Caylah, l'âme Malgache du slam .... En tournée !
<p><strong>Après une mini-tournée en février</strong> (Paris, Le Havre, Tarbes), Caylah revient en Europe <strong>pour sa première grande série de concerts en octobre et novembre.</strong> Afin de vous plonger dans une atmosphère magique et lointaine, elle sera entourée cette -fois-ci de ses musiciens. <strong>Caylah part sur les routes de France, Belgique et Suisse </strong>pendant un mois au gré des salles de spectacle qui l'accueillent. </p>
<p><strong>Soutenez la chance de sa vie : se faire connaître</strong> au-delà des frontières de son pays !</p>
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<h3><strong>Caylah, un succès immédiat !</strong></h3>
<p><strong>À seulement 24 ans</strong>, <strong>Caylah</strong>, Malgache originaire d’Antananarivo, est un phénomène. Repérée sur Youtube, avec son clip « Madagascar » en janvier 2016, la jeune femme engrange <strong>plus de 100.000 vues en un mois </strong>dans un pays, où à peine 5 % de la population ont accès à Internet. Cette exposition lui permet d’enchaîner les concerts dans les bars, puis dans les salles de province, les Instituts Français de la Grande Ile et enfin à l’étranger.</p>
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<p>Elle participe à l'<strong>ouverture du sommet de la Francophonie</strong> devant un parterre de <strong>chefs d'état</strong> en novembre de la même année. Caylah prépare sa tournée d'octobre et novembre depuis un an. Pour la slameuse, partager sa musique et ses textes, est essentiel afin de faire connaître son pays. De plus, cette activité lui permet de <strong>poursuivre ses activités de solidarité</strong>.</p>
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<h3><strong>Une artiste au grand cœur</strong></h3>
<p>Caylah met son talent au service des grandes causes, comme la <strong>dénonciation des difficultés sociales à Madagascar</strong>, le soutien aux femmes battues, l’accompagnement des filles-mères. Elle organise d’ailleurs, pour l’association « Aina Enfance et Avenir », des <strong>ateliers de slamothérapie</strong>, qu’elle a conçus pour libérer la parole des victimes. « Guérir les maux par les mots », telle est sa devise. Elle s'investit dans le sommet du bien social de l'ONU.</p>
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<h3><strong>Un talent hors pair d'improvisatrice</strong></h3>
<p>Longue chevelure bouclée, dissimulée sous une large capuche, <strong>Caylah</strong> arpente les rues sous la pluie, à la recherche de l’inspiration, dans les <strong>bas quartiers, comme dans les endroits les plus huppés </strong>de la capitale de Madagascar. Elle parle aux gens, vit parmi eux, vibre de leur récit, qu’elle met en musique. « Madagascar, aujourd’hui tu es souillée par le Malgache en costard. Liberté-égalité ? La corruption règne, les riches s’enrichissent, les Malgaches s’entre-tuent. ». À RFI, <strong>Caylah</strong> confie « C’était plus un cri du cœur pour moi».</p>
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<h3><strong>Vers l'avenir, grâce à vous !</strong></h3>
<p>Courtisée par les médias internationaux, tels que <strong>RFI </strong>(Radio France Internationale) qui lui consacre plusieurs sujets, Mouv’ pour lequel elle participe à une session en direct, <strong>TV5 Monde, qui diffuse sa chanson</strong>, et l'<strong>AFP</strong> qui en dresse le portrait, <strong>Caylah</strong> a également participé au <strong>documentaire « Mada Underground », </strong>de Philippe Chevallier et Denis Sneguirev, sur la culture urbaine de Madagascar, où elle interprète la voix off. Parmi ses rencontres marquantes, Damian Marley, le fils de Bob Marley ou plus récemment au Sénégal, Tiken Jah Fakoly. Son maître à penser : Kery James, le rappeur d’origine guadeloupéenne. Ses chanteurs favoris : Léo Ferré, Barbara et Jacques Brel (lorsqu’il chante Amsterdam).</p>
<h3><strong>Calendrier du projet</strong></h3>
<p><strong>Mai-juin 2018</strong> : contact avec les salles de concerts et les bars.</p>
<p><strong>Juillet 2018</strong> : achat des billets d'avion Paris-Madagascar.</p>
<p><strong>Août 2018</strong> : obtention des visas, signature des contrats.</p>
<p><strong>Septembre 2018</strong> : réservation de la voiture, des logements.</p>
<p><strong>10 octobre 2018</strong> : arrivée de Caylah et de ses musiciens (tournée à Sceaux, Paris, Liège, Bruxelles, et autour de Genève).</p>
<p><strong>22 novembre 2018</strong> : départ de Caylah pour le Maroc (Visa For Music).</p>
<p><strong>Décembre 2018</strong> : débriefing de la tournée (et on prépare la suite !).</p>
<p>A Madagascar, <strong>plus de 90 % de la population vivent sous le seuil de pauvreté</strong>.<strong> Caylah </strong>enchaîne les concerts <strong>pour vivre de son art</strong>. Elle anime des ateliers pour les prisonniers, les fille-mères et libère la parole des plus démunis. La collecte permettra <strong>d'acheter les billets d'avion </strong>(Madagascar est une destination mal desservie et cela coûte très cher), de <strong>louer une voiture</strong> (une Clio confortable), <strong>l'essence</strong> pour aller de ville en ville, le logement et la nourriture.</p>
<p>Nous sommes <strong>quelques volontaires à l'auto-financer</strong>, car nous y croyons !</p>
<p><strong>Guillaume</strong>, reporter et présentateur radio, baroudeur, 40 ans et <strong>fin connaisseur de l'Afrique</strong>. Il a travaillé à Radio France, RFI et RTL. </p>
<p><strong>Laure,</strong> <strong>programmatrice musicale</strong> (Sud Radio, Hit Radio Maroc, Atlantic Maroc...), <strong>passionnée de world music</strong> et de jazz, chargée de communication multimédia.</p>
<p>Voici notre budget :</p>
<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/533552/Budget-1532534847.jpg" width="100%" /> </p>
<p>Pour être totalement transparent, les transferts de fonds sont compliqués à Madagascar, je percevrai donc l'intégralité de la collecte.</p>
<p>Si nous<strong> dépassons notre objectif</strong>, grâce à vous, nous pourrons enregistrer <strong>son premier CD</strong> et - soyons fous - organiser <strong>une nouvelle tournée en 2019 !</strong></p>
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