TARTUFFE au festival d'Avignon

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Visuel du projet TARTUFFE au festival d'Avignon
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06/05/2016
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TARTUFFE au festival d'Avignon

<p> <strong><em>Orgon</em></strong></p> <p> <em>Ce que je viens d'entendre, ô Ciel ! est-il croyable ? </em></p> <p>  </p> <p> <em><strong>Tartuffe</strong> </em></p> <p> <em>Oui, mon frère, je suis un méchant, un coupable, </em></p> <p> <em>Un malheureux pécheur, tout plein d'iniquité, </em></p> <p> <em>Le plus grand scélérat qui jamais ait été ; </em></p> <p> <em>Chaque instant de ma vie est chargé de souillures ; </em></p> <p> <em>Elle n'est qu'un amas de crimes et d'ordures ; </em></p> <p> <em>Et je vois que le Ciel, pour ma punition, </em></p> <p> <em>Me veut mortifier en cette occasion. </em></p> <p> <em>De quelque grand forfait qu'on me puisse reprendre, </em></p> <p> <em>Je n'ai garde d'avoir l'orgueil de m'en défendre. </em></p> <p> <em>Croyez ce qu'on vous dit, armez votre courroux, </em></p> <p> <em>Et comme un criminel chassez-moi de chez vous.</em></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Orgon, riche bourgeois, est tombé sous l’emprise de Tartuffe, hypocrite et faux dévot dans le besoin, qu’il a recueilli et qui est devenu son directeur de conscience tout puissant.</strong></p> <p> <strong>L’imposteur se voit donc proposer un contrat de mariage avec la fille du maître de maison, alors même qu’il tente de séduire Elmire, la jeune épouse en secondes noces de son bienfaiteur. Ce dernier, totalement aveuglé, lui fait, par-dessus le marché, donation de tous ses biens</strong></p> <p> <strong>Finalement démasqué, c’est alors un Tartuffe vengeur et sans scrupule, nouveau propriétaire des lieux, qui ordonne l’expulsion d’Orgon et sa famille. </strong></p> <p> <strong>Arrive enfin l’ultime trahison : se servant de papiers compromettants que son hôte lui avait confiés, l’ingrat court le dénoncer au roi. </strong></p> <p> <strong>Ce sera la félonie de trop : le monarque n’a pas oublié celui qui l’avait si bien servi lors de la Fronde. Il pardonne donc à Orgon, qui recouvre tout son patrimoine, et c’est Tartuffe qui est arrêté.</strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Cam_l_on_cd_kkbb-1458001125" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/290718/Cam_l_on_CD_KKBB-1458001125.jpg"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Adaptation et mise en scène :</strong> Jean-Marie Russo</p> <p>  </p> <p> <strong>Avec : </strong>Nicolas Clauzel <em>(Cléante)</em>, Claire Ruppli <em>(Elmire, Mariane)</em>, Jean-Marie Russo <em>(Tartuffe)</em>, Martin Vaughan-Lewis <em>(Dorine, Mr Loyal, L’Exempt)</em>, Mouss Zouheyri <em>(Madame Pernelle, Orgon)</em></p> <p>  </p> <p> <strong>Scénographie : </strong>Catherine Nadal</p> <p> <strong>Création lumière : </strong>Alexandre Boghossian</p> <p> <strong>Costumes :</strong> Catherine Nadal et Jean-Marie Russo</p> <p> <strong>Maquillages :</strong> Emilia Simova</p> <p> <strong>Musique : </strong>Théophile Collier</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Production Plakka Théâtre avec le soutien de la Ville de Meudon, du Centre d’art et de culture de Meudon, du Centre culturel Max Juclier de Villeneuve-la-Garenne, et l’aide de la SPEDIDAM.</strong></p> <p>  </p> <p> <strong>Création à Meudon-la-Forêt (résidence à l’Espace culturel Robert Doisneau) en février 2015. Reprise à Villeneuve-la-Garenne (résidence à l’Espace 89) en mars 2015. </strong></p> <p>  </p> <p> <strong>Durée du spectacle</strong> : 1h35 sans entracte.