TERRE SAINTE

Participez à l'éclosion d'une oeuvre poétique, drôle, tragique, engagée, et osez le mécénat culturel : dès 1 € votre don nous est précieux

Visuel du projet TERRE SAINTE
Réussi
75
Contributions
18/06/2013
Date de fin
6 000 €
Sur 6 000 €
100 %

TERRE SAINTE

<p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <em>C'est une ville en état de siège, où le paysage est blanc, poussiéreux et dévasté, où les soldats tirent sur les chats qui passent. Carmen a disparu à un check point ; sa fille Imen affronte les perquisitions d'Ian, le soldat. Alia, la sage-femme, la réconforte, tandis que Yad, le mari de celle-ci, s'évade dans les volutes du narguilé, la saveur des pistaches, et l'ivresse de l'arak de Zahlé : autant d'échappatoires au bruit des fusillades, au ravage des incendies.
Et puis, un jour, Amin, le fils d'Alia et de Yad, tue un soldat et l'étudiant modèle devient un martyr qui viole, détruit et meurt au nom de Dieu. Enfin, il y a le chat, Jésus…</em></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="304" src="http://www.youtube.com/embed/DyXMsGE-jz4?wmode=opaque&amp;feature=oembed" width="540"></iframe> <p>  </p> <p>  </p> <p> TERRE SAINTE est une pièce courte, puissante et poétique, comme une tragédie antique. En contrepoint de la violence qui s’y déploie, sans jamais tomber dans le piège du nihilisme et la complaisance du désespoir, Mohamed Kacimi sème l’antidote de l’humour, de la tendresse, et de la joie de vivre.</p> <p> Tragédie, comédie, rires et larmes, ce sont les fils que je souhaite tisser pour donner toute sa dimension à une pièce qui ose raconter, à travers le prisme de l’intime, un conflit central dans l’histoire contemporaine.</p> <p> Je souhaite, dans un dispositif très simple, donner à ressentir l’enfermement des personnages dans des murs qui ne protègent presque pas des perquisitions et des bombardements, mais abritent de fragiles instants de bonheur et d’humanité. Les sons et la musique feront aussi l’objet d’un travail méticuleux, bruits de la guerre, musique procurant aux uns et aux autres de courtes échappatoires.</p> <p> Il y a dans la pièce deux jeunes hommes, assiégeant et assiégé, habités par une même peur, une même haine, une même rage de mourir. Symboliquement, je voudrais que ces deux frères ennemis, qui n’apparaissent jamais en même temps sur le plateau, soient incarnés par le même comédien.</p> <p>     </p> <p>  Armand Eloi</p> <p>  </p> <p> <img alt="Timthumb.php" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/19943/timthumb.php.png"></p> <p>  </p> <p> <em>Je persiste à dire que le théâtre n’est pas fait pour noircir davantage la réalité de notre monde, qui est assez noire. Je persiste à croire qu’écrire pour le théâtre ce n’est pas jeter de l’huile sur le feu du monde, déjà assez embrasé aujourd’hui. Je crois toujours que la scène est là, non pour exacerber la violence faite à l’homme mais pour la dénouer. Écrire aujourd’hui, et sur ce sujet-là en particulier, c’est montrer ce qui subsiste de l’humanité des êtres quand tout est fait pour la nier. Je reste fidèle à cette pensée de Rabbi Nahman de Braslav : « Plus les temps seront durs, plus notre rire sera fort ».</em></p> <p>  </p> <p> <em>Mohamed Kacimi</em></p> <p>  </p> <p> <img alt="Flagrant-delit-de-fou-rire_940x705" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/19769/flagrant-delit-de-fou-rire_940x705.jpg"></p> <p> ----------------------------------------------------------------------------------</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> Distribution<strong> : </strong>LAYLA METSSITANE, MIREILLE DELCROIX, SID AHMED AGOUMI, PIERRE BOUREL</p> <p>  </p> <p> mise en scène ARMAND ELOI</p> <p> <em>collaboration artistique</em> <em>SONIA LEDOUX</em></p> <p>  </p> <p> Scénographie Emmanuelle Sage</p> <p> Lumières Rodolphe Hazo</p> <p> Céation sonore Jordan Allard</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> Une coproduction du Théâtre du Passeur, de Ma Bonne Compagnie, du Théâtre Ducourneau d’Agen, du Théâtre Georges Leygues de Villeneuve-sur-Lot, et du Liburnia à Libourne, avec le soutien du Centre Culturel des Carmes à Langon, de l'ADAMI et de la SPEDIDAM. Le Théâtre du Passeur est subventionné par le Conseil Général de Gironde.