. Je me suis alors intéressée à l&rsquo;engagement féministe de quatorze artistes urbaines (rap, slam, graffiti), qui représentent &agrave; elles seules la moitié de la scène hip-hop féminine en Tunisie. Ma recherche étant basée sur un travail de terrain, ce projet m&#39;a amené à y retourner plusieurs fois.&nbsp;</p> <p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/696343/483202f8-0b45-4c69-8148-05345f07c485.JPG" /></p> <p><strong>Les objectifs &nbsp; &nbsp; &nbsp;</strong> &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp;&nbsp;</p> <ul> <li> <p>Faire un focus sur le Maghreb à travers un prisme original</p> </li> <li> <p>Comprendre les enjeux auxquels est confrontée la jeunesse</p> </li> <li> <p>S&rsquo;intéresser aux cultures urbaines émergentes en Tunisie</p> </li> <li> <p>Aborder la question du sexisme dans les milieux artistiques</p> </li> <li> <p>Diffuser les arts urbains (rap, graffiti, slam)</p> </li> <li> <p>Visibiliser la scène hip-hop féminine et tunisienne</p> </li> <li> <p>Faire entendre des récits peu médiatisés</p> </li> <li> <p>Croiser les regards des deux côtés de la Méditerranée</p> </li> <li> <p>Valoriser un travail de terrain effectué sur un temps long</p> </li> <li> <p>Mettre en avant un projet réalisé par une jeune journaliste</p> </li> <li> <p>Donner la parole à des intervenant&middot;e&middot;s spécialistes du sujet&nbsp;</p> </li> </ul> <p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/696344/ce002098-6233-4340-b4c4-ce6572190e7b.JPG" /></p> <p><strong>Les artistes pr&eacute;sent&eacute;es </strong>&nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp;&nbsp;</p> <p>Boutheina El Alouadi (rappeuse), Ouméma Bouassida (graffeuse), Shams Radhouani Abdi (slameuse), Roua Bida (rappeuse), Amel Neffati (graffeuse), Eya Ben Mansour (slameuse), Awa Ben Cherif (graffeuse), Khaoula Jaziri (chanteuse), Amal Bint Nadia (&eacute;criture), Mira Hamdi (slameuse), Lilia Ben Romdhane (slameuse), Bochra Triki (&eacute;criture), Sara Bouzgarrou (graphisme) et Essia Jaibi (&eacute;criture).&nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp;</p> <p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/696339/7a616cbe-4d47-4031-9fbb-2da80cab3c54.JPG" /></p> <p><strong>Les lieux d&rsquo;exposition&nbsp;</strong></p> <p>&Agrave; Nantes (janvier), Bruxelles (f&eacute;vrier) et peut-&ecirc;tre Tunis et Paris.</p> <p>Les noms des lieux seront d&eacute;voil&eacute;s plus tard.&nbsp;</p>

À quoi servira la collecte

<p>En ces temps incertains que le secteur culturel et artistique traversent, il n&rsquo;est pas &eacute;vident de se lancer. Mais je crois profond&eacute;ment en ce projet dans lequel je suis investie depuis plus de deux ans. Mais sans vous, cette exposition ne pourra pas se r&eacute;aliser !&nbsp;</p> <p>C&rsquo;est pourquoi votre participation, m&ecirc;me la plus petite, est tr&egrave;s pr&eacute;cieuse !</p> <p>En &eacute;change, vous aurez droit &agrave; mon immense gratitude.&nbsp;Mais pas que !&nbsp;</p> <p>En contrepartie de votre confiance, je souhaite vous proposer quelque chose&nbsp;d&rsquo;intime et po&eacute;tique : des stickers, des photographies en format cartes postales, mon m&eacute;moire &quot;Les Insoumuses : engagement f&eacute;ministe et arts urbains dans la Tunisie post-r&eacute;volutionnaire&quot; (118 pages) qui comprend des photographies, des extraits d&#39;interviews et une bibliographie extensive ou encore un des grands tirages photos encadr&eacute;s.&nbsp;</p> <p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/696348/a68b6efb-0da8-4ad0-be8c-efd046cc6d3a.jpg" width="100%" /></p> <p>Cette campagne de financement &agrave; hauteur de 1600 euros servira &agrave; payer une partie des impressions photos, l&#39;encadrement et les frais de diffusion pour le documentaire <em>Les fleurs du bitume</em>. Le crowdfunding repr&eacute;sente environ la moiti&eacute; du budget total.&nbsp;</p> <p>Si votre g&eacute;n&eacute;rosit&eacute; d&eacute;passe ce seuil minimum n&eacute;cessaire &agrave; la r&eacute;alisation de ce projet, cet exc&eacute;dent sera d&eacute;di&eacute; &agrave; l&#39;achat de tirages et cadres de meilleure qualit&eacute; et au d&eacute;fraiement d&#39;intervenant&middot;e&middot;s dans la cadre d&#39;&eacute;v&egrave;nements mis en parall&egrave;le de l&#39;exposition.</p> <p>PALIER 1 : 3000 euros (Tirage photo et encadrement simple, frais diffusion documentaire)&nbsp;</p> <p>PALIER 2 : 5000 euros (Tirage photo et encadrement plus travaill&eacute;, frais diffusion documentaire, d&eacute;fraiement des intervenant&middot;e&middot;s un &eacute;v&egrave;nement)&nbsp;&nbsp;</p>

Contreparties

10 €

  • 31 contributions
Des bisous et un sticker (à récupérer lors de l'exposition) !

30 €

  • 18 contributions
Mille bisous et plusieurs stickers de ton choix !

50 €

  • 7 contributions
Une photographie en format carte postale, un poème et des stickers !

80 €

  • 1 contribution
Une affiche de l'exposition en format A4 et une carte postale !

100 €

  • 5 contributions
Une affiche de l'exposition en format A3 et une carte postale !

200 €

Mon mémoire "Les insoumuses : féminisme et arts urbains dans la Tunisie post-révolutionnaire" en format revue (photos, extraits d'entretiens, bibliographie), une affiche de l'exposition format A4 et des stickers !

350 €

Un grand tirage encadré de ton choix dans l'exposition !

500 €

Un grand tirage encadré de ton choix, une affiche en format A4 et une carte postale !

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