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Couv_presse_avignon_tartuffe_-_plakka_theatre-1456900695" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/284674/Couv_presse_Avignon_Tartuffe_-_PLAKKA_THEATRE-1456900695.jpg"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>NOTE</strong>  <strong>DE MISE EN SCENE</strong>----------------------------------------------------------------</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> Dans nos sociétés contemporaines en pleine mutation, anxiogènes à souhait et où le paraître règne sans partage, la comédie de Molière la plus polémique est d’une actualité brûlante.</p> <p> La perte de sens généralisée fait le lit de tous ces Tartuffes d’aujourd’hui qui prolifèrent plus que jamais et embobinent à plaisir tous les Orgons potentiels qu’ils trouvent sur leur chemin, les uns après les autres, avec la voracité du prédateur devant sa proie.</p> <p>  </p> <p> <strong>Adaptation</strong></p> <p> Tartuffe est un révélateur du désarroi existentiel de la famille bourgeoise qu’il parasite. L’assouvissement irrépressible de ses multiples frustrations, qui éclairent le vide spirituel dans lequel lui-aussi se débat, causera finalement sa perte. </p> <p> Avec cette adaptation, l’intrigue est resserrée autour du couple Orgon / Tartuffe, tout en restant fidèle au texte originel. Le personnage de Damis disparaît. L’opposition frontale à l’imposteur qu’il portait sera attribuée à Cléante, ce qui fait de celui-ci plus que jamais l’opposé masculin de Tartuffe. Valère, quant à lui, n’apparaîtra au cinquième acte qu'à travers une lettre lue à Orgon par sa fille.</p> <p>  </p> <p> <strong>Directions de jeu</strong></p> <p> Molière nous le rappelle : « le devoir de la comédie est de corriger les hommes en les divertissant ».</p> <p> Il s’agira avant tout de restituer l’entière puissance comique de cette farce jubilatoire, où Molière attaque avec génie, à grands coups d’alexandrins dévastateurs, l’un des vices les plus corrosifs de la nature humaine.</p> <p> Mme Pernelle et Orgon seront portés par le même comédien pour souligner l’ascendance pathogène du maître des lieux. De même, une interprète unique incarnera Elmire et Mariane car leur statut de proie sexuelle est identique. La libido de Tartuffe se focalise sur l’une car l’autre lui est déjà servie sur un plateau.</p> <p> Enfin, un seul comédien servira les trois rôles de la « domesticité » au sens large : Dorine, Mr Loyal et L’Exempt.</p> <p>  </p> <p> <strong>Scénographie / Costumes / Maquillages</strong></p> <p> La scénographie, constituée principalement de grands panneaux translucides propices à un jeu de lumières sur la dualité transparence / opacité, sera la plus neutre possible : page blanche offerte à l’imaginaire du spectateur.</p> <p> De même, les costumes, aux références vestimentaires multiples et avec un traitement des couleurs qui tendra à éviter tout manichéisme réducteur, comme les maquillages, avec une déclinaison de « masques » graphiques aux figures géométriques prédominantes, participeront à l’intemporalité souhaitée.<strong>             </strong><strong>          </strong><strong><em>                                                                                                                                                </em></strong></p> <p>  </p> <p> -----------------------------------------------------------------------------<strong>Jean-Marie Russo</strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>                                                                                                                                                          </strong></p> <p> <img