Anatole et Alma

<p> <strong>Un texte lumineux, drôle, sensible et émouvant. </strong></p> <p> <strong>Comment grandir ? Comment comprendre le monde à hauteur d’enfance ?</strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> Le projet  <strong>Anatole et Alma</strong> est issu d'une commande d'écriture d’un texte jeunesse passé par la metteure en scène Marjolaine Baronie à l’auteure Sabine Tamisier. Il s'agissait d'écrire À PARTIR de l'enfance et non pas SUR l'enfance. Une immersion dans l’univers des jeunes enfants, au plus près de leurs préoccupations et de leurs émotions. Tout près de cette part d'enfance qui sommeille en chaque adulte.</p> <p>  </p> <p> <strong><em>Anatole et Alma</em></strong> sera un spectacle théâtral et musical, un spectacle familial à partir de 5 ans.</p> <p>  </p> <p> Sur scène, deux comédiens et un accordéoniste, des kilos de sable... et une fable :</p> <p>  </p> <p> <em><img alt="Affiche-anatole_et_alma__2_-1414762409" height="575" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/133161/AFFICHE-Anatole_et_Alma__2_-1414762409.jpg" width="383"></em></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Un texte de Sabine Tamisier</strong></p> <p> <strong>Mise en scène de Marjolaine Baronie</strong></p> <p>  </p> <p> <strong>Assistante à la mise en scène : Myriam Attia</strong></p> <p> <strong>Avec Anthony Lozano &amp; Emilie Prévosteau</strong></p> <p> <strong>Fred Ferrand (accordéoniste)</strong></p> <p> <strong>Scénographie : Tiphaine Monroty</strong></p> <p> <strong>Création lumière : Jonathan Douchet</strong></p> <p>  </p> <p> Production bobine etc…</p> <p> Co-production Théâtre de la Tête Noire,</p> <p> Scène conventionnée pour les écritures contemporaines</p> <p>  </p> <p> bobine etc… est soutenu par la ville d’Orléans, la Fondation Julienne Dumeste, le Théâtre municipal d’Amboise, le Théâtre Gérard Philipe d'Orléans et le collectif 108/Maison Bourgogne.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>LE TEXTE</strong></p> <p>  </p> <p> <strong>RESUME</strong></p> <p>  </p> <p> Quand tout va mal, quand c’est le « DESORDRE » tout autour, qu’une petite sœur doit arriver ou qu’une maman n’arrête pas de pleurer, que faire quand on a 4 et 6 ans ?</p> <p> Anatole, 6 ans, ne veut plus rentrer chez lui. Demain, il doit reprendre le train des vacances finies, celui qui le ramène auprès de ses parents qui, à son grand désespoir, attendent un deuxième enfant. Alors c’est décidé : ce matin, dès l’aube, il s’enfuira d’ici.</p> <p> Alma, 4 ans, est en vacances avec sa mère qui n’arrête pas de pleurer. Alors c’est décidé : ce matin, sur la plage, Alma ramènera son père à sa mère.</p> <p> Seulement voilà, les routes d’Anatole et d’Alma se croiseront ce matin et leurs plans en seront chamboulés. À l’abri des vagues et des regards de tous, dans la cachette d’Anatole, les deux enfants vont grandir un peu plus dans cet espace hors du temps. Ils vont  questionner, comme une quête de sens, le monde des adultes, leurs chagrins, leurs peurs, leur origine, la mort, leur utilité à eux si petits…  Comment grandir avec les obstacles de la vie ? A-t-on besoin d’eux, même s’ils n’ont que  4 et 6 ans ?</p> <p> Avec l’énergie et la malice des enfants de leur âge, Ils inventent des solutions, trouvent des réponses poétiques et un peu magiques pour adoucir leur monde. </p> <p> Avec subtilité et pudeur, l’accordéon accompagnera Anatole et Alma dans leur quête de sens, leurs vibrations  internes, dans leurs solitudes et dans leur rencontre… Une tendre histoire d’amitié.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>EXTRAIT</strong></p> <p>  </p> <p> ANATOLE. – Anatole.</p> <p> ALMA. – Hein ?</p> <p> ANATOLE. – Je m’appelle Anatole.</p> <p> ALMA. – Pourquoi ?</p> <p> ANATOLE. – POURQUOI QUOI ?! Mais je rêve, t’es une boîte à question toi ou quoi ?!