Contractions, de Mike Bartlett

Une plongée dans le monde de l’entreprise et de ses dérives ! Un texte percutant à l’humour noir. Rejoignez-nous !

Project visual Contractions, de Mike Bartlett
Successful
60
Contributions
30/06/2013
End date
€5.650
Out of €5.000
113 %

Contractions, de Mike Bartlett

<p> <em><strong>"Grâce aux nombreux kisskissbankers, nous avons atteint la somme minimum pour notre spectacle en moins d'un mois! Chaque euro de plus contribuera à donner des ailes à notre projet... Alors pour le mener à bien, continuez à participer à cette collecte ! Merci !"</strong></em></p> <p> <strong>                                                                               Elsa et Yaël</strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> Elsa Bosc et Yaël Elhadad de<strong> La Compagnie la Véraison</strong> présentent au <strong>Festival d'Avignon 2013</strong>, leur nouvelle création qui a besoin de votre soutien !</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="304" src="http://player.vimeo.com/video/64617834" width="540"></iframe></p> <p>  </p> <p> <strong>CONTRACTIONS</strong></p> <p> <strong>de Mike Bartlett</strong></p> <p> Traduction de Kelly Rivière</p> <p>  </p> <p> Création Festival d’Avignon 2013, du 6 au 28 juillet à 16h30</p> <p> Au Théâtre des Halles</p> <p>  </p> <p> Mis en scène et interprété par Elsa Bosc et Yaël Elhadad</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> Création lumières: Virginie Watrinet</p> <p> Scénographie : Elsa Bosc et Yaël Elhadad</p> <p> Administration : Alice Perot-Hodjis</p> <p> Diffusion : Mara Teboul, L'Oeil Ecoute</p> <p> Graphisme: Julien Imbert</p> <p> Teaser: Nicolas Chik</p> <p> Production: Compagnie La Véraison en coproduction avec La Générale, Paris.</p> <p> Pour ce texte, Kelly Rivière a reçu l'aide à la traduction de La Maison Antoine Vitez. La pièce est publiée aux éditions Actes Sud, 2012.</p> <p>  </p> <p> ...................................................................................................................................</p> <p>  </p> <p> <strong>La pièce :</strong></p> <p>  </p> <p> Dans un face à face acéré entre une manager et son employée, Mike Bartlett dissèque avec une écriture percutante et un humour féroce, l’ingérence du monde du travail dans la vie intime des salariés.</p> <p> Convoquée à plusieurs reprises dans le bureau de sa chef, Emma va être soumise à une série d’interrogations sur sa vie privée et sa relation avec un de ses collègues. Dans le monde de <em>Contractions</em>, « aucun employé, membre du bureau ou directeur de l’entreprise ne doit s’engager avec aucun autre employé dans aucune relation, activité ou action qui soit entièrement, principalement ou partiellement de nature qui puisse être qualifiée de sexuelle ou d’amoureuse sans en informer au préalable l’entreprise. »</p> <p> Cet article du contrat est le point de départ d’une spirale infernale.</p> <p> Passant de la tragédie à l’absurdité, nous assistons à la mise en œuvre de l’endoctrinement d’un individu au sein d’une entreprise… Apparait ainsi en filigrane la question du totalitarisme.</p> <p>  </p> <p> ...................................................................................................................................</p> <p>  </p> <p> Nous avons découvert Mike Bartlett il y a 3 ans, avec <em>Mon Enfant</em>, par le biais du comité de lecture de la Maison Antoine Vitez. Tout de suite, la langue de Mike Bartlett nous a interpellées et donné envie de la mettre en jeu, de l’éprouver sur le plateau. La lecture de <em>Contractions</em>, un an plus tard, a renforcé notre désir et notre curiosité.</p> <p> Après un temps de recherches, nous en avons présenté une lecture à la Générale, Paris en mai 2012. L’enthousiasme et les retours positifs du public, professionnels et anonymes, ont confirmé notre intuition et la nécessité de créer ce spectacle.