La Générale Pompidou ou la vraie fausse histoire des premières dames de la Vème

La Générale Pompidou ou la vraie fausse histoire des Premières dames de la Vème. Une comédie sur le pouvoir. De 1981 à 2012, à chaque changement de président, ou lorsque l'heure est particulièrement grave, se déroulent de drôles de rencontres entre Claude, Anne-Aymone, Danielle et Bernadette sous l'oeil de la fidèle gouvernante Linotte, rentrée au service du Palais sous Mme De Gaulle.

Visuel du projet La Générale Pompidou ou la vraie fausse histoire des premières dames de la Vème
Réussi
32
Contributions
30/11/2012
Date de fin
2 630 €
Sur 2 500 €
105 %

La Générale Pompidou ou la vraie fausse histoire des premières dames de la Vème

<p> <strong>La Générale Pompidou</strong></p> <p> <em>ou la vraie fausse histoire des premières dames de la Véme</em></p> <p> Une comédie sur le pouvoir.</p> <p> L’action se déroule en 4 temps plus un épilogue.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> Dans La Générale Pompidou, il est question des femmes, de la solitude, de la folie du pouvoir, de la notion du rôle à jouer, du rang à tenir. Du rôle de « Femme de ».</p> <p> Il est aussi question d’amour, d’abandon, de résistance, de tenir à tout prix et de faire face.</p> <p> Une des notions importantes dans ce spectacle est le temps qui passe, qui s’enfuit…</p> <p> Ces Premières Dames n’ont pas de vraie place dans la hiérarchie officielle de la Ve République. Elles sont pourtant représentantes à part entière de notre histoire, elles sont chacune une image de la république française et de ses traditions. Leurs maris ont occupé la vie politique française pendant 50 ans. Elles ont été leur soutien comme leur alibi.</p> <p> J’ai puisé dans les biographies de chacune de ces Premières Dames ce qui en faisait des femmes publiques. Il y a ce goût que j’ai de jouer avec le « vrai faux ». Les anecdotes dont j’alimente le récit ont toutes été vérifiées et sont publiques. La mise en situation est évidemment fictive, mais dans chaque tableau, je tente de restituer l’évolution et la confrontation du pouvoir.</p> <p>  </p> <p> Au côté des Premières dames, il y a la fidèle Linotte, gouvernante au Palais depuis Madame de Gaulle. Elle est la mémoire : le pouvoir change, elle reste fidèle au poste. Elle évolue avec son temps jusqu’à sombrer ou s’élever dans une croyance folle et renoue avec son passé ancestral à travers l’utilisation de sa langue d’origine : le breton.</p> <p>  </p> <p> Tout dans la mise en scène, le jeu, les costumes, le maquillage, la scénographie, la lumière doit nous faire croire à la réalité de cette fiction.</p> <p>  </p> <p> Le Palais est évoqué par des éléments précis, identifiant l’époque de chaque tableau.</p> <p>  </p> <p>  </p> <iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="281" src="http://www.youtube.com/embed/WASAkbr1EwI?wmode=opaque&amp;fs=1&amp;feature=oembed" width="500"></iframe>     <p>  </p> <p> La Générale Pompidou</p> <p> Quatre séquences pour quatre formes de comédies illustrant dans leur style et leurs propos, chacune des époques évoquées plus un épilogue.</p> <p>  </p> <p> 1981 : Une comédie à l’italienne Une nuit de Varennes de boulevard</p> <p> La Gauche arrive au pouvoir, Paris fait la fête, le peuple a gagné, l’euphorie gagne la rue.</p> <p> Pendant ce temps la Droite, mortifiée, agite le chiffon rouge. Le deuil des idées</p> <p> réactionnaires et le triomphe de la révolution. L'atmosphère du printemps est électrique.</p> <p> Dans ce tableau, il est question de traiter la folie de 1981, ce fol espoir d’une partie de la population « Nous allons planter des nouveaux soleils » (Barbara), et cette déroute d’une autre partie qui n’a jamais pu imaginer que le pouvoir puisse lui échapper « les chars russes sont aux portes de Paris ».</p> <p>  </p> <p> Anne Aymone aidée de la fidèle Linotte, gouvernante au Palais depuis Madame de Gaulle, empaquette fébrilement les trophées de chasse de son mari, Valery, Président sortant. Claude se présente au Palais pour lui proposer son aide et rapprocher les amies fâchées. Le temps est à la solidarité. Claude invite Anne Aymone à se réconcilier avec Bernadette. À peine l’amitié scellée entre les trois femmes, Danielle triomphante, fait son entrée...</p> <p>  </p> <p> <img alt="0409_red" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/161/0409_red.jpg"></p> <p>  </p> <p> 1995 : la comédie du désenchantement La fin d'un règne</p> <p> La Droite revient. Le temps de la désillusion et des confidences. Une comédie plus amère où les Premières Dames, suivant l'exemple du Président sortant et malade, se confient sur leurs parcours respectifs et leurs blessures profondes. Les vicissitudes du pouvoir laissent apparaître la solitude inhérente à la fonction de Première Dame et les similitudes de caractères de leurs chers époux.</p> <p>  </p> <p> Danielle prépare un mojito d'après la recette que son ami Fidel lui a donné. Cocktail prévu pour recevoir le retour triomphant de la « brochette réactionnaire » Claude, Anne Aymone et Bernadette.</p> <p>  </p> <p> 2002 : la comédie ubuesque Le choc : la droite contre l'extrême droite</p> <p> La France a honte. L’heure est à l’union sacrée pour lutter contre le Front National. Une comédie surréaliste où superstitions, visions, et tables tournantes vont restituer la bêtise de cet affrontement politique du deuxième tour.</p> <p> Bernadette a transformé le palais en chapelle ardente, inspirée par les visions de la fidèle Linotte qui a basculé dans un mysticisme breton. Bernadette a convoqué les Premières Dames pour créer un front de soutien à son mari contre les idées nauséabondes d’extrême droite...</p> <p>  </p> <p> <img alt="P1000173" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/162/P1000173.jpg"></p> <p>  </p> <p> 2007 : la comédie de la fin La comédie shakespearienne</p> <p> La Droite décomplexée a gagné. Un nouvel homme, une nouvelle forme de pouvoir se met en place « travailler plus pour gagner plus ». La fin d'un monde. Un temps meurt, un autre temps arrive......</p> <p> Chacune installée sur son trône, les Présidentes s’apprêtent à accueillir au Palais la toute nouvelle « jeune Première Dame ». Leur temps est fini mais elles tiennent encore leur rang.</p> <p> La fin d’un monde, la vieillesse, le temps qui s’enfuit. La parole de salon est renversée par un SMS.</p> <p>  </p> <p> <img alt="0470_red" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/163/0470_red.jpg"></p> <p>  </p> <p> 2012, la nouvelle comédie ou la comédie du retour: épilogue</p> <p> La gauche revient au pouvoir, guidée par un homme normal, pour une présidence normale, avec une vie normale.</p> <p> Valérie, compagne normale du Président normal pénètre dans le Palais hantée par la présence des ex-Premières Dames.</p>