</p> <p> ALMA. – Pourquoi toi tu t’appelles Anatole ?</p> <p> ANATOLE. – C’est ma mère.</p> <p> ALMA. – Ta mère y s’appelle Anatole ?!</p> <p> ANATOLE. – MAIS NON ! T’es OUF toi !</p> <p> ALMA. – J’a crû que</p> <p> ANATOLE. – T’as mal crû ! Anatole c’est un gars qui écrit des romans.</p> <p> ALMA. – Des romans ?</p> <p> ANATOLE. – Des livres quoi, si tu préfères !</p> <p> ALMA. – J’a compris, pas la peine de crier ! C’est le chéri de ta maman ?</p> <p> ANATOLE. – N’IMPORTE QUOI ! Mi-Miaou t’entends ça ?! N’IMPORTE QUOI !</p> <p> ALMA. – T’es vraiment krès mésant.</p> <p> Elle sanglote.</p> <p> ANATOLE. – ÉCOUTE ! Écoute ça et arrête de pleurer t’es déjà toute salée ! Si tu continues Mi-Miaou et moi on va te faire griller parce qu’on a rien mangé, TU M’ÉCOUTES ?!</p> <p> ALMA. – Y t’écoute Alma.</p> <p> ANATOLE. – Donc, ANATOLE c’est un type qui écrivait</p> <p> ALMA. – Il est MORT ?</p> <p> ANATOLE. – Il est mort oui, il est mort ! Ça fait belle lurette !</p> <p> ALMA. – Le pauvre !</p> <p> ANATOLE. – T’as fini de me couper ?!</p> <p> ALMA. – Oui.</p> <p> ANATOLE. – DONC,</p> <p> <img alt="Photoaa_1-1415661100" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/136550/photoAA_1-1415661100.JPG"></p> <p> Photos de répétition/ Résidence au Théâtre Beaumarchais Amboise/ sept 2014</p> <p>  </p> <p> <strong>MISE EN SCÈNE - </strong><strong>NOTE D’INTENTION</strong></p> <p>  </p> <p> « L’enfant sait rire au milieu des larmes. Tout co-existe chez lui » *</p> <p> J’aimerais faire jaillir sur scène cette pulsion de vie ! Quand les sentiments s’emballent…</p> <p> J’ai envie de raconter cette grande aventure, la fugue d’Anatole et Alma, aux jeunes spectateurs comme aux plus grands ! Leur faire découvrir ces petits héros chamboulés par leurs émotions, tenter de les embarquer dans cette fable touchante, leur parler d’amitié, de chagrin, mais aussi d’amour et d’imaginaire.</p> <p> J’ai envie de rire, de légèreté, de mouvement.</p> <p> J’imagine un duo d’aventuriers lumineux, pétillants et plein de vie.</p> <p>  </p> <p> <u>L’esprit d’enfance</u></p> <p> Le travail d’écriture de Sabine Tamisier sur le langage des deux personnages/enfants sera un véritable appui de jeu. Nous chercherons à expérimenter les rythmes, les accélérations, les chocs, les hésitations, les tentatives, les silences et les respirations … Comment le langage s’apprend, se structure, se construit ?</p> <p> « S’identifier à l’esprit d’enfance n’est pas s’infantiliser* ». Nous questionnerons donc ensemble, avec les comédiens, la transposition sur scène de «l’esprit d’enfance », le rythme, le jeu en évitant l’infantilisation.</p> <p>  </p> <p> Qu’est ce qui se passe dans la tête d’un petit garçon de 6 ans quand il y a «  quelqu’un d’autre qui pousse » dans le ventre de sa maman ? A quoi pense une petite fille de 4 ans, quand ses parents se séparent ? Qu’est- ce qu’ils imaginent ?</p> <p> A la manière des impressionnistes, par petites touches, sensiblement, discrètement, j’ai envie de partir à la rencontre de cet espace mental, de ce monde secret de l’enfant, où tout s’invente, se cherche, où les sensations sont un peu diffuses parfois, comme dans les rêves.</p> <p> Je rêve de son de gouttes d’eau, d’espaces scéniques « bulle » délimités par une lumière sensible , de note d’accordéon, de flaques d’eau, ou de torrents d’eau, de doudous protecteurs, de tubas longue vue et de « SATEAU DE CHABLE »… </p> <p>  </p> <p> A la lecture du texte de Sabine Tamisier j’ai pris plaisir à découvrir la langue si particulière de ces deux personnages, leurs accidents de langage et leur rythmique enfantine. Dès le départ, j'ai entendu la nécessité d'une musique.</p> <p>  </p> <p> <u>Alors pourquoi l’accordéon ?</u></p> <p> Parce que ce texte a fait resurgir en moi des souvenirs d’enfance, me cueillant au plus intime, l’accordéon s’est alors imposé, comme une évidence. Des images de mon grand-père jouant de l’accordéon, ont éveillé en moi ce désir si étonnant de transmission, d'héritage poétique...