alt="Photo_tartuffe_-_plakka_theatre_-_kkbb_1-1457981420" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/290595/Photo_Tartuffe_-_PLAKKA_THEATRE_-_KKBB_1-1457981420.jpg"></p> <p>   </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <em>LA COMPAGNIE PLAKKA THEATRE</em></p> <p>  </p> <p> <strong>L’ambition artistique de la compagnie, créée en 1998, est avant tout basée sur la qualité des textes présentés : <em>POUR UN OUI OU POUR UN NON </em>de Nathalie Sarraute (après plus de 80 représentations, notamment lors des  festivals d’Avignon Off 2012 et 2013, le spectacle tourne encore aujourd’hui); <em>LE CHRYSANTHEME</em> et <em>SOPHISME ET SADISME</em>, deux monologues radiophoniques de Robert Pinget mis en scène pour la première fois, avec le partenariat de France Culture (près de 70 représentations);<em> FRAGMENTS DE THEATRE I ET II,</em> puis <em>EN ATTENDANT GODOT</em> de Samuel Beckett ; <em>TARTUFFE</em> de Molière.</strong></p> <p> <strong>Nos auteurs de prédilection retranscrivent l’indicible, appuient joyeusement là où la douleur dépasse l’entendement, avec la précision tranquille de l’artisan à son établi. Ils interpellent le spectateur, ouvrent des portes. Notre souci premier est surtout de ne pas les refermer. </strong></p> <p> <strong>Depuis 2003, Plakka Théâtre propose des ateliers d’initiation à l’art théâtral, pour enfants et adultes, et a multiplié les interventions en milieu scolaire autour de ses productions. </strong></p> <p>  </p> <p> <strong>La compagnie est soutenue par la Ville de Meudon et le Centre d’art et de culture de Meudon.</strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Photo_tartuffe_-_plakka_theatre_-_kkbb_2-1457981333" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/290593/Photo_Tartuffe_-_PLAKKA_THEATRE_-_KKBB_2-1457981333.jpg"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> ____________________________________________________________</p> <p>  </p> <p> <em>L'EQUIPE ARTISTIQUE</em></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Photo_jm_kkbb_tartuffe-1458004122" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/290723/Photo_JM_KKBB_Tartuffe-1458004122.jpg"></p> <p>  </p> <p> <strong>JEAN-MARIE RUSSO</strong>  <strong>-  </strong><strong>adaptation, mise en scène, costumes  -  <em>Tartuffe</em></strong>. Suite à sa formation auprès de Jean-Félix Cuny, Sarah Sanders et Jack Waltzer, signe avec Bertrand Saint sa première mise en scène : <em>FIN DE PARTIE</em> de Samuel Beckett, qu’il joue au Festival d’Avignon en 1992. Le spectacle obtiendra le “coup  de cœur du Off”. Puis, il écrit, joue et met en scène <em>LE PROCHAIN ORAGE.</em> Directeur artistique de la compagnie PLAKKA THEATRE, se succéderont alors ses mises en scène suivantes : <em>POUR UN OUI</em> <em>OU POUR UN NON</em> de Nathalie Sarraute, spectacle qui sera repris en 2009 et toujours en tournée à ce jour ; <em>LE CHRYSANTHÈME</em> et <em>SOPHISME ET SADISME</em>, deux monologues de Robert Pinget (création en partenariat avec France Culture) ;<em> FRAGMENTS DE</em> <em>THÉÂTRE</em> <em>I ET</em> <em>II</em> de Samuel Beckett, qu’il interprète avec Yves Gasc, sociétaire honoraire de la Comédie-Française ; <em>EN ATTENDANT GODOT</em> de Samuel Beckett. Comme comédien, il a travaillé aussi avec Jean-Félix Cuny (<em>LES DEUX TIMIDES</em> de Labiche), Patrick Martinez (<em>LA JOURNÉE D’UNE RÊVEUSE</em> de Copi), Gilles Szafirko et Olivier Poujol (<em>PENTECÔTE</em> de Stewart Parker)… Au cinéma, il tourne avec David Fourier (<em>YAMAMOTO SAN), </em>Antonin Le Guay<em> (UN PEU DE BOIS ET D’ACIER)…           </em></p> <p>  </p> <p> <em>              </em></p> <p>  </p> <p> <img