Création spectacle Bunker connection

<p> <strong>LE PROJET</strong></p> <p>  </p> <p> Bunker Connection, c'est la création d'un spectacle en deux parties rassemblant 22 apprentis comédiens, issus de deux ateliers théâtre différents. La pièce raconte, dans un lointain futur, la vie de rescapés vivants dans des bunkers, suite à un cataclysme sans précédent.</p> <p>  </p> <p> <strong>PRESENTATION</strong></p> <p>  </p> <p> Comédien, metteur en scène et auteur, j’enseigne le théâtre depuis 2008 en Bourgogne où je dirige deux ateliers théâtre.</p> <p>  </p> <p> L'atelier théâtre de Montbard (Haute Côte d’Or) compte 11 élèves adultes cette année. C'est un atelier que j'ai créé en 2008 et qui est géré par une association : le Théâtre Accro.</p> <p>  </p> <p> L'atelier théâtre de Pouilly-en-Auxois (Côte d’Or) compte aussi cette année 11 élèves, mais il est composé d’enfants et d’adultes. Il dépend de l'école de musique de la ville et a été créé en 2009.</p> <p>  </p> <p> Ces deux ateliers sont très actifs et nous avons monté de nombreux projets ensemble :</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>A POUILLY-EN-AUXOIS</strong></p> <p>  </p> <p> En juin 2012, salle des fêtes de Pouilly-en-Auxois.</p> <p> <i>La magie de Lila </i>de Philip Pullman / Groupe des enfants</p> <p> <i>Multilogues</i> de Jean-Michel Ribes / Groupe adultes</p> <p>  </p> <p> En juin 2013, salle des fêtes de Pouilly en Auxois et salle des fêtes de Chenôve.</p> <p> <i>Marie des grenouilles</i> de Jean-Claude Grumberg / groupe enfants et classe de violoncelles du conservatoire de Chenôve.</p> <p> <i>Cassé</i> de Rémi De Vos / groupe adultes</p> <p>  </p> <p> En juin 2014, restaurant les Portes de Bourgogne.</p> <p> <i>A Table !</i> D'après des textes de Jean-Michel Ribes / groupe enfants, ados, adultes</p> <p>  </p> <p> <img alt="Fly_pouilly_recto_mai_2012-1425491789" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/169717/fly_pouilly_recto_mai_2012-1425491789.jpg"></p> <p>  </p> <p> <strong>A MONTBARD</strong></p> <p>  </p> <p> En mai 2011, à la MJC André Malraux.</p> <p> <i>Nous ne sommes pas des Anges,</i> création dans le cadre du premier festival de curiosités de la ville (Etr'ange).</p> <p>  </p> <p> En mai 2012, salle Paul Eluard à Montbard.</p> <p> <i>Le sens du poil</i>, Création d'un spectacle pour l'ouverture du 2ème festival de curiosités de la ville.</p> <p>  </p> <p> En mai 2013, cinéma Le Phénix à Montbard.</p> <p> <i>Les faussaires d'or</i>, création de 5 films dans le cadre du 3ème festival de curiosités (Faux airs, faussaires).</p> <p>  </p> <p> En juin 2013, salle Paul Eluard.</p> <p> <i>L'opéra de quat'sous </i>de Brecht.</p> <p>  </p> <p> En juin 2014, musée-site-Buffon à Montbard.</p> <p> <i>Musée haut, musée bas </i>de Jean-Michel RIBES.</p> <p>  </p> <p> <img alt="Brecht_affiche_kiss-1425647150" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/170518/Brecht_affiche_kiss-1425647150.jpg"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>CONTEXTE DE LA CREATION</strong></p> <p>  </p> <p> Cette année, nous avons eu l’envie de nous attaquer à un projet beaucoup plus ambitieux qui puisse rassembler les deux ateliers théâtre que je dirige.</p> <p> J’ai donc imaginé l’écriture d’un spectacle en deux parties, la première étant jouée par les élèves de Pouilly-en-Auxois et la deuxième par les élèves de Montbard. Les deux parties sont « connectées » par une même scène finale (en vidéo).</p> <p>  </p> <p> Le spectacle a été écrit sur mesure pour les élèves, la contrainte principale étant de distribuer équitablement les 22 rôles dans l’histoire et d’intégrer les différences d’âges et de niveau de jeu mais aussi la répartition inégale d’hommes et de femmes dans les ateliers. Après plusieurs mois de réflexions et de travail acharné, le scénario s’est affiné et a permis de remplir toutes ces conditions, ce qui est en soi un véritable exploit !