Présentation détaillée du projet
Aidez nous à financer ce projet pour faire un beau livre photo sur Les Gras. Y participez, c'est apporter sa petite pierre à l'histoire de ce carnaval. Pour moi, photographe professionnel, ce projet aura été l'occasion de faire de belles rencontres, de voir des gens qui oeuvrent à un projet commun pour que cette fête perdure. Le vivre ensemble, c'est rire pour un rien, c'est se laisser emporter par le tourbillon des rencontres, des danses et des masques ! "C'est exister au royaume de la banalisation, du correct, du mou, de l'insipide ... c'est s'affranchir des lois restrictives du quotidien "
Ces photographies ont été prises de 2012 à 2017 inclus. Le livre au format 210 x 210 mm sera composé de 120 pages.
En aidant à la sortie de ce livre, vous soutenez également la jeune association MAD qui regroupe des artistes et créateurs d'Art en pays de Douarnenez. Le but de cette asso étant la reconnaissance, la valorisation et le développement des métiers du patrimoine, de la tradition, de la création ou de l'innovation et la diffusion et la commercialisation d'oeuvres.
1€ sera reversé à l'association par livre vendu.
Extrait du livre : " Si chaque année, tout au long de la vie et de sa présence à Douarn’, chacun partage les Gras avec les autres, proches, amis, parfois inconnus ; les parents avec les enfants, jusqu’à un certain âge ; les grands-parents avec leur descendance à deux ou trois degrés, il n’en reste pas moins que quiconque a aussi ses Gras à soi, son histoire toute propre de la grande éruption annuelle, celle qui se raconte en parallèle à celle des autres, mais trouvera un chemin de traverse, une sente particulière où personne d’autre n’a marché....
Et puis, il y a des périodes, des générations, des cycles, des groupes qui en supplantent d’autres et passent la main à leur tour, des modes, le temps des masques, repoussé par celui plus affiné du maquillage, des inspirateurs qui laissent leurs marques et permettent de dater un lustre, voire une décade, des Den Paolig dont l’allure rompt soudain avec celle des précédents, et aussi des photographes , témoins , à chaque période, de cette lente transformation d’une tradition populaire, qui n’a cessé de se balancer entre fidélité et changement permanent. "
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