</p> <p>  </p> <p>  <img><img alt="Adami_logo_baseline" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/25077/Adami_Logo_baseline.jpg"> <img><img>      <img alt="Logo_spedidam-1" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/25166/logo_spedidam-1.jpg"><img alt="Logo_copie_privee_rose" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/25165/logo_copie_privee_rose.jpg"></p> <p>  </p> <p> ----------------------------------------------------------------------------------</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <u>L’auteur : MOHAMED KACIMI</u></p> <p>  </p> <p> <img alt="Image" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/24461/Image.jpg"></p> <p>  </p> <p> Il est né en 1955 à El Hamel, ville des hauts plateaux d'Algérie, dans une famille de théologiens.</p> <p> Adolescent, il découvre Rimbaud et les surréalistes, et décide d’écrire en français. Après des études de littérature française à l’Université d’Alger, il s'installe à Paris en 1982. Il publie des traductions avec Bernard Noël et Eugène Guillevic, avant de sortir en 1987 son premier roman, <em>Le Mouchoir</em>. Des essais, un second roman (<em>Le Jour dernier</em>) ainsi que de courts récits autobiographiques sur son enfance à El Hamel paraissent chez Autrement, Balland ou Gallimard, avant qu'il ne se tourne vers l'écriture théâtrale.</p> <p> Sa pièce <em>1962</em>, Prix Lugano du théâtre, est accueillie par Ariane Mnouchkine au Théâtre du Soleil, et <em>La Confession d'Abraham</em>, écrite lors d’un séjour au Sinaï, fait l'ouverture de la saison 2002 du Théâtre du Rond-Point. Il a également signé l'adaptation de <em>Nedjma</em>, le roman de Kateb Yacine, au Studio de la Comédie Française la même année. Il reçoit en 2005 le Prix SACD de la francophonie.</p> <p> Il est actuellement Délégué général d'Écritures Vagabondes, association qui organise notamment des résidences d'écriture internationales. Mohamed Kacimi anime plusieurs ateliers d’écriture autour des thèmes de la Genèse à Nancy, Saint Denis, Stains et Dreux. En tant que journaliste, il collabore à <em>Actuel</em>, <em>Le Monde</em>, pour lequel il a réalisé un reportage au Yémen, et France Culture.</p> <p> Mohamed Kacimi est également l’auteur d’une encyclopédie du Monde arabe pour les enfants, parue aux éditions Milan en 2001.</p> <p>  </p> <p> <em>Terre sainte</em>, publié à L’Avant-Scène Théâtre (Coll. des Quatre Vents), a reçu la mention spéciale du jury du Grand Prix de littérature dramatique 2007.</p> <p>  </p> <p> ----------------------------------------------------------------------------------</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <u>L’équipe artistique</u></p> <p>  </p> <p> <strong>Layla Metssitane – </strong><em>Imen</em></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Image" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/23003/Image.jpg"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> Après la régularisation de ses papiers d’identité vers l’âge de 15 ans en France, elle participe à un stage de théâtre au Centre Dramatique National de Dijon animé par Jacques Fornier. En 2004, elle obtient le concours de l'Ecole du Palais National de Chaillot à Paris (direction : Ariel Goldenberg)
Plus tard, elle travaille sous la direction de metteurs en scène singuliers (Anne Delbée, Gabriel Garran, Philippe Adrien, Jacques Vincey, Marcel Bozonnet, Mouss Zouheiry, Xavier Carrar...) des oeuvres poétiques, classiques et contemporaines telles que Le Songe d’une nuit d’été de Shakespeare, Partage de Midi de Claudel, Andromaque et Phèdre de Racine, Antigone de Sophocle, Arthur Adamov, Madame de Sade de Y. Mishima..
Elle réalise sa première mise en scène à la scène nationale de Fort-de-France en 2007 puis à l’UNESCO en 2009 intitulée Palabre en négritude autour d’Aimé Césaire et autres poètes de la négritude (Senghor, Damas, Rimbaud, Lautréamont...) 
En 2010, elle collabore avec Edgar Morin, sociologue et philosophe dans le cadre de rencontre-poétique sur le thème de l'Altérité et en 2011, elle monte Haute surveillance de Jean Genet à l'occasion du centenaire du poète.
