Tailleur Pour Dames

<p> <img alt="Dsc_9633" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/22965/DSC_9633.jpg"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong><u>RÉSUMÉ DE LA PIÈCE</u></strong></p> <p>  </p> <p> Moulineaux est médecin, il est marié et il a découché ! Sa femme, Yvonne, s'en rend compte et demande des explications pour laver l'affront. Là dessus, Bassinet, un vague ami de Moulineaux, arrive pour lui demander un service, et ferait un alibi parfait s'il n'était pas si maladroit. Qu'importe, il a un petit entresol, ancien atelier de couturière, qui ferait une excellente garçonnière... si la belle mère de Moulineaux ne le voulait pas également, et si le mari de sa maîtresse ne venait pas, lui aussi, avec sa propre maîtresse... Emporté dans un tourbillon de quiproquos, de situations ubuesques, de femmes et de maris, tout ce petit monde va vivre les montagnes russes et un véritable enfer.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Dsc_961111" height="376" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/22968/DSC_961111.jpg" width="564"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <u><strong>NOTE D'INTENTION</strong></u></p> <p>  </p> <p> Avec Tailleur pour Dames, Feydeau a écrit l’histoire d’un homme qui aime sa femme... mais aussi celle des autres. L’histoire d’un couple qui explose, se tord, se distend et ne peut ni ne veut se séparer puisque qu’ils s’aiment. Si pour Rabelais « le rire est le propre de l’homme », chez Feydeau, la drôlerie n’est que pour le spectateur car les personnages, eux, vivent de véritables tragédies. C’est un rire jaune orchestré par un maître du dialogue et des situations.</p> <p>  </p> <p> Loin de tout réalisme et de tout époque, nous proposons de mettre en lumière la lâcheté, la veulerie, la méchanceté, l’égoïsme et l’orgueil de l’Homme, sans lien avec le siècle de l’auteur car Feydeau a écrit une histoire intemporelle.</p> <p>  </p> <p> Dans ce sens, la scénographie est épurée et s’articule autour d’éléments modulables et légers. Le décor se compose de cinq portes mobiles et de panneaux drapés facilitant les changements rapides d’espaces et d’ambiance et permettant ainsi une pleine exploitation de la lumière tant dans la teinte que dans l’intensité.</p> <p>  </p> <p> Comme pour les éléments de décor, nous suivons les indications de costume données par Feydeau mais dans le même souci d’atemporalité. Les coupes sont volontairement transformées et tordues, les couleurs suivent les caractères des différents personnages.</p> <p>  </p> <p> En guise de maquillage, l’application du blanc de clown à tous les comédiens met également une forte distance entre réalisme et vraisemblance des âges ou des sexes.  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <u><strong>L'EQUIPE</strong></u></p> <p>  </p> <p> <img alt="Feydeau1" height="297" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/22663/Feydeau1.jpg" width="588"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Aurélie NOBLESSE</strong></p> <p> <strong>Rôle d’Yvonne</strong> « Où avez-vous passé la nuit ? »</p> <p>  </p> <p> <img alt="Dsc_9916" height="333" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/27386/DSC_9916.JPG" width="235"></p> <p>  </p> <p>  Aurélie intègre à 19 ans l’Ecole Claude Mathieu où elle travaille différentes disciplines théâtrales comme le clown, l’improvisation, le corps, la voix, le chant et l’interprétation autour des textes de Tchékhov, Racine, Feydeau, Novarina, Claudel, Hugo… Elle découvre la Commedia dell’arte avec la compagnie Le Théâtre du Hibou et se forme au théâtre de Guignol avec José Luis Gonzales. En 2008, elle joue différents petits rôles dans <em>Grand-peur et misère du troisième Reich</em> de Brecht avec Le Théâtre du Caillou. En 2009, elle interprète une maitresse de cérémonie dans <em>Casimir et Caroline d’Odon Von Horvath</em> mis en scène par Alexandre Zloto. En 2011, elle joue la Comtesse dans <em>La surprise de l’amour</em> de Marivaux au Théâtre du Marais mis en scène par Aude Macé. On peut la voir actuellement dans <em>La guerre des sexes</em> de Pascal Grégoire aux Feux de la Rampe et dans <em>Entrez et fermez la porte ! </em>de Raphaëlle (Marie) Billetdoux.