Bulle, la wasserette mobile

une deuxième Bulle sur les routes de Bruxelles; challenge pour 2020 !

Project visual Bulle, la wasserette mobile
Successful
235
Contributions
16/03/2019
End date
€11.236
Out of €10.000
112 %

The publications

<p>C'est super, déjà 100% de notre premier objectif atteint ! Et ça continue à grimper ! Nous tenons sincèrement à tous vous remercier pour le soutien et la confiance dont vous nous témoignez via vos nombreux "like", partages, articles consacrés et dons.</p> <p>Ensemble tentons d'atteindre un deuxième palier de 15000€ qui nous permettra d'aller encore plus loin dans le développement de la Bulle.</p> <p>Ce projet est également le votre et sans vous on ne pourrait pas continuer. Nous sommes émus par votre générosité qui nous confirme que nous avançons dans la bonne direction. Encore une fois un grand grand merci à tous, vous nous donnez chaud au cœur.</p> <p>N'hésitez pas à vous abonner à notre page facebook pour être mis au courant de toute l'actualité de la Bulle, https://www.facebook.com/Bulleasbl/ .</p> <p> </p> <p>Une très bonne journée à tous,</p> <p>Des bisous et des bulles,</p> <p>L’équipe <a href="https://www.facebook.com/Bulleasbl/">BULLE ASBL</a></p>
<p>  <img alt="Assets" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/assets/"> Déjà <strong>140 permanences</strong> effectuées depuis l’entrée en action des machines de la Bulle, “wasserette mobile”, sur le territoire bruxellois. Près de 500 heures passées à lessiver et sécher le linge des <strong>sans-abri</strong> de la capitale de l’Europe. Plus d’un millier de lessives pour sept à huit tonnes de vêtements, de couvertures, de sacs de couchage brassés, nettoyés, rendus propres à leurs utilisateurs. Mais ce n’est pas suffisant. C’est loin d’être suffisant.  En région bruxelloise, on estime leur nombre (source: La Strada) à quelque<strong> quatre mille personnes vivant dans la rue</strong>. Faites le compte: à raison de trois kilos de vêtements sales apportés par chacune à la Bulle, c’est douze tonnes de linge que celle-ci devrait traiter... chaque semaine. Irréaliste, utopique? Oui bien sûr. Quatre mille, c’est beaucoup trop pour notre encore très modeste action de terrain. Mais c’est deux fois moins que ce que Bruxelles compte d’habitants au km2, soit 7.500, pour un total de 1,2 million.  Imaginons maintenant que 0,1% seulement de cette population locale, 1.200 personnes généreuses, se sentant concernées par la <strong>problématique </strong>du sans-abrisme, prennent soudain <strong>conscience </strong>de nos besoins matériels et acceptent sans plus tarder de financer à travers ce <strong>crowdfunding </strong>sur KissKissBankBank le déploiement du projet BULLE. Ne serait-ce qu’à hauteur de 10 euros chacune, comme si elles donnaient 2,50 € à quatre sans-abri. Vous croyez que c’est trop demander? C’est combien, pensez-vous, le prix de la <strong>solidarité </strong>? Parmi les bénévoles de la Bulle, il y a aussi, désormais, quelques sans-abri. Eh oui. Faut-il donc être soi-même dans la précarité pour, dans cette société d’égoïsme et d’indifférence, commencer à se préoccuper des autres? <strong>L’équipe Bulle </strong></p>