Reportage sur la condition des femmes au Japon
<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/641388/Le_matsuri_de_Kagurazaka-1578942166.jpg" width="100%" /></p>
<p>Suite à un reportage photo de 3 mois au Japon, je suis de retour en France pour exposer <strong>le reportage « Subalterne »</strong>. Il met en lumière la <strong>condition féminine sur l’archipel</strong> à travers 3 thèmes: le conflit des générations, le respect des anciens et une société plus forte que l'individu. </p>
<p>Je suis étudiant en Master 2 à KEDGE Bordeaux, l’exposition fait partie d’un programme de l’établissement dédié à la <strong>promotion d’initiatives des étudiants envers les associations</strong>. L’objectif de ce programme est de promouvoir les projets associatifs ayant un réel impact social.</p>
<p>Malgré quelques réformes et quelques efforts, <strong>le statut des Japonaises n'évolue guère</strong>, au travail comme à la maison. Cet ensemble de photographies n’est en rien un « j’accuse » envers un pays ou une civilisation, il ne s’agit pas là de pointer du doigt une culture mais plutôt de <strong>réfléchir à un problème qui existe dans de nombreuses sociétés</strong> à travers le monde. Ce reportage, qui traite d’un sujet sensible n’est pas le reflet de la société Japonaise forte de sa pop-culture, sa gastronomie, son histoire et tant d’autres qui ont nourri les fantasmes de beaucoup de français depuis des décennies.</p>
<p>Cependant, je me suis concentré sur un sujet précis et j’ai tenté de <strong>peindre la situation des femmes au sein de la société japonaise à travers mon œil d’étranger</strong> et à travers le point de vue de nombreuses femmes qui racontent leurs histoires.</p>
<p>On trouve dans ce reportage des Nipponnes tiraillées entre les deux <strong>pôles d’une société post moderne</strong>, des femmes anonymes, <strong>absorbées par une société plus forte que l’individu</strong>. À travers une interview, on y retrouve également le point de vue d’une occidentale qui s’est implantée au Japon il y a 8 ans pour ouvrir son affaire et bien d’autres. Pour améliorer le statut des femmes au Japon ou dans le reste du monde, l’agrégation d'une infinité de petites prises d'initiatives est nécessaire pour que les mentalités soient en ruptures avec celles des anciennes générations.</p>
<p><strong>Je suis convaincu que cette exposition associé à une levée de fonds feront partie de ces initiatives qui, les unes ajoutées aux autres, feront la différence à long terme.</strong></p>
<p>Le coût du projet s'élève à 1587,58€. <strong>Les bénéfices et les fonds récoltés au delà des coûts seront reversés à l'association des Simones du Boudoir</strong> - association à but non lucratif - basée sur la Côte Basque.</p>
<p>C’est un groupe d’entraide qui a pour objectif de mettre en relation des femmes qui défendent des valeurs de solidarité féminine à travers des conférences, et autres événements qui font <strong>la promotion de la place des femmes dans la société</strong>.</p>
<p><strong>Les couts du projet en détails:</strong><br />
- Développement pellicules chez Bayonne Camara:<br />
<strong>195,55</strong> euros</p>
<p>- Cadres bois IKEA:<br />
<strong>227,99</strong> euros</p>
<p>- Tirages Patxi Laskaraï impression permager:<br />
<strong>447</strong> euros</p>
<p>- Encadrement & passe-partout sur mesure Arteis:<br />
<strong>203,04</strong> euros</p>
<p>- Frais vernissages Etxe Nami:<br />
<strong>100</strong> euros</p>
<p>- Brochures dépliant & Affiches A3 Marcos Impression Anglet:<br />
<strong>356</strong> euros</p>
<p>TOTAL des couts: <strong>1529,58 euros</strong></p>