</p> <p> Comme Alma, nous avons tous des petites musiques dans la tête, des ritournelles qui nous accompagnent.</p> <p> Avec subtilité et pudeur, j’ai envie que l’accordéon révèle chaque petite émotion, chaque grand bouleversement de ces deux personnages. </p> <p> Entre silence et vacarme, l’accordéon accompagnera ces deux enfants dans leur quête de sens, dans leurs vibrations internes, dans leurs solitudes et dans leur rencontre…</p> <p> Entre tristesse et  musiques festives, entre ponctuation et véritable ritournelle… l’accordéon invitera au voyage, à l’imaginaire, au grand air aussi…</p> <p> Pour ce spectacle, la musique devra vibrer « en live », elle devra être une création originale, une œuvre unique, éphémère, fragile, sensible, au plus proche de nos vibrations internes. L’accordéoniste deviendra un personnage à part entière, entre guide, joueur du temps, metteur en jeu, et révélateur des émotions…</p> <p>  </p> <p> Marjolaine Baronie</p> <p> Metteure en scène</p> <p>  </p> <p> <strong>* <i><u>Le monde secret de l’enfant</u></i> de Sevim Riedinger, Carnetsnord/ Editions Montparnasse</strong></p> <p>  </p> <p> <img alt="Photoaa2-1415661257" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/136551/photoaa2-1415661257.JPG"><img alt="Photoaa3-1415661338" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/136552/photoaa3-1415661338.JPG"></p> <p>               Photos de répétition/ Résidence au Théâtre Beaumarchais Amboise/ sept 2014  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>NOTE DE MUSIQUE</strong></p> <p>  </p> <p> <img alt="Partition_aa-1415353221" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/135553/partition_AA-1415353221.jpg"></p> <p>  </p> <p> L’histoire de la rencontre d’Anatole et Alma est très brève. Un peu comme le décrit Paul Fort dans son poème « La Marine » chanté plus tard par Brassens, les histoires courtes sont parfois le condensé de toute une vie. C’est ce que je ressens pour Anatole et Alma et ce qui me guide pour la composition des musiques. En à peine une journée, ils vont découvrir à quel point ils s’aiment, se détestent, se ressemblent, grandissent au contact de l’autre, aiment jouer ensemble, aiment jouer à jouer. A ce titre, la palette musicale est vaste tant l’espace-temps de la plage où les protagonistes se rencontrent est éclaté ; et je peux aller m’appuyer sur une sensation furtive, une idée étrange qui traverse l’esprit d’Alma, un agacement d’Anatole, le sentiment d’abandon qui le hante… La manière dont se tisse la partition est très collective. Nous sommes actuellement en phase de recherche et chacun rebondit sur la proposition de son voisin ! C’est parfois l’improvisation d’Emilie et Anthony qui m’entraîne vers un thème, une façon de jouer, saccadée ou mélancolique, très sérieuse ou délirante… Un mot de notre metteure en scène et tout se transforme ; un coup de soufflet et Alma s’effondre en larmes. Le travail continue dans ce sens, et à mesure que les intentions de mise en scène s’affirment, la partition prend corps et de véritables thèmes s’écrivent ; des thèmes de jeu, de tendresse, et de sâteaux de chable !</p> <p>  </p> <p> <strong>Fred Ferrand, créateur musical et accordéoniste</strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>NOTE SCÉNOGRAPHIQUE</strong></p> <p>  </p> <p> <img alt="Photo_1-1414762137" height="301" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/133159/photo_1-1414762137.JPG" width="403"></p> <p>  </p> <p> Dans ce texte écrit en 7 séquences courtes, le schéma de circulation des personnages est clair. Anatole et Alma évoluent d’abord individuellement, pour finalement se rencontrer, échanger leurs points de vue et repartir chacun de leur côté. Cette rencontre changera leur perception.