</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>SYNOPSIS</strong></p> <p>  </p> <p> Dans un futur lointain, les survivants d’un cataclysme sans précédent se sont réfugiés dans d’immenses bunkers profondément enfouis sous terre. Dans ces abris isolés les uns des autres, des communautés se forment, chacune d’elle essayant d’organiser sa survie en attendant la fin du <i>Pont temporel</i> : une période de quarantaine de 450 ans durant laquelle la plupart des rescapés sont plongés dans un sommeil artificiel, en attendant que la  vie soit de nouveau possible à l’extérieur.</p> <p>  </p> <p> <img alt="D_cor-1426078955" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/172376/d_cor-1426078955.jpg"></p> <p> <em>Projet de décor</em></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>1ère partie : Bunker 44 (B-44)</strong></p> <p>  </p> <p> Création les 5 et 6 juin 2015. Salle Polyvalente à Pouilly en Auxois.</p> <p>  </p> <p> Dans le Bunker 44, après un accident dramatique, les enfants ont pris le contrôle des installations. Grâce à la technique de <i>reprogrammation neuronale</i> qui permet d’effacer la mémoire et de modifier la personnalité, ils ont inversé les rôles avec les adultes : ils sont devenus « les Décidants » et les adultes « les Servants ». Ils dirigent depuis, d’une main de fer, une petite communauté avec laquelle ils veillent sur leur abri. Un jour, un survivant du monde extérieur entre en contact avec les « Servants ». Comment est-ce possible ? Car « les Décidants » ont affirmé que toute vie en dehors du bunker avait disparu. Auraient-ils menti ? Faut-il parler de l’étranger aux « Décidants » ou bien faut-il entrer en contact avec lui pour en apprendre plus, au risque de déchaîner la colère de leurs Maîtres ?</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>2ère partie : Bunker 113 (B-113)</strong></p> <p>  </p> <p> Création les 12, 13 et 14 juin 2015. Espace Paul Eluard à Montbard</p> <p>  </p> <p> Dans le B-113 aucun homme n’a survécu au terrible <i>virus A,</i> qui les a tous emportés. Seules les femmes ont résisté à ce dernier fléau. Là, placées en sommeil artificiel,  elles attendent le jour ou la vie sera de nouveau possible en surface. Elles sont sous la protection d’une poignée d’entre-elles qui veillent au bon fonctionnement des installations : <i>L’Ordre des Gardiennes</i>.  Pour éviter tout chagrin, l’existence passée des hommes a été effacée de leur mémoire. Mais voilà que le laboratoire qui leur permettait de mettre au monde artificiellement de nouvelles Gardiennes, tous les 40 ans, est ravagé par un incendie. Leur mission semble compromise. Mais la Doyenne sait que dans un endroit secret du bunker, deux spécimens endormis de ce qu’on appelait des « hommes » ont été oublié là. Faut-il les réveiller pour assurer la réussite de leur mission ? Cela semble dangereux, mais ces deux « hommes » ont une faculté  extraordinaire : ils peuvent donner la vie.</p> <p>  </p> <p> <strong>NOTES DE MISE EN SCENE</strong></p> <p>  </p> <p> Les deux parties se déroulent au même moment dans le temps et démarrent toutes deux par un incident : l’incendie du laboratoire des naissances pour le bunker 113 et la rencontre avec un survivant de l’extérieur pour le bunker 44. Lors de la dernière scène filmée et projetée à la fin de chaque partie, des personnages des deux bunkers vont se rencontrer !</p> <p>  </p> <p> <img alt="Sc_no-1426087258" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/172485/sc_no-1426087258.jpg"></p> <p> <em>Costumes, mobilier, décor peint imitation béton</em></p> <p>  </p> <p> Les deux parties abordent donc chacune une thématique particulière :</p> <p>  </p> <p> Dans Bunker 44, les enfants ont pris le pouvoir par la force. Mais comment maintenir les adultes dans le mensonge qu’ils ont inventé en modifiant leurs mémoires ?