Elle adapte - met en scène et interprète - le roman Stupeur et tremblements d'Amélie Nothomb (Grand Prix du Roman de l'Académie Française 1999) au Festival d'Avignon OFF puis à Paris au Théâtre du Petit Hébertot. Le spectacle est en tournée internationale depuis 2012 (sélectionné par la Fondation des Alliances Françaises).
Depuis deux ans, elle tourne au cinéma et à la télévision en Europe et dans les pays du Maghreb.</p> <p> En 2013 elle joue Shéhérazade dans Les 1001 Nuits docu-fiction ARTE.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Mireille Delcroix - </strong><em>Alia</em></p> <p>  </p> <p> <img alt="2687_7" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/20573/2687_7.jpg"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> Mireille Delcroix est formée au cours Raymond Girard puis au Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique.Elle travaille avec la compagnie Renault Barrault dans « Zadig », « Le soulier de satin », « Rhinocéros », « Les Strauss », « Antigone », « Les nuits de Paris », « L’amour de l’amour », puis sous la direction de Jean Pierre Bouvier « HenriIV », « Don Juan », « Don Quichotte », et sous celle de Denis Llorca, « Notre dame de Paris », « Oncle Vania », « Le Saint prince », « Les 7 Jours de la Bible », « Les Chevaliers de la Table Ronde », « Le songe d’une nuit d’été », « Les Misérables », « Roméo et Juliette », « La Mégère apprivoisée ». Elle travaille également avec Raymond Rouleau, Jean-Pierre Granval, Arlette Bonnard... Plus récemment on la retrouve dans « Comme en 14 » mise en scène d’Yves Pignot , « Une comète à Cuba » mise en scène de Serge Sandor, et « Galimatias » mise en scène de Patrick Floersheim.</p> <p> On la voit dans de nombreuses fictions télé : « Messieurs les jurés », « la crim’ », « section de recherche », etc…</p> <p> Elle prête également sa voix à des comédiennes comme Maggie Smith, L. Scott Calwell, Sandy Martin…</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Sid Ahmed Agoumi – </strong><em>Yad</em></p> <p>  </p> <p> <img alt="89243_3" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/19775/89243_3.jpg"></p> <p>  </p> <p> Né en 1940 en Algérie, Sid Ahmed Méziane fréquente les bancs de l'école coranique et s'imprègne parallèlement de la culture française. Devenu Sid Ahmed Agoumi, il débute dans les années 60, touchant avec la même énergie, au théâtre à la télévision ou encore au cinéma (il a joué dans plus de 50 films). Il a également dirigé la maison de la Culture et du théâtre à Tizi Ouzou ainsi que le théâtre National algérien.</p> <p> Installé en France, Agoumi poursuit une carrière de comédien au théâtre et au cinéma. Il a notamment prêté sa voix à Jean Sénac,Mouloud Feraoun, Rachid Mimouni, Benamar Mediene et Kateb Yacine (Nedjma). Récemment, on a pu le voir au cinéma dans « L’italien » d’Olivier Baroux, « Les Cinq Parties du Monde » de Gérald Mordillat, et « Un beau jour » de Hervé Feiberger. Au théâtre, il a notemment interprété « Maintenant ils peuvent venir » d’Areski Mellal sous la direction de Paul Desveaux.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Pierre Bourel – </strong><em>Ian </em>et<em> Amin</em></p> <p>  </p> <p> <img alt="411319_4" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/19774/411319_4.jpg"></p> <p>  </p> <p> Ses débuts au Conservatoire national de Rouen lui permettent rapidement de partir en Russie pour apprendre, sous la direction d'Anton Kouznetsov , la formation d'acteur selon le système Stanislavski. Il apprend la langue russe et participe aux créations du Théâtre Drama National Académique de Saratov.</p> <p> Deux années plus tard, c'est à l'Ecole supérieure de théâtre de Bordeaux Aquitaine du TNBA de Bordeaux, sous la direction de Dominique Pitoiset , que sa pratique va continuer à s'épanouir aux contacts de grands noms du théâtre contemporain : Nuno Cardoso, Fadhel Jaïbi, Catherine Marnas, Declan Donelan... </p> <p> Il joue de 2009 à 2010 dans plusieurs créations mis en scène par Dominique Pitoiset (<em>Merlin ou la terre dévastée</em> ; <em>Penthesilée, à bout de souffle).</em></p> <p> Pierre Bourel met en scène son premier spectacle au TnBA, <em>Ivan Karamazov, </em>qu'il présente au Festival d'Avignon en 2010 et en tournée 2011/2012... en France et à l'étranger.