JOKLE - Collectif Artistique enragé

<p> <strong>                                               LE COLLECTIF</strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>JOKLE</strong> <strong>(à prononcer « yokleuh ») est un collectif artistique enragé pour tous les amis de la subversion</strong>. C’est un cri de guerre venu du plus profond de nos entrailles, une chorégraphie de bouches rageuses qui hurle son nom (JOKLE veut dire « je prends » en kazakh) pour déferler sur les scènes qui croisent notre route.</p> <p>  </p> <p> De cette énergie brute est née notre première mise en scène : une infernale <em>Furie des Nantis</em> que JOKLE a empruntée à Edward Bond pour la présenter au festival de Piano di Sorrento (Italie), au théâtre de la Cité Internationale et au théâtre Nanterre-Amandiers au printemps 2015.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p>                                Curieux ? Ouvrez grands les mirettes ! </p> <p>  </p> <p> <iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="304" src="//cdn.embedly.com/widgets/media.html?src=https%3A%2F%2Fplayer.vimeo.com%2Fvideo%2F140521979&amp;wmode=opaque&amp;url=https%3A%2F%2Fvimeo.com%2F140521979&amp;image=http%3A%2F%2Fi.vimeocdn.com%2Fvideo%2F537004681_1280.jpg&amp;key=ff2702755d9749cda571c6d6c2f3eb46&amp;type=text%2Fhtml&amp;schema=vimeo" width="540"></iframe></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> Le collectif rassemble <strong>24 membres, </strong>essentiellement parisiens. Au sein de la tribu, chacun peut choisir de mettre en scène, de jouer, de costumer, de communiquer, de pratiquer la gymnastique aux agrès ou de tout faire en même temps. JOKLE est une construction à perpétuité.</p> <p>  </p> <p> <em>    Mais JOKLE est dévorant… pour le nourrir il faut créer encore et toujours !</em></p> <p>  </p> <p> Alors, tels les 24 mousquetaires, JOKLE repart à l’aventure à travers (et ce n’est pas <strong>vain !) <u>4 NOUVELLES CRÉATIONS</u>.  Oui, vous avez bien lu ! </strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>                                               LES PROJETS</strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> - <strong><em>LES ENIVRÉS, d'Ivan Viripaev :</em></strong></p> <p>  </p> <p> - <strong>Mise en scène</strong> : Noé Lovie et Victor Inisan-Le Gléau / <strong>Assistanat à la mise en scène</strong> : Ivan du Pontavice.</p> <p>  </p> <p> - <strong>Avec</strong> : Éloise Lesage, Clotilde Campagna, Salomé Dugraindelorge, Annaëlle Toussaere, Pauline Olmedo, Ruben Badinter, Samuel Bataille, Carmen Bailly, Lucie Liu, Manon Chapelle, Nina Ayachi, Laureline Maurer, Noé Lovie, Victor Inisan-Le Gléau, Ivan du Pontavice.  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> « Que se dit-on lorsque, la nuit, l’alcool prend le dessus sur la raison ?</p> <p>  </p> <p> Les quatorze personnages des <em>Enivrés</em>, certains en couple, vagues amis ou encore vastes inconnus rencontrés au détour des pavés, se lient à jamais par une soirée d’ivresse. De tous milieux et de tous âges, ils se réunissent, se complètent et s’opposent en digressant sur Dieu, l’amour et ses affres mystérieuses pour composer, la bouteille à la main, des vérités passionnées et trébuchantes, à l’envers d’un monde assourdi par une parole vide de sens.</p> <p>  </p> <p> Jouer l’ivresse, tel est le défi auquel s’attaque JOKLE avec l’oeuvre d’Ivan Viripaev, jeune auteur russe révélé en France par Galin Stoev — et ce sans jamais tomber dans la caricature ou le jugement, afin de s’insurger contre une réalité désormais difficile à appréhender quand on est encore un peu sobre... »</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="12318536_10207067447916297_1209145675_o-1448917342" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/256317/12318536_10207067447916297_1209145675_o-1448917342.jpg"></p> <p>  </p> <p> Ci-dessus les deux metteurs en scène sexy de cette création collective (Noé Lovie à gauche et Victor Inisan-Le Gléau à droite) : après avoir vu leurs profils hollywoodiens, vous viendrez à coup sûr.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Première résidence les 4, 5 et 6 décembre ! Représentations en octobre 2016.  </strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>      </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> - <strong><em>SNIF SNIF BITTERSWEET</em></strong></p> <p>  </p> <p> -<strong> Mise en scène</strong> : Victor Inisan-Le Gléau / <strong>Assistanat à la mise en scène</strong> : Nina Ayachi / <strong>Scénographie </strong>: Laureline Maurer / <strong>Costumes </strong>: Noé Quilichini.</p> <p>  </p> <p> -<strong> Avec </strong>: Pauline Olmedo, Adrien Madinier, Icare Bamba, Giulia De Sia.