Edition vinyle limitée du premier Ep de Turquoise
<p>Ils sont jeunes, ils sont bruxellois et ont grandi avec la nostalgie d’une époque qu’ils n’ont pas connue : les années 80. La tête coincée dans Youtube, ils ont grandi avec les visions persistantes de The Durutti Column, The Cure ou encore Cocteau Twins; jusqu’à ne garder de ces souvenirs qu’un bleu VHS, un peu passé mais toujours romantique, qui aboutit aujourd’hui au nom du groupe. </p>
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<p>Turquoise sent bon la Dream pop et la New wave, mais sans anachronisme ou coups d’œil appuyés dans le rétro. Avec son premier EP sorti chez Freaksville (« Turquoise », avril 2019), le groupe formé par Sarah et Nicolas (ex Empereur) et deux Maxime combine les guitares <em>chorusées</em> de légendes comme Felt ou The Chameleons à des mélodies pop de groupes dont le chanteur ne se serait pas encore pendu dans sa cuisine. C’est qu’à la différence de Joy Division, Turquoise préfère cocher la case cold wave sans tirer la tronche ; ce qui donne à ses chansons la froideur de l’époque, mais avec ce petit parfum synth-pop qui permet de passer du mineur au majeur. «<em> Notre nom vient du groupe Turquoise Days</em> explique Sarah (chant, claviers), on s’est dit que Turquoise tout court c’était plutôt pas mal. </p>
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<p>Formé après que ses membres se soient retrouvés par hasard, les musiciens improviseront deux semaines plus tard leur premier concert aux côtés de Turzi et Judah Warsky à la buvette de l’Union Saint-Gilloise (le club de foot bruxellois ndr) avec « <em>3 démos pourries jouées deux fois d’affilée</em> ». De là, ils affuteront leurs couteaux, trouveront un local vide à la RTBF pour répéter et confieront quelques mois plus tard leurs compositions au producteur Yannick Lemoine : « <em>il a tout de suite compris le projet </em>» témoigne Sarah. Peut-être même un peu trop : « <em>il nous a encouragé à trouver notre son et nous a demandé de remplacer la batterie et la boite à rythmes par une échelle. Du coup, fonction de là où l’on tapait dessus, ça ne donnait pas la même couleur… </em>». Cette couleur, on la connaît, c’est un mélange de New wave, de Krautrock et de chanson française ; un mélange détonnant et assumé pour les enfants de cette génération Youtube, décomplexée sur des influences pouvant aller de OMD à Aline. </p>
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<p>Après ce premier EP (illustré par Bertrand Sallé), souhaitons à ces « twenty something » d’écrire encore d’autres mots bleus – enfin, disons bleus turquoise. </p>
<p>Cette campagne de précommande servira à financer le mastering et le pressage vinyle et Cd ainsi qu'à couvrir l'envoi chez les souscripteurs qui recevront le vinyle entre juillet et septembre 2019. Avec cette nouvelle précommande, Freaksville Records reste fidèle au "direct to fans" en proposant un tarif préférentiel pour les récompenser de leur soutien, avant la mise en vente de l'album chez les disquaires. Le disque est ici proposé au tarif imbattable.</p>