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Armand Eloi, metteur en scène</strong></p> <p>  </p> <p> <img alt="176269_5" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/19773/176269_5.jpg"></p> <p>  </p> <p> Né en Belgique, Armand Eloi arrive à Paris après des études de lettres et, après un an au Cours Florent, suit une formation de comédien à la rue Blanche (ENSATT). Il devient metteur en scène en 1993 avec la création de <em>La Chunga</em> de Mario Vargas Llosa, à l'occasion de laquelle il crée sa compagnie Le Théâtre du Passeur, installée en Aquitaine. Tout en jouant sous la direction d'André Loncin (<em>Y a-t-il des tigres au Congo ?</em>), Stéphanie Chévara (<em>Liliom</em>) ou Panchika Velez (<em>Estrella</em>), il met notamment en scène Synge (<em>Les noces du Romano</em>), Brisville (<em>L'Antichambre</em>), Ghelderode (<em>La balade du grand macabre</em>), Feydeau (<em>Mais n'te promène donc pas toute nue!</em>) ou Tim Rescala (<em>Perroquin</em>). Sa nouvelle mise en scène de <em>La Chunga </em>a été créée à Agen en novembre 2005 et  reprise à Paris au Théâtre 13 en novembre et décembre 2006. Il a créé en 2008 à la Scène Nationale Bayonne – Sud-Aquitain<em> L’atelier d’écriture</em> de David Lodge dont il est également l’un des traducteurs, spectacle très remarqué au Off d’Avignon en 2009. En 2010 il crée <em>Aristides</em> de Béatrice Hammer, évoquant l’action du Juste Aristides de Sousa Mendes qui sauva près de 30000 personnes à Bordeaux en juin 1940 en leur procurant des visas pour le Portugal.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Sonia Ledoux, collaboratrice artistique</strong></p> <p>  </p> <p> <img alt="Image" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/20823/Image.jpg"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> Sonia Ledoux s’est formée au Cours Florent après un parcours atypique (direction générale et artistique d’une société de Haute Joaillerie à Paris, rallye automobile, expéditions dans des tribus isolées, chargée de la Culture dans le 7ème arrondissement).</p> <p> En 2010, elle fonde « Ma Bonne Compagnie » et met en scène pour le festival Les Automnales à Paris : « Hedda Gabler » de H. Ibsen, et « Mujeres d’Almodovar »  à partir d’une adaptation de Clara Cirera (spectacle primé).En 2011,  elle met en scène au Festival OFF D’Avignon « Les Chinois » de M. Schisgal Elle assiste Laurent Natrella <strong>(</strong>Sociétaire de la Comédie Française), Anne Suarez, Véronique Vella<strong> (</strong>Sociétaire de la Comédie Française), et Suzanne Marrot à la mise en scène et dans les cours d’Art dramatique. En 2012, elle collabore à la mise en scène de Stéphane Valensi du « Ministre Japonais du Commerce extérieur » de M. Schisgal au Théâtre 13. Elle est professeur d’Art Dramatique au Cours Florent.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Emmanuelle Sage, scénographe</strong></p> <p>  </p> <p> <img alt="Sage" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/19942/sage.jpg"></p> <p>  </p> <p> Après des études de dessin aux Beaux-Arts de Paris, elle obtient en 1988 son diplôme de scénographie à l’ENSATT de Paris dite « Rue Blanche ». À partir de 1988, elle crée en Aquitaine, Poitou-Charentes, Paris et région parisienne, plus de quarante décors et/ou costumes pour le théâtre ou la danse, avec notamment : Patrick Collet, André Loncin, Maxime Bourotte, Jean Darie, Marie Rouvray, Patrick Henniquau, Jean- Jacques Faure, Gerry Defraine, Céline Caussimon, Jean-Louis Levasseur, Michel Mourterot, Philippe Martin, Alain Sabater, Stéphane Guignard, Bénédicte Lafond, Violette Campo, Sylvain Friedman, Raphaëlle Moussafir... Depuis sa création en 1993, elle scénographie tous les spectacles du Théâtre du Passeur.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Rodolphe Hazo, éclairagiste</strong></p> <p>  </p> <p> <img alt="Rodolphe_hazo" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/19941/rodolphe_hazo.jpg"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> Créateur-lumières. Il étudie les techniques du spectacle (son, lumière, décor) au STAFF de Nantes ; stage au CFPTS de Bagnolet. Technicien lumière sur les festivals d’Aix, Carcassonne, Grande Halle de la Villette.

