« JUDE »...

est un projet musical conçu comme un savant mélange entre chanson réaliste, arrangements électroniques délicats et harmonies acoustiques.

A l’origine de ce projet se trouve Judith Caen, auteur et interprète de textes tantôt virevoltants, tantôt mélancoliques mais toujours avec le souci de faire "sonner" la langue française.

Elle a été accompagnée par de nombreux artistes pour collaborer à la création de ses morceaux : Cédric Lorans et Franck Nicolai, Yann Volsy (musique de film, univers enfantin et sensible),Gloumi, Leeroy (rap et Ex-Saian Supa Crew), Molecule (musique électronique, dub et techno), Louis Gaston (folk/blues) Fernando Favier (street art)

LE GROUPE...

En 2012 Arsène Lefrançois prend les rênes de la direction musicale du projet avec comme ambition de le faire exister sur scène. Il réécrit l'ensemble des arrangements des morceaux pour qu'ils puissent être réellement interprétés sur scène.

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Si l’essence d’origine des morceaux est préservée, Arsène apporte une nouvelle dimension acoustique en faisant participer au jeu live de vrais instrumentistes :

Au piano et choeur: Maylis Collet.

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Au violoncelle et choeur: Elsa Rahmoun.

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Au Ukulélé, Glockenspiel, basse, et machines: Dam's Perrollaz.

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De cette renaissance ,sous la forme « classique et familiale », d'un groupe naît le désir de réaliser un premier EP. Nous sommes sur la dernière ligne droite....

Voici en exclusivité, "PAN" qui figurera également sur notre premier EP.

(En précisant que les morceaux en écoute sur la page, sont à l'état de maquette et que l'on travaille actuellement d'arrache-pied au Studio 31dB pour les finaliser.)

Et maintenant... Prêtez l'oreille à l'enfant qui, un beau matin retrouve sa petite dent de lait où il l'avait laissée....mais pas de pièce sous l'oreiller...

ET « POSTHUME » DANS TOUT ÇA ?

Je tiens d'abord à saluer les musiciens qui se sont donnés 'coeur et âme' à mes côtés.

Voici la "belle liste" des musiciens qui ont prêté leur talent à l'enregistrement de "Posthume"

Magalie Bardou : Clarinette

Dom Brunier : Violoncelle

Arnaud Chapatte : Trompette

Dorothé Deschamp : Flûte

Florent Delahaies : Violon

Carmen Lefrançois : Saxophones

Jules Lefrançois : Trombone & tuba

Pascal Pantel : Euphonium

Le morceau est caractérisé par une écriture ciselée et juste. Une dramaturgie claire qui mêle avec un parfait équilibre sourire, cynisme et lyrisme.

"Posthume" rend hommage à ces Artistes qui ont créé... Se sont battus... Mais que l'on n'a pas su entendre de leur vivant.

ils ont passé la frontière de la vie et observent, de l’au-delà, la reconnaissance qui leur est dédiée à titre « Posthume ».

C’est l’ironie du sort qui prédomine dans la chanson. L'histoire n'est pas sinistre mais traitée avec un humour acerbe et teinté de colère.

UN EXTRAIT...

J’suis a six pieds sous terre

On m’a enterré hier

J’étais artiste méconnu

J’ai galéré j’me suis battu

J’vivais dix mètres carrés

J’étais sûr que j’allais percer

Posthume reconnu Posthume

Et moi au fond du trou me consume d’amertume

J’suis à six pieds sous terre

Dites bien à ma mère

Ma vie de Saltimbanque

N’avait rien d’une planque

J’ai pas lâché mon rêve

A la guerre et sans trêve …..

L'ambiance générale de la chanson et les arrangements d'Arsène Lefrançois évoquent "la troupe", une sorte de déambulation circassienne qui a tout de suite parlé à David Hugonot Petit, réalisateur du clip.

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Sensible à ce cette dimension romanesque de la vision de la vie de l’artiste DHP s'est senti immédiatement touché par ce titre. Le fil rouge qu'il imagine pour l’écriture du clip prend la forme d'un hommage aux artistes de l'ombre, à ces inconnus qui ne seront ovationnés qu'une fois sous terre.

QUAND DAVID ECRIT SUR "POSTHUME"...

"Cette chanson est un cri amer, adressé aux vivants pour les mettre face à l’ironie du destin et aux turpitudes infligées à la vie d’artiste.

Mais c’est surtout un hymne aux artistes méconnus et inconnus, une ode aux créateurs de l’ombre et plus largement de tout ceux qui ne connaitront jamais la gloire.

C’est cette piste que je veux explorer, développer. Le clip se veut un prolongement de la chanson : un hommage aux artistes inconnus."

LE CLIP....

Troupe hétéroclite de saltimbanques, musiciens, danseurs, gens du cirque et artistes en tout genre...

C'est au milieu de ces artistes, dans un décor rococo de cabaret à niveaux multiples que nous retrouverons Jude déambulant dans une successions de scènes théâtralisées tel le porte- parole des artistes de l'au-delà.

Projections vidéo et ombres chinoises viendront compléter ce tableau et interagiront avec les protagonistes. Le décor pourra être mobile et on intégrera l’envers du décor au décor.

Et puisqu'il s'agit d’hommage, l’univers de ce film sera lui aussi à l’image de la chanson et de ses revendications : on revient à l’origine des techniques du film en favorisant les “effets normaux” à la Méliès, mais en modernisant la scénographie pour se diriger vers une esthétique proche de Burton, de Woodkid.

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Des petits plans- séquences en mouvement seront interrompus par des plans fixes. Les actions des participants viendront parfois souligner un propos scandé. La découverte progressive du décor et l’apparition programmée des artistes composant la troupe feront voyager le spectateur de surprise en surprise.

Tout cela se terminera en apothéose dans une grande marche festive et funèbre de tous ces saltimbanques et musiciens guidés par Jude. Sorte de grand final où l’on retrouvera tout le monde, avant de replonger dans les ténèbres, comme si ce grand spectacle bruyant et revendicatif n’avait en fait été qu’un rêve.

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Faute de vous donner à écouter "Posthume" que nous désirons vous offrir en Image...

Voici "Rikiki" que vous retrouverez aussi, sur notre EP en version "def", aboutie et mixée...

Un clip pour "Posthume"