À quoi servira la collecte

<p>  </p> <p> Nous avons le plaisir de présenter <i>La Générale Pompidou</i> en décembre à Strasbourg, au TAPS, et en Mars 2013 au théâtre 95 à Cergy-Pontoise. L'achat du spectacle couvre juste les salaires du plateau et le déplacement.</p> <p> <i>La Générale Pompidou</i> est un très beau spectacle, auquel nous croyons très fort. Pour poursuivre notre route sur la saison 2013-2014, nous devons organiser une représentation exceptionnelle dans un théâtre parisien le Lundi 10 Décembre, ce pour quoi nous sollicitons votre aide.</p> <p> Si les projets artistiques de la compagnie vont bien, nous sommes toujours dans une situation financière compliquée, ne bénéficiant d'aucune subvention pour le fonctionnement de la compagnie et les extras comme cette représentation exceptionnelle si importante pour la vente du spectacle.</p> <p>  </p> <p> Location d'une salle de spectacle à Paris : 1000 €</p> <p> Frais d'organisation (transport de décors, location de matériel...) : 500 €</p> <p> Forfaits et défraiements pour les répétitions : 1000€</p>

Contreparties

10 €

  • 6 contributions
Très grand remerciement sur notre page Facebook et inscription aux mails de Gaby Théâtre, et à la lettre d'information mise en place très prochainement.

30 €

  • 5 contributions
Contre-partie précédente + l'affiche du spectacle dédicacée par l'équipe .

50 €

  • 4 contributions
Contre-parties précédentes + la pièce dédicacée par l'auteur.

100 €

  • 3 contributions
Contre-parties précédentes + invitation au Show-case le 10 Décembre pour les 5 premiers donateurs OU invitation à la générale de La Générale Pompidou + un pot avec l'équipe.

200 €

  • 5 contributions
Contre-parties précédentes + une invitation aux deux prochaines créations de la compagnie

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