En 1986, régies lumière et son dans le domaine institutionnel : ADS, Master Light, Forum Assistance, CQFD Vidéo, Extension Vidéo. A partir de 1989, il revient à la création théâtrale avec Le Petit Théâtre, ainsi que pour le Théâtre du Passeur, la Cie Françoise Pillet, la Cie Erzuli, la Cie Serge Tranvouez, la Cie Fa 7 : régie générale, création lumière et son, régie lumière et son de tournée. De 1990 à 1993 : régie générale du Festival international de la marionnette à Dives-sur-Mer. De 1993 à 1998 : direction technique et régie générale du Festival de Pierrefonds, proposant théâtre, jazz et musique classique.</p> <p>  </p> <p> <strong>Jordan Allard, concepteur son</strong></p> <p>  </p> <p> <img alt="Allard" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/20622/Allard.jpg"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> Il suit des études de "<strong>Réalisateur son</strong>" à l'Ensatt (École nationale supérieure des arts et techniques du théâtre). Durant ces 3 années d’études pratiques et théoriques à Lyon, il explore non seulement les techniques du son mais surtout une approche novatrice de l’écriture sonore, de sa mise en forme et de la mise en scène de la matière sonore. Dirigé par Daniel Deshays, le cursus vise principalement à « <em>Comprendre que l’agent le plus discret agit sur les machines à ressentir les rêves et atteint la grande diversité des spectateurs assemblés, au tréfonds de leur sensibilité.</em> » En Juillet 2011, il conclut cette formation par la création sonore de la pièce de théâtre « <strong><em>Lyon-Kaboul-Thèbes</em></strong> » de Matthias Langhoff. Par la suite, il conçoit le son de « <strong><em>Où j’ai laissé mon âme</em></strong> », mis en scène par François Duval et adapté du livre éponyme de Jérôme Ferrari.  Puis il travaille pour un spectacle de mime contemporain intitulé « <strong>Il y a</strong> ». Cette réalisation, de par la nature de la forme lui permet d’appréhender le travail sonore différemment.</p> <p> En l’absence de texte, le son tient une place essentielle et interagit directement avec le mime.</p>