</p> <p>  </p> <p> Dans Bunker 113, les femmes dirigent tout après la disparition des hommes pendant plusieurs siècles. Quand deux d’entre eux vont revenir à la vie, comment ceux-ci vont s’adapter à cette nouvelle organisation ?</p> <p>  </p> <p> Le spectacle se passe dans un futur lointain (en 2601). On peut donc imaginer des situations de départ très décalées de ce que nous connaissons, de notre quotidien. Ce décalage permet de mettre les personnages dans des conditions extrêmes et totalement inédites. Les deux postulats de départ : les enfants décident à la place des adultes, les hommes ont disparu et les femmes dirigent, sont des thèmes qui entrent en opposition avec notre actualité (place de la femme dans nos sociétés, responsabilité des adultes envers les enfants). </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>L’EQUIPE</strong></p> <p>  </p> <p> <strong>L’auteur, metteur en scène.</strong></p> <p> Ismaël Gutiérrez</p> <p>  </p> <p> <img alt="Dsc02609-1426080535" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/172389/DSC02609-1426080535.JPG"></p> <p> <em>Création et mise en scène "Le casse du siècle", mai 2014.</em></p> <p>  </p> <p> Comédien, metteur en scène réalisateur et auteur. J'ai été formé au conservatoire d'Orléans (comédien), à l'université de Paris III (études théâtrales) et à l'université de Bourgogne (Master 2 Culture). J'enseigne le théâtre en collèges, lycées, MJC ou encore pour des associations culturelles depuis 1991. J'ai mis en scène une quarantaine de spectacles, dont une vingtaine que j'ai moi-même écrit. Je réalise depuis trois ans des clips, films d'entreprises ou institutionnels. En octobre 2014, dans le but de me perfectionner dans ce domaine, j'ai suit une formation de réalisateur à l'école nationale supérieure Louis Lumière (Paris). En tant que comédien professionnel, je fait partie de la Ligue d'improvisation professionnelle de Côte d'or (LISA21) avec laquelle je collabore depuis 5 ans. Je travail aussi avec l'opéra de Dijon dans le cadre d'animations d'ateliers autour d'opéras en programmation.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> LES COMEDIENS / LA DISTRIBUTION</p> <p>  </p> <p> <strong>L’atelier théâtre de Pouilly en Auxois / Bunker 44</strong></p> <p>  </p> <p> <u>Les enfants</u> : Paul GARNIER (le Premier Décidant), Salomé PETTIER (le Deuxième Décidant), Anaëlle MONTIGNY (le Troisième Décidant), Marie COMPERAT (le Quatrième Décidant), Raphaëlle GARNIER (Coup d’vent).</p> <p>  </p> <p> <u>Les adultes</u> : Zélie FROMENT (Numéro 71), Odile CADIOU (Numéro 72), Martine DAMERON (Numéro 73), Auberi VERNE (Numéro 74), Quentin VERPEAUX (Numéro 75) et Aesa VIRELY (L’étrangère).</p> <p>  </p> <p> <img alt="Dsc06551_-_copie-1425649234" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/170537/DSC06551_-_Copie-1425649234.JPG"></p> <p> <em>Les élèves de l'atelier (POUILLY EN AUXOIS) en juin 2012</em></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>L’atelier théâtre de Montbard / Bunker 113</strong></p> <p>  </p> <p> Suzanne SANTISO (la Doyenne), Claire LEGRAND (la Garde), Elisabeth DROUOT (la Surveillante), Pascale BELOUFA (l’Archiviste), Fabienne PAYOT (la Médic), Rachel REBOUILLAT (la Conceptrice), Ophélie MAGONI (la Superviseure), Geneviève MANTE (l’Intendante), Laetitia HOPGOOD (la Sentinelle), Lito SANTISO (Stanislas Louis), Simon LABAUNE (Linus Carnot).</p> <p>  </p> <p> <img alt="Photo_de_groupe__6_-1425649499" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/170542/photo_de_groupe__6_-1425649499.JPG"></p> <p> <em>Les élèves de l'atelier (MONTBARD) en mai 2013</em></p> <p>  </p>