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Visage_web" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/20141/Visage_web.jpg"></p> <p>  ©Elsa Bosc/Julien Imbert                                                                                                                                     </p> <p>  </p> <p> <img alt="Love_contract" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/20449/love_contract.jpg"></p> <p>  </p> <p> <strong>Notre regard sur la pièce:</strong></p> <p>  </p> <p> Jusqu’où une entreprise peut-elle aller au nom de son intérêt ? Jusqu’où peut-elle s’immiscer dans la vie  intime de chacun de ses employés ? Peut-elle aller jusqu’à la contrôler et la diriger, jusqu'à redéfinir la langue et les mots et imposer son propre mode de pensée?</p> <p> Emma se retrouve au centre d’un univers nouveau avec ses codes, sa propre langue. Une langue qui ne revêt pas comme le dit Georges Steiner, «une diversité formelle et existentielle, incommensurable», mais une langue qui cherche à figer, cartographier, réduire ; une langue tout entière au service de la bonne marche de l’entreprise.</p> <p>  </p> <p> Dans un monde où la surveillance est poussée à son maximum grâce aux nouvelles technologies mais aussi grâce aux méthodes plus artisanales de délation, Mike Bartlett pousse ainsi le spectateur à l’interrogation.</p> <p>  </p> <p> Ce que nous souhaitons c’est faire résonner les multiples strates de cette écriture en apparence très simple, et aussi son humour . Car c’est bien l’humour qui peut nous sauver de ces situations et permettre à cette pièce de rester de la science-fiction et non de l’anticipation.</p> <p>  </p> <p> ...................................................................................................................................</p> <p>  </p> <p> <strong>- Extrait -</strong></p> <p>  </p> <p> LA MANAGER-   Qu’avez-vous pensé de l’acte sexuel ?</p> <p>  </p> <p> EMMA-                 Je vous demande pardon ?</p> <p>  </p> <p> LA MANAGER-   L’acte sexuel. Comment le décririez-vous ? Est-ce que c’était bien ?</p> <p>  </p> <p> EMMA-                 Je n’ai pas à vous dire ça.</p> <p>  </p> <p> LA MANAGER-   C’est important que nous sachions quel type de relation vous avez. Une relation amoureuse avec peu ou pas de sexe crée une dynamique de bureau totalement différente d’une relation entre deux collègues ayant une vie sexuelle satisfaisante et régulière. Donc, il est important pour nous de savoir comment c’était.</p> <p>  </p> <p> EMMA-                 Mais je n’ai pas à vous le dire ?</p> <p>  </p> <p> LA MANAGER-   Non. Si nous n’avons pas les faits, nous nous appuierons sur des estimations. Des hypothèses. Préférez-vous que j’émette des hypothèses?</p> <p>  </p> <p> EMMA-                 C’était bien.</p> <p>  </p> <p> LA MANAGER-   Bon.</p> <p> Darren a dit « excellent ».Peut-on s’entendre sur, disons, « très bien » ?</p> <p>  </p> <p> EMMA-                  D’accord.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> ...................................................................................................................................</p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <em>Contractions</em> a été écrite en 2008 par l'un des auteurs les plus brillants de sa génération et créé à Londres au Royal Court Theatre la même année, par la metteure en scène Lindsay Turner, et voici ce qu’en disait la presse :</p> <p>  </p> <p> “<em>…Nous nous précipitons vers une société, insinue Bartlett, qui voit tout et ne comprend rien ; dans laquelle tout, d’un rendez-vous amoureux à la mort d’un enfant, peut être réduit à une série de chiffres, comme une notation financière. (…) Cette pièce là pourrait bien vous prendre aux tripes. C’est d’un comique grotesque – et cela vous glace le sang</em>”</p> <p>  </p> <p> Sam Marlows, <em>Times</em>, 5th June 2008</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Yael" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/20145/Yael.jpg"></p> <p> ©Elsa Bosc/Julien Imbert </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Mike Bartlett:</strong></p> <p> Né en 1980, Mike Bartlett, diplômé de l’Université d’Oxford et de Leeds est un des auteurs les plus connus de sa génération. Après avoir été auteur en résidence au Royal Court Theatre en 2007 puis au National Theatre en 2011, il est actuellement auteur associé de la compagnie Paines Plough. En 2010, sa pièce <em>Cock</em> reçoit un Olivier Award, puis en 2011, <em>Love, love, love</em> reçoit le prix de la meilleure pièce contemporaine aux Theatre Awards UK. Sa pièce radiophonique <em>Not Talking</em> a remporté les prix Tinniswood et Imizon du Writer’s Guild, et <em>Artefacts</em> a été primée au festival Old Vic New Voices. En juin 2012, il a écrit pour le Hampsted Theatre une adaptation des <em>Chariots de feu</em> et en septembre 2012, il a mis en scène une adaptation de <em>Médée</em> dont il a également signé le texte. Il a écrit plus d’une dizaine de pièces pour le théâtre ainsi que pour la radio, la télévision et le cinéma.  Ses pièces, <em>My child, Contractions</em> et <em>Cock</em> ont été créées au Royal Court Theatre à Londres.  </p> <p>  </p> <p> ...................................................................................................................................</p> <p>  </p> <p> <strong>Du texte à la scène - esquisses de scénographie:</strong></p> <p>  </p> <p> Un espace unique, le bureau de la manager</p> <p> Un dialogue entièrement joué face public</p> <p> La  vidéosurveillance à l’œuvre</p> <p>  </p> <p> <img alt="Scene_01e_pastel_fond_noir-1" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/20146/SCENE_01E_pastel_fond_noir-1.jpg"></p> <p>  ©Croquis Maud Lambert</p> <p>                          </p> <p>  </p> <p> <strong>Qui sommes-nous ?</strong></p> <p>  </p> <p> <strong>La Compagnie La Véraison</strong> a été fondée par Elsa Bosc et Yaël Elhadad, comédiennes et metteures en scène. Elles ont commencé leur compagnonnage de théâtre au Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique, dont elles sont issues. La Véraison est née lors de la création de <em>Lettres aux provinciales, juillet 44 </em>, de Véra Bosc. Ce spectacle était mis en scène par Thierry Bosc et Yaël Elhadad et interprété par Elsa Bosc. Il a été créé au Granit, Scène national de Belfort et au CDN de Montreuil en 2003. Depuis il ya eu <em>minuscules</em> de Judith Siboni, mis en scène par Elsa Bosc à La Générale, <em>Je cherche l’or du temps</em> d’après Nadja d’André Breton mis en scène par Emmanuelle Grangé et des laboratoires autour des écritures contemporaines françaises et étrangères : <em>Autour de Steven Berkoff,</em> par Yaël Elhadad, <em>Vous avez des bleus dans votre ciel,</em> soirée "travail" autour de Patrick Bouvet et Mike Bartlett, orchestrée par Elsa Bosc et Yaël Elhadad.  </p> <p>  </p> <p> <a href="http://compagnielaveraison.blogspot.fr" target="_blank">http://compagnielaveraison.blogspot.fr</a></p> <p> <a href="https://www.facebook.com/CompagnieLaVeraison" target="_blank">https://www.facebook.com/CompagnieLaVeraison</a></p> <p>  </p> <p> <strong>-L’équipe artistique -</strong></p> <p>  </p> <p> <strong>Elsa Bosc </strong></p> <p>  </p> <p> <img alt="Elsabosc1kk2" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/20435/ElsaBosc1KK2.jpg"></p> <p>          Elle a suivi les cours du Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique, où elle a travaillé avec Dominique Valadié, Stuart Seide, Caroline Marcadé et Philippe Garrel. Dans le cadre des ateliers du CNSAD, elle joue sous la direction de Stuart Seide, Patrice Chéreau, François Rostain, Stéphane Mercoyrol et Amélie Jalliet.