À quoi servira la collecte

<p> Produire un spectacle dans le "Off" en Avignon, dans des conditions professionnelles qui permettent à la fois de rémunérer les comédiens et techniciens et de donner les meilleures chances de longue vie au spectacle, est un investissement très lourd. Vos dons viendront compléter les subventions, coproductions et soutiens qui nous encouragent à tenter l'aventure : Ma Bonne Compagnie, Théâtre Ducourneau/Ville d'Agen, Théâtre Georges Leygues/Ville de Villeneuve-sur-Lot, Le Liburnia/Ville de Libourne, Les Carmes/Ville de Langon, Conseil Général de la Gironde, ADAMI, SPEDIDAM.</p> <p>  </p> <p> <img alt="Vouloir-argent" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/19778/vouloir-argent.jpg"></p>

Contreparties

1 €

  • 1 contribution
Notre reconnaissance et notre gratitude.

10 €

  • 9 contributions
Notre reconnaissance, notre gratitude, et un reçu fiscal (déduction : 66% de votre don dans une limite de 20% du revenu net imposable.)

30 €

  • 17 contributions
Une affiche dédicacée du spectacle et un reçu fiscal (déduction : 66% de votre don dans une limite de 20% du revenu net imposable.) Et toujours notre reconnaissance et notre gratitude !

50 €

  • 24 contributions
UNE PLACE POUR LE SPECTACLE, une affiche dédicacée de Terre Sainte et un reçu fiscal (déduction : 66% de votre don dans une limite de 20% du revenu net imposable.) Et toujours notre reconnaissance et notre gratitude !

100 €

  • 12 contributions
DEUX PLACES POUR LE SPECTACLE, une affiche dédicacée de Terre Sainte et un reçu fiscal (déduction : 66% de votre don dans une limite de 20% du revenu net imposable.) Et toujours notre reconnaissance et notre gratitude !

300 €

UN VERRE AVEC LES ARTISTES APRES LA REPRESENTATION, DEUX PLACES POUR LE SPECTACLE, une affiche dédicacée de Terre Sainte et un reçu fiscal (déduction : 66% de votre don dans une limite de 20% du revenu net imposable.) Et notre immense reconnaissance et notre gratitude éternelle !

500 €

  • 2 contributions
QUATRE PLACES POUR LE SPECTACLE, UN VERRE AVEC LES ARTISTES APRES LA REPRESENTATION, une affiche dédicacée de Terre Sainte et un reçu fiscal (déduction : 66% de votre don dans une limite de 20% du revenu net imposable.) Et notre immense reconnaissance et notre gratitude éternelle ! -------------------------SPECIAL ENTREPRISES : un reçu fiscal (déduction : 60 % du montant du don dans la limite d'un plafond de 0,5 % du chiffre d'affaires annuel.)

1 000 €

QUATRE PLACES POUR LE SPECTACLE, UN DINER AVEC LES ARTISTES APRES LA REPRESENTATION, une affiche dédicacée de Terre Sainte et un reçu fiscal (déduction : 66% de votre don dans une limite de 20% du revenu net imposable.) Et notre immense reconnaissance et notre gratitude éternelle ! -------------------------SPECIAL ENTREPRISES : un reçu fiscal (déduction : 60 % du montant du don dans la limite d'un plafond de 0,5 % du chiffre d'affaires annuel.)

Faire un don

Je donne ce que je veux