alt="Photo_nicolas_kkbb_tartuffe-1458003375" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/290720/Photo_Nicolas_KKBB_Tartuffe-1458003375.jpg"></p> <p>  </p> <p> <strong>NICOLAS CLAUZEL</strong>  <strong>-  </strong><strong><em>Cléante</em></strong>. Passé entre les mains de comédiens tels que Mauricette Touyéras, Yann Karaquillo et Jean-Paul Daniel, il entre au Conservatoire d’Art Dramatique de Limoges où il suit l’enseignement de Michel Bruzat. Il y joue <em>LA PROSE DU TRANSSIBERIEN</em> de Blaise Cendrars, <em>UN RICHE, TROIS PAUVRES</em> de Louis Calaferte, et <em>ANTIGONE</em> de Bertolt Brecht. Il part à Rome puis en Angleterre où il met en scène <em>THE 1001 NIGHTS.</em> En 2006, il intègre la compagnie « Entr’Act » au sein de laquelle il se forme au théâtre de rue et aux spectacles mêlant le théâtre à d’autres disciplines (musique, arts du cirque, danse…). Il y officie durant 8 ans en tant que comédien, musicien, échassier, auteur… et met à profit sa connaissance des langues étrangères dans les tournées européennes de spectacles tels que <em>L’OUROBOROS </em>ou la saga des <em>ALVAREZ</em>. Parallèlement, il tourne pour la télévision <em>LES ROBINS DES PAUVRES</em> de Frédéric Tellier, ou pour le cinéma <em>LA NOUVELLE GUERRE DES BOUTONS </em>de Christophe Barratier. Il retrouve en 2011 les cours du Conservatoire de Montluçon, ce qui lui permet d’occuper la rue sans délaisser le plateau, et sous la direction de Mouss Zouheyri joue dans <em>LE BOURGEOIS GENTILHOMME </em>de Molière et <em>FAUT PAS PAYER</em> de Dario Fo.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Tartuffe_-_claire_kkbb-1462522354" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/312667/TARTUFFE_-_CLAIRE_KKBB-1462522354.jpg"></p> <p>  </p> <p> <strong>CLAIRE RUPPLI</strong>  <strong>-  </strong><strong><em>Elmire, Mariane</em></strong>. Formée à l'école internationale Jacques Lecoq, puis à la rue Blanche (ENSATT) à Paris, elle travaille au théâtre avec François Bourcier (<em>L’AVARE</em>, <em>LE BOURGEOIS GENTILHOMME),</em> Christian Rist (<em>LE MISANTHROPE</em> en France et tournée internationale, <em>LA VEUVE</em> de Corneille), Catherine Anne (<em>LA RALENTIE / CHAINES</em> de Henri Michaux, <em>LE TEMPS TURBULENT),</em> Michel Didym (<em>CHAMBRES</em> de Philippe Minyana), Aurore Prieto (<em>FRIC FRAC </em>d’Edouard Bourdet<em>)</em>, Matthias Langhoff, Jean-Michel Potiron, Alain Timar… Elle assiste Yves Beaunesne dans <em>L’EVEIL DU PRINTEMPS</em> de Wedekind ainsi que Michel Didym sur <em>MARDI A MONOPRIX</em> d’Emmanuel Darley avec Jean-Claude Dreyfus. Ses rencontres sont capitales avec le texte de Sylvie Germain <em>LA PLEURANTE DES RUES DE PRAGUE</em> qu'elle adapte au théâtre, et avec Roberto Platé qui la travestit sur scène pour jouer Copi dans son premier roman <em>L’URUGUAYEN.</em> Au cinéma, elle tourne avec Philippe Harel, Dominique Cabrera, Abdellatif Kechiche, Benoît Jacquot… En danse, elle diversifie sa palette auprès de Raffaëlla Giordano, Jean-Claude Gallota, Kamal Karry, Victor Cuno, et dernièrement Nadia Beugré (<em>LEGACY)</em>. <em>UNE PASSEUSE</em>, son premier documentaire en tant que réalisatrice<em>,</em> a voyagé dans de nombreux festivals.