</p> <p>  </p> <p> Les espaces d’intimité (chambres) que l’on retrouve au début et à la fin du texte, seront constitués de modules de bois emboîtés, solidarisés, un temps, et qui se transformeront en ponton, lieu d’impact de la rencontre des personnages dans un second temps. Lointain cour, ils offriront le refuge de la tanière dans laquelle les enfants iront se blottir. L’espace de jeu pourra alors se développer sous le ponton, espace restreint et intime, sur celui-ci, espace de la visibilité infinie, de l’exploration et enfin devant, lieu du jeu et de tous les possibles.</p> <p> Au lointain, un cyclo blanc permet de retranscrire l’immensité et la luminosité des paysages marins, ainsi que d’offrir la possibilité d’un contre-jour.</p> <p>  </p> <p> Au sol, l’espace sera délimité par un tapis de couleur clair qui permet de circonscrire l’action et de jouer sur la notion de limite, la frontière entre le noir du plateau, sorte de no man’s land et l’infini de la plage...</p> <p> Dans la zone de non-lieu qui entoure l’espace central, se trouvera le musicien, dans un espace miniaturisé de la scénographie globale, une sorte de rappel un lien permanent avec les autres personnages.</p> <p>  </p> <p> <strong>Tiphaine Monroty, scénographe</strong></p> <p>  </p> <p> <img alt="Photo_3-1414762166" height="304" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/133160/photo_3-1414762166.JPG" width="409"></p> <p>  </p> <p> Photo de répétitions, Théâtre Beaumarchais, Amboise, septembre 2014</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>ANATOLE ET ALMA // Les actions culturelles</strong></p> <p>  </p> <p> <strong>RESIDENCE ARTISTIQUE</strong></p> <p> <strong>DANS UNE ECOLE MATERNELLE/ PRIMAIRE</strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> Bobine etc… part en chantier sur une nouvelle création jeune public, avec <strong><em>« Anatole et Alma » de Sabine Tamisier, mis en scène par Marjolaine Baronie.</em></strong></p> <p>  </p> <p> Partant du postulat que pour créer un spectacle pour de très jeunes spectateurs, il est essentiel de venir à leur rencontre, l'équipe artistique d'Anatole et Alma a souhaité inviter des élèves d’école maternelle et primaire à suivre les différentes étapes de la création « Anatole et Alma ».</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Les_aydes-1415660449" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/136549/les_aydes-1415660449.jpg"></p> <p> Janvier 2014, l'équipe d'Anatole et Alma en résidence en école maternelle.</p> <p>  </p> <p> L’école intercommunale maternelle/primaire des Aydes (Orléans/Saran) a donc accueilli l’équipe d’Anatole et Alma pour sa première semaine de répétition (janvier 2014) et sera invitée à suivre toutes les étapes du processus de création, jusque à la première représentation publique (janvier 2015 au Théâtre de la Tête Noire, Saran).</p> <p>  </p> <p> Sous forme de résidence et ou d’ateliers plus ponctuels, nous élaborons en partenariat avec les enseignants tout un travail périphérique autour du spectacle. Nous tenterons de tisser un lien entre l’équipe artistique (metteure en scène, comédiens, musicien, créateur lumière, scénographe, auteure, illustratrice…) et les enfants et le corps enseignant de l’école.</p> <p>  </p> <p> <strong>                                                                                                                                    ATELIER DU SPECTATEUR //                                                                                          </strong><strong>UN ACCOMPAGNEMENT A DEVENIR SPECTATEUR</strong></p> <p>  </p> <p> L’équipe de bobine etc… travaille en parallèle de la création sur un projet pédagogique, un ATELIER DU SPECTATEUR : un dossier pédagogique et des propositions d’ateliers à destination des enseignants qui accompagneront le spectacle pendant sa diffusion: ateliers d'écriture, de dessin, de conception graphique d'une affiche, de construction plastique, d’écoute musical, l'atelier philosophique, lecture à voix haute, jeu théâtral....en lien avec le spectacle.  