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> « Précairement installés sur une côte inconnue, isolés des lumières de la ville assourdissante et frénétique où règne le chaos, deux jeunes amants reclus sont brutalement assaillis par la  violence urbaine d’un dealer millionnaire et de son amante cocaïnomane, pour qui tout s’achète et tout se vend — surtout les hommes. </p> <p> Se joue alors un brutal affrontement entre les ambitions et les intérêts des deux couples : de l’aube qui point sur la plage où rêve le jeune romantique, au crépuscule qui signe la ruine de chacun, ce concert corrosif, saturé de senteurs de whisky, d’embruns iodés et de feux sataniques, se déploie entre quatre voix plus irrévocables les unes que les autres, se débattant entre elles à la recherche d’une harmonie intangible.</p> <p>  </p> <p> Inspirée par la lecture de <em>L’Echange</em> de Claudel, c’est une vaste écriture de plateau et d’étrangéisation des corps, à la croisée du quotidien et du surréel, qui est engagée. »</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="12333233_10207067421515637_15341954_o-1448917259" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/256316/12333233_10207067421515637_15341954_o-1448917259.jpg"></p> <p>  </p> <p>               </p> <p> Quatre dates sont déjà prévues : à vos agendas ! <strong>Le 26 mars à l’ADEC de Rennes et les 28, 29 et 30 avril au Théâtre Kantor de l’ENS de Lyon. Il y aura aussi des représentations parisiennes, notamment dans le cadre du festival Rideau Rouge.  </strong></p> <p>         </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>                                     </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> -  <strong><em>GUERRE</em>, de Lars Norén</strong></p> <p>  </p> <p> -  <strong>Mise en scène</strong> : Samuel Bataille / <strong>Assistanat à la mise en scène </strong>: Ivan du Pontavice et Noé Lovie.</p> <p>  </p> <p> -  <strong>Avec </strong>:<strong> </strong>Clara Christophe, Ivan Du Pontavice, Fanny Dumontet, Noé Lovie, Manon Chapelle.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="12091184_10207579346226820_8761000292412010125_o-1448915591" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/256309/12091184_10207579346226820_8761000292412010125_o-1448915591.jpg"></p> <p>  </p> <p>                                                      Samuel Bataille</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> « <em>Guerre</em>, c’est l’histoire d’une famille déchirée. Une mère et ses deux filles tentent de survivre dans un monde barbare, où brutalité et violence ont creusé leur place dans un quotidien amer. Les personnages se démènent, se débattent, enfermés dans l’espace clos d’une maison. La mère et ses filles tentent de reconstruire un équilibre précaire autour de la figure du père parti. Un jour pourtant il est de retour, aveugle. </p> <p> Cette bacchanale moderne fait échos aux violences de Bosnie, de Tchétchénie, du Rwanda, mais elle nous écrase surtout sous le poids d’une douleur universelle : à travers cette pièce, il ne s’agira pas de chercher une vérité naïve sur la guerre, mais plutôt de chercher à interroger un monde inexplicable, et questionner, avec la même innocence et la même incompréhension que celles de la petite fille, les conditions d’un tel anéantissement… »</p> <p>  </p> <p> N’ayez pas peur, on vous laisse entre de bonnes mains… </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="12318143_10207067461596639_775691498_o-1448917540" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/256320/12318143_10207067461596639_775691498_o-1448917540.jpg"></p> <p>  </p> <p>          </p> <p> <strong>La première représentation est prévue pour avril ! </strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> -  <strong><em>LA GROTESQUE ET G</em></strong><strong><em>É</em></strong><strong><em>N</em></strong><strong><em>É</em></strong><strong><em>REUSE HISTOIRE DE FIRMIN GAUTIER</em></strong></p> <p>  </p> <p> -  <strong>Mise en scène et jeu</strong> : Evangélia Pruvot, Camille Bernaudat et Carmen Bailly.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  « La palpitante et joyeuse histoire de Firmin Gautier est un projet polymorphe et polygame : trois femmes pour Firmin Gautier, trois comédiennes pour de la marionnette, des combats à l’épée, de l’accordéon, du théâtre d’aventure, de la magie, de la trompette et des éclats de rire. C’est aussi un projet itinérant et évolutif, puisque tout l’été il fera son bonhomme de chemin sur les routes de France pour rallier les festivals d’arts de rue et s’enrichir de chaque rencontre. En partant ainsi, scène sous le bras et sourire aux lèvres pour s’installer sur les places publiques, la chevaleresque et inédite histoire de Firmin Gautier veut être en prise directe avec les spectateurs et revenir aux fondements du théâtre : l’émotion partagée, la complicité et le plaisir du jeu. »  </p> <p>                                              </p> <p>  </p> <p> <img alt="12298121_140607406300984_535326213_o-1448915463" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/256308/12298121_140607406300984_535326213_o-1448915463.jpg"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Les premières représentations auront lieu dans le cadre du festival Acte &amp; Fac, en avril ! </strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p>