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Photo_martin_kkbb_tartuffe-1458003410" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/290721/Photo_Martin_KKBB_Tartuffe-1458003410.jpg"></p> <p>  </p> <p> <strong>MARTIN VAUGHAN-LEWIS</strong>  <strong>-  </strong><strong><em>Dorine, Mr Loyal, L’Exempt</em></strong>. Né à Manchester, il étudie à l’université de Bristol et à la Mountview Theatre School de Londres. Avant de partir s’installer en France, il se produit à l’Old Vic de Bristol, à l’Everyman Theater de Cheltenham, au Royal Theater de Bath et effectue de nombreuses tournées avec la compagnie BareBones Theater. À Paris, il joue au Théâtre du Renard, au Café de la Gare, au Petit Hébertot et au Théâtre de l’Epée de Bois. Il participe également aux tournées de compagnies de langue anglaise telles que OZ et ACT. Il enregistre enfin des programmes pour France Culture. En 2009, et encore fin 2011, il incarne Franz, le majordome de la famille Von Trapp, dans <em>LA MELODIE DU BONHEUR </em>/ m.e.s. Emilio Sagi, au Théâtre du Châtelet. En 2012, il est Lucky dans <em>EN ATTENDANT GODOT </em>de Samuel Beckett / m.e.s. Jean-Marie Russo. Au cinéma, on a pu le voir dans <em>BONS BAISERS D’ICI </em>de Michel Meyer et Stéphanie de Fenin, <em>JOYEUX NOEL </em>et <em>BONJOUR FAREWELL</em> de Christian Carion, <em>LES FEMMES DE L’OMBRE</em> de Jean-Paul Salomé.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Photo_mouss_kkbb_tartuffe-1458003422" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/290722/Photo_Mouss_KKBB_Tartuffe-1458003422.jpg"></p> <p>  </p> <p> <strong>MOUSS ZOUHEYRI</strong>  <strong>-  </strong><strong><em>Madame Pernelle, Orgon</em></strong>. Né à Casablanca, il entre au Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique de Paris en 1983, où il fait une rencontre déterminante en la personne de son professeur d’interprétation Michel Bouquet. Depuis, au cinéma, il a travaillé avec Costa Gavras (<em>CONSEIL DE FAMILLE</em>) ; Bernardo Bertolucci (<em>LE THE AU SAHARA</em>) ; Jean Teulé (<em>RAINBOW POUR RIMBAUD</em>) ; Bruno Podalydes (<em>DIEU SEUL ME VOIT</em>) ; Mahmoud Zemmouri, Alain Centonze, Ian Pringle… Au théâtre, il a collaboré avec notamment Jacques Nichet, Jacques Fornier… et joué Shakespeare, Marivaux, Molière, Koltès, Mrozek, Keene, Chouaki… Il s’installe en 1996 en Bourgogne où il crée sa propre compagnie «La Ribambelle». Avec celle-ci, il continue de mener son métier de comédien et met en scène ses propres projets : <em>EMIGRES</em> de Slavomir Mrozek au Centre Dramatique National Les treize Vents à Montpellier ; <em>LOW</em> de Daniel Keene au Théâtre de poche de Bruxelles ;<em> FUBUKI</em>, extrait de «Stupeur et tremblements» d’Amélie Nothomb, qui sera présenté au Théâtre de L’Alliance Française de Paris ; <em>MONOLOGUES SANS TITRE</em> de Daniel Keene au Festival de Blaye et au Théâtre Mansart ; <em>SALETE</em> de Robert Schneider au Théâtre National Dijon Bourgogne.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>CATHERINE NADAL  -  </strong><strong>scénographie, costumes</strong>. Elle est diplômée de L’ ESAG Penninghen. Architecte d’intérieur, scénographe, elle collabore avec Jean-Marie Russo au sein de PLAKKA THEATRE depuis la création de la compagnie et réalise les scénographies de <em>POUR UN OUI OU POUR UN NON </em>de Nathalie Sarraute, <em>LE CHRYSANTH</em><em>ÈME </em>et<em> SOPHISME ET SADISME </em>de Robert Pinget<em>,</em> <em>FRAGMENTS DE TH</em><em>ÉÂTRE I ET II</em>, puis <em>EN ATTENDANT GODOT</em> de Samuel Beckett.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>ALEXANDRE BOGHOSSIAN  -  </strong><strong>création lumière</strong>. Depuis presque 20 ans, il a mis en lumière de nombreux spectacles vivants d'horizons divers et variés. Directeur technique du festival « Jazz'Orne Danse », responsable concert pour le festival d'Ile de France, régisseur lumière au Centre d’art et de culture de la ville de Meudon ainsi qu'au théâtre Jean Arp à Clamart, il collabore aussi avec des compagnies de danse  (G. Momboye)... Dans ses dernières créations, on retiendra les noms de : Robin Mc Kelle, Mayra Andrade, René Aubry, Misia, Cie Le Septentrion pour « <em>PELAGOS </em>», Cie Jean Pierre André pour « <em>LEO FERRE </em>»... Depuis 2010, il réalise les lumières des productions de PLAKKA THEATRE : <em>POUR UN OUI OU POUR UN NON</em> de Nathalie Sarraute, <em>EN ATTENDANT GODOT </em>de Samuel Beckett.