</p> <p>          Depuis sa sortie du Conservatoire, en 1999, elle a joué sous la direction de Jean-Marie Patte (<em>Manque</em> de Sarah Kane, Théâtre de la Bastille), Arlette Bonnard (<em>Monsieur de Pourceaugnac</em> de Molière et Lully, Centre dramatique de la Courneuve), Bérangère Jannelle (<em>Décaméron</em> d’après Boccace, La Ferme du Buisson et <em>Robinson, voyage au pays de nulle part </em>d’après Defoe, Centre Dramatique National de Montreuil), Catherine Anne (<em>Petit </em>de Catherine Anne, TEP), Yaël Elhadad et Thierry Bosc <em>(Lettres aux provinciales</em> de Véra Bosc, Centre Dramatique National de Montreuil), La cie du Centre Dramatique de La Courneuve ( <em>Le songe d’une nuit d’été</em>, de W. Shakespeare), Jean-Louis Martinelli ( <em>Schweyk,</em> de B.Brecht, Théâtre de Nanterre Amandiers), Maria-Cristina Mastrangeli ( <em>Quelques mots pour dire d’où je viens</em>, de Guillaume Hasson, Centre Culturel d’Orly, Théâtre Berthelot à Montreuil), Catherine Riboli (<em>Sganarelle ou le cocu imaginaire</em>, de Molière et <em>As You Like It</em>, de Shakespeare, en Dordogne et au Festival de Villeneuve en scène), et d’Emmanuelle Grangé ( <em>Je cherche l’or du temps</em>, d’après Nadja de Breton, à La Générale). Elle a aussi mis en scène <em>minuscules</em> de Judith Siboni à La Générale.</p> <p> Elle est artiste associée à La Générale, coopérative artistique, Paris.  </p> <p>  </p> <p> <strong>Yaël Elhadad</strong></p> <p>  </p> <p> <img alt="Ya_lkk2" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/20436/Ya_lKK2.jpg"></p> <p>         Après un diplôme de l’Institut d’Etudes Politiques de Paris, elle entre au Conservatoire National Supérieur d'Art Dramatique où elle travaille avec Stuart Seide, Jacques Lassalle, Alain Zaepffel, Caroline Marcadé et Klaus Michael Grüber (<em>Les Géants de la Montagne</em> de Pirandello).</p> <p>        Depuis elle a notamment travaillé avec Jean-Louis Benoît ( <em>les Fourberies de Scapin</em> de Molière,  Comédie Française), Catherine Anne (<em>Petit</em> de Catherine Anne, Théâtre de l’Est Parisien), Pascal Rambert (<em>Asservissement Sexuel Volontaire</em> de Pascal Rambert, Théâtre national de la Colline), Alain Timar ( J<em>e veux qu’on me parle</em> d’après Calaferte, <em>Simples mortels</em> de Philippe de la Genardière, Théâtre des Halles à Avignon), Hédi Tillette de Clermont Tonnerre (<em>Marcel B</em> de Hedi Tillette de Clermont Tonnerre, Théâtre de la Cité Internationale), Catherine Riboli (<em>Sganarelle ou le cocu imaginaire </em>de Molière, festival de Villeneuve en scène), Adrien de Van et Pauline Bureau (<em>5 minutes avant l’aube,</em> Jardin des Doms- festival d’Avignon In), Elsa Bosc (<em>minuscules</em> de Judith Siboni, La Générale, Paris), Nicolas Bigards (<em>Manuscrit Corbeau</em> de Max Aub, MC93 de Bobigny), Philippe Delaigue (<em>Si vous êtes des hommes</em> de Serge Valetti, CDN de Valence), Florence Camoin (<em>Avant la cérémonie</em> de Naïm Kattan, Espace Rachi, Paris). Elle a co-mis en scène <em>Lettres aux Provinciales</em> de Véra Bosc au Granit, Scène nationale de Belfort, au CDN de Montreuil et à Avignon Off. Elle a mis en espace plusieurs textes contemporains, dont <em>Le Phare</em> de Timothée de Fombelle au Théâtre de la Cité Internationale, et <em>Autour de Berkoff</em> à La Générale, Paris. Elle a également écrit, mis en scène et interprété un volet de <em>Témoins voyageurs</em> à l’occasion du festival Exil à Confluences. Pour la télévision, elle a tourné sous la direction d’Alain Tasma, Gabriel Aghion, Hervé Baslé, Laurent Heynemann, Gérard Gozlan, Christian François, Etienne Dahenne, Joyce Bunuel, Bérénice André et dans le cadre des Jeunes talents Cannes de l’ADAMI avec Marina de Van.</p> <p> Elle est artiste associée à La Générale, coopérative artistique, Paris.    </p> <p>  </p> <p>  </p>