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Aude PONS</strong></p> <p> <strong>Rôle de Rosa</strong> « Une fois lancée, j'ai pris le nom de Madame de Saint-Anigreuse. »</p> <p> <strong>Rôle de Pomponnette </strong>« Je n'aurais jamais cru qu'on me diminuerait tant que ça. »</p> <p>  </p> <p> <img alt="Dsc_9907" height="343" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/27388/DSC_9907.JPG" width="231"></p> <p>  </p> <p> Débutant le théâtre très jeune avec la Compagnie du Chewing, elle se forme ensuite à l’Ecole Claude Mathieu. Elle joue sous la direction de Jean Bellorini <em>Citoyen Podsékalnikov !</em> d’après<em> Le Suicidé</em> de Nicolaï Erdman, <em>Athalie</em> de Racinet, <em>L'Atelier</em> de Jean-Claude Grümberg mise en scène par Gaëlle Hermant. En 2011 elle rencontre la compagnie Le Temps est incertain mais on joue quand même dirigée par Camille de La Guillonnière et Jessica Vedel avec qui elle joue<em> A Tout Ceux Qui</em> de Noëlle Renaude, <em>Le Théâtre Ambulant Chopalovitch</em> de Lioubomir Simovitch et prochainement<em> La Cerisaie</em> de Tchekhov. Parallèlement, elle travaille le chant avec différents pédagogues dont Thomas Bellorini avec lequel elle participe au spectacle chanté <em>Barbara</em>. Elle s’épanouit également dans le clown avec Mario Gonzalez, Anne Bourgeois et Clément Bernot et dans le masque avec Mario Gonzalez, le Théâtre du Hibou et Guy Freixe (Théâtre du Frêne).</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Marie LAGREE</strong></p> <p> <strong>Rôle de Suzanne</strong> « Vous savez que c'est la première fois que ça m'arrive. »</p> <p>  </p> <p> <img alt="Dsc_9980" height="337" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/27401/DSC_9980.JPG" width="236"></p> <p>  </p> <p> Marie débute principalement sa formation au Cours Périmony et au Studio Pygamalion. Elle intègre la compagnie du Théâtre de la Mezzanine en 2008 pour laquelle elle joue <em>Côte d’Azur</em> ainsi que <em>Les Tragédiennes de l’Amour</em>, écrit et mis en scène par Denis Chabroullet. Ces créations seront jouées autant en France (Festival d’Avignon) que dans plusieurs festivals étrangers. Elle explore également l’univers de la musique avec <em>Une histoire de la Chanson Française</em> mis en scène par Bruno Barrier ainsi que celui de la danse avec <em>Quelle direction prendre ?</em> de la chorégraphe Guiti Doroudi. Elle a également participé à plusieurs court-métrages dont <em>Nuits Blanches</em> récompensé au 48 Hour Film Project. Son dernier projet, <em>A la tête du client</em>, a été en sélection officielle au Mobile Film Festival 2013.  Elle est également auteur et metteur en scène de plusieurs comédies dans lesquelles elle se plaît à exploiter l’absurdité des situations et des personnages. Ses spectacles ont notamment été joué à la Manufacture des Abbesses, au Théâtre Montmartre Galabru et au Théâtre Adyar.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Edouard MICHELON </strong></p> <p> <strong>Rôle de Madame Aigreville</strong> « Ah! Pour empêcher la discorde entre époux, il n'y a qu'une belle-mère... »</p> <p>  </p> <p> <img alt="Dsc_9950" height="332" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/27389/DSC_9950.JPG" width="226"></p> <p>  </p> <p> Après des études de commerce et quelques années dans la publicité, Edouard entre à l’Ecole Claude Mathieu. Sorti fin 2009, il joue dans différents spectacles dont  <em>Le mariage forcé</em> mis en scène par Jean Barlerin et Yilin Yang et <em>Les précieuses ridicules</em> (version rock) par Pénélope Lucbert. Mais également <em>La surprise de l’amour</em> de Marivaux par Aude Macé, <em>L’amour au ban</em> de Massamba Diadhiou par Robert Marcy et <em>Fuente Ovejuna</em> de Lope de Vega par Anahita Gohari. Actuellement, il participe à la 1ère adaptation française de <em>Les clés de la cité de Lörrach </em>de l’auteur russe contemporain Nicolaï Kolyada par Bérangère Delobelle.