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>EMILIA SIMOVA  -  maquillages</strong>. Depuis 2007, elle a réalisé les maquillages de multiples productions, que ce soit au cinéma (pour Malik Chibane, Romain Nicolas, Damian  Pettigrew, Artus de Penguern…), au théâtre (pour Tamara Al Saadi, Stéphanie Giron, Thierry Atlan, Laurie Jesson…), pour la danse (l’Ensemble Mladost, Magali Vasseur…) ou l’art lyrique (« <em>UN BAL MASQUE </em>» et « <em>LES CAPULETS ET LES MONTAIGUS</em> » représentés à l’Opéra Bastille en 2007 et 2008). Elle est actuellement, au Manoir de Paris, responsable de la création maquillages, masques et effets spéciaux.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>THEOPHILE COLLIER</strong>  <strong>-</strong>  <strong>musique</strong>. Après des études de violon, il se consacre à la percussion classique durant six ans avec François Desforges, timbalier de l’orchestre national de France. Il passe ensuite par la classe de composition de Pierre Doury à la Schola Cantorum. Lauréat du concours «SF project» (organisé par les cinémas MK2) et du concours «La chanson poétique» (organisé par l’Académie des Jeux Floraux et la Sacem), il est retenu avec son groupe <em>Dirty Fields</em> par Etienne Daho, au côté de Peter Doherty et Phoenix notamment, dans la compilation Fnac "Carte blanche à Etienne Daho". Il se consacre aujourd’hui à la composition de bandes originales pour la télévision ou le cinéma, et a travaillé notamment pour Gaël Morel, Alexander Gordon, Stéphane Freiss, Stephen Cafiero..</p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Photo_tartuffe_-_plakka_theatre_-_kkbb_3-1457981388" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/290594/Photo_Tartuffe_-_PLAKKA_THEATRE_-_KKBB_3-1457981388.jpg"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> ____________________________________________________________</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <em>PRESSE DES PRECEDENTS SPECTACLES DE LA COMPAGNIE</em></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>EN ATTENDANT GODOT</strong> / S. Beckett</p> <p>  </p> <p> <em>"Le public vit un plaisir théâtral à l’état pur ! (…) rarement le texte aura été entendu avec autant de clarté (…) ce spectacle va rester longtemps dans les consciences des spectateurs…" </em></p> <p> <strong>                                                Ph. Kalman </strong>/ THEATROTHEQUE.COM</p> <p>                                                                                                </p> <p> <em>"</em><em>La mise en scène, le jeu des acteurs, tout converge vers du pur Beckett, 100% certifié. Tout est épuré mais l’espace est tout entier occupé par la réelle présence des comédiens."  </em></p> <p>                                                                   <strong>S. Bertin </strong>/ CULTUREMAG.FR</p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>POUR UN OUI OU POUR UN NON</strong> / N. Sarraute </p> <p>  </p> <p> <em>"Un spectacle original et abouti, plein de finesse et d’humanité." </em></p> <p> <em>  </em>                                                   <strong>Arthur Baldensperger </strong>/  La Marseillaise</p> <p>  </p> <p> <em>"En fait Jean-Marie Russo et Paddy Sherlock vont au-delà du ton juste et du réalisme, ils cherchent et nous livrent des vibrations qu’ils vont chercher au plus profond d’eux-mêmes tout en sauvegardant leur spontanéité. On appelle cela de la séduction… C’est cette dernière qui nous retient en direction du plateau et qui nous restitue toute la qualité et la finesse du texte. On en saisit alors toutes les strates. C’est ainsi que s’offre le théâtre !"  </em>                                                               <strong>Jacky Viallon </strong>/ WEBTHEA.COM                                                                                                                    </p> <p> <em>"(…) on s'intéresse vraiment à ce qui se passe dans le cœur de ces deux amis. Il faut dire que les comédiens sont excellents : Jean-Marie Russo, qui signe aussi la mise en scène, et Paddy Sherlock."                                                                                                                                 </em><strong>J.-L Jeener </strong>/ Le Figaroscope        </p> <p>                                                                                                                     </p> <p> <em>"Deux comédiens (...) interprètent excellemment une partition dont on appréciera la rigueur toute mathématique."  </em><em>  </em><strong>P. Notte</strong> / L’Evènement du jeudi                                                                                                                                                       </p> <p> <em>"J-M. Russo a choisi le parti du respect et de la nudité. (...) tout se dit avec un dépouillement égal à celui du décor." </em><em>      </em><strong>G. Costaz</strong> / Le Journal du Théâtre </p> <p>      </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>FRAGMENTS DE THEATRE I et II</strong> / S. Beckett                                                                                                                                                                 </p> <p> <em>"Un moment de théâtre (...) De la belle ouvrage, taillée dans l’étoffe des questionnements les plus profonds et qui touche chacun, très simplement."</em>                     <strong>A. Héliot</strong> / Le Quotidien du Médecin</p> <p>                                                                                                            </p> <p> <em>"(...) l’intransigeance de S. Beckett force l’estime (...) Le moindre de ses déchets est présenté comme une relique. Mais quand ce culte   est pratiqué (...) par Jean-Marie Russo et l’excellent Yves Gasc, sociétaire honoraire de la Comédie-Française, on n’a pas envie de se moquer. Une telle ferveur impressionne même les incroyants." </em><em>         </em><strong>J. Nerson</strong> / Valeurs Actuelles    </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>LE CHRYSANTHEME </strong>et <strong>SOPHISME ET SADISME </strong>/ R. Pinget</p> <p>  </p> <p> <em>"(...) J-Marie Russo s'immerge avec sensibilité dans l'univers précieux de Robert Pinget."</em>                             <strong>Aden / Le Monde</strong></p> <p>                                                                                                                </p> <p> <em>"Gracile et délicat, J-M. Russo s'amuse à dire un texte difficile et lui donne une vie incroyable."</em><strong>                     L. de Rocquigny </strong>/ Pariscope</p> <p>                                                                                                                               </p> <p> <em>"Ayant pris le parti du minimalisme (...), J-M. Russo n'en est que plus impressionnant dans son interprétation." </em></p> <p> <em>                                              </em><strong>J-M. Capparos </strong>/ THEATROTHEQUE.COM     </p> <p>  </p>