Ces ateliers peuvent également être menés par des membres de l’équipe artistique.</p> <p>  </p> <p> L'atelier du spectateur se développe ainsi en plusieurs étapes pour permettre à l’enseignant de développer un projet de classe et par la même une cohésion de groupe afin d’aborder de manière ludique certains aspects du programme de l’éducation nationale, la découverte du spectacle vivant, l'écriture théâtrale contemporaine, le plaisir de l’imagination et du jeu.</p> <p>  </p> <p> Ce projet pédagogique est amené à se décliner et s’enrichir au gré des envies d’enseignants ou de porteurs de projets.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>ANATOLE ET ALMA // Agenda</strong></p> <p>  </p> <p> <strong>Résidence 1 : Lundi 20 janvier au vendredi 27 janvier 2014 + lecture publique</strong></p> <p> <u>du 20 au 24 janvier 2014 :</u></p> <p> A l’Ecole maternelle des Aydes (Orléans)</p> <p> Temps d’observation et d’expérimentation avec les grandes sections de l’école maternelle</p> <p>  </p> <p> <u>Lundi 26 janvier et mardi 27 janvier 2014</u> :</p> <p> Répétition dans le studio du Théâtre de la Tête Noire avec une lecture publique du texte</p> <p>  </p> <p> <strong>Résidence 2 : Du lundi 19 au mardi 27 mai 2014 </strong></p> <p> Au Théâtre de la Tête Noire, Saran</p> <p> Répétition avec les comédiens et le musicien, travail scénographique…</p> <p>  </p> <p> <strong>Résidence 3 : 15 septembre - 20 septembre 2014</strong></p> <p> Au Théâtre municipal d’Amboise</p> <p> Travail avec les comédiens et musicien, travail scénographique….</p> <p>  </p> <p> <strong>Résidence 4 : 17 novembre - 25 novembre 2014</strong></p> <p> Au Théâtre Gérard Philipe, Orléans</p> <p> Travail avec les comédiens et musicien, travail scénographique et création lumière….</p> <p>  </p> <p> <strong>Résidence 5 : 06 au 15 janvier 2015</strong></p> <p> Au Théâtre de la Tête Noire à Saran</p> <p> Travail avec les comédiens et musicien, travail scénographique et création lumière</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>ANATOLE ET ALMA // Représentations</strong></p> <p>  </p> <p> <strong>Théâtre de la Tête Noire, Saran (45) :</strong></p> <p> Du vendredi 16 au 20 janvier 2015 : 7 représentations</p> <p>  </p> <p> <strong>Théâtre de Saint Jean de Braye (45) :</strong></p> <p> Du jeudi  19 au vendredi 20 mars 2015 : 3 représentations</p> <p>  </p> <p> <strong>La Halle, Mer (41) :</strong></p> <p> Samedi 27 juin 2015 : 1 représentation tout public</p> <p>  </p> <p> D’autres dates restent à définir…</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>ANATOLE ET ALMA</strong> // L'équipe artistique</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>L’AUTEURE // SABINE TAMISIER</strong></p> <p>  </p> <p> <strong>PARCOURS / BIO-BIBLIOGRAPHIE</strong></p> <p> Sabine Tamisier est née en 1973 à Pertuis (84) et vit actuellement à Aubagne. Plusieurs de ses textes ont été publiés aux Editions théâtrales. Elle est régulièrement lauréate de prix et de bourse d'écritures théâtrales.</p> <p>  </p> <p> Bibliographie sélective :</p> <p>  </p> <p> <u>Aux Editions théâtrales :</u></p> <p> <i>Galino</i>. (2013).Commande du Théâtre de la Tête Noire, scène conventionnée pour les écritures contemporaines à Saran (45). </p> <p> <i>Nina ? (Épilogue</i><i>).</i> (2011). Bourse d’encouragement du Centre National du Livre, 2007. </p> <p> <i>Sad Lisa</i>. (2010). Texte lauréat du Prix d’écriture Théâtrale de la ville de Guérande et des Journées de Lyon des auteurs de théâtre en 2009. </p> <p>  </p> <p> <strong><u>Chez d'autres éditeurs :</u></strong></p> <p> <i>Casa Nostra.</i><i> </i>Éditions le Mot et le Reste (2009), Revue Nioques # 5.