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Samuel GLAUME</strong></p> <p> <strong>Rôle d’Aubin</strong> « Oh ! C'est que j'ai l'oeil moi, toute ma vie j'ai eu des intrigues avec des femmes mariées ; on ne m'en compte pas à moi, je les connais toutes ! »</p> <p>  </p> <p> <img alt="Dsc_9887" height="326" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/27391/DSC_9887.JPG" width="225"></p> <p>  </p> <p> En 2005, il arrive à Paris au Cours Périmony avant de suivre le cursus de l’Ecole Claude Mathieu dont il sort en 2009. Il a eu l’occasion de travailler différents répertoires, du classique français et étranger aux auteurs contemporains comme Sarah Kane, Harold Pinter, et Valère Novarina. Il joue en parallèle sous la direction de plusieurs metteurs en scène des pièces comme <em>La Cantatrice chauve</em> de Ionesco, mis en scène par Matthieu Lermite, <em>Enfant de la Terre</em>, spectacle pour enfants de Julien Avril, mis en scène par Clémentine Niewdanski et Geoffroy Rondeau, <em>La Noce</em> de Brecht, mis en scène par Camille de La Guillonnère ou encore <em>Citoyen Podsékalnikov </em>d’après <em>Le Suicidé</em> de Nicolaï Erdman. Il est actuellement en tournée avec <em>Paroles Gelées</em> mis en scène par Jean Bellorini. Il a également fait quelques courts métrages parmi lesquels <em>Je sors le couteau</em> de Raphaël Neira,  <em>Propriété Privée</em> de Nicolas Wallyn <em>et  Je dormirai chez vous</em>  de Thibaut Barati pour le Mobile Film Festival. Après avoir animé différents ateliers et rencontres, Samuel Glaumé va avec <em>Tailleur pour Dames </em>signer sa première mise en scène.</p> <p>  </p> <p> <strong>Pierre VOS</strong></p> <p> <strong>Rôle de Moulineaux</strong> « Quand je l'ai vu... Quand je l'ai vu... Qui ne venait pas, je suis parti furieux ! »</p> <p>  </p> <p> <img alt="Dsc_9965" height="333" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/27392/DSC_9965.JPG" width="214"></p> <p>  </p> <p> Pierre s'est formé à l'Ecole Claude Mathieu jusqu'en 2008 où il étudie la voix, le corps, l'interprétation, le clown et le masque. Il joue ensuite divers rôles dans <em>Alice au pays des merveilles</em> (Théâtre Essaïon, 2009-2010, mis en scène par Annabelle Langronne) et le rôle du jeune homme dans <em>Variations sur la mort</em> de Jon Fosse (Théâtre de l'Opprimé, 2010, mis en scène par Adrien Dupuis Hepner). En 2011, il intègre la troupe du TAF Théâtre, accueilli en résidence par le Théâtre du Soleil à la Cartoucherie de Vincennes. Il y joue dans <em>Les légendes de la forêt viennoise</em> d'Horvath en 2012 et 2013 mis en scène par Alexandre Zloto. Parallèlement à son activité théâtrale, Pierre enseigne le théâtre aux petits, écrit et met en scène des visites théâtralisées en musée, apparaît dans des courts métrages et prête sa voix en 2012 à divers personnages de la série "The League" (NRJ12). </p> <p>  </p> <p> <strong>Matthieu KASSIMO</strong></p> <p> <strong>Rôle de Bassinet</strong> « Décidément, il a un grain ; il faudra faire voir  le docteur à un médecin. »</p> <p>  </p> <p> <img alt="Dsc_9897" height="316" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/27393/DSC_9897.JPG" width="215"></p> <p>  </p> <p> Matthieu se forme à l'Ecole Claude Mathieu. A sa sortie, il est engagé dans <em>Silence on rêve</em> à Genève mis en scène par Patrick Mohr. Il poursuit son travail avec lui dans <em>La Ronde</em> de Arthur Schnitlzer dans laquelle il joue le rôle du Soldat. A son retour en France, il joue <em>Ivanov</em> et participe en tant que Ténor à la <em>Norale de Choel</em> de Antoine Deklerck. Il suit aussi les cours de Jack Waltzer de l'Actor's Studio. Sa rencontre avec le coach américain Bernard Hiller sera décisive dans son travail d'acteur puisqu'il le suivra jusqu'à Londres. Après avoir participé à plusieurs courts-métrages, il décroche un rôle dans le film de Christophe Turpin, <em>Sea, no sex and Sun</em> puis un autre dans <em>Crawl</em> réalisé par Hervé Lasgouttes.