À quoi servira la collecte

<p> Le risque financier important que représente cette reprise à Avignon est motivé par la nécessité d'aller montrer notre travail aux nombreux programmateurs présents pendant le festival. Nous espérons pouvoir ainsi vendre le spectacle et le faire partir en tournée les saisons prochaines.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> La somme demandée par la compagnie servira à équilibrer notre budget :</p> <p> ____________________________________________________________</p> <p>  </p> <p> <strong>TOTAL DEPENSES : 35660 €</strong>, soit :</p> <p> <em>- Location de salle : 10800 €</em></p> <p> <em>- Frais de communication (affiches, flyers, dossiers, frais d'inscription programme du Off...) : 1500 €</em></p> <p> <em>- Hébergement et repas / Transports décor et équipe /  Frais maquillage, costumes et décor : 5500 €</em></p> <p> <em>- S</em><em>alaires et charges / </em><em>Droits d'auteurs / Honoraires : 17500 €</em></p> <p> <em>- Frais Kiss Kiss Bank Bank : 360 €</em></p> <p> ____________________________________________________________</p> <p>  </p> <p> <strong>TOTAL RECETTES : 35660 €</strong>, soit :</p> <p> <em>- Fonds propres de la compagnie : 21160 €</em></p> <p> <em>- Billetterie estimée pendant le festival : 10000 €</em></p> <p> <strong><em>- Financement participatif Kiss Kiss Bank Bank : 4500 €</em></strong></p> <p> ____________________________________________________________</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <em>Les dons supplémentaires récoltés par la compagnie nous permettront de bénéficier de moyens promotionnels plus conséquents (soit la perspective d'une meilleure billetterie et de ventes plus nombreuses), ainsi que</em><em> de conditions de séjour plus confortables pour l'ensemble de l'équipe pendant le festival.</em></p> <p>  </p> <p> <strong><em>Merci encore pour votre soutien, car après l'accueil enthousiaste du public lors de la création à Meudon-la-Forêt puis à Villeneuve-la-Garenne, nous espérons partager notre Tartuffe avec le plus grand nombre, en France et à l'étranger.</em></strong></p>

Contreparties

5 €

  • 4 contributions
1 affiche du spectacle

Livraison estimée : juin 2016

20 €

  • 9 contributions
Pack TARTUFFE : 1 affiche dédicacée + 3 marque-pages + 1 magnet

Livraison estimée : juin 2016

50 €

  • 10 contributions
Pack TARTUFFE + au choix : 2 invitations pendant le festival ou la vidéo du spectacle

Livraison estimée : juillet 2016

80 €

  • 2 contributions
Pack TARTUFFE + 2 invitations pendant le festival + la vidéo du spectacle

Livraison estimée : juillet 2016

150 €

Pack TARTUFFE + 2 invitations pendant le festival + la vidéo du spectacle + rencontre avec l'équipe autour d'un verre après la représentation

Livraison estimée : juillet 2016

250 €

  • 2 contributions
Pack TARTUFFE + 2 invitations pendant le festival + la vidéo du spectacle + TARTUFFADE pour 2 personnes avec l'équipe autour d'un barbecue le soir de votre venue

Livraison estimée : juillet 2016

400 €

  • 2 contributions
Pack TARTUFFE + 2 invitations pendant le festival + la vidéo du spectacle + TARTUFFADE + chambre pour 2 personnes le soir de votre venue sur le lieu de résidence de la compagnie, au coeur d'un vignoble (petit déjeuner compris)

Livraison estimée : juillet 2016

600 €

  • 1 contribution
Pack TARTUFFE + 2 invitations pendant le festival + la vidéo du spectacle + stage théâtre autour de Molière animé par Jean-Marie Russo, à Meudon dans les locaux de la compagnie : soit 5 séances de 2 heures, en cours particulier ou à partager avec vos amis (4 participants maximum - pour adultes et enfants à partir de 10 ans - dates à planifier à partir d'août 2016)

1 200 €

Pack TARTUFFE + 2 invitations pendant le festival + la vidéo du spectacle + stage théâtre "spécial collectivités" autour de Molière animé par Jean-Marie Russo, dans les locaux de votre entreprise en région parisienne : 8h d'intervention pour 8 participants maximum (modalités à planifier à partir de septembre 2016)

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