Betty Colls
<p><img src="http://www.test.twid.fr/betty_colls_web/betty_colls.png" alt="betty" width="497" height="497"></p>
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<p><strong>RÉSUMÉ</strong></p>
<p>Ce soir-là, à Paris, le ciel est violet. Arisky sait qu’il va se passer quelque chose. Il donne alors rendez-vous à Henry pour partir à la recherche de ce qu’il pressent. Sur son trajet, dans un Paris déserté, Henry croise une jeune fille prénommée Betty, sur le point de se suicider… De faits divers en faits divers, déambulant dans les rues de Paris, l’ordinaire de Betty Colls et de ses nouveaux amis a été, ce soir-là, perforé et l’extraordinaire a surgi.</p>
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<p><strong>NOTE D'INTENTION</strong></p>
<p>Si par sa forme, cette pièce peut paraître quelque peu fantasque et maniérée, son propos est, quand à lui, terriblement concret et quotidien. Cette pièce traite de l’ennui, ou plus précisément du refus de l’ennui, de cette énergie déployée à « provoquer l’extraordinaire », comme nous le hurle Arisky. A vivre absolument quelque chose qui le ferait se sentir vivant. Une énergie qui l’amènera à être parfois gênant et souvent en décalage avec ce que l’on peut attendre habituellement d’un quidam. Nous suivons donc deux amis assoiffés d’extra-ordinaire arpentant un Paris à la saveur anachronique. On s’imagine tantôt à la terrasse des Deux Magots sortant d’une vieille DS rutilante, tantôt en meute aux pieds des escalators de la Gare de Châtelet – Les Halles.<br><br>Nos deux protagonistes sont des jouisseurs. Cela commence par le verbe et leur façon de conjuguer un vocabulaire qui fait le grand écart entre l’aristocratique et un argot de la rue. Cela transpire ensuite dans leur démarche et dans leur désir de ne rien se refuser. Toute personne qu’ils croisent est une aventure possible qu’ils vont s’efforcer de cueillir. Pour s’amuser dans un premier temps, puis pour en extraire du vivant en les poussant à commettre tout ce qui leur semble déraisonnable.<br><br>Et ce soir, parce que le ciel est violet, parce qu’Arisky croit sentir quelque chose, ils sont décidés à consommer jusqu’à l’os ce que Paris va leur offrir en pâture…</p>
<p><iframe src="http://www.dailymotion.com/embed/video/xpq3wh" frameborder="0" width="480" height="270"></iframe></p>
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<p><iframe src="http://www.dailymotion.com/embed/video/xpq4ai" frameborder="0" width="480" height="270"></iframe></p><h2>Qui suis-je ?</h2><p style="text-align: justify;"><img src="http://nsa21.casimages.com/img/2012/03/13/120313032812223888.png" alt="" width="154" height="104" /></p>
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<p style="text-align: justify;"><strong>GHISLAIN D'ORGLANDES </strong>(concepteur visuel et scénographe) Formé à l'école d'arts appliqués Duperré, j'ai participé à de nombreuses créations théâtrales et performances en collaboration avec Paul Jeanson, le metteur en scène de Betty Colls. Nous avons en commun le goût de l'absurde et du surréalisme. J'ai aussi réalisé de nombreuses affiches de théâtre pour la compagnie des Sans cou (Hamlet, Rêves, Cabaret pour tes parents, Le plus heureux des trois, J'ai couru comme dans un rêve). <strong><br /></strong></p>
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<p><img src="http://www.test.twid.fr/betty_colls_web/p_jeanson.png" alt="paul" width="154" height="117" /></p>
<p style="text-align: justify;"><strong><br /><br />PAUL JEANSON </strong>(auteur, metteur en scène, comédien) Formé chez Jean-Louis Martin-Barbaz au Studio Théâtre d’Asnières, il travaille au théâtre sous la direction d’O. Porras dans Les Fourberies de Scapin et L’Eveil du printemps, (Suisse, France, Japon) ; J. Dragutin dans On ne badine pas avec l’amour (Théâtre 95) ; D. Podalydès dans Cyrano de Bergerac d’E. Rostand (Comédie Française) ; B. Besson dans Oedipe Tyran de Sophocle (Comédie Française) ; S.Douret dans Le Mandat de N. Erdman (Théâtre 13). Depuis 2004, il est l’un des membres fondateurs de la Compagnie Les Sans Cou pour qui il coécrit avec R.Cottard Banquet à Babarville, créée au Théâtre de la Main d’Or sous la direction d’I. Mendjisky. Suivent en 2007, La Lamentable tragédie du cimetière des éléphants et Le plus Heureux des trois d’E. Labiche au Ciné 13 Théâtre. Plus récemment, on l’a vu dans leurs dernières créations : Masques et Nez et J'ai couru comme dans un rêve (Théâtre de l'Atalante).<br /><br /> </p>