</p> <p> <i>Les Blés. </i>Éditions Espaces 34 (2007). </p> <p> .</p> <p>  </p> <p> <strong><u>Et en poésie :</u></strong></p> <p> <i>Un jour, je serai paysanne</i> (2009). Extraits parus en octobre 2010 dans le premier numéro de la revue de poésie sonore Camion n°0, Éditions Sonato.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>METTEURE EN SCENE // MARJOLAINE BARONIE</strong></p> <p>  </p> <p> Metteure en scène et comédienne, elle fonde le collectif bobine etc… en 2003.</p> <p> Au sein de la compagnie, elle met en scène <strong>Kids </strong>de Fabrice Melquiot et <strong>Monsieur Satie, l'homme qui avait un petit piano dans la tête </strong>de Carl Norac. Elle est comédienne dans les spectacles de la compagnie <strong>K-baré, Labo-odeur,  Le regard doux de la tortue, Les Sisyphes, il faut les imaginer heureux</strong> chorégraphie Mariam Faquir, <strong>C’est dans la boite </strong> et <strong>TOC TOC à la porte de la petite maison </strong>mise en scène Myriam Attia.</p> <p> Elle est également comédienne avec Patrice Douchet <strong>: Louise /Les ours</strong> de Karine Serres, <strong>Scène de chasse en Bavière</strong> de Martin Sperr/ Bastien Crinon <strong>: Sandy, comment sculpter sa vie</strong>/ Emmanuelle Lenne et Patrick Navatte : <strong>Qu’est-ce que c’est ce cirque</strong> et <strong>ECOL</strong>/  Mathieu Jouanneau <strong>: Nicolaï ou la véritable histoire du père Noel</strong> /Martine Héquet : <strong>L’albatros</strong> de Fabrice Melquiot (mise en espace)/ Marie Landais : <strong>Le Tignous</strong> de Marc-Michel Georges / Guislaine Agnès : <strong>Ce soir je me jette à l’encre…</strong></p> <p> Elle travaille régulièrement avec le Théâtre de la Tête Noire. Elle met  en espace <strong>Face de cuillière</strong> de Fabrice Melquiot, <strong>Le chant de Georges Boivin</strong> de Martin Bellemare dans le cadre des Festivals Text’ Avril. Elle a en charge le dispositif Valise Théâtre et participe  comité de lecture.</p> <p> En 2012, Elle intègre l’Unité de Lecture Mobile (Centre Hospitalier Régional d’Orléans).</p> <p> En parallèle, elle est intervenante théâtre auprès de divers publics (Centres de demandeurs d’asile, mineurs isolés, écoles, maisons de quartier, personnes en situation de handicaps, ERTS, …). Elle mène également des ateliers « lire le théâtre à voix haute ».</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>ASSISTANTE A LA MISE EN SCENE // MYRIAM ATTIA</strong></p> <p>  </p> <p> Comédienne, clown et metteure en scène, elle est formée au clown par Ami hattab, Lory Leshin, Pierre Bylan, Michel Dallaire… et au théâtre par Luis Jaime Cortès, Patricia Jais, Tapa Sudana, Mas Soegeng…</p> <p> Elle intervient régulièrement comme clown à l’hôpital avec la Cie du Rire Médecin depuis 2007.</p> <p> Depuis 1997, elle a joué comme clown ou comme comédienne dans différentes compagnies, le Théâtre de L’Envie, la Cie Moitié Raison Moitié Folie(84), le Théâtre Organic, La Mauvaise Herbe, Cie Bazar bazar, Cie L’Eau qui dort, Le p’tit piano sans bretelles…. Elle a coécrit et joué <strong>Big Bang Bang Bang</strong>, spectacle clownesque et cosmologique.</p> <p> Au sein de bobine etc… elle écrit et met en scène <strong>« C’est dans la boite</strong> », spectacle clownesque avec des adultes en situation de handicap en coréalisation avec le théâtre de Céphise. Dernièrement, elle met en scène « <strong>Toc toc à la porte de la petite maison</strong> », spectacle à partir de 18 mois. Elle participe egalement au stage initiation au spectacle vivant, auprès de différents public et mène des ateliers/ stage de clowns.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>COMEDIENS // ANTHONY LOZANO</strong></p> <p>  </p> <p> Il obtient en  2011 le Diplôme d’Etudes théâtrales (DET) qu’il a préparé au Conservatoire d’Orléans, pendant deux années, dans le Cycle d’Enseignement Professionnel Initial Théâtre (CEPIT) sous la direction de Fabrice Pruvost.