</p> <p>  </p> <p> <strong>Rémi DESSENOIX</strong></p> <p> <strong>Rôle d’Etienne</strong> « Il ne faut pas me plaindre, madame est charmante...et étant donné qu'il en fallait une, c'était bien la femme qui nous convenait... à monsieur et à moi ! »</p> <p> <strong>Rôle de Madame d'Herblay</strong> « Je viens voir si vous êtes moins occupé pour ma jaquette. »</p> <p>  </p> <p> <img alt="Dsc_9928" height="318" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/27394/DSC_9928.JPG" width="216"></p> <p>  </p> <p> Rémi se forme au Conservatoire de Périgueux puis à l’Ecole Claude Mathieu. Il participe à une première pièce tirée du film <em>Il était une fois l’Amérique</em> au sein de l’école puis il joue dans le spectacle <em>Casimir et Caroline</em> mis en scène par Alexandre Zloto ainsi qu’à Genève dans <em>La Ronde</em> d’Arthur Schnitzler mis en scène par Patrick Mohr au Théâtre Spirale. Par la suite il suit la formation de GEIQ Théâtre au CDR de Haute-Normandie où il travaille avec Pauline Bureau, Catherine Dewitt, Elisabeth Marocco, Marie-Hélène Garnier, Patrick Sandford, Claude Alice Peyrottes, Sophie Daull, Chris Cooper… Au sein de cette formation il est Trivelin dans <em>Arlequin poli par l’amour</em> de Thomas Jolly et joue dans <em>Rue de l’arrivée Rue du départ</em> mis en scène par Claude Alice Peyrottes</p> <p>  </p> <p> <strong>Lionel RONDEAU</strong></p> <p> <strong>Super Remplaçant</strong></p> <p>  </p> <p> <img alt="Dsc_9942" height="338" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/27397/DSC_9942.JPG" width="228"></p> <p>  </p> <p> Formé à l’Ecole d’Art et techniques de l'acteur Claude Mathieu, où il étudie l'interprétation, le clown, le masque, le jeuen langue étrangère, la voix et le corps, il complète sa formation par différentes techniques corporelles (en particulier à travers le Kinomichi, un dérivé de l’aïkido).Travaillant des écritures classiques et contemporaines, il a joué notamment un roi dans <em>Le Pays de rien </em>de Nathalie Papin (mise en scène Clara Domingo), un soldat dans <em>L'Histoire du soldat</em> de Ramuz et Stravinski (mise en scène de Mathilde Bost), un dandy flambeur et une nounou anglaise dans <em>Un Fil à la patte</em> de Feydeau, un jeune marquis dans <em>George Dandin </em>de Molière, et  un jeune Serbe dans <em>Le Diable en partage</em> de Melquiot (mises en scène de Lise Quet), cinq personnages dans <em>Je hais les routes départementales</em><u>,</u> spectacle de sketches de Jean Yanne (mise en scène Maxime Mallet) et  un enfant dans <em>Un Grenier en automne</em> de Julien Avril (mise en scène par l’auteur).  </p> <p>  </p> <p> <strong>Elsa BRIONGOS RENAUD</strong></p> <p> <strong>Super Remplaçante</strong></p> <p>  </p> <p> <img alt="Dsc_0015" height="322" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/27399/DSC_0015.JPG" width="228"></p> <p>  </p> <p> Après un baccalauréat théâtre au LISA (lycée de l’image et du son d’Angoulême), Elsa vient à Paris pour continuer sa formation. Elle entre à l’école Claude Mathieu où elle travaille avec différents professeur, différent textes, univers, disciplines…. Elle crée avec Alexandre Rabinel la Compagnie Les heures barbares et  joue dans plusieurs  de ses pièces et courts métrages comme <em>Camarades Maudits</em> ou <em>Les mendiants</em>.  Elle décide à en 2011 de se former au maquillage et à la coiffure artistique au Conservatoire du maquillage à Paris. Elle travaille pour la comédie musicale <em>Adam et Eve, la seconde chance</em> de Pascal Obispo en tant que coiffeuse.  En parallèle elle continue de se former aux disciplines théâtrales et rencontre en 2012 le Théâtre du Hibou avec lequel elle travaille le masque de commedia et le clown.</p> <p>  </p>