REGARD'émoi, les jeunes cinéastes africains

La soirée "RE-GARD’EMOI : les jeunes cinéastes africains" propose de partir à la découverte de la jeune génération de réalisateurs d'Afrique subsaharienne et du regard qu'ils portent sur leur société. Au programme : Courts-métrages de genres divers, échanges, rencontres et buffet-cocktail africain.

Visuel du projet REGARD'émoi, les jeunes cinéastes africains
Réussi
30
Contributions
23/12/2011
Date de fin
895 €
Sur 830 €
108 %

REGARD'émoi, les jeunes cinéastes africains

<p>Le cinéma africain subsaharien est méconnu en France, représenté qu’il est par seulement une poignée de grands réalisateurs… </p><p>                              <img src="" alt="" width="326" height="182"></p><p> </p><p>Cet évènement a pour vocation la découverte de ces jeunes auteurs et de leur contexte de création, ainsi qu’un accompagnement du regard du spectateur parisien dans cette découverte. </p><p>La promotion des réalisateurs auprès de producteurs et distributeurs, afin de leur permettre d’approcher le marché du film français, est le second objectif de la soirée. </p><p> </p><p><img src="http://img11.hostingpics.net/pics/510629photo1THIOUBOUFaceaFace.jpg" alt="" width="240" height="163"></p><p> </p><p> "Face à Face" de Mame Woury Thioubou</p><p> </p><p><strong>Six courts et moyens métrages</strong>  , en provenance du <strong>Mali</strong>, du <strong>Sénégal</strong>, du <strong>Niger</strong> et du <strong>Cameroun</strong> se partagent entre fiction, documentaire et art vidéo, faisant néanmoins la part belle au documentaire de création, qui semble être un vecteur privilégié des moyens d’expression du jeune cinéma contemporain africain.</p><p><strong> </strong>Comme on peut le voir avec la génération Africadoc notamment, ainsi qu’avec de nombreux réalisateurs indépendants, le genre du documentaire semble correspondre le mieux aux modes d’expression et aux discours que veulent véhiculer ces jeunes auteurs, <strong>au plus près de la société qui les entoure</strong> et dont ils font partie et qu’ils veulent comprendre et décrypter.</p><p> </p><p><img src="http://img11.hostingpics.net/pics/250861photo2KutchubYonga.jpg" alt="" width="550" height="309"></p><p> </p><p>"Ku'tchub" de Charlotte Yonga</p><p> </p><p>Ces courts-métrages ont tous été <strong>présentés dans de nombreux festivals internationaux</strong> dans différentes villes du monde, <strong>mais jamais encore à Paris</strong>. </p><p>Certains ont reçu des prix notables, en particulier le <strong> Poulain de bronze du FESPACO 2011.</strong></p><p> </p><p><img src="http://img11.hostingpics.net/pics/231767photo3COULIBALYDaoudaTinyeSo.jpg" alt="" width="550" height="264"></p><p> </p><p>"Tinye So" de Daouda Coulibaly</p><p> </p><p><strong>Entre 23 et 30 ans</strong>, les réalisateurs suivent ou ont suivi des études de cinéma. Cinq d’entre eux sont des <strong>jeunes femmes</strong>. Il s’agit de leur premier ou second véritable court-métrage et présentent déjà un <strong>talent certain</strong> dans leur discipline. </p><p><br></p><h2>Qui suis-je ?</h2><p style="text-align: justify;"><em>Audrey, 23 ans, n&eacute;e &agrave; Biarritz (64) et vivant &agrave; Paris...</em></p><p style="text-align: justify;"><em><br /></em></p><p style="text-align: justify;">Fra&icirc;chement dipl&ocirc;m&eacute;e d'un master 2 de <strong>gestion de projets culturels</strong>, je me destine au monde du cin&eacute;ma qui me passionne. Je connais bien la probl&eacute;matique du cin&eacute;ma africain, apr&egrave;s avoir travaill&eacute; deux ans pour l'association Des Cin&eacute;mas pour l'Afrique, pr&eacute;sid&eacute;e par le r&eacute;alisateur Abderrahmane Sissako, qui oeuvre &agrave; la r&eacute;habilitation d'anciennes salles de cin&eacute;ma en nouvelles maisons de l'image &agrave; vocation culturelle, sociale et p&eacute;dagogique, sur le continent africain.</p><p style="text-align: justify;">&nbsp;</p><p style="text-align: justify;">Je suis pr&eacute;sidente d'une jeune association culturelle, <strong><em>La Sauce &agrave; l'Arti'Show</em></strong>, et en charge pour elle des projets cin&eacute;ma. Si avec mes quatre comparses nous avons cr&eacute;&eacute; cette association, c'est que nous sommes convaincues que malgr&eacute; les &eacute;v&egrave;nements artistiques, expositions et festivals en tout genre, les jeunes artistes sont encore trop peu repr&eacute;sent&eacute;s, diffus&eacute;s et accompagn&eacute;s et que l'ouverture du regard du spectateur et la d&eacute;couverte des jeunes talents d'autres pays, d'autres continents ne sont pas assez r&eacute;pandues en France...</p><p><img style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" src="" /></p>

À quoi servira la collecte

<p><strong>-480 euros</strong> serviront au paiement des droits d'auteurs : 80 euros par film.</p> <p> </p> <p><strong>-150 euros </strong>serviront à la communication papier : impression de flyers, d'affiches et de textes distribués le jour de l'évènement et achat de nom de domaine pour le site web.</p> <p> </p> <p><strong>-200 euros </strong>pour le cocktail buffet africain.</p>

Contreparties

5 €

  • 6 contributions
La publication de votre nom en remerciements sur le site internet de l'évènement Regard'émoi et sur celui de l'association La Sauce à l'Arti'Show

15 €

  • 13 contributions
La publication de votre nom et d'une dédicace de votre choix sur une page dédiée du site internet de l'évènement Regard'émoi et de celui de l'association La Sauce à l'Arti'Show

40 €

  • 2 contributions
1 Entrée gratuite à la soirée "Regard'emoi, les jeunes cinéastes africains" + la rencontre avec un jeune réalisateur + les contreparties précédentes

70 €

  • 3 contributions
2 Entrées gratuites à la soirée "Regard'emoi, les jeunes cinéastes africains" + la rencontre avec un jeune réalisateur + la contrepartie à 15 euros

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