</p> <p> En Août 2010, il décide de compléter sa formation et part pendant un mois à Minsk, en Biélorussie pour un stage professionnel, donné par les professeurs de l’Académie des Arts de Minsk, à la découverte de la formation russe selon Stanislavski. Pendant un mois, il y exerce le chant lyrique, l’acrobatie, la danse classique, le rythme, la biomécanique, les claquettes et l’interprétation.</p> <p> Depuis sa sortie du Conservatoire il joue sous la direction de Thierry Falvisaner, Mathieu Jouanneau et part en tournée pendant plus d’un an avec la compagnie du Théâtre de l’Eventail, dirigée par Raphaël De Angelis.</p> <p> En parallèle, Anthony continue de se former en participant à des stages d’interprétation, notamment dirigés par Jean-Pierre Baro, Pascal Kirsch ou Xavier Gallais…</p> <p> En 2013, il fonde, avec trois de ses camarades d’études, son collectif Mind The Gap.</p> <p>  </p> <p> <strong>EMILIE PREVOSTEAU</strong></p> <p>  </p> <p> Entrée au Conservatoire d'Art Dramatique d'Orléans à l'âge de seize ans, elle continue ses études en hypokhâgne à Orléans puis en licence de Lettres Modernes par correspondance à Paris III.  Elle intègre le Cycle d’Enseignement Professionnel Initial Théâtre (CEPIT) au Conservatoire d’Orléans sous la direction de <strong>Christophe Maltot </strong>puis de <strong>Fabrice Pruvost</strong>. Elle travaille avec <strong>Redjep Mitrovitsa</strong>,<strong> Jean-Marie Villégier</strong>,<strong> Christiane Cohendy</strong>,<strong> Philippe Lebas, Philippe Lardaud</strong>,<strong> Mazen Kiwan</strong>,<strong> Frédéric Maragnani</strong>,<strong> Bernard Pico</strong>. Elle obtient son Diplôme d’Etude Théâtrale (DET) en mettant en scène et jouant <em>Créanciers </em>d’August Strindberg. En 2008, elle entre à l'Ecole Nationale Supérieure d'Art Dramatique de l'<strong>ERAC</strong>, promotion 19. Elle travaille avec divers intervenants tels qu’<strong>Elisabeth Mazev</strong>, <strong>Valérie Dréville</strong>, <strong>Charlotte Clamens</strong>,<strong> Youri Pogrebnitchko</strong>,<strong> Robert Cantarella</strong>,<strong> Hubert Colas</strong>,<strong> Béatrice Houplain</strong>,<strong> Alain Zaepffel</strong>,<strong> Albert Jaton</strong>,<strong> Michel Corvin…</strong></p> <p> Elle devient élève-comédienne à la Comédie Française pour la saison 2011-2012 où elle travaille avec <strong>Christophe Rauck</strong> pour <em>Le Mariage de Figaro</em> dans le rôle de Fanchette, avec <strong>Eric Ruf</strong> dans <em>Peer Gynt</em> dans le rôle d’Helga, avec <strong>Jérôme Deschamps</strong>, <strong>Anne Kessler</strong>, <strong>Muriel Mayette</strong>, <strong>Eric Génovèse, Laurent Stocker</strong>...Au sein du Français, elle s’investit dans plusieurs « Carte Blanche » : en mise en scène pour <em>Le Magnifique</em>, création autour de textes du poète Saint-Pol-Roux, en co-mise en scène et jeu dans <em>Ceux de chez nous, </em>création autour des mémoires des acteurs tels que Rachel, Sarah Bernhardt, Talma et en jeu dans <strong><em>Sur-Prise</em></strong> monologue écrit et mis en scène par <strong>Amine Adjina</strong> au Théâtre du Vieux Colombier inspirée de la vie de Marilyn Monroe.</p> <p> A la rentrée 2012, elle a été <em>Princesse Maleine</em> de Maeterlinck dans la mise en scène de <strong>Suzanne Aubert</strong> au JTN et elle jouera en mars 2013 dans <em>Phèdre</em> de <strong>Michael Marmarinos</strong> à la Comédie Française.</p> <p> Elle joue Matriocha dans <em>La Confession de Stavroguine</em> (extrait <em>les Démons</em>) de Dostoïevski, mis en scène par <strong>Guillaume Mika</strong>, à Hyères en octobre 2013, avant de reprendre pour un mois et demi <em>Sur-Prise</em> de <strong>Amine Adjina</strong>, au Théâtre des Déchargeurs.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>MUSICIEN / ACCORDEONISTE // FRED FERRAND</strong></p> <p>  </p> <p> Il débute l’accordéon chromatique dans la petite école de musique de Nemours (77) et s’initie aux répertoires musette et classique. Aiguillé quelques années plus tard vers Thierry Bretonnet, il découvre une musique plus moderne, jazz, swing.</p> <p> De 2002 à 2007, c’est en amateur, dans le bon sens du terme, qu’il continue sa pratique de l’instrument  et s’initie à l’improvisation, alors qu’il mène en parallèle ses études aux Beaux-Arts d’Orléans. Durant ces années, il marie différentes disciplines et va obtenir son diplôme de fin d’étude avec « <strong>Passer la ligne</strong> » ; un spectacle pour un comédien, une danseuse et sept musiciens, qu’il met en scène, et dont il écrit la musique. C’est également l’époque de <strong>Karmalouch Orchestra</strong>, groupe de jazz manouche, avec lequel il prend de l’aisance sur scène et  pour lequel il compose quelques musiques.</p> <p> Son implication dans des groupes très différents développe petit à petit un style riche, aux multiples facettes. Improvisateur virtuose dans le groupe de musique tsigane <strong>Dzaw Dzaw</strong> ; co-arrangeur et musicien dans le spectacle de cabaret « <strong>Chansons dégénérées</strong> » dans lequel il accompagne Jérôme Marin en compagnie d’Angèle Leroy, sur des musiques de Kurt Weil ; il participe à la création de la Scène Nationale d’Orléans « <strong>Sous l’Ombrelle</strong> », spectacle de danse contemporaine et de chanson avec notamment François Chaignaud et Jérôme Marin. Compositeur dans le groupe « <strong>Albert Tandem</strong> », fondé en 2010, dans lequel il accompagne le parolier Arnaud Roi, Muriel Blondeau et Laure Borettaz. Ses expériences les plus récentes sont <strong>« Cabaret Berlin »</strong> de Jérôme Marin en 2011, <strong>« Le septième conte »</strong>, spectacle pour enfants écrit et mis en scène par Manouchka Recoché et pour lequel il compose et joue sur scène. Enfin, il fonde le <strong>Fantasy Orkestra</strong>, octet de bal plus ou moins musette et loufoque.</p> <p> C’est aussi grâce aux remplacements qu’il effectue dans certains projets qu’il élargit considérablement son répertoire. Ainsi, il se met dans la peau de Florent Sepchat pour « Le balluche de la saugrenue », Jacques Trupin pour le spectacle de théâtre d’objet « La balle rouge »,  ou Pascal Mahé dans la pièce de théâtre « La boîte à frissons ».</p> <p> Quand il n’est pas sur scène, Fred Ferrand compose pour d’autres projets ; il écrit les musiques de certaines chansons de Louisa Mauer, Valérian Renault et tout un répertoire pédagogique pour différents ensembles musicaux qu’il expérimente dans les écoles de musique où il enseigne l’accordéon depuis 2006.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>ANATOLE ET ALMA // L'équipe technique</strong></p> <p>  </p> <p> <strong>CREATEUR LUMIERE // JONATHAN DOUCHET</strong></p> <p>  </p> <p> Jonathan Lumière réalises des créations lumière de nombreux spectacles de Patrice Douchet, Christophe Maltot, Bastien Crinon, Marjolaine Baronie, Elsa Royer, Christophe Ivanès, Dimitri Hatton, Cécile Loyer...</p> <p> En 2013 il devient formateur pour la marque de console lumière AVAB.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>SCENOGRAPHE // TIPHAINE MONROTY</strong></p> <p>  </p> <p> Tiphaine Monroty collabore avec les compagnies Maringote, en Compagnie des hommes, Juste après… et les metteurs en scène Simon Deletang, Philippe Delaigue. Simon Delattre. Elle assiste également le scénographe costumier André Barbe pour une commande de l’Opéra de Stockholm. Elle travaille également en régie plateau et machinerie pour les metteurs en scène Guillaume Vincent, Christophe Rauck, Philippe Delaigue, Alice Laloy (Cie s’appelle reviens) ainsi qu’en création lumière pour les compagnies Juste après et Rodéo théâtre.</p>