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<p><img src="http://www.test.twid.fr/betty_colls_web/o_clavie.png" alt="ophelie" width="154" height="117" /></p>
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<p style="text-align: justify;"><strong>OPHÉLIE CLAVIE</strong> (comédienne) Une année initiatique en Océanie et une master class à Minsk en poche, Ophélie joue le rôle de Nina dans La Mouette de Tchekov mis en scène par Serguei Tarasiouk au OFF d’Avignon 2006. Puis elle intègre le conservatoire du VIIIe arrondissement de Paris sous l’égide d’Elisabeth Tamaris et suit des cours au laboratoire du comédien Jocelyn Muller. En 2007, elle parfait sa formation à l’ENSATT. En 2010, de retour à Paris, elle travaille son jeu devant la caméra avec le coach J. Beswick puis s’envole pour New-York afin de tourner une publicité pour Louis Vuitton réalisée par L. Dunmore. Elle enchaîne avec plusieurs courts-métrages : Le Ticket de M. Mokraoui, Le Berger de B.Maire, One night de M. Franco. Parallèlement, sur les planches du Ciné 13 Théâtre, C. Aubert et A.Pfeiffer la dirige dans J’ai toujours rêvé d’être une connasse, sauf moi.</p>
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<p><img style="float: left;" src="http://www.test.twid.fr/betty_colls_web/b_bernini.png" alt="bastien" width="154" height="115" /></p>
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<p style="text-align: justify;"><strong>BASTIEN BERNINI </strong>(comédien, scénariste, réalisateur) Trois années au conservatoire du Ve arrondissement permettent à Bastien d'être repéré et d'obtenir un premier rôle dans Chrysalide, long-métrage de J. Romana tourné au Brésil et en Guyane. Bruno Wacrenier le met en scène dans L’Echange de Claudel, Hamlet de Shakespeare et Sans titre de García Lorca. Il tourne ensuite au cinéma avec Patrice Chéreau (Persécution), Anne Le Ny (Les Invités de mon père) et plus récemment Leos Carax (Holly Motors). Il est choisi pour être Talent Cannes ADAMI en 2010 et puis lors du festival d'automne, il joue Push Up de R. Shimmelpfennig dans une mise en scène de Marcial Di Fonzo Bo au 104. Jeune réalisateur et scénariste, il est actuellement en préparation de son troisième film.</p>
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<p><img src="http://www.test.twid.fr/betty_colls_web/s_furst.png" alt="sophie" width="156" height="116" /></p>
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<p style="text-align: justify;"><strong>SOPHIE DE FÜRST</strong> (comédienne) Après avoir fait différentes écoles de théâtres dont le conservatoire VIIe, Blanche Salant, Paul Weaver et des stages avec Jack Waltzer, elle joue, entre autres, Juliette dans Romeo et Juliette mis en scène par Denis Llorca, puis Agnés dans L’Ecole des femmes mis en scène par Anne Coutureau. En parallèle, elle joue dans des téléfilms tel que La loi de mon pays de Dominique Ladoge, Dans la peau d'une grande de Pascal Lahmani, Insoupçonnable de Benoit d'Aubert, Prise de tête de Bruno Garcia. Puis au cinéma dans L'oncle Charles d'Etienne Chatiliez.</p>
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<p><img src="http://www.test.twid.fr/betty_colls_web/p_launoy.png" alt="paul" width="154" height="117" /></p>
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<p style="text-align: justify;"><strong>PAUL DE LAUNOY </strong>(comédien, auteur, metteur en scène) Paul suit une formation dramatique au Cours Simon et intègre aussitôt la Cie du Chertemps avec qui il travaille les grands rôles de Molière et de Beaumarchais. En parallèle, on lui commande des textes qu’il met en scène pour des événements culturels. Sous la direction d’Aurore Guitry (Le Cirque de don Juan), de Marcel Bluwal (A droite toute), de Bertrand Tavel (Tartuffe, Le Misanthrope), de Michael Lonsdale (Pomogui), de Bernard Stora (Le grand Charles) ou plus récemment d'Emilie Chevrillon et de Coralie Maniez (Si et autres pièces courtes de Ionesco), de Laurent Ferraro et de Benjamin Bellecour (Georges, M.C des Mises en Capsules) et de Patrick Piard (Célébration, Sketches), il participe ainsi à divers projets théâtraux et télévisuels.</p>