Allocation of funds

<p>  </p> <p> C’est une grande chance d’être programmées au Théâtre des Halles, durant tout le festival d’Avignon, un théâtre à la programmation exigeante et reconnue.</p> <p> Nous espérons que ce sera le point de départ d’une longue tournée pour ce spectacle et de belles perspectives pour notre compagnie.</p> <p>  </p> <p> Ce spectacle est coproduit par La Générale, laboratoire artistique, politique et social. Ce soutien est essentiel mais pas suffisant pour mener à bien notre création... C’est pourquoi nous vous invitons à nous soutenir !</p> <p>  </p> <p> <strong>Notre collecte servira à finaliser notre budget de création pour les postes suivants et pour certains frais liés à l’exploitation à Avignon :</strong></p> <p>            </p> <p> Eléments de décor et scénographie : 1000 euros</p> <p> Matériel technique / lumières : 600 euros</p> <p> Eléments de costumes et entretien festival : 600 euros</p> <p> Location du camion décor A/R : 850 euros</p> <p> Outils de communication : 950 euros (inscription journal du Off/ flyers/affiches/dossier de presse, graphisme)</p> <p> Participation aux honoraires de la chargée de diffusion : 1000 (ce poste est essentiel, car un des objectifs de ce festival est de faire connaître la compagnie et de faire tourner/diffuser le spectacle)</p> <p>  </p> <p> <strong>Si nous dépassons notre objectif, vos dons seront une participation aux frais liés à l’hébergement (très cher en période de festival), aux déplacements et aux salaires de l'équipe, etc. !!!</strong></p> <p>  </p> <p> Le succès de cette collecte est maintenant entre vos mains !</p> <p> Si vous avez envie de défendre un projet théâtral ambitieux, en prise avec les questions de nos sociétés, si vous avez envie de soutenir le travail d’une compagnie en éclosion, alors n’hésitez pas…</p> <p> Une contribution, même modeste, sera le gage de votre engagement et pour nous un grand encouragement dans cette joyeuse aventure!</p> <p>  </p> <p> Les petits ruisseaux font les grandes rivières…</p> <p>  </p> <p> D’avance merci à vous,</p> <p>  </p> <p> Elsa et Yaël</p>

Rewards

€10

  • 4 contributions
Notre reconnaissance éternelle

€25

  • 8 contributions
Notre reconnaissance éternelle + 1 affiche du spectacle

€50

  • 17 contributions
Notre reconnaissance éternelle + 1 affiche du spectacle +1 photo + 1 tarif réduit + un remerciement personnalisé sur notre site internet

€100

  • 14 contributions
Notre reconnaissance éternelle + 1 affiche du spectacle + 1 photo+ un remerciement personnalisé sur notre site internet + 2 tarifs réduits + un verre offert par et avec l’équipe après la représentation

€200

  • 2 contributions
Notre reconnaissance éternelle + 1 affiche du spectacle + 1 photo + un remerciement personnalisé sur notre site internet + 2 invitations + un verre offert par et avec l’équipe après la représentation + rencontre-salon littéraire autour d’un « tea time » au retour du festival

€500

  • 3 contributions
Notre reconnaissance éternelle + 1 affiche du spectacle + 1 photo + un remerciement personnalisé sur notre site internet + 2 invitations+ un verre offert par et avec l’équipe après la représentation + salon littéraire autour d’un « tea time » au retour du festival + le livre

€1.000

Notre reconnaissance éternelle + 1 affiche du spectacle + 1 photo + un remerciement personnalisé sur notre site internet + 2 invitations+ un verre offert par et avec l’équipe après la représentation + salon littéraire autour d’un « tea time » au retour du festival + le livre